Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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Astronomie, cours n°3, 7ème années • les planètes lointaines

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Mer 18 Juin - 12:38
Les planètes lointaines


Le professeur Lovecraft se noyait dans la nuit qu'il portait sur ses épaules.
Ses heures de cours étaient tardives, nocturnes. Il était onze heures et demi lorsque ses premiers élèves, furtifs, fatigués, arrivèrent au sommet de la tour d'Astronomie. Certains baillaient.
Il attendait près d'un rebord, ses mains crochues éternellement repliées dans son dos, l'air sévère sur la bouche. Quand tous les élèves eurent pris place – et qu'il eut claqué la langue une bonne dizaine de fois pour les empêcher de bavarder – le professeur Lovecraft commença son cours d'Astronomie en marchant derrière eux.
Il y avait de l'austérité, mais aussi beaucoup de respect dans la manière dont il s'adressait à ses élèves – c'étaient ses septième années.

« Bonsoir. Comme vous le savez, votre examen de fin d'année approche. Le cours de ce soir vous permettra de revoir quelques principes fondamentaux en astronomie – principalement techniques - ainsi qu'un récapitulatif des cours suivi jusqu'à maintenant. » Une petite pause. « Il est très important que vous sachiez correctement manier la puissance et la précision d'un télescope. »

Puis il ajouta en voyant un élève avancer sa main vers son télescope doré – chaque élève en avait un devant lui, chacun dans une direction différente.

« Ne touchez pas à vos télescopes pour le moment, je les ai réglés pour qu'ils affichent pour chacun de vous une planète différente. »

Des murmures soulagés vinrent tinter à ses oreilles et il se permit d'ajouter.

« Des planètes d'un autre système stellaire que le notre. D'autres galaxie, même. » Puis il haussa un peu le ton de sa voix morne qui coulait dans l'air. « Les télescopes sont des outils très précieux qui ont été particulièrement affinés par les sorciers et la magie. Grâce à un réfracteur amplifié – la lentille -, il nous est possible de voir dans l'univers profond et d'étudier des planètes qui ne sont pas à portée de notre magie. »

Ses pas glissaient, comme gluant, sur la pierre.

« Il y a ailleurs, des galaxies, des systèmes stellaires semblables au notre, ou très différents. Parfois, des planètes gravitent autour de deux étoiles où ont, comme Jupiter et contrairement à la Terre, plusieurs lunes – les satellites. Chaque planète à ses propres caractéristiques. Elle peut être tellurique ou gazeuse – c'est-à-dire, faire de roche ou de gaz. Elle peut être recouverte d'eau, où bien  aride. Elle peut aussi avoir des mers, une pluie de méthane, comme sur Titan. Quoiqu'il en soit, il est aussi possible de se demander quelle est sa propension à la magie – est-ce qu'il est possible de pratiquer notre magie sur cette planète ? Ou est-ce une toute autre forme de magie ? »

Il eut un reniflement.

« Bien sûr, n'oubliez pas la règle fondamentale qui est que la magie est intimement liée à la composition même de l'univers. Je ne vous rappelle plus les multiples effets de la lune, du soleil, où des objets célestes sur notre magie. »

Il y eut un silence.

« Très bien, vous pouvez désormais vous approcher de vos télescopes. Chacun de votre télescope a été réglé sur une planète d'une autre galaxie, une planète que nous avons déjà étudié lors de votre scolarité. Je vais vous demander de rédiger ses informations de base sur votre parchemin. Dites-moi son nom, à quelle galaxie elle appartient, quel système stellaire, combien de satellites elle possède, de quoi elle est composée, quelle sont ses particularités et enfin, à vous de déduire ou d'imaginer quelle serait la magie sur cette planète et en quoi elle différerait de la notre. »

Mordred grimaça – l'imagination, pour lui, n'avait jamais été son fort, ou tout du moins, jamais appréciée par les autres.

« Vous avez une heure. Pas de bavardages. »

Cette dernière injonction les fit se mettre au travail ; le professeur Lovecraft était particulièrement connu pour son siphonnage des sabliers. Il releva un peu son énorme nez, et alla se ficher, comme un corbeau, près d'une haute fenêtre.


