Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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botanique, cours n°2, 1/2/3/4ème années • la dulcinée

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Unité
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Caesius Carthaigh
Caesius Carthaigh
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Mer 31 Juil - 17:10
La dulcinée


Caesius était d'une humeur légèrement rehaussée - ce qui était rare.
Les élèves les plus jeunes de Poudlard étaient toujours très agréables. Il y avait toujours cette excitation dans leur voix gaies et de la curiosité dans leurs chuchotis. Certains se penchaient même déjà vers l'oreille de leur voisin en leur murmurant des paroles intriguées, l’œil collé à la plante sur leur paillasse.

Caesius sourit - ce n'était pas les années les plus sages. Mais c'était peut-être les plus intéressantes et spontanées. Au bout d'une minute, il s'éclaircit un peu la voix.

« Bonjour à tous pour votre premier cours de botanique. Il marqua une courte pause, cherchant ses mots. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis le Professeur Carthaigh, et je vous enseignerai la botanique tout au long de votre apprentissage à Poudlard. »

Il grimaça.

« Enfin - j'espère. »

Il détourna vivement le regard, toussotant sèchement encore un peu. Pour changer cet embarras soudain, il agita la sa baguette ; des mots s'inscrivirent à la craie blanche sur le tableau noir.

« Aujourd'hui, je vais vous faire étudier une plante peu connue, mais parfaitement inoffensive. Il s'agit de la Dulcinée. »

D'un geste de la main, il engloba toute la salle pour désigner les plantes devant chaque élève. Elles étaient peu jolies, comme de gros artichauts plantés sur une énorme tige. La fleur, fermée, donnait l'impression d'une coque très solide qui aurait appartenue à un animal.

« Ne vous fiez pas à leurs apparences, les dulcinées sont magnifiques. »

Celle devant lui frémit. Il sourit, immobile derrière son bureau.

« La fleur de la dulcinée à la réputation d'être très belle, mais n'est pas facile à entrevoir. La dulcinée est une plante très coquette, sensible et surtout très romantique. Elle n'accepte de dévoiler ses pétales que si l'on est suffisamment galant avec elle. »

Il entendis quelques murmures.

« Pour faire s'ouvrir une dulcinée, il faut y aller doucement, et lui faire une belle déclaration d'amour - oui, exactement. En plus, la dulcinée est loin d'être inutile. Les graines que renferment son cœur entrent dans la composition de nombreux antidotes de philtres d'amour. »

Les murmures s'élevèrent plus haut encore - il espérait qu'ils étaient véritablement enthousiaste. Il s’éclaircit encore la gorge.

« En travaux pratiques aujourd'hui, je vais vous demander de récupérer les graines de la dulcinée. Il faudrait, bien sûr, d'abord réussir à l'ouvrir - non, pas avec une tenaille, précisa-t-il. » On lui demanda un exemple. Il rosit un peu, mais bredouilla. « Un exemple erm - bien sûr. » Il se pencha vers sa fleur, et pas assez bas pour que les élèves ne puissent l'entendre, il murmura : « Vous êtes d'une délicatesse délicieuse, aujourd'hui. »

Ses joues s’enflammèrent, mais la plante s'ouvrit en frétillant, dévoilant de lourdes pétales d'un rouge vif. Son cœur était argenté. Il y eut des éclats de rire, et Caesius se frotta la nuque en précisant, embarrassé :

« Mais les fleurs me connaissent, donc c'est plus facile avec moi - par contre, vous devrez être plus persévérant dans vos déclarations. Allez, vous avez les fleurs devant vous, n'hésitez pas à m'appeler en cas de soucis. »

Il agita doucement la fleur pour faire tomber les graines dans une fiole qu'il referma aussitôt. Puis, toujours rose, il s'assit derrière son bureau - heureusement, heureusement que c'étaient les plus jeunes années.


