Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
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L'Érudit ~

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S.A.U.M.O.N
& professeur



L'Érudit
L'Érudit
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Mar 9 Juil - 16:59

L'ÉRUDIT

There once was a boy named Harry

Prénoms ϟ Le tableau ne s'en rappelle plus... Si seulement quelqu'un pouvait l'aider à chercher... EDIT / Découvert en RP, son nom est Alistair Blackwell.
Âge ϟ 356 ans. Et des poussières.
Nationalité ϟ Anglaise, il a un accent d'Oxford très prononcé.
Origine ϟ Sang pur à la base. Maintenant c'est plutôt peinture à l'huile.
Poste occupé ϟ Professeur d'Histoire de la Magie.
Ancienne maison ϟ Serdaigle.

Destined to be a star


Baguette Magique ϟ Il y en a une dans le tableau, mais elle n'a pas d'effet à l'extérieur, évidemment. Elle est en bois d'épicéa, et contient un cheveu de sphinx.
Patronus ϟ C'était un hibou, qui ne peut pas non plus sortir du tableau. Ce n'est pourtant pas gênant pour communiquer, puisque l'Érudit lui-même peut se déplacer de tableau en tableau dans l'école.
Odeur de l'Amortentia ϟ En son temps, c'était un mélange de parchemin poussiéreux, de cuivre chauffé et de framboises...
Forme de l'épouvantard ϟ C'est un peu étrange mais... Du vide. L'épouvantard prend une sorte de forme de trou noir, et provoque chez lui une sensation de vide absolu.
Reflet du miroir du Riséd ϟ Un tableau couvert d'écritures brouillées où il est convaincu que se trouve la formule de l'Amour.
Peut voir les Sombrals ϟ Oui. Le tableau a vu la mort de son sujet.
Friandise favorite ϟ Les framboises.
Sortilège favori ϟ Il avait un certain penchant pour la légilimencie de son vivant, la connaissance extraite directement de la tête des autres, quel bonheur ! Maintenant, on va dire... Le sortilège d'attraction, pour attraper les livres de sa bibliothèque.
Potion favorite ϟ Pareil, le Véritaserum, c'était tellement bien... Mais ça l'est toujours, en fait !... Quand il trouve quelqu'un pour le verser à sa place, du moins.
Créature favorite ϟ Les licornes. Il est d'ailleurs déçu de n'avoir jamais réussi à en voir une de près.
Plante favorite ϟ Les plantes ne sont pas trop son dada, mais il a toujours apprécié les prunes dirigeables.
Sorcier célèbre en modèle ϟ Le grand Whiky Paedia, un sorcier du début du Moyen-Âge connu de quelques uns seulement mais réputé pour avoir possédé toutes les connaissances du monde. Evidemment, à son époque, c'était plus simple, mais tout de même.

La renommée est une amie bien peu fidèle.

L'Érudit a toujours été curieux. A l'excès, c'est son plus gros défaut et sa plus grosse qualité en même temps. Son plus grand bonheur a toujours été de récolter de la connaissance, d'abord par les livres et les enseignements, puis... Il a peut-être appris la légilimencie juste pour mettre son nez dans les pensées des autres, mais c'est un secret. Et puis il ne peut plus le faire, donc tout le monde s'en fiche. Il a ainsi au fil des années acquis énormément de savoir, mais il reste un grand rêveur qui a au final vécu peu d'expériences à force de se complaire dans la théorie.

C'est quelqu'un qui possède une mémoire et une logique à presque toute épreuve, aussi bien mathématicien que littéraire, c'est un génie, ce qui amène bien évidemment quelques complications. Il a une capacité émotionnelle relativement limitée, malgré un intérêt marqué pour les gens ; disons qu'il préfère les étudier. Il aura de l'estime pour telle ou telle intelligence plutôt que de l'amitié pour tel ou tel caractère. Il est aussi magnifiquement farfelu, n'hésitant pas à bombarder ses interlocuteurs de questions plus ou moins à propos, plus ou moins gênantes lorsqu'il décèle un point intéressant de leur discours ; heureusement pour ses élèves, en cours, c'est lui qui parle.

Il aime d'ailleurs étaler son savoir, non pas par orgueil dont il est relativement dépourvu, mais par amour du partage de la connaissance. Malheureusement, cela est parfois mal interprété, notamment lorsqu'il corrige les gens... Certains le prennent mal et y voient de la suffisance.

