Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
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J'ai vu ta petite culotte en dentelles ! Il y a même un petit noeud papillon sur le devant ! [Upsilon]

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Jeu 12 Juin - 20:06



FEAT. UPSILON
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J'ai vu ta petite culotte en dentelles ! Il y a même un petit noeud papillon sur le devant !
Face au miroir de ta salle de bain tu t'apprêtais à réaliser l'étape la plus difficile de ta toilette, le maquillage bien évidemment. Tu commenças en premier lieu par appliquer ta BB crème favorite sur l'ensemble de ton visage afin de le rendre plus lumineux et doux. À l'aide d'un pinceau fin trempé préalablement dans du rouge à lèvre rose clair également en crème, tu recouvras les parties désirées de tes lèvres. Quelques petits et brefs mouvements circulaires avec ton pinceau bush sur tes joues pour les teinter légèrement de rose, te donnant alors l'aspect d'une poupée. Tu sortis ensuite d'un de tes tiroirs, une petite boîte contenant des lentilles spéciales. Des circle lenses ayant pour but d'agrandir tes iris que tu trouvais de taille trop moyenne. Te voilà maintenant avec les yeux verts clairs alors que ceux-ci sont ambrés au naturel. Tu pris pour continuer le reste de ton maquillage ton eye liner à la fois noir cendré et pailleté et fis un trait sur tes paupières supérieures en terminant par une petite virgule au coin de l'oeil, leur donnat l'aspect de prunelles de chat. Pour finir, tu recouvris le reste de tes paupières d'un peu de fard à paupières vert anis pour aller avec la couleur de ta chevelure et mis du mascara. Tu es enfin prête pour aller en cours. Too much ? Non pas du tout, c'est ton maquillage au quotidien. Celui de soirée est bien plus extravagant que cela.
Tu jetas un oeil futif à ta montre histoire de voir si tu étais toujours dans les temps. À peine eus-tu jeté un coup d'oeil que tu te mis à passer quelques coups de mains dans tes cheveux afin de leur donner un effet de mouvement comme-ci tu étais dans une sorte de bulle, concentrée sur ton apparence. Mais tu repris brusquement tes esprits et rejeta une dernière fois un oeil sur ta montre.

- AISHHHHH !

Tout se mit alors à s'accélérer. Tu étais très en retard pour ne pas dire immensément à la bourre. Empoignant ton sac et mettant tes chaussures le plus rapidement possible, tu fis alors claquer la porte dans la précipitation. Te voilà maintenant en train de courir à toute vitesse en direction de salle de cours. Les autres élèves te prendraient pour une folle à te voir s'affoler de la sorte. Et toi qui t'étais pourtant levée tôt aujourd'hui, soit disant pour ne pas arriver en retard et voilà le résultat. BON TIMING !
Bref pas de temps à perdre en leur balançant à la figure. BEN QUOI VOUS VOULEZ MA TRONCHE EN TABLEAU ! AH NAN PAS TOI PAR CONTRE JE SUIS TROP BELLE POUR TOI, JE CROIS QUE TA MÈRE A RATÉ SON COUP POUR TES YEUX !!!!
Tu étais tellement focalisé sur ta destination que tu avais rentré en plein dedans dans deux fantômes déjà. Tant pis pour eux, ils n'avaient pas qu'à être là d'abrd, ils occupent trop de place d'ailleurs ceux-là !

BOOM !!!


Tu t'étais malencontreusement cognée contre quelqu'un apparemment. Il fallait bien que cela arrive tôt ou tard vu la vitesse à laquelle tu détalais et en plus dans le couloir qui glisse. Tu te demandes d'ailleurs comment tu avais bien pu tenir aussi longtemps sans te rétamer.
Dans le feu de l'action, ta jupe s'était soulevée, dévoilant alors à la personne contre laquelle que t'étais cognée ta culotte en dentelles.
Tu te relevas aussi vite que tu étais tombée avec une douleur effroyable au dos ainsi qu'au coccyx.
Et merde ! Pourquoi fallait-il que ce soit un garçon ?! Si cela avait été une fille, tu en resterais complètement indifférente. Ah quelle poisse et quelle honte surtout. Mais question de le montrer plutôt mourir !

- Si tu répètes aux autres ce que tu viens de voir t'es mort ! Et puis qu'est-ce que tu fous en plein milieu du couloir ?! BOUGE !!

Tu étais vraiment de très mauvais poil après cette chute catastrophique ...
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HRP:
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Ven 13 Juin - 20:09



Horreur ! Malheur !

Shéhérazade ▬ Upsilon




Un pas après l'autre, tes semelles foulent les marches du grand escalier avec une lenteur horrifiante.

Tu ne sortais pas de l’entraînement, t'avais pas non plus la tête dans le musard et pour cause ; tu avais plutôt bien dormi. Ton réveil s'était fait sans heurts et tu avais ouverts tes paupières devant une cascade faite de rose et parfumée à ton propre gel douche. Un sourire ensommeillé avait éclairé ton visage avant que tu ne roules paresseusement sur le corps frêle de la Serpentard qui partageait tes nuits. Ouai. Une verte dans un lit de rouge. Et tu disais rien parce que t'aimais ça. Tu avais réveillé Falvie au passage, volontairement. Juste pour l'emmerder.