Marche à suivre


Thème ϟ La dulcinée
Limite ϟ La déclaration devra faire 10 lignes maximum.
Récompense ϟ 2 gallions & 5 points par participation, 5 gallions & 15 points pour le meilleur élève.
Dates ϟ Du 31/07/13 au 07/08/13
Énoncé ϟ Aujourd'hui, le professeur Carthaigh a présenté à ses élèves une plante capricieuse, la dulcinée. Celle-ci n'accepte de s'ouvrir que si on lui fait une déclaration d'amour suffisamment convaincante.
Le professeur Carthaigh a déposé une dulcinée devant chaque élève présent à son cours. Il leur a demandé de récupérer les graines cachées dans le cœur de la dulcinée, mais avant, il va bien falloir l'ouvrir ! En une quinzaine de lignes, vous écrirez la déclaration qu'à fait votre personnage à la fleur. Chanson, Ode, Sonnet, Ballade, SMS, vous n'avez pas de limites - tant que vous récupérez les graines à la fin et que vous les remettez aux professeur. Amusez-vous bien ♥.
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Serpentard
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Icarus K. O'Neill
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Mer 31 Juil - 18:38

Fillian n'était pas vraiment un grand fan de la botanique. Non pas qu'il n'aimait pas la matière, juste que ça ne lui parlait pas autant qu'un cours de sortilèges ou de soins aux créatures magiques.
Il s'installa donc à sa place habituelle, prêt à écouter son professeur.
Quand le sujet fut donné, le jeune Gryffondor grimaça. Bon il devait le faire sinon c'était un Troll assuré. Il prit donc sa plume et gratta sur son parchemin. Le poème rédigé il le lit à voix basse pour éviter que la classe entière l'entende.

Hier j'ai dessiné vos contours,
Avec l'espoir d'un regard,
Meurtri un peu plus chaque jour,
de son absence, son retard.

Aujourd'hui je prends ma plume,
Pour vous offrir mes sentiments,
qui avec la fraîcheur de la brume,
se posent sur mon cœur brûlant.

Demain je peindrai pour vous,
L'immensité de mes aveux,
qui profond, violent et fou,
déferleront sous vos beaux yeux.

Ainsi peut être qu'a ma fin,
vous apprécierez cette dévotion,
Qui dans la mort devint,
La plus pur des émotions.

Les joues rouges il regarda la Dulcinée s'ouvrir gentiment. Au moins elle n'était pas restée insensible à sa déclaration ! Il récupéra les quelques graines et les porta tranquillement au professeur.
Il espérait juste que la version parchemin de son devoir ne serait jamais rendu public...
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Mer 31 Juil - 19:06
La jolie Spring était venue en botanique l’air renfermé. Elle adorait son professeur, mais elle ne pouvait pas le montrer, de peur de salir sa réputation. Et puis, elle ne l’aimait que pour sa patience, mais elle prenait un malin plaisir à essayer de le pousser à bout. L’un des rêves de la petite était de le faire craquer, juste pour pouvoir dire « Je l’ai fait craquer ». Elle était sûre que plein de gens viendraient lui demander comment elle avait réussi cet exploit, et Diana adorait être au centre de l’attention, comme le témoignaient ses cheveux du jour, rouges. Comme la Dulcinée. C’était une jolie fleur, mais l’énoncé de ce cours ne passionnait pas la Gryffondor, qui se refusait surtout à émettre le moindre sentiment romantique à voix haute.

McFarlane commença par chuchoter des trucs, sans succès, à sa fleur. Puis elle l’insulta un peu, parce qu’elle refusait de s’ouvrir, et qu’elle espérait que la brusquer donnerait un résultat. Sans succès non plus. Enfin, elle se décida à s’asseoir et à écrire quelque chose de bien – elle ne pouvait pas se permettre d’avoir un Troll, ses résultats étaient trop justes. Alors. Que pouvait-elle donc dire ? Les sourcils froncés, elle décida de donner un peu d’elle-même, et d’écrire sur ce papier ce qu’elle aimerait qu’on lui dise.
Citation :

Dulcinée,
Je sais que je ne te l’ai pas toujours montré, et que mes gestes ont pu sembler vagues. Mais je t’aime depuis le premier jour. A la première minute où je t’ai vue, tu as attiré mon regard comme le miel attire une mouche. J’ai senti l’étincelle. Et si j’ai parfois donné l’impression contraire, il n’empêche que je te trouve superbe. Tu me plais. Je ne veux plus avoir à me séparer de toi.

C’était brouillon, c’était enfantin, c’était un devoir bien trop personnel pour la gamine. Elle n’était pas faite pour ce genre d’exercice. Mais la Fleur avait, finalement, accepté ses excuses informulées, et s’était ouverte, lui délivrant ses graines. Spring la remercia brièvement, soulagée de voir que ça avait fonctionné, avant de se rappeler que ce n’était qu’une fleur, et de courir rendre sa copie au bureau. Elle semblait épanouie, mais elle se rembrunit bien vite : il ne faudrait pas que ça se voit, maintenant que le Troll semblait évité.