Enfin, il est souvent nostalgique, lorsqu'il songe à sa perpétuelle quête... 356 ans après, ne pas avoir trouvé de solution pique son sens du défi, mais quand il est seul et qu'il y pense... On peut parfois le trouver le regard perdu dans le vide, à contempler les possibilités.

Oh et, vous aurez peut-être deviné... Malgré sa glorieuse intelligence, l'Érudit est souvent, très souvent, complètement à côté de la plaque. Pas très attentif aux sentiments, il est tellement pointu dans tous les domaines qu'il essaye de disséquer celui-là aussi. Et ça ne fonctionne toujours pas, à son grand dam. Il s'applique, pourtant...

Espèce de grosse brute repoussante

Parlez nous des relations :
Avec les membres du personnel ϟ Assez bonnes globalement. Ses collègues l'estiment pour ses connaissances, et certains viennent parfois lui demander conseil. Bien sûr, l'Érudit se garde bien de s'en vanter, car il ne voudrait pas qu'un orgueil mal placé tarisse le flot des questions intéressantes qui lui parviennent par ce biais. Il est un peu décalé par rapport à eux, mais il s'efforce de s'intégrer du mieux qu'il peut... Quand il n'oublie pas, quoi.
Avec les créatures du château ϟ Assez neutre ; il a appris avec le temps à ne pas se soucier du désordre que les plus perturbateurs aiment à mettre dans sa classe, de toutes façons il ne peut rien faire. Il aime cependant discuter avec tous, pour avoir des points de vue différents, apprendre des choses, tout ça.
Avec les Serdaigles ϟ Excellentes en général, surtout avec ceux qui sont curieux.
Avec les Poufsouffles ϟ Bonnes, sans plus. Les paresseux et les insouciants, il a du mal, tout de même.
Avec les Gryffondors ϟ Exécrables. Les joyeux chahuteurs ont beaucoup de mal à le prendre au sérieux, et une classe de Gryffondors est son pire cauchemar.
Avec les Serpentards ϟ Les choses se passent bien avec certains... Et très mal avec d'autres. Tout dépend du degré d'application qu'ils mettent à le tourner en bourrique.

Par le caleçon de Merlin !

Si vous lui demandez, l'Érudit dira qu'il ne se rappelle pas de son modèle, juste de ses connaissances. C'est bien sûr faux, mais il en a un peu honte, voyez-vous. Mais écoutez donc son histoire...

Il était autrefois, en des temps reculés que les moins de trois cent ans ne peuvent pas connaître, un petit garçon auquel on apprit à lire. Oh, ç'aurait été n'importe qui d'autre, le bienfait de cette nouveauté n'aurait pas été contestable. Mais ce petit blondinet-là... L'idée pourtant bonne au départ se transforma vite en fardeau, pour la simple raison qu'il devint vite impossible de lui sortir le nez des gros ouvrages poussiéreux de la bibliothèque familiale. C'était une famille de sang purs assez nantis, qui possédaient un trésor de papier comme jamais vu ailleurs ; plusieurs étages de rayonnages dans une salle immense, quel bonheur ! Il lui fallut bien trois années pour en faire le tour, ce qui est peu me direz-vous, mais c'est qu'il lisait vite. Plusieurs ouvrages par jour, et pas des moindres : traités de potions, d'alchimie, de quidditch même ! Il faut dire qu'avec une jambe malformée et un visage assez disgracieux, le petit ne pouvait pas s'occuper à grand chose de plus utile que développer son esprit, la force physique et la beauté lui faisant toutes deux défaut.

Peu à peu, l'enfant grandit, jusqu'au jour de devoir rejoindre l'école de Poudlard. Ce fut là une révélation. Tant de savoir, tant de choses à comprendre qui ne se trouvaient pas dans les livres ! Très vite, il excella dans tous les domaines, car il avait de très bonnes bases par ses lectures. Seul l'art de voler sur un balai et le soin de quelques créatures magiques lui échappaient, mais il ne s'en préoccupait pas tellement. Il y avait déjà tellement de connaissances à trouver en ces lieux, il finirait bien par se pencher sur ces deux sujets plus tard. Le garçon se concentrait tant et si bien qu'il n'avait pas beaucoup d'amis ; son apparence n'aidait pas, et sa grosse tête faisait fuir les camarades, de quelque bonne volonté qu'ils soient.