Nan, la raison qui traînait tes pas était toute simple. Tu voulais pas aller en cours. T'avais juste la flemme. Mais, Charlie t'avait plus d'une fois menacé de t'envoyer en retenu avec Lovecraft. Alors tu te pliais aux ordres de ton préfet-en-chef... Quel emmerdeur celui-là. Même pour un meilleur ami, il restait vachement à cheval sur les règles et les sanctions. Alors voilà. Quitte à choisir, tu préférais nettement passer une heure en cours, comme tout le monde, plutôt que de te taper deux heures à bosser alors que les autres profiteraient de leur temps libre. Ouai, c'était pas juste. La vie est cruelle, Ash, ne l'oublies jamais.

Tes doigts filent le long de la rampe. Tu réprimes un bâillement, serrant tes livres contre ton torse. Plus qu'un étage et... et tu seras presque arrivé... Oh misère... Rester au lit, sous les couettes, bien au chaud, le nez fourré dans tes draps te semblait cruellement plus tentant. Soupir. T'avais pas trop le choix. Et puis t'en as que pour une heure. Du courage mon vieux ! T'étais pas un Gryffondor pour rien ! Tu poses tes talons en bas de la dernière marche. Jetant un dernier regard vers le haut du château, tu pivotes pour te retrouver quelques enjambées plus tard dans le couloir glissant. Merveilleux. Ta démarches est souple, précise ; tu ne tiens pas à te vautrer lamentablement par terre. Alors tu prends ton temps. C'était pas comme si t'étais pressé d'arriver de toute façon.

Et tu as fais le bon choix, puisque tu arrives quelques mètres plus loin devant la salle de cours. Mais, tu n'entres pas, visiblement en avance. Tu préfère faire une pause dans le couloir histoire de te préparer psychologiquement. Bon allez, avec un peu de chance, ça sera qu'un cours théorique et en plaçant bien tes bouquins, tu pourras rêvasser en paix. Tu t'adosses au mur pour patienter. Et les minutes défilent. Les élèves également. Tu en salut quelques uns d'un hochement de tête mais ne daignes pas bouger d'un centimètres. Tu donnes un peu l'impression d'attendre quelqu'un, sauf que ce n'est pas le cas. Tout ce que tu attends, c'est que le cours débute, que tu entres en retard, que la prof te refuses mais, que Charlie ne te colle pas. Ben ouai. T'avais au moins l'effort de venir jusqu'ici et c'était pas ta faute si on te foutait dehors pour 10 pauvres minutes de retard. Ouai... sauf que... ben, le préfet-en-chef vient tout juste d'arriver. Et tu pourras pas lui faire croire à un retard alors que t'étais là, devant la porte bien avant lui.

Tu lui souris, inclines la tête pour l'inviter à entrer et une fois qu'il te tournes le dos, ton visage se décompose et tu lèves les yeux au ciel, les lèvres tirées vers le bas. Eeeeh merde... Du courage. Allez. A contre cœur – mais, genre VRAIMENT à contre cœur – tu te décolles du mur pour le suivre. Mais, tu ne parviens pas à aligner deux pas. Quelque chose de non identifié vient de te percuter de façon brutale. Projeté en avant, tu laisses tes bouquins dégringoler vers le sol avant de finir le cul par terre. Bé ouai. Le couloir glissant... T'aurais sûrement pu garder ton équilibre dans un autre endroit mais, là... C'était même pas la peine d'y penser. Tu grimaces sous le choc, yeux fermés, bouche ouverte et mâchoire crispée. Lorsque tu relèves tes paupières, tes pupilles se posent sur quelque chose de franchement violent. Alors tu les clos, et fronces exagérément les yeux. Han pas elle...

« Wooow ! »
Panique à bord. Ou presque. « Attends là. T'essaies de m'rendre aveugle ou quoi ? J'savais que t'étais cruelle et complètement folle mais là... » Ben ouai. T'avais la rétine irritée. Brûlée. Agressée même. Merlin... toute cette horreur. Sérieusement, voir ce que tu as vu c'était... c'était un miracle que tu ne sois pas déjà à Saint Mangouste. Pour soigner ta cécité. Ou un début de folie dû au traumatisme que tu venais de subir. T'aimais déjà pas sa tête. Et voilà que maintenant, Shéhérazade – parce que oui, c'était son prénom, une mine d'or niveau vannes – t'offrait la plus horrible des vues. Ses dessous. Ses sous-vêtements. Sa lingerie fine. EN BREF SA CULOTTE. WTF. Quelle dangereuse psychopathe ! Fallait l'enfermer. Oh non mieux ; la virer de Poudlard. Tu la sens se relever alors que sa voix te perce déjà les oreilles. Oh tu maudirais presque Merlin de l'avoir côté de parole. Elle pouvait pas être muette ? Tu te frottes l'arrière du crane en te redressant, répondant avec une pointe d'irritation.