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Mer 31 Juil - 19:35


    chers demoiselle...  
    Amber aime les fleurs. C'est un fait, mais elle préfère les étoiles. L'espace est un jardin, non ? Elle se sentait bien dans ce cours en faite, moins bien que dans certains mais bien quand même. Cette dulcinée, cette fleurs lui faisait penser à chaque personne...Elle ne savait pas si elle devait écrire son poème sur un manuscrit et en voyant quelqu'un d'autres le faire, elle suivit. Alors...Elle posa sa plume mais n'eu pas d'idée, alors que tout le temps, son imagination déborde...Mais que faut-il dire à quelqu'un ? Mais là, c'est une fleur...Et puis, sa main fit toute seule.

    « Fleur, fleur...Je n'ai pas d'idée,
    Comment décrire une telle beauté ?
    J'ai vraiment du mal à imaginer.
    Je suis vraiment bien embêtée.
     »

    Elle s'arrêta dans son écriture, elle ne pouvait pas continuer. Aucune idée ne lui monta à son cerveau à l'instant vide. Alors elle regarda autour d'elle, sans tricher à côté mais juste perdre son regard sur un objet. Puis, continuer sans sens rendre compte.

    « Voulez-vous un bisous ?
    Où une caresse dans le cou ?
    Si vous étiez un humain,
    je vous prendrez la main.
    Enlevez vos vieux vêtements,
    Habillez-vous autrement.
    Ce soir nous allons danser,
    vous me faites rêver.
     »
    Amber n'était pas satisfaite, elle tourna les yeux mais une lueur rouge naquît dans le creux de son œil. Cette belle fleur lui avait ouvert son cœur, sa beautés était sans pareille. Alors comme ça, mademoiselle Dulcinée veut danser ? La brunette prit les graines tout doucement puis le manuscrit, elle se leva et alla poser le tout sur le bureau puis, au final, revenir à sa place.

    (c) century sex
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Mer 31 Juil - 21:32

Décidément, le cours de botanique était loin d'être le meilleur moment de la semaine dans l'esprit de Stephen. Il avait beau trouver le professeur qui le donnait fort sympathique, le jeune Serdaigle avait vraiment du mal avec les plantes. Enfin, surtout les plantes qu'on pouvait trouver dans les serres de Poudlard, à vrai dire. Lorsqu'il était enfant, il n'avait jamais eu de problème à aider sa mère à rempoter les géraniums à la bonne saison. Par contre, s'occuper d'hurlantes mandragores ou de gesticulantes tentacula vénéneuses, ça se révélait presque impossible pour lui.

Comme avec beaucoup de choses qu'il avait eu l'habitude de voir inanimées lorsqu'il était dans le monde moldu qui à présent se révélaient plutôt agitées chez les sorciers, Stephen avait assez peur des plantes magiques de ce genre. Enfin, la plupart du temps, il se débrouillait pour décrocher la mention Acceptable tant bien que mal au durant les cours de botanique. Il se forçait un petit peu en se disant que ce n'était qu'un sale moment à passer et une activité de toute façon obligatoire, puis ça allait. C'était toujours vite derrière lui.

Mais ce jour-là, il se sentit encore plus incapable devant la Dulcinée qu'un an auparavant devant les mandragores. Il fallait qu'il parle à la plante qui était devant lui. Qu'il lui parle, réellement. En faisant des sons, pas en écrivant sur son calepin. Pour un muet de naissance comme lui - et en essayant de ne pas faire dans l'euphémisme, c'était loin d'être simple.

Ça lui rappela un peu cette fois-là où il s'était retrouvé seul avec un aveugle lorsqu'il avait un peu moins de dix ans, dans la salle d'attente du psychopédagogue. Il se rappelait de ce jour là comme l'une des pires expériences de sa vie. Le garçon qui ne voyait pas avait bien compris qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la pièce et avait essayé de lui parler ; mais Stephen n'avait rien pu faire pour répondre, et l'aveugle avait fini par se vexer profondément et même s'énerver jusqu'aux larmes. Un vrai cauchemar.