Consignes

Thème ϟ Les planètes lointaines
Limite ϟ Une vingtaine de lignes
Dates ϟ Du 18 Juin au 25 Juin
Récompenses ϟ 2 gallions & 5 points par participation, 5 gallions et 15 points pour le meilleur élève.
Énoncé ϟ Le professeur Lovecraft a réglé vos télescopes pour qu'ils affichent pour chacun d'entre vous une planète d'une autre galaxie. Is vous a demandé de l'observer, de la nommer, d'indiquer ses informations importantes et son rapport à la magie.
Bien sûr, nous ne vous demandons pas d'aller chercher sur Wikipédia les planètes des autres galaxie (sauf si ça vous amuse), mais bien d'en inventer une, comme il vous plaira ! Vous êtes assez libre tant que vous restez crédibles – mais surtout, faites vous plaisir, on ne sait pas ce qui se trouve à l'autre bout de l'univers.
Voici un récapitulatif des informations demandées par le professeur Lovecraft : nom de la planète, galaxie où elle est située, composition du système stellaire, nombre de satellites, composition (tellurique ou gazeuse), particularités (mer, atmosphère respirable ou non, forme de vies, etc), son rapport à la magie.
Amusez-vous bien !
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Jeu 19 Juin - 0:39





ADELHEID

ASTRONOMY — LES PLANÈTES LOINTAINES


Adelheid avait froid. Du moins c'est ce qu'il répondait lorsqu'on lui demandait pourquoi il portait trois pulls supplémentaires au dessus de ses robes officielles. Pour tout dire, Adelheid avait chaud. Bien trop chaud, il était habitué aux températures plus que glaciales, et cette soirée de juin était loin d'afficher des records négatifs, tout du contraire. Cependant, une fatigue certaine le faisait frissonner par intermittence, de quoi justifier la présence des pulls. Le jeune homme offrit quelques sourires à des têtes connues, de quoi faire bonne figure, avant d'aller se terrer dans l'ombre et d'attendre le début du cours. Il bailla discrètement, plaçant sa main devant sa bouche avant d'offrir son attention au professeur, ses yeux nerveux observant son environnement par moment.
Au fil du cours, le serdaigle eut envie de disparaître. Loin. De retourner dans son lit, à l'abris des lourdes tentures de son baldaquin. Mais ce n'était pas pour tout de suite, il fallait encore attendre un peu. Il grogna légèrement en entendant le devoir à réaliser, l'astronomie n'ayant jamais été son fort, mais il se mit tout de même au travail, observant la planète d'un oeil distrait et rédigeant quelques lignes d'une écriture nerveuse et hachée.

Adelheid a écrit:
S. Adelheid Lutoslawski
7ème année
Serdaigle
Strażnik (Veilleur) est la cinquième planète du système stellaire de Rzygacz, placé aux confins de la Galaxie Ochronn, non loin de la Nébuleuse de Tyr. Ce système composé de six planètes tournant en orbite de l’étoile Noch fut découvert vers 1788 par l’astronome sorcier autrichien Friedrich Schütz, prétendu descendant du très célèbre Alberich. Strażnik possède une période orbitale d’environ 4380 jours terrestres ainsi que deux satellites nommés respectivement SRK-32 et SRW-64.

Strażnik est une planète tellurique, seule la seconde planète du système, Skarb possède cette caractéristique, les quatre autres étant de nature gazeuse, Strażnik est également celle qui possède le plus large diamètre et les meilleures conditions pour le développement de formes de vie à sa surface. En effet, son atmosphère est composée à 86% d’azote, ainsi que de CO2 et de nombreux gaz qui permettent de former un «bouillon» de culture comme ce que nous avons pu avoir sur Terre lors de ses origines. Cependant, l’on peut noter une forte présence de souffre dans l’air. La surface rouge-ocre de cette planète est très fortement jalonnée de montagnes et de crevasses, formant, depuis notre point d’observation, un simulacre de visage, d’où son nom de Strażnik. On peut noter la présence réduite d’océans qui ne recouvrent que 25% de la surface de la planète, ce qui peut soulever un certain nombre de questions inexploitables dans ce devoir.