« La mort est plus douce que cette torture. »
Sous-entendu ; bien sûr que tu iras raconter tout ça. A tout le monde. Et que tu demanderas une parution dans le journal de l'école. Et que la prochaine fois, tu accrocheras dans tout le château des clichés mouvant d'elle dans une sale posture. Ses menaces te passent au-dessus et appuient même sur ta volonté d'étaler au grand jour la vie intime de O'Niri. Dis moi de ne pas faire cela, et je ferais exactement le contraire. Et si en plus ça t'emmerde et t'humilie, c'est encore mieux. Tu t'appuies contre le mur pour trouver ton équilibre. Tes jambes parviennent à trouver leur aplomb lorsque sa réplique t'agresse, t’assommant de lui dire pourquoi t'es planté là.

« J'cultive mon potager, ca s'voit pas ?! »

Ouai. Des carottes et des radis. Des patates et des concombres. Ta voix est brusque, agacée. Dommage que n'as pas de tuyau d'arrosage. T'avais une culture de cornichon à arroser. C'était magique. Une culture de cornichon mais, doté qu'un seul et unique gros cornichon. Et il se trouvait face à toi. Et à ses pieds... tes livres. Tu soupires, t'as pas franchement envie de te baisser pour les ramasser. Heureusement, Dieu à créer les sorciers et les baguettes. Alors sers-t'en. « J'bouges si jveux, princesse. Rien ne t'empêche de me contourner. » Tu agites ton bois de cèdre et les livres commencent doucement à l'éviter. Tu redresses tes yeux vers elle, un sourire narquois aux lèvres. « Tu sais, si c'est trop dur à comprendre pour toi, je peux t'expliquer plus lentement. » Ouai, même que dans ta grande bonté, tu serais prêt à lui faire des schémas et des dessins. Et même rater le cours ! Waaaa ! Quelle générosité. Oh non attends. Tu te foutais un peu de sa gueule là ? Ah. Ben si.





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Ven 13 Juin - 21:37



FEAT. UPSILON
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J'ai vu ta petite culotte en dentelles ! Il y a même un petit noeud papillon sur le devant !
Tu te mis dos au jeune homme afin d'exprimer sans aucune retenue ton dégoût, le tout accompagnée d'une horrible grimace. Vu ta tête à ce moment-là, les autres élèves devaient certainement te prendre pour une véritable dégénérée. FUC**** LIFE ! De toutes les personnes côtoyant ce château, il fallait que tu tombes sur Upsilon. Nan mais c'est pas possible là, ce type s'est abonné à "J't'emmerde24h/24et7jours/7.com" ou quoi ? Et toi qui pensais qu'être en retard était la pire chose qui pouvait t'arriver, tu t'étais trompée royalement et sur toute la ligne en plus. Tu te retournes face à Upsilon affichant un grand sourire. Traduction: Espèce de fils de ta mère si tu crois que je vais me laisser abattre par la vue de ta simple tronche !

- Wooow ! Panique à bord. Ou presque. Attends là. T'essaies de m'rendre aveugle ou quoi ? J'savais que t'étais cruelle et complètement folle mais là ...

- Ah, j'ai cogné dans une merde. J't'ai fait mal ? lui avais-tu lancé d'un ton ironique.

Tu espérais d'ailleurs qu'il avait eu bien mal vu ce qu'il venait de te balancer à la figure. Si voir des sous-vêtements était aussi horrible que ça pourquoi était-il encore devant toi au lieu de se décomposer sur place ? Une bonne occasion pour lui de se refaire le portrait. Sa simple vue te donnait la nausée pire qu’un cancer ce type !

- J'cultive mon potager, ca s'voit pas ?!

Lui cultiver un potager ?! Il te semblait pourtant que son intelligence était tellement à un niveau critique qu’il ne savait même plus réaliser les petites actions à la fois banales et quotidiennes comme se brosser les dents par exemple. Tu plaignais ses soit disant légumes. Quelle torture pour eux d’avoir Upsilon pour « s’occuper » d’eux. Ils devraient plutôt se rebeller au lieu de souffrir en silence comme s’il n’y avait plus aucune échappatoire.

- Ah vraiment ? J’croyais que t’étais en train de faire la manche. Et puis, tes légumes sont certainement devenus radioactifs vu que tu les as touchés en les cultivant.

D’autres élèves attendant également dans le couloir que le professeur arrive ne purent s’empêcher de laisser s’échapper un petit ricanement qu’ils étouffèrent par la suite en moins de trois secondes. Normal en même temps vu la tronche que leur tirait Upsilon, de quoi faire fuir les squelettes enterrés dans le cimetière non loin de chez toi.

- J'bouges si j’veux, princesse. Rien ne t'empêche de me contourner.

Tu étouffas également un petit rire.

- Et pourquoi devrais-je te contourner mon chou ? De toute façon, t'es comme un trottoir, tout le monde te marche dessus.