Vint alors une rencontre qui changea tout, ou presque. Éduquée par correspondance jusqu'à ses treize ans, Valériane rejoignit la maison Serdaigle lors de la troisième année de l'Érudit à Poudlard. Il ne se rappelle pas de son nom de famille, il ne se rappelle pas de son visage... Personne ne peut cependant le blâmer de ne pas se rappeler de sa voix, car la demoiselle était muette, un faux pas de la nature qui fit pourtant tout l'intérêt de leur rencontre... Et tout le malheur de la belle. Un silence apaisant, un silence attentif le suivit bientôt partout, avide de l'entendre raconter les mille histoires et anecdotes dont son cerveau si bien rempli et si actif semblait déborder. L'enthousiasme du garçon était presque palpable d'avoir, enfin, trouvé quelqu'un à qui expliquer tout ce qui pouvait bien passer entre ses neurones... Mais jamais il ne songea à elle comme l'amie qu'elle était ou comme l'amante qu'elle aurait pu devenir, trop absorbé par le vaste monde pour voir la chance sous ses yeux. De toutes façons, qui aurait bien pu s'intéresser à lui, n'est-ce pas ? Il y avait tout un tas de sujet si passionnants, pourquoi se préoccuper de lui ?

Valériane ne voyait pas les choses comme cela. C'est qu'elle l'aimait, la malheureuse, c'est qu'au bout de plusieurs années, même après leur sortie de Poudlard, elle n'avait pas encore réussi à lui faire comprendre... Alors, elle choisit son moyen d'expression favori, celui dans lequel elle excellait, et peignit un immense tableau, représentant un lumineux jeune homme, de la beauté éblouissante dont son coeur amoureux habillait l'Érudit. Peut-être que s'il se voyait par ses yeux... Peut-être que s'il constatait sa dévotion...

Devant la somptueuse toile, le garçon ne sut que dire. Si ce n'est critiquer, avec ses connaissances pointues en histoire de l'art : ce n'était pas ressemblant, pas réaliste, un visage ne doit pas être si parfait ! Et puis la toile était figée, une honte pour une sorcière ! Son examen minutieux fit perler les larmes de sa camarade. Elle ne savait plus que faire...

~

L’Érudit ne sait plus très bien quels métiers il a exercés, mais ils furent nombreux. Explorateur, potionniste, alchimiste, botaniste, bibliothécaire, mécanicien, historien, potier, médicomage... Presque tout y est passé. Pendant tout ce temps, Valériane le suivait dans ses diverses aventures pour l'aider à tenir debout, sans pouvoir prononcer les mots qui brûlaient ses lèvres muettes. Elle avait bien essayé de l'écrire, mais aucun essai de lettre ne trouvait grâce à ses yeux, persuadée qu'elle était de recevoir une analyse détaillée de sa prose.

Arriva le jour où l'homme eut l'impression d'avoir faire le tour des questions qu'il se posait. Il devait alors avoir une trentaine d'années, et se morfondait dans son fauteuil depuis des jours, lorsque sa compagne de toujours trouva le courage de lui glisser, le coeur battant, une note griffonnée à la hâte : « As-tu cherché l'amour ? »

La réaction fut décevante, bien que la dame aurait dû s'y attendre : plein d'un enthousiasme renouvelé, l'objet de son affection sauta sur ses pieds pour s'enfermer dans son laboratoire. Il lui fallait trouver la clef de l'amour, son fonctionnement, ses raisons, tout !

Quarante ans plus tard, il y était toujours.

Valériane avait finit par déserter, se résolvant à ne jamais voir ses sentiments réciproques. Malgré son petit coeur en morceaux, elle s'était mariée, avait eu de beaux enfants... Mais jamais elle n'avait oublié celui qui n'avait pas su répondre à ses inclinations. A tout hasard, avant de partir, elle avait déposé son tableau dans le laboratoire. Peut-être qu'il finirait par comprendre, qui sait ?

Un jour qu'il testait une formule alchimique de solidification d'amour, inventée par ses soins, l'Érudit, âgé et plus fragile, fut malheureusement victime d'une explosion, qui l'envoya valdinguer dans son laboratoire. Il atterrit sur le pauvre tableau, le corps meurtri, et succomba au choc ; à mesure que son souffle quittait son corps, son âme entrait dans la toile. Les yeux de l'homme peint s'ouvrirent sur le dernier souffle de son enveloppe physique.

~

A force d'entraînement, le tableau parvint à quitter son cadre, pour se promener dans d'autres, avertissant au passage ses voisins stupéfaits de son décès. Il avait gagné dans l'histoire l'apparence époustouflante que lui avait donné Valériane, plus vraiment ressemblante du vieux croûton étendu sur le sol de son antre.