D’après une étude de Leonardo Strozzi en 1894, Strażnik est une planète qui possède des formes de vie multiples qui se situent notamment sous l’écorce straznique, les rendant ainsi, pour la plupart, invisibles pour nos observations. Il existerait cependant une espèce vivant à la surface, celle-ci aurait été nommée Olbzyrm, dont les représentants sont reconnaissables grâce leur taille gigantesque et leurs membres d’une longueur extrême. Je suis persuadé que cette espèce, contrairement aux autres, a développé ce que nous pourrions nommer «magie», ce qui leur permet ainsi de déambuler sur les espaces inexploités de Strażnik.

Comme dit plus haut, le relief de la planète est fortement accidenté et une forte présence de souffre dans l’atmosphère est avérée. Ainsi, nous pouvons en déduire la présence de nombreux volcans, actifs ou éteints sur la surface que nous pourrions relier au culte et aux rituels magiques réalisés sur cette planète. Les Olbzyrm seraient un peuple de feu, nés du magma liquide qui bouillonne sous l’écorce straznique, ils auraient formés une armure externe de roche magmatique au contact de l’atmosphère et d’une baisse de pression significative, protégeant ainsi leur composition liquide interne des conditions atmosphériques. Êtres de feu et de chaleur, ils maîtriseraient ainsi une magie bien plus instinctive, voire primitive, entièrement basée sur un seul élément, ce qui leur permettrait de développer par la suite une magie de l’éther, inaccessible jusqu’à nouvel ordre aux sorciers terrestres, mais ceci reste au stade de suppositions.

Il sécha le bout de sa plume, re-vissa le bouchon de son pot d'encre et remballa ses affaires avant de lire une dernière fois sa copie. Il soupira, passa une main dans ses cheveux de feu pour aller rendre son devoir à son professeur. Ceci étant fait, il se dépêcha de filer jusqu'à la tour des serdaigles, ne laissant qu'une traînée rougeoyante derrière lui.



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Poufsouffle
tiamoooo tiiii amooo ♫



Timothy E. Mills
Timothy E. Mills
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Jeu 19 Juin - 3:43




Timothy écoutait sagement le cours. S’il y avait bien un cours que Timothy ne manquait jamais, c’était astronomie. Le cours était sympathique et le prof était tellement laid qu’il pourrait probablement un jour écrire les plus beaux poèmes du monde en repensant à ce monstre-là. Timothy était horrible, parfois. Bref. Il jeta un œil au télescope devant lui : il avait tellement hâte que le prof donne le signal. Avoir l’œil dans les étoiles était probablement un de ses passe-temps-dans-le-cadre-d'un-cours favori.

Pendant quelques secondes, le Poufsouffle se déconcentra. Merci la façon de marcher de Lovecraft. Était-il une limace ? Woah! Il secoua la tête et continua à suivre le monsieur du regard. Et puis, lorsqu’il donna finalement le signal, Timothy oublia l’existence du prof pour se concentrer sur celle de son encrier, de sa plume et de sa feuille lignée (il n’avait plus de parchemin et il avait eu la flemme de profiter du week-end pour aller en acheter à Pré-au-Lard).

Il s’approcha un peu plus de son télescope et y jeta un œil. Hmn. Une planète comme rose. Pas vraiment sa préférée. Bref, il ne s’attarda pas trop longtemps avant de se mettre à écrire.  


Citation :

Timothy Eliott Mills
7ème année
Poufsouffle

« Mélisse; «énergie, j’ai peine à maîtriser mon amour.» C’est une planète d’un magenta éclatant. Belle-de-Nuit; « je vous fuis». La galaxie de Mélisse. Galaxie fleurie de planètes délicates.  Mimosa; «personne ne sait que je t’aime». Son seul et unique satellite. Mélisse, de par sa localisation dans l’Univers et de sa place centrale dans la galaxie Belle-de-Nuit, est particulièrement prédisposée à la magie. En tant que tel, la planète dégage une forte aura magique, ce qui cause l’effet pailleté de son atmosphère. Les habitants y pratiquent une magie basée sur l’amour et la passion. La magie rouge, dit-on.

Mélisse. Un nom parfait : une planète qui explose de tous bords, tous côtés. Qui lance dans le vide d’énormes boules de fumée magenta. Ces sphères donnent l’impression d’être de douces boules de gomme en explosion. Elle est l’amour violent, l’amour énergique. De sa couleur vivante, elle veut que vous l’aimiez. Mélisse semble être une très grosse planète. Elle est tellurique, bien que son atmosphère qui crache constamment  ces étranges boules de gaz laisse croire le contraire. Selon les recherches menées par un groupe d’astronomes à la fin des années 1990, que de plateaux et de petites collines sont formés par ces terres. Aucune montagne à l’horizon. Mélisse : planète-boule-de-gomme.