Ton sourire avait laissé place à un rictus narquois. Qu’allait-il encore te rétorquer comme conneries ? Vaut mieux ne pas y penser, cela te rendrait idiote. Tu regardas tes livres jonchant le sol. Et dire que tu avais payé une petite fortune pour te les procurer. Ah vraiment ! Tu les fis léviter puis s’empiler rapidement dans les airs avant de les prendre. Upsilon avait également opté pour cette méthode beaucoup plus pratique et moins fatiguante, il fallait l’avouer.

- Tu sais, si c'est trop dur à comprendre pour toi, je peux t'expliquer plus lentement. .

- Ne te donne pas cette peine. Je n’ai pas besoin qu’un crétin me transmette sa débilité irrécupérable. Un conseil, réserve-là plutôt pour ta descendance.
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Mer 18 Juin - 13:09



Horreur ! Malheur !

Shéhérazade ▬ Upsilon




C'était la pire chose qui pouvait t'arriver. La croiser. La voir. Que son visage s'affiche devant tes yeux. Qu'il te brûle la rétine. Détruit un à un tout tes neurones et plombe ton moral. Mais, tu n'iras pas ramper. Ni à ses pieds, ni pour aller te cacher, te protéger de sa présence. Tu allais faire face, comme tu l'avais toujours fait, digne Gryffon que tu étais. Comme à chaque fois qu'elle entrait dans ton champs de vision, qu'elle perçait ta bulle de tranquillité, tu te sentais agressé et agacé. Jamais vous n'aviez échangé un mot sympas. Pas une phrase doucereuse, empreinte d'une envie d'enterrer la hache de guerre. Jamais. C'était bombe après bombe. Pique après pique. Réplique après réplique. C'était toujours bon de descendre l'autre. De le mettre à genoux. De lui clouer le bec. Et de partir, disparaître à travers un couloir, dans un rire hurlé dans le sarcasme et la fierté.

T'avait-elle fait mal ? Oui. Sa présence n'était rien d'autre qu'une arme de Dieu. Destinée à pourrir ton existence et à anéantir ta bonne humeur. Arme de destruction massive, elle te tapait sur le système avant plus de force qu'un bodybuilder écrasant un œuf. Elle te nuisait. Mais, pas physiquement. Sa force physique n'était rien. Qu'elle te cogne pour voir. Elle sera humiliée devant le peu de dégât qu'elle fera. Ses paroles t'agaces et tu déblatères rapidement la première chose qui te passe par la tête. N'était-ce pas évident que tu allais en cours ? C'était à elle qu'elle devait s'en prendre. Arriver en courant et percuter les honnêtes élèves ne l'autorisait certainement pas à t'agresser de la sorte. Ton regard et ton visage s'assombrissent dès qu'elle ouvre à nouveau la bouche. Avait-on déjà énuméré le fait que sa voix était pire que le crissement d'une craie sur un tableau moldu ? Non ? Eh bien c'était le cas.

« Ben, ça tombe bien. Je prévoyais de t'en faire un potage. »
Tes lèvres s'étirent en un sourire carnassier. Et tu crèveras à mes pieds, te tortillant en rampant sur le sol. Toussotant au début pour après cracher le sang que ton cœur n'arriveras plus à pomper. Elle agit comme toi, récupérant ses livres grâce à la magie. Sans doute ne voulait-elle pas se pencher et laisser à nouveau sa culotte prendre la lumière. Oh que les élèves passant pouvait remercier le Seigneur d'avoir inventer la magie ; ça leur épargnera à eux aussi, cette vue vomitive à laquelle tu avais du faire face. Elle rit. Quelque chose de dégouttant qui te donne la chaire de poule. Sa voix te transperce pendant que tu rassembles tes bouquins. Toi un trottoir ? Tu ne savais pas lequel était le plus pathétique des deux. Le trottoir en question ou celle qui prenait la peine de s'arrêter et lui adresser la parole. Elle avait du temps à perdre. Sa vie était donc si peu palpitant pour qu'elle s'intéresse à un tas de bitume ? Pauvre fille... tu la plaignais sincèrement. Et elle continue sa tirade, déclinant ton aide quant au fait que t'étais tout à fait disposer à répéter tes consignes. Consignes qu'elle balayait d'un revers de la main. Tu hausses un sourcils, la mine contrite, presque triste.

Et un sourire vient manger ton visage tandis que tu éclates de rire, les yeux brillants. « Je suis flatté de voir que je t'inspire autant. Ça me touche profondément. Toi en revanche... » Tu la toises de haute en bas, les traits tirés cette fois-ci en une expression de dégoût. « … non... tu ne m'inspire pas. » Tu hausses les épaules. Elle ne t'inspire rien. A part les adjectifs collant parfaitement à sa peau. « Ravi de savoir que ma descendance te préoccupe. » Tu ne te départi pas de ton dégoût apparent. « La tienne promet d'être nombreuse et variée. » Tu ravales l'insulte de traînée qui flotte dans ton esprit. Il n'y avait qu'à la voir physiquement pour en déduire exactement la même chose. Tu lui tournes le dos, paré à entrer en classe et à la planter là, sans un regard, ni même un sourire narquois. Elle ne méritait même pas ça.





désolée pour le temps de réponse ;;
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Mar 24 Juin - 13:33