Après avoir frémi quelque peu suite à sa séquence "nostalgie" non désirée, le garçon revint sur terre et se rendit alors compte que la tâche lui était doublement impossible. Non seulement il devait émettre des sons, mais en plus il devait murmurer des mots d'amour à cette plante. Des mots doux.

Bien qu'il fut encore un peu jeune pour qu'il soit tout à fait anormal pour lui de n'avoir encore jamais connu de sentiments amoureux, il n'était pas peu dire que Stephen n'avait jamais eu de contact direct et volontaire avec une fille. Les seules femmes avec qui il avait communiqué au cours de sa vie étaient toutes bien plus âgées que lui, au moins mentalement. Il ne s'était jamais senti proche de personne mis à part ses parents. Il n'avait jamais même eu de vrais amis - si on mettait de côté sa correspondante de carnet anonyme dont il ignorait, au final, tout.

Alors, comme lorsque l'Érudit lui avait demandé ce qu'il pensait de l'Amour, il devait s'avouer incompétent.

Et même s'il comprenait bien que le but de l'exercice était moins profond et consistait surtout à enchainer quelques compliments convaincants, Stephen n'aurait pu les écrire sans en mourir de honte. Ajoutez à cela qu'il aurait du les faire lire par un autre élève, et sa tête aurait explosé avant que le premier pétale de sa Dulcinée n'ait même émit un frémissement.

Il attrapa une plume, son encrier et un petit bout de parchemin, puis quitta la plante qui lui avait été attribuée pour se rendre devant le professeur Carthaigh et lui remettre son papier :

Bout de parchemin pour Caesius Carthaigh a écrit:
" Désolé, je ne peux pas. Bonne journée. "

Puis le jeune Serdaigle baissa les yeux et quitta rapidement la serre, le visage encore plus rouge que s'il avait couru un marathon.
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Violet E. Jenkins
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Jeu 1 Aoû - 14:19
Oh miséricorde. Faire une déclaration d'amour.

Violet ne voulait pas entendre parler d'amour, jamais. Parce que les seules déclarations auxquelles elle avait jamais eu droit étaient probablement fausses, créées de toutes pièces par son aura de vélane ; elle n'avait aucune envie de les reproduire, mais vraiment aucune. C'était déjà bien trop horrible à son jeune âge de se demander en permanence si ceux qui l'appréciaient, famille et de très rares amis, n'étaient pas influencés d'une quelconque manière... Elle n'allait pas en plus se pencher sur des sentiments amoureux, qu'elle ne comprenait pas encore de toutes façons.

Certes, c'était juste un exercice. Mais, isolée tout au bout de la table, près des fleurs qui n'avaient pas été distribuées, à six places d'écart de l'élève le plus proche, Violet déglutit difficilement. Bah, il fallait tout de même essayer... En murmurant. Parce que même si elle était loin, c'était monstrueusement gênant.

« Jolie fleur, tu es vraiment très belle, est-ce que tu pourrais t'ouvrir, s'il te plaît ? »

Pas le moindre frémissement de la Dulcinée. La jeune fille passa une main nerveuse dans ses longs cheveux bruns.

« Je t'aime vraiment beaucoup, tu sais, précieuse fleur de mon coeur... »

Les mots y étaient, mais le coeur laissait à désirer. Elle avait tellement de mal à y croire, tant de difficultés à croire aux contes de fées avec son quotidien rendu misérable par l'attirance qu'elle exerçait sur les autres...

Violet sentait qu'elle s'énervait, et ce n'était pas bon.

« Allez petite fleur, je te jure que tu es la perfection incarnée, ouvre-toi, je t'en prie... »

Elle continua ses suppliques pendant cinq bonnes minutes encore. Rien à faire. La Serdaigle soupira, et se prit la tête dans les mains un instant, réfléchissant à ce qu'elle pourrait faire de sincère. De longues minutes s'écoulèrent, pendant lesquelles elle entendit les exclamations de certains de ses camarades qui réussissaient. De plus en plus frustrant.

Mais lorsqu'elle se redressa, elle avait une idée. Ce n'était pas la meilleure, ce n'était sans doute pas très honnête, mais ça lui permettrait de s'enfuir loin de cet exercice à l'air pourtant anodin.