Blanc : c’est la couleur de l’eau. Enfin, de ce qui semble être de l’eau. Rose-cuisse-de-nymphe-émue : c'est la couleur des nuages. Magenta : la couleur de l’atmosphère, donc du ciel,  et de la terre. Pailleté : l’effet donné par l’atmosphère et la magie. Mélisse; la planète rose.  Autant étrange que cela puisse paraître, l’air y est respirable et l’eau y est potable. Il est possible de cultiver les terres et de faire pousser diverses plantes aux allures étranges. Cependant, leur alimentation est fortement différente de la nôtre et les habitants ont besoin de sucre, et non d’eau, pour survivre. Personne n’a encore véritablement vu les habitants de cette boule rose, mais les légendes disent qu’elle serait habitée par des êtres à la peau blanchâtre et aux cheveux rosés. On ne connait pas encore leurs ambitions, mais il semble s’agir d’un peuple relativement paisible et pacifique; les Mélissiens. »


Il prit le temps de se relire…  Il tira une grimace. C’était tellement dégoulinant de guimauve. Si un jour on l’envoyait de force sur cette planète, il se jetterait clairement de la fusée. Cependant, il était fier de son travail. Il sourit.

Bref.

Il rangea ses affaires dans son sac, le mis sur son épaule et alla porter sa copie sur le bureau du prof, en avant de décamper rapidement.



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Jeu 19 Juin - 21:54
Silas frissonna quand il vit le professeur Lovecraft le regarder.
Ce n'était pas qu'il lui faisait peur ; il était plus gêné qu'autre chose, honnêtement.
Alors quand il annonça le sujet du devoir, Silas soupira de soulagement – il n'était pas vraiment à l'aise.

La planète choisie, appelée Mangata, est la troisième planète du système solaire Lacyrium, de la galaxie Komorebi. Larycrium est composé de trois planètes ; elles sont toutes telluriques.

1967 ; des satellites ont été envoyés sur cette planète afin de voir si de nouvelles formes de vie existent : ils y découvrent une faible forme, qui disparaît aussitôt.

La planète est 85% composée d'eau, les 15% restants étant de la roche. L'atmosphère a été déclarée respirable : cependant, les occupants n'ont pas été découverts.

Les recherches sont abandonnées et reprennent seulement en 1989 ; cette fois-ci, étant plus précisément analysée, on la découvre parfaitement lisse ; seuls les quelques roches qui sont présentes rend la planète bicolore. On y voit aussi pour la seconde fois une forme de vie cette-fois ci plus prononcée : on apprend qu'elle vit dans la mer.

Mangata est bleue, comme un bleu azur ; ses habitants sont eux d'un bleu plutôt marine, aurait-on déduit. Leur physique n'est pas connu ; cependant, ils ne se montrent que rarement.

Néanmoins, il s'avère qu'ils possèdent un certain pouvoir, assez étrange, utilisé quotidiennement – comme nous, les sorciers. Ce pouvoir n'est pas aussi avancé que les nôtres, m'a-t-on dit, mais est capable d'évoluer au fil du temps.

Il n'osa pas se relire – Silas avait un peu honte de son devoir, il devait avouer.
Alors il décida de fuir le regard du professeur tout en sortant de la classe.
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Ven 20 Juin - 18:05
Nemesis, en général, n'aimait pas être obligée de se réveiller au beau milieu de la nuit, mais elle était toujours partante pour un cours d'Astronomie, malgré la crainte que lui inspirait le professeur Lovecraft; elle se demandait parfois s'il ne cachait pas quelque démon derrière cette démarche glissante qui lui faisait drôlement penser à celle des hommes de caoutchouc de la sorcière des Landes dans le Château Ambulant. C'est avec confiance et attention qu'elle observa sa planète avant de s'installer et de s'armer de sa plume. Elle ne décolla pas une seule fois les yeux de sa feuille, triturant sa mémoire pour coucher sur le papier toutes les informations dont elle se souvenait au sujet de la planète qui lui avait été confiée et dont la belle couleur verte lui apparaissait comme une source intarissable d'inspiration.