FEAT. UPSILON
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Tu finis par te demander s'il n'existait pas quelqu'un qui te haïssait suffisamment pour te maudire. Oui, tu es maudite te semble t-il. Pourquoi pensais-tu cela subitement ? Tout simplement parce que tu te coltinais une véritable malédiction tous les jours: Upsilon. Ce nom pouvait d'ailleurs être largement considéré comme une métaphore renvoyant à l'anathème. Il ne manquait plus que tout ce qu'il l'entoure hormis les personnes devienne subitement putréfaction sur son passage. Cela lui irait à merveille.
Rien que le fait d'observer son visage t'apportait une affreuse migraine. Un véritable porte-malheur celui-là. Ben oui, c'est entièrement à cause de lui que tu t'étais rétamée par terre comme une crêpe. S'il n'avait pas été en plein milieu, rien de tout cela ne serait arrivé. Et bien évidemment, il ne se gêne pas pour rejeter la faute sur toi tant qu'à faire. S'il était rémunéré pour t'emmerder, il serait sans devenu multimilliardaire depuis fort longtemps. Au moins il se serait cassé dans un autre pays et tu n'aurais plus besoin de subir le supplice de sa simple vue. Tout ça était trop beau pour être vrai malheureusement.   

- Ben, ça tombe bien. Je prévoyais de t'en faire un potage.

- Et j'aurais fait honneur à ton potage en le donnant à bouffer à ta mère.

Qu'il soit le meutrier de celle qui l'avait mis au monde représentait une bien belle punition à ton avis. Quoiqu'elle était trop douce pour un tel être. Qu'il aille brûler dans les profondeurs de l'Enfer. Une plaie en moins pour l'humanité et surtout pour ta propre personne. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point c'est difficile de supporter ce personnage plus bas que terre.  Pire, il ne doit à vrai dire même par appartenir à une quelconque hiérarchie tellement il ne vaut rien.

- Je suis flatté de voir que je t'inspire autant. Ça me touche profondément. Toi en revanche non ... Tu ne m'inspires pas. ...

Évidemment qu'il te donnait de l'inspiration. Même un microbe serait capable de déblatérer des siècles sur lui vu sa tronche et ses airs de "Monsieur je me crois supérieur à vous". Il regorgeait de tellement d'imperfections qu'il était impossible de passer à côté à moins d'être aveugle. Et encore, tu te demandais si cela était suffisant.  

- Normal vu que je ne suis pas comme toi et heureusement d'ailleurs. Qui voudrait être une erreur de naissance à l'instar de ta personne.

Comme dirait ton père: L'homme descend du signe, le singe descend de l'arbre et vu la tête d'Upsilon il a dû raté un bon paquet de branches. Toi méchante ? Non juste réaliste. Il n'y a que la vérité qui blesse de toute façon. Mais pourquoi tu ne l'inspires pas ? Parcequ'il n'y a tout simplement rien à dire sur toi. Tu étais bien trop parfaite par rapport à la chose se trouvant juste en face de toi. Chose qui aurait dû mourir dès la naissance comme ça tu aurais eu la paix.  

-  Ravi de savoir que ma descendance te préoccupe. La tienne promet d'être nombreuse et variée.

Tu compris sur le champ son allusion. Il pouvait bien penser ce qu'il voulait. Le principal était surtout que tu savais pertinemment que tu n'étais en aucun cas ce genre de fille. T'étais friquée alors autant ne pas choisir n'importe qui pour avoir une descendance.

- Moi au moins je suis sûre d'en avoir une contrairement à toi. Si ça se trouve, aucune fille ne voudra s'abaisser à ton niveau de mendiant pour coucher avec toi.

Tu lui rendis sereinement son sourire comme-ci de rien n'était. Celui-ci se retourna pour entrer dans la salle. Alors comme ça il veut se barrer genre il se croit tout permis. Tu pouvais remarquer que son pantalon était suffisamment long pour effleurer le sol. Tu le retins alors à l'aide de ta chaussure au niveau du bout droit de celui-ci.

- Où crois-tu aller comme ça ? Je n'en ai pas terminé avec toi.
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Lun 30 Juin - 19:02



Horreur ! Malheur !

Shéhérazade ▬ Upsilon




Ta mère. Sujet délicat pour toi, heen Ash ? Génitrice mais, rien de plus. Femme cupide, attirée uniquement par l'argent. Femme faible, repoussant les limites de son monde pour se justifier ; la magie, elle ne l'aimait pas. Et c'était suffisant pour justifier son abandon. Tu la détestais, calquant tes sentiments sur les autres sexes faibles qui t'enrouaient. Brisant des cœurs, ricanant au nez d'autres alors que leur palpitant t'étais offert sur un plateau d'or. Hargne et haine n'étant que la peinture que tu monopolisais pour peindre leur tableau. Shéhérazade te parle de ta mère ? Soit. Elle ignore peut-être qu'elle vient de tirer sur une corde sensible. Ou qu'elle vient d'appuyer sur la gâchette d'une arme à feu, pointée contre sa propre tempe. Le regard que tu lui lançais était voilé d'une masse sombre, d'une aura grisâtre. Narines frémissantes, elle avait de la chance d'être une fille ; ton poing se serrait écrasé contre sa mâchoire si cela n'avait pas été le cas. On pourrait croire que tu aurais agis ainsi pour défendre ta matriarche mais, non. Tu avais bannis son existence de ta vie, et te la rappeler était une très mauvaise chose. Elle amenait avec elle un dédale de souvenirs plus que douloureux.  