Violet se mit à chanter, avec la voix la plus basse possible, les yeux fermés. Une berceuse que sa maman avait l'habitude d'entonner quand elle était petite, quelque chose d'apaisant, dans lequel elle pouvait faire passer ce qu'elle savait de l'attachement de quelqu'un pour un autre. Chaleur, protection, douceur.
Lorsqu'elle rouvrit les paupières, les élèves les plus proches d'elle la fixaient bizarrement, malgré qu'elle ait tenu le volume le plus bas possible. Une demi-vélane qui chante était un spectacle rare, et si l'effet n'était pas aussi puissant que lorsque le sang était pur, son pouvoir était tout de même presque épais, poisseux et sucré comme de la barbapapa autour d'elle. C'est alors qu'elle remarqua les fleurs.

Autour d'elle, sous ses yeux écarquillés, pas moins de cinq Dulcinées s'étaient ouvertes, heureusement pas de celles utilisées par ses camarades.

Elle collecta les graines, les joues rouges de honte et les larmes aux yeux, et s'avança vers le bureau du professeur pour les y déposer en vrac, les regards des autres la suivant pour son plus grand malheur.

« Pardon professeur Carthaigh, je vous jure que je n'ai pas voulu tricher, j'ai pas fait exprès... »

Sans attendre une quelconque réponse, Violet tourna les talons, collecta son sac et s'en fut aussi vite que possible vers sa tour d'Astronomie chérie. Là au moins, on ne la regarderait pas de travers.
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Ven 2 Aoû - 2:40
L’amour, je ne savais pas ce que c’était. Je trouvais cela niais, idiot, inutile. Lorsque je voyais des couples, cela m’indifférait. Je n’étais ni jalouse, ni envieuse. En réalité, je n’y avais jamais vraiment pensé, à l’amour. Pour tout dire, la dulcinée était une plante assez étrange pour moi, assez… Distante. Son nom était très poétique, tout-à-fait approprié pour une plante telle que celle-ci, je devais bien l’avouer. Mais à part ça, elle ne m’inspirait pas grand-chose. Alors faire une déclaration d’amour ! Quelle idée. Le but du jeu était donc de déclarer sa flamme à une sorte d’artichaut. Pour moi qui ne connaissais absolument rien au romantisme, ça posait un peu problème. Mais soit ! Je m’inspirerai de quelques auteurs moldus, ça devrait passer.

Un parchemin dans une main, une plume dans l’autre, je m’assis devant la dulcinée que je devais « séduire » et écrivis ceci :

L'ourson poète a écrit:
O fille de la Terre, reine de mes pensées,
Que je rêve de nos esprits entrelacés !
Faisons mourir nos corps pour qu’enfin se délivrent
Nos âmes éperdues qu’  « ils » ne pourront poursuivre.

« Ils » sont ceux qui s’opposent. Qui voudrait d’un hymen
Entre Mère Nature et Simple Fille Humaine ?
« Vous n’êtes pas correcte ! », c’est tout ce qu’ils me disent
Sans comprendre ce qui me rend telle une brise.

Ma chère et tendre fleur, je vous aime, c’est un fait.
De ce beau sentiment, je n’ai aucun regret.
Je n’espère point que vous m’aimiez en retour

Mais sachez qu’à défaut d’obtenir votre amour
Au moins une chose ferait tout mon bonheur :
M’accorderiez-vous pour une fois votre cœur ?

Sitôt écrit, je le lus à voix basse à la dulcinée, espérant qu’elle allait s’ouvrir et que j’allais aussi avoir une note correcte, tant qu’à faire. Celle-ci voulut bien s’ouvrir. Souriant, je m’inclinai et soufflai un « je vous remercie », mis quelques graines dans une fiole et les apportai au professeur ainsi que mon parchemin, sans un mot ni un regard pour les autres.

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Lun 5 Aoû - 15:48
La Botanique
PV des élèves

Cours de botanique. Je vais être franche, ce n'est pas le cours que je préfère. Certes j'aime les plantes, leur douceur, j'aime apprendre à les utiliser, connaître les secrets qu'elles renferment...Mais je ne suis pas douée avec elles. N'étant naturellement pas une fille délicate, comment je dois faire pour m'y prendre? Surtout avec la plante que nous étudions aujourd'hui. La Dulcinée...
Je ne sais même pas ce qu'est l'amour. Pour moi c'est un sentiment inconnu, vague, qui cause bien des soucis. Je n'en sais rien de plus. Je ne suis jamais tombée amoureuse, je n'ai jamais écrit de lettres d'amour, ni de poèmes, autant dire que je ne sais pas comment m'y prendre avec cette fleur qui en demande.
Je décidais d'aller chercher l'inspiration tout au fond de moi, comme lorsque j'écris. Je laissais les mots franchir mes lèvres, sans réfléchir auparavant. Laissais mon coeur s'ouvrir à la ravissante plante et s'exprimer.