Nemesis Wayne
Septième année
Poufsouffle

80 UA (unités astronomiques) nous séparent d’Eutrophée («bien nourrie »), soit approximativement 0,0013 année-lumière. Eutrophée figure parmi les trente-six planètes d’une des plus grandes galaxies découvertes à ce jour, de par son étendue, mais également par la taille impressionnante des planètes qui la composent ; on lui a attribué le nom d’Uberis («abondante, féconde »). Eutrophée, planète tellurique d’une taille colossale (avec un diamètre avoisinant les 83 000 km3) est reconnaissable à la couleur essentiellement verte et tendre de sa surface densément végétale, à ses multiples anneaux planétaires qui la drapent partiellement d’une ombre violacée ainsi qu’à ses myriades de satellites dont les deux principaux sont γενναιόδωρος («généreux») et γόνιμος («fertile»).

Plusieurs mystérieuses théories cherchent à expliquer la fertilité de cette planète ainsi que la présence de ces anneaux, mais l’une d’entre elles est particulièrement étudiée par tous les astronomes qui s’intéressent à Eutrophée ; celle de la présence d’un «cœur», source d’énergie à l’origine de cette profusion de verdure. On raconte que ce «cœur» se nourrit de l’énergie produite par l’explosion à proximité d’Eutrophée d’étoiles dont il attire les éclats grâce à une forme d’énergie magnétique. Les anneaux d’Eutrophée sont formés par l’agglomération de ces éclats.

Cependant, on a pu observer une certaine instabilité au niveau de ce cœur ; il semblerait en effet que ce dernier fonctionne vraiment comme un organe à l’origine de la vie sur Eutrophée, agissant sous forme de battements semblables à ceux du cœur d’un être vivant : une fois tous les cent mille ans, une secousse sismique phénoménale secoue Eutrophee, correspondant à un battement de son cœur. Cette secousse insuffle à la planète l’énergie nécessaire à se régénérer avant de disparaitre peu à peu, au même rythme adopté par l’énergie pour se réduire ; au cours des cent mille ans suivants, la planète perdrait peu à peu de sa vitalité tandis que l’attraction magnétique de son cœur inciterait les éclats d’étoiles mortes à converger vers Eutrophée et à lui fournir l’énergie nécessaire au prochain battement, qui régénérerait à nouveau la belle planète verte.

Eutrophée est peuplée par des êtres nommés Eutropes qui se nourrissent indirectement de l’énergie du cœur, par l’intermédiaire de ses créations végétales et, dans une moindre mesure, minérales (Les Eutropes sont végétaliens ; les autres créatures d’Eutrophées sont considérées comme sacrées, et donc intouchables). L’air d’Eutrophée, grâce à l’omniprésence de plantes que l’on pourrait qualifier de chlorophyliennes (même si elles ne rejettent aucun gaz potentiellement dangereux la nuit ou lorsqu’elles vieillissent), est très pur, la plus grande partie des eaux est souterraine ; il n’est pas aisé de trouver une source d’eau à la surface d’Eutrophée.

L’énergie du cœur d'Eutrophée peut définitivement être considérée comme une forme de magie ; les Eutropes s’en accommodent également pour manipuler leur environnement (sans le détruire) et l’adapter à leurs besoins (construction d’abris, développement de hameaux, etc.)


Nemesis termina tranquillement son devoir avant de le relire superficiellement. Elle adressa une ou deux prières à ses myriades de divinités puis rendit sa copie au professeur.
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Sam 21 Juin - 1:00
Astronomie

Ouf ! C'est bon. Je ne suis pas en retard. Manquerait plus que ça... Surtout avec le professeur Lovecraft. Déjà qu'il nous fait cours tard le soir, je voudrais pas être mis en retenu jusqu'au 3h du matin.

Je m'installe donc, baillant comme la plus part des élèves (mais j’essaie d'être discret) et écoutant l'énoncer du professeur. Right. Quoi de plus logique que de parler planète dans un cours d'astronomie. Je me penche donc vers mon télescope, mastiquant de l'air avant de chopper mon système galactique et mon parchemin. Et ma plume aussi.