Un rictus s'était dessiné sur tes lèvres, et tu avais simplement incliné la tête. Répondre lui aurait donné un indice quant à tes relations avec ta bien gentille mère. Tu retenais simplement un « Vas-y, fais-toi plaisir. » narquois et trempé de dédain. Et puis, la Serdaigle avait continué d'étaler ses paroles, pourrissant tes oreilles et martelant ton système nerveux. Ses propos te volaient au-dessus.  C'était triste de n'inspirer personne. Et sincèrement, tu ne comprenais pas sa réponse. Tu préfères inspirer, même dans le mauvais sens, plutôt que d'être simplement ignoré. « Les erreurs font faites pour emmerder le monde... » Un sourire de circonstance s’étendait sur tes lèvres. « et ma personne t'emmerde profondément, princesse. Parie gagné, non ? » Mieux valait être ce genre de bug universel sur lequel on s'attarde. Être quelque chose ou quelqu'un que l'on intéresse plutôt qu'un parasite vert chez les bleus.

Traînée. C'était le sous-entendu à peine voilé que tes lèvres laissait échapper sous un regard plein de pitié. Tu la toises de haut en bas, évaluant l'être misérable qu'elle était avant de soulager ta vue en lui tournant le dos. Mais, elle poursuit et sa réplique te tire un claquement de langue agacé. « Redores ton blason si ça te chante. Au fond, on sait tout les deux qu'une créature si parfaite taillée dans ta race peut facilement tenir une certaine cadence. » Tu t'étais arrêté le temps de terminer. « Tu vois, ce qui y a de bien avec des filles de ton genre, c'est que y à pas besoin de mendier. Leur connerie va au-delà de celle d'un troll. » Allez, allez, laisse couler. Le coin de tes yeux se plissent alors que tu reprends ta marche, préférant subir une heure de cours plutôt qu'une minute de plus avec cette bestiole.

Mais, voilà qu'elle t'en empêche. Le pied poser sur le tissu de ton jean, elle arrête ta progression par surprise. Le couloir n'aidant pas, tu vacilles légèrement mais, fini par ancrer des pompes dans le sol. Allons bon. Que voulait-elle encore ? Un autographe ? Le secret de ton sourire éblouissant ? Une étreinte peut-être ? Quelle connerie allait-elle encore inventer pour te retenir. Nan. Sérieusement. Et la fille te prenait pour un trottoir, pour une merde, une erreur. Merlin, elle avait si peu d'amis pour passer le temps ? Elle était obligé de se rabattre sur l'être pitoyable qu'elle voyait en toi. Ooooh. Qu'on te laisse rire ; c'était elle la plus misérable des deux. Tu pivotes, un sourire en coin ornant ta commissure.

- « Écoutes princesse, je sais que mon visage fait frétiller tes hormones mais, tu vois, c'est pas du tout réciproque. »
Rien que cette idée te répugne. Ton visage s'assombrit soudain, tout sourire effacé de tes lèvres, les yeux voilés. « Retires ton pied. » Voix cassante. Tu ignores d'ailleurs comment ton jean a pu se retrouver victime de son asseau. Certainement encore un sort de Charlie pour agrandir tes fringues et t'emmerder au passage. « Je ne frappe pas les filles. » Frapper. Un mot violent quand on sait que tu aurais simplement pu lever ta baguette.« Encore moins les catins, elles sont déjà suffisamment lamentable sans ça. Sauf si tu me donnes l'occasion de faire une exception. » Qu'elle te libère que tu puisses enfin respirer un peut d'air pur. Ou au moins, moins nauséabond.





encore pardon du temps de réponse u_u
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Mar 1 Juil - 15:41



FEAT. UPSILON
GRYFFONDOR

J'ai vu ta petite culotte en dentelles ! Il y a même un petit noeud papillon sur le devant !
Tu étais étrangement toujours aussi calme bien que tu subissais ton pire supplice. Comment arrivais-tu à contrôler tes nerfs ? Upsilon ne t'avait toujours pas lancé de piques suffisamment ravageuses pour provoquer ta colère. Du coup, tu t'amuses à lui renvoyer ses vannes à la figure. Mais tu sentais tout de même que ces paroles se faisaient de plus en plus menaçantes au fur et à mesure que tu lui répondais le plus violemment possible. Ce type aurait franchement dû se retrouver chez les Serpentards. Pourquoi un si sale caractère chez les Gryffondors ? Quoiqu'on pouvait exactement dire la même chose concernant ta personne. Pourquoi Serdaigle ? Sans doute à cause de ton intelligence ainsi que ta ruse mais tu aurai définitivement préféré être à Serpentard. Ton physique témoignait d'ailleurs de ce désir te faisant alors ressembler à un intrus plus qu'autre chose au sein de ta propre maison.