Ô douce fleur, pour vanter tes louanges
Je compose cette ode mal exprimée.
L'inspiration ne vient qu'aux anges
Et aux gens bien aimés.

J'ai beau chercher en vain
Les mots qui te décriraient
Aucun ne te convient
A ta hauteur jamais ils ne seraient.

De la grâce Dame Nature t'a dotée
Toi, merveille des joyaux.
Elle t'a confié la beauté
Un des rares bijoux royaux.

Par ta délicatesse tu nous émeut
Par ton éclat nous éblouit.
Tous les nuages brumeux
N'appartiennent plus qu'à la nuit.

Tu renfermes des trésors
Pourrais tu t'ouvrir pour moi?
Fleur aussi précieuse que de l'or
Ce privilège, offre le moi.



Bon c'était pas super joli, mais c'était le mieux que je puisse faire. je suis une romancière pas une poétesse. Mais cela dut ravir la jeune fleur, car elle s'ouvrit. Je lui murmurais quelques remerciements et recueillis les précieuses graines. Puis j'allais au bureau déposer mon devoir. Mission accomplie!

codage par Junnie sur apple-spring
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Lun 5 Aoû - 22:31
Le cours de botanique n'était ni le pire ni le meilleur. En fait, elle n'aimait pas vraiment les plantes, Jackson, mais le professeur Carthaigh était suffisamment gentil pour ne pas transformer ce cours en un fardeau. Il était sûrement la seule raison qui faisait qu'elle ne détestait pas cette matière. Elle l'observa avant de reporter son regard sur les plantes du reste de la salle. Peut-être que si elle avait été plus attentive, elle aurait compris ce qu'il fallait faire avant de le faire et aurait pu simuler des nausées, une migraine, n'importe quoi, mais fuir très loin. Ce sont les rires qui la ramenèrent à elle. Jackson pâlit, à l'inverse de son professeur. Jackson ne savait pas vraiment parler aux gens – encore moins aux fleurs – et encore moins pour les courtiser.  Elle s'avança avec dégoût et frayeur vers sa dulcinée. Saloperie de plante. Elle lui sourit et lui caressa les pétales. Avant d'écrire sa déclaration, encore fallait-il qu'elle marche.

« Sésame ouvre toi! »

Jackson enchaîna avec un ton différent, mais même avec une voix sensuelle, rien ne se produisit. Même pas un frémissement.

« S'il te plaît j'ai besoin de toi, jolie fleur. »

Il semblerait qu'une légère vibration secoua les pétales, mais rien de plus. Même en répétant les mots jolie fleur plusieurs fois, murmuré, hurlé, de manière lente ou rapide, aucune progression. Jackson sentait le Troll venir en courant, peut-être devrait-elle courir elle même. Mais ce petit bout de femme s’entêta ; elle s'entêta tellement qu'elle finit par prononcer n'importe quoi.

« Bon écoute petite Dulcinée, écoute moi maintenant. T'es pas la reine ici alors tu vas ouvrir tes putains de de de pétales là et me filer tes graines ! M'oblige pas à employer la manière forte sinon ça va mal finir pour toi et pour moi. Personne ne veut ça tu sais alors vas-y fait pas ta pu »

Elle observa en face d'elle un première année qui avait réussi à récupérer ses graines. Il l'observait de manière interdite sans bouger, l'air un peu apeuré. Elle lui dégaina sa langue avant de soupirer et de marmonner en observant sa plante.


    Anna C. Jackson,
    4eme année
    Serdaigle.

    Ô belle fleur aux pétales douces,
    Tu as illuminée ma journée
    Et mon cœur saigne comme un pamplemousse
    A l'idée que je vais devoir te quitter.