Light C. Red.
Poufsouffle.
7ème année


C'est en 1985 que l'astrophysicien Jack Crowalt découvrit avec l'aide du groupe américain High-z Supernova Search Team, la planète nommée SP/1985 S8. Aussi connu sous le nom de Placide. La SP/1985 S8 se trouvant dans la galaxie de Pax tire son nom de son année de découverte, de sa position dans le système galactique ainsi que de ses caractéristiques observées. La galaxie Pax est composée de 8 planètes découvertes à ce jour, la dernière étant la planète Placide. Chaque planète possèdent des satellites, aussi appelés Lune pour la plus part. Placide en possède 3. Nommées respectivement Elarta, Carché (qui possède des anneaux) et Sponiondé. Ou de leur nom de code dans lequel figurera l'année de leur découverte, ainsi que leur ordre, précéder des lettre SP relatives à la galaxie Pax.

Placide fut donc nommée ainsi de par son apparence. Une planète que l'on qualifie visuellement de bleue et blanche. Symbole du calme, de la paix, de la prospérité. Le bleu est prépondérant car les touches de blanc sont en réalité des bancs de nuages circulant selon la latitude directionnelle des vents opposés. En effet, la planète abritent des vents dont la vitesse a été calculée à plus de 450km/h. Ces vents ne cessent jamais. Le bleu n'est autre que de l'eau. Mais, de l'eau glacée. Il s'agit en réalité d'un immense glacier, s'étendant à travers toute la planète dont le diamètre est de 9 865, 2km, soit trois fois la taille de notre Lune. La température de la planète Placide ne peut permettre aucune forme de vie connue. Elle est bien trop basse, comme en témoigne la chaîne glacière. L'étude réalisée par les astrophysiciens tendent à démontrer que cette température avoisinerait les -240C°.

Cette planète gazeuse aurait également un rapport avec la magie. C'est ce qu'à voulu prouver le sorcier, et non moins physicien de talent, Bernard Vichémoua. En effet, l'alignement des planètes présentes dans le système de Pax ne serait pas un hasard. Chaque planète possède une place bien précise et qui, selon leur rotation, créerait une fluctuation d'origine magique qui atteindrait notre monde. Ainsi, la position des planètes un jour J, influencerait le potentiel magique d'un nouveau né sorcier. Bernard Vichémoua, toujours en vie à l'heure actuelle, se penche encore sur la question.



Point final. Je me relis, jette un dernier coup d’œil dans le télescope et roule mon parchemin. Courage, plus que quelques minutes et quelques mètres qui me séparent de mon lit.  





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Dim 22 Juin - 14:18
Charlie ! Charlie ! Réveille-toi !

Dans un sursaut le garçon releva sa tête. Il n'avait pas beaucoup dormir cette dernière nuit. Ô bien sûr si vous lui demandez pourquoi, il sera un mentir de première catégorie : la fin de l'année, la révision des examens, tout ça. Mais ce n'était pas réellement le cas. Il ne se rendait pas compte de l'importance des futurs tests qui approchaient à grand pas. En fait, il ne se rendait un peu compte de rien ; il était entré dans l'âge complètement idiot, de celui où on ne pense qu'aux filles et à s'amuser. Un jeune adulte n'était-il pas censé bien se comporter ? Toujours est-il que son activité de la nuit dernière n'avait rien à voir avec ses notes, et je laisserai le plaisir du mystère au lecteur quand à sa dernière action nocturne.

Il y a un devoir !

Et voilà qui était bien malencontreux. Charlie soupira et attrapa une copie. Il demanda rapidement à sa voisine de table en quoi cela consistait, et une fois qu'il crut avoir comprendre ce qu'il devait faire, il fronça les sourcils. Dans le télescope, c'était une planète violette avec des pustules noires. Elle était vraiment moche. Comme son professeur. Mais bien sûr !

Charlie Foxx, 7ème année.:

Foutu pour foutu, il déposa son parchemin à son professeur et quitta la pièce. Il n'était plus à un Troll près.
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Dim 22 Juin - 21:55


Asmita était mal réveillé. Terriblement mal réveillé. Il avait pensé faire une courte sieste en attendant le cours d'astronomie pour être en forme, mais cela eu l'effet opposé. Les yeux tombant de fatigue, l'air grognon, il aurait probablement bien préféré rester douillettement dans son lit. Mais le mot Astronomie avait réussi à le motiver un peu.