- Les erreurs sont faites pour emmerder le monde et ma personne t'emmerde profondément, princesse. Pari gagné, non ?

- À force de péter plus haut que ton QI, tu ne dis que du vent mon chou. Je sais maintenant qui a inspiré celui qui a inventé l'expression "Florilèges de cons".

Ses chances de réussite contre toi tournaient approximativement du zéro. Comme-ci tu pouvais te permettre de laisser gagner ce déchet. Qu'il essaye toujours. Il semblerait que celui-ci n'avait toujours pas compris où était sa véritable place. Celle du bouffon servant à distraire la famille royale lui allait parfaitement. Quoique tu aurais mille fois préféré le donner à bouffer aux crocodiles vu ses piètres prestations.
Et voilà qu'il se donnait la peine de te regarder de haut. S'il pouvait jouir d'une telle c'était uniquement grâce à sa taille de grande perche et rien de plus. Pas besoin de se prendre pour quelqu'un de supérieur et encore plus s'il s'agissait de lui.

- Redore ton blason si ça te chante. Au fond, on sait tout les deux qu'une créature si parfaite taillée dans ta race peut facilement tenir une certaine cadence. Tu vois, ce qui y a de bien avec des filles de ton genre, c'est que y à pas besoin de mendier. Leur connerie va au-delà de celle d'un troll.

Dit celui ayant eut besoin d'un temps de réflexion pour te répondre. Certes, il faut réfléchir avant de répondre mais il y a tout de même des limites. Et lui vu le temps qu'il met à redémarrer, c'est sans aucun doute un attardé. Pauvre de lui. Mère Nature ne lui avait décidément vraiment pas fait de cadeau. Tu en profitais d'ailleurs pour le lui souligner.

- Les infos ont du mal à remonter dans ton cortex ? Le pauvre a l'air d'être déjà dépassé. En outre, tu te prends pour un narrateur omniscient ?! Tu penses tout savoir, être "cultivé" et bah vas-y étale-la ta "culture", tu as tout le couloir pour toi. Au fait, merci pour cette vanne très recherchée. Ça sent le vécu tout ça. On a dû te la ressortir pleins de fois celle-là.

Te foutre de sa gueule ? À peine. Il méritait bien ça vu ce qu'il venait tout juste de te cracher au visage.
Tu pouvais d'ailleurs sentir la haine s'insinuer progressivement dans les moindres recoins de la moelle de ton rachis, l'épiderme, le derme et même hypoderme de ta peau, tes lymphatiques, vaisseaux sanguins ainsi que tes artères faisant frétiller au passage tes viscères pleins et creux logés au sein de ton abdomen ou thorax. Tu bouillais de l'intérieur, une bombe à retardement et ce n'était plus qu'une question de seconde avant qu'elle n'explose pour de bon.

- Écoute princesse, je sais que mon visage fait frétiller tes hormones mais, tu vois, c'est pas du tout réciproque.

Tu manquas de déglutir suite à ce qu'il venait de dire. Ah sacré nerf glosso-pharyngien. Celui-ci était devenu hypersensible face à Upsilon.

- Rêve toujours mon chou. D'ailleurs, faudra que je prenne l'habitude de me balader avec des lunettes de soleil parce que rien qu'en te regardant, on chope une conjonctivite.

Avoir les yeux rougis par tant d'immondicité sur pieds ne faisait pas partie de ton programme de la journée. D'ailleurs, rien de tout cela n'aurait dû faire partie d'aujourd'hui.
Après tes yeux vint le tour de ton oreille interne. En effet, ta cochlée s'attarda sur les dernières paroles d'Upsilon.

Je ne frappe pas les filles. Encore moins les catins, elles sont déjà suffisamment lamentables sans ça. Sauf si tu me donnes l'occasion de faire une exception.

Les paroles de trop. Le grain de semoule qui fait déborder le couscous. Bref, il t'avait littéralement mise en colère sur le coup si bien que ce fut un réflexe de le frapper violemment au visage, laissant alors une trace rosée. Te frapper ? Qu'il te frappe alors ! Mais tu ne vas certainement pas laisser passer le fait qu'il ose t'insulter de p*te. Ce n'était pas l'envie qu'il te manquait de l'étrangler là tout de suite sur place.

- De nous deux t'es vraiment le pire !
code par Junnie
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Mar 8 Juil - 20:37



Horreur ! Malheur !

Shéhérazade ▬ Upsilon




La mort serait si douce, si agréable, objet de promesses et de tranquillités, comparée au calvaire que tu subissais. Et tu l'accueillerais volontiers d'ailleurs; ouvrant tes bras à la silhouette mortuaire, déposant un léger baiser de gratitude sur la joue osseuse de Dame Faucheuse. Le froid contre tes lèvres t'apaiserait et le reste de ton âme quitterait ce bas monde en toute sérénité, laissant la paria ramper sur terre. Toi bouffon, elle serait paria si le terme de ribaude n'était pas suffisant. Elle pourrissait tes oreilles, empoisonnait ton oxygène. Alors même qu'elle raillait sur ton encéphale, tu peinais à retenir un sourire. Si tes neurones marchaient au ralentis, elle n'y était certainement pas pour rien. Qu'on le répète, mais, tu en avais marre de toujours chanter le même discours la concernant ; l'insecte vert te polluait ; véritable marrée de boue ou de pétrole, de gaz toxiques et irrespirable. Un monde sans sa personne ne sera jamais plus qu'un rêve illusoire. Désolant.