    La vie est tellement cruelle avec nous qui sommes ici
    Et je me rappellerais toujours
    De ton odeur aussi volage qu'un voleur dans la nuit.
    Je passerais mon temps à te faire la court ;

    Et ton visage hantera mon âme
    Jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ni fière ni triste, elle alla voir le professeur Carthaigh et lui tendit son devoir. Avec deux trois rimes et quelque caresse poétique (elle avait été incapable en revanche de réaliser un vrai poème), contrairement à ce qu'on aurait pu croire, la Dulcinée avait vraiment ouvert ses pétales. Néanmoins, elle ne laissa tomber qu'une seule graine avant de se refermer, sûrement un peu trop blessée dans son pistil.
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Mar 6 Aoû - 17:01
Une déclaration d'amour.

Une déclaration d'amour.

De tous les sujets possibles, pourquoi celui-là ? Grace sentait déjà le malaise monter en elle, la gêne et l'embarras, alors qu'elle ne faisait qu'observer la dulcinée. Elle avait vu des dizaines de films parlant d'amour, elle avait soupiré devant les contes de fée et rêvé d'être une princesse mais... Une déclaration d'amour, vraiment ? Elle ne s'était jamais déclarée à qui que ce soit, elle n'avait aucune expérience... Elle allait forcément échouer, ramasser un P - pas un T, monsieur Carthaigh était trop gentil pour ça - et elle n'aurait jamais de BUSE en botanique l'an prochain ! Mais qu'allait-elle devenir sans diplômes ?

Non, Grace, reprends toi. Il suffisait d'imiter tout ce qu'elle avait pu observer autour d'elle en termes de romance. Rien de bien compliqué. Souriant béatement, elle regarda la dulcinée avec le plus de gentillesse possible.

"Demoiselle, vous êtes sans le moindre doute la plus belle fleur de la pièce. Les autres semblent si insignifiantes en votre présence."

Il y eût un frémissement, comme si la fleur s'apprêtait à s'ouvrir - mais non, bien sûr que non. Elle restait hermétiquement fermée. Il fallait qu'elle fasse mieux.

"Je serais si heureuse de voir vos pétales," soupira t-elle en battant exagérément des cils, avant de se souvenir que la fleur ne pouvait pas la voir. Elle devait imiter les paroles des amoureux, pas leur gestuelle. "Jamais je ne pourrais oublier votre beauté," confia t-elle, la voix un peu tremblante. Elle était embarrassée, mais surtout elle désespérait de voir la fleur s'ouvrir. Lorsqu'à nouveau la fleur frémit, elle la pressa d'une voix trop aigüe: "Allez, un effort ! Pitié, je ne veux pas échouer !"

Comme une amante vexée, la fleur cessa immédiatement de bouger. Grace maudit sa nervosité, prit une inspiration profonde et reprit de son ton le plus doux:

"Je vous prie de pardonner mon impatience, je voulais juste vous voir ! C'est bien la première fois que je suis autant sous le charme, je ne sais pas comment me comporter. Votre délicatesse, et le doux parfum de vos pétales... Que peut-on dire à la perfection ?" Alors que la plante paraissait à deux doigts de s'ouvrir, Grace asséna le coup final: "Rien, si ce n'est que votre vue seule suffit à me combler de joie."

Tout ceci sonne faux et creux, mais la fleur est trop vaniteuse pour s'en soucier. Lentement, elle s'ouvre et dévoile ses pétales. Quand elle ne fait pas la difficile, c'est qu'elle est réellement belle, cette fleur. Attrapant quelques graines à toute vitesse, Grace s'empresse de les déposer sur le bureau et de quitter la salle.
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Jeu 8 Aoû - 0:20
Une déclaration d'amour ? Genre comme le vrai Amour ? Mais Zaza n'arriverait jamais à faire ça! Déjà qu'elle avait du mal à dire aux personnes qu'elle aimait qu'elles les aimaient, dire ça à une fleur! Elle jeta un œil vers ses camarades et stressa encore plus en les voyant tous réussir à récupérer leurs graines. La petite brune soupira. Peut-être pourrait-elle subtiliser quelques graines aux dulcinées ouvertes pas Violet, ou en demander encore plus subtilement quelques unes à Fillian. Bon, c'était pas bien de tricher mais. Zabeth se plaça devant sa dulcinée, se demandant comment elle allait bien pouvoir s'y prendre. Elle s'assit devant sa fleur, sans grand espoir de réussir et soupira encore une fois. Qu'est-ce que Fillian lui avait dit au juste, la dernière fois ? Non, elle ne voulait pas vraiment s'en rappeler, à peine y repensait-elle qu'elle était toute rouge. Elle regarda la (presque) jolie fleur qui se tenait droite devant elle, pas bien décidée à bouger. Soudain, elle eut une idée! Bon c'était presque de la triche, mais si elle n'arrivait pas à parler d'amour avec ses mots, autant le faire avec ceux des autres. Comment s'appelait-il déjà... elle avait du lire une bonne partie de ses oeuvres parce que son papa lui avait demandé. Quelque chose comme... Shayspere ? Shakepare.. Shakespeare... CETAIT CA. Une chance qu'elle se souvenait de quelques citations. Elle s'éclaircit la voix et, touchant la fleur du bout des doigts, elle lui dit doucement, empruntant un vieil anglais adapté à la situation, orné de son fort accent britannique.