Il avait précisé dans son testament que ses possessions devraient aller à Poudlard, pour que d'autres poursuivent ses recherches, ou profitent de ses avancées. Jamais il n'aurait imaginé que son âme emprisonnée dans une image suivrait le mouvement.

On l'accrocha d'abord dans les laboratoires de potion, où il énerva considérablement le maître des lieux de l'époque en le corrigeant sans cesse. Il déménagea ensuite dans la bibliothèque, où il troublait perpétuellement le silence. Pas plus de succès dans la salle commune de Serdaigle, où il espionnait les élèves pour ses études sociologiques, révélant sans tact les activités des uns aux autres, et créant ainsi un chaos infernal dans les petites histoires de coeur des adolescents.

Cela dura un moment, il fit presque toutes les salles de l'école. Jusqu'à finir dans la salle sur demande, là où on met les choses que l'on veut oublier. Il se plongea dans l'immense bibliothèque dont son artiste avait eu la bonne idée de pourvoir sa toile pendant quelques années, il a perdu le compte... Jusqu'à ce que le directeur Bumblebee l'aperçoive dans un tableau de son bureau, alors que l'Érudit l'espio... euh, s'enquérait des affaires de Poudlard. Les deux ne se lièrent pas d'amitié, car l'Érudit ne savait pas vraiment comment faire, mais l'intérêt était réciproque. Après de longues discussions enflammées sur des sujets aussi divers que variés, le tableau se vit proposer un poste de professeur.

Quelle joie ! Quel bonheur d'enfin partager tout ce qu'il avait dans la tête et que personne ne voulait entendre ! Ils seraient obligés de le subir... euh, de l'écouter, d'apprendre, de tous devenir des érudits !

Il déchanta vite. Tenir une classe quand on a pas de corps n'est pas la discipline la plus aisée au monde. Et quel ne fut pas sa peine de voir son fidèle assistant finir ses études... Il avait été à deux doigts de lui faire rater les épreuves d'histoire de la magie juste pour le garder. A présent, l'Érudit est souvent seul face à un parterre d'ignares révoltés, et ne sait pas trop comment les gérer sans présence humaine à ses côtés. Mais bon... Au milieu d'eux il y a parfois une vive intelligence qui sait lui tirer un sourire, qui lui rappelle la beauté du métier taillé sur mesure pour lui. Enseignant... Quel dommage qu'il n'y ait pas pensé de son vivant !

Mais, je suis l'élu.

Pseudo ϟ Kathy.
Et l'âge ϟ 21 à ce jour
Male, Femelle, où Dumbledore ϟ Femelle.
Comment tu as connu WW ϟ Via je ne sais plus quel topsite
Est-ce que tu aimes WW ϟ J'ai complètement flashé *__*
Est-ce que tu aimes beaucoup WW ϟ Evidemment.
Des réclamations ? ϟ Euh... Non ?
Personnage sur l'avatar ϟ Howl ♥

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S.A.U.M.O.N
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Mar 9 Juil - 19:16
Fiche a priori terminée ♥

J'ai un peu bidouillé l'histoire du tableau à ma sauce, si ça ne convient pas je changerai n__n"
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Le Choixpeau Magique
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L'Érudit ~  Vide

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Mer 10 Juil - 0:05
Bienvenue sur WW Érudit !



Cher Érudit, tu es désormais validé ! Tu peux aller gambader tout nu (ou non) dans les couloirs de Poudlard. Pense à passer dans la Gestion du Sorcier et d'ouvrir ton Passeport Wiggenweld. Au moindre besoin, le staff est à ton service - n'hésite pas à faire appel à nous ♥.

BIENVENUE A POUDLARD !




Oui voilà, validation express, mais j'aime beaucoup ton érudit. J'ai aimé comme tu te l'es approprié en sachant que c'est mon chouchou d'amour (comme beaucoup de prédéfinis/meurt). Cependant, j'aimerai te préciser que, sur sa représentation de tableau, il a environ 25ans, c'est pas un jeunot jeunot quand même. Voilà, beaucoup d'amour ♥.
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S.A.U.M.O.N
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L'Érudit ~  Vide

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Mer 10 Juil - 8:13
Merci beaucoup ♥

J'ai corrigé mon histoire pour déplacer la peinture du tableau dans la chronologie, pour que ce soit plus en accord avec la représentation ^^
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