Étaler ta culture ? Oh non. Tu n'étais pas de ceux qui aimaient brandir leur savoir. L'érudit n'avait jamais été une part de toi. A l'inverse de la paria qui abordait les couleurs bleu et argent de la maison Serdaigle ; cataloguée en tant que couvant d'être instruits. A ton sens, sa personne n'aurait simplement pas dû être répartie. Qu'ils la renvoient chez ses parents, dans sa ville natale si n'est à Pigalle. Elle serait bien plus utile sur une piste pailletée que dans ce château. Serpentard était un cran au-dessus d'elle, quelqu'en soit ses idéaux reflétés par le monochrome vomitif de ses cheveux. Le dégoût circule dans tes veines avec autant de facilité que les hématies, cellules rouges pulsées à travers ton être pour finir en tyrans ; martelant tes tempes. Tu pivotes et lui fais face, arrachant un dernier rictus à tes propres lèvres, dégoulinant de mépris.

Tu fatigues. Elle te fatigue. Ses piques ne sont qu'un amas de terre que tu piétines de bon cœur. Une conjonctivite. Sérieusement ? Un niveau si bas. Tu t'en sentirais presque vexé. Oh Merlin, tant de méchanceté dans ses paroles. Vite, vite. Une cagoule. Que tu te caches, honteux. Que tu puisses laisser le monde vivre tranquillement sans être une menace pour la santé de leur yeux. Oooh, quel dommage ; l'erreur que tu es s'indiffère des tourments du peuple. Et de leur... reine ? Renne était déjà bien mieux adapté. Néanmoins, tu pouvais souligner un fait. Elle devait s'y connaître en conjonctivite; depuis le temps qu'elle s'admirait dans le miroir. Tu n'ouvres cependant pas la bouche pour laisser ce constat de bas niveau t'échapper. C'est plutôt une menace veloutée qui franchit tes lèvres. Une énième allusion. Le fracas avant l'affront.

Son poing vient s'abattre judicieusement contre le creux de ta joue, t'entaillant le coin des lèvres. Il efface le sourire figé et insolent que tu abordais, sert tes paupières et envoie ta tête basculer sur le côté, emportée par le choc. La douleur vrille tes tympans et brûle la chair de ta joue alors que la pile de livres lévitant à ton côté s'effondre dans un fracas assourdissant. Tu l'avais sentis venir ; la poussant à agir de façon plus incisive. Délicate contradiction qui secouait alors tes neurones ; t'étais ravi et contrarié. Ravi de l'avoir fait sortir de ses gongs. Contrarié à l'idée d'avoir été victime. Ton attitude s’engrangeait sur les deux sentiments. Tu te redresses, relâches les épaules. Ton visage à moitié mangé par tes mèches brunes, tu ne poses aucun regard sur elle, fixant un point invisible. Le dos de ta main vient constater les dégâts de son assaut, effleurant la zone endolorie et teintant la peau de tes doigts de rouge. Tu ignores le picotement presque lancinant et relèves tes pupilles sur la paria.

« De nous deux t'es vraiment le pire ! »
« Quel compliment. » Trop d'attention à ton égare. Tu vas suffoquer.

En un pas, tu avales la distance tant aimée qui te sépare de ta Némésis. Tu la surplombes par les quelques centimètres qui font la différence et plantes tes yeux dans les siens. Voilés de colère ; mais d'une colère retenue. Tu penches la tête sur le côté, saisissant avec pression son menton entre tes doigts. Plus que la pulpe ; l'ongle de ton pouce perce sa commissure. Et tu te vois peintre, sculpteur, esquissant là, l'ébauche d'une œuvre d'art ; tu lui tallerais volontiers un sourire de l'ange. Tes doigts salissent sa peau, maculant celle-ci de ton propre sang. Tu serres et défigures le bas de son visage.

« J'espère pour toi que t'as pris ton pied. La prochaine fois, ce n'est pas ma culture que je m'amuserais à étaler. »


Tes narines frémissent, ta lèvre tremble, tes yeux l'assassine d'un éclat de rage ; ton ire pulse dans tes pupilles. Par quel miracle parviens-tu à ne pas éclater tes jointures contre sa mâchoire ou contre ses côtes ? Tu te complaisais à penser que tu ne tapais pas dans la merde alors que, peut-être, ta retenue était à la hauteur de ta maison. Tu préférais la piétiner plutôt que de flatter ta personne. Crissant un peu plus l'ongle de ton pouce dans sa chair, tu la relâches, la jauges un court instant avant de faire un pas en arrière. Une bonne chose en soi.





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