« L'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'âme. Vous devrez sûrement pouvoir voir tout l'amour que je vous porte. »

Zabeth sourit en sentant les pétales frémir sous ses doigts. Est-ce qu'elle arrivait à faire quelque chose ? Elle se mit à réfléchir comme son père, comment est-ce qu'il le dirait lui...

« Aussi, le sort auroit du vous épargner de ne pouvoir admirer... v-votre beauté de vos propre yeux. »

La fleur se faisait farouche et craintive sous la main de Zabeth, elle n'eut pas à réfléchir longtemps avant de réciter, un peu mieux qu'un poème mais avec un ton assez craintif :

« Doutez que les étoiles ne soient de flamme. Doutez que le soleil n'accomplisse son tour. Doutez que la vérité soit menteuse infâme... Mais ne doutez jamais de mon amour. »

Zabeth faillit abandonner quand elle ne vit pas sa fleur s'ouvrir comme les autres. Se penchant tout doucement, pour ne pas l'effrayer, elle embrassa le sommet de sa douce. Son visage s'illumina quand elle vit les pétales s'écarter et s'ouvrir tour à tour, dévoilant les précieuses graines en son centre. Bon, peut-être qu'elle n'avait pas dit avec ses mots, mais sa prestation était admirable après tout, elle avait parlé distinctement et s'était bien souvenue, ça méritait au moins un A parce que c'était une assez bonne récitation. Ne disant plus rien, elle admirait ses graines avec grande satisfaction. Elle murmura, alors qu'elle récoltait ses graines :

« Mon silence est l'interprète le plus éloquent de ma joie... de pouvoir admirer la nacre qui orne votre cœur. »

Espérant que personne ne l'ait entendue (surtout des gens qui auraient pu reconnaître des phrases de Shakespeare), elle trottina jusqu'au bureau de son professeur pour y déposer délicatement son trésor.
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Caesius Carthaigh
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Jeu 8 Aoû - 15:54
La dulcinée ▬ notes


MEILLEURE COPIE ϟ
Winnie Griffith • O (Optimal)
Excellent effort pour ouvrir la dulcinée, et très jolie composition.


OPTIMAL ϟ
Fillian Mills • O (Optimal)
Très belle manière de séduire une dulcinée, elle en est ravie.
Violet Jenkins • O (Optimal)
Il était certain que les plantes ne vous résisteraient pas.


EFFORT EXCEPTIONNEL ϟ
Stephen Oakstone • E (Effort Exceptionnel)
Malgré votre handicap, vous auriez pû tenter de les flatter par le toucher, mais j'apprécie l'effort.
Amber Chainlos • E (Effort Exceptionnel)
Exercice très bien réussi.
Nolwen Boston • E (Effort Exceptionnel)
Très bonne pratique, la dulcinée m'a semblé ravie.
Grace Lawford • E (Effort Exceptionnel)
Très bon exercice, la plante semble ravie.
Zabeth Hiddles • E (Effort Exceptionnel)
Très bonne utilisation d'un poète moldu, mais j'aurai préféré une démarche plus personnelle.

ACCEPTABLE ϟ
Spring McFarlane • A (Acceptable)
J'apprécie l'effort, mais il me semble que la dulcinée n'a pas apprécié les insultes.
Anna Jackson • A (Acceptable)
La dulcinée semble avoir été vexée, il aurait fallut avoir un peu plus de douceur. Très jolies métaphores au passage, surtout celle sur le pamplemousse.



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