D'une oreille presque sourde il écoutait le professeur Lovecraft, préférant contempler le ciel étoilé. Le Serpentard tout de même comprit rapidement l'énoncer. Il fallait observer une planète dans le télescope, la nommer etc.

Il prit sa copie et lâcha un bâillement de fatigue - et non d'ennui. Il plongea doucement la plume dans son encrier tout en pointant son oeil dans le télescope.




Asmita C. Pandragon
7ème année
Serpentard



Lacrimam est la seconde planète du système solaire externe Nebulosum, situé dans la galaxie de Krest. Découvert il y a peu, le système solaire regroupe un total de cinq planètes, dont deux planètes telluriques et trois de types gazeuses, ainsi que d'une étoile Sisy présentant les mêmes caractéristiques que notre soleil.


Lacrimam, située donc dans le système solaire externe, est une géante gazeuse - c'est d'ailleurs la plus grosse planète de ce système. Cependant de part sa composition en glace très élevée, il serait plus juste de la catégoriser comme étant une géante glacière. Située à environ 20 UA de Sisy, sa période de révolution a été calculée à environ 93 ans.


De ce que j'ai pu observer, cette planète ne comporte aucune ceintures d'astéroïdes cependant on peut dénombrer une vingtaine de satellites, dont Dryad - composé lui-même d'azote.


La glace, composante principale, fait de Lacrimam une planète bien plus dense que ces deux compagnes dans le système solaire externe - composé uniquement de géantes gazeuses. On en peut cependant pas émettre la possibilité d'une éventuelle vie sur cet astre, ne possédant aucune atmosphère ou sort viable.


Son nom, Lacrimam - une larme en latin - a été inspirée par le large tâche bleuté arborant la peau beige de la planète.


Concernant son influence sur la magie, Lacrimam est considérée comme un astre funeste. On peut noter une influence sur les créatures de mer qui ont de fortes tendances à remonter dans les estuaires et les créatures amphibies ont tendance à s'aventurer plus en profondeur dans les terres, quand Lacrimam se rapproche de notre planète.


Asmita soupira en lâchant sa plume. Son devoir était fini, il n'en était pas très convaincu lui-même, mais c'était fait. Quand bien même, cela serait probablement son plus gros effort de la semaine.

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Carys Wheler
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Dim 22 Juin - 22:04
Carys hésitait encore sur son papier. C'était un devoir basé sur l'imagination, et elle en avait toujours eu beaucoup, en théorie ça ne devrait pas poser énormément de problème, le soucis était qu'il fallait rester crédible. Les possibilités étaient donc assez limitées. Par ailleurs, elle se demandait si elle devait faire exprès d'obtenir un Désolant à son devoir, histoire d'avoir un cours supplémentaire avec le professeur Lovecraft. Finalement, elle haussa les épaules et se lança.


Carys Wheler a écrit:
Asteria est l'une des huits planètes telluriques de la galaxie Fisandros. Fisandros est une galaxie irrégulière, elle n'est ni elliptique, ni spirale comme notre Voie Lactée, et elle s'étend parfois jusqu'à plusieurs unités astronomiques ! Asteria évolue autour du système Rideria, composée de 13 autres planètes :

• Axelminios, Timotheus, Vincemptios, Denisim, Aymeneria, Elwanoïs et Souhailes pour les autres planètes telluriques. Asteria est la deuxième planète tellurique la plus petite du système Ridervira, Vincemptios mesurant à peine 1 UA.

• Tristanathos, Mattheus, Maxirion, Milliteris et Edanasie pour les planètes gazeuses. Edanasie est la plus petite planète du système Rideria.

Asteria possède deux satellites, SK-473, qui a une couleur bleutée, et BM-10, ayant une teinte plus rouge. Si sur le téléscope, Astéria a la taille d'une orange, je dirai que ses deux satellites ont la taille d'une petite bille, elles semblent mesurer le même diamètre.

L'air sur cette planète, oscillant entre le mauve et le orange, est sensiblement similaire au nôtre, il serait donc possible d'y respirer. Par ailleurs, sa surface est presque quasi plane et lisse, les cratères ou les monts y sont très rares et jamais bien importants, hormis les abysses de la mer d'Asteria. Pourtant, les conditions de vie y seraient difficiles. En effet, aléatoirement durant l'année, l'unique mer de cette planète déborde abondamment en très grande quantité, inondant tout sur son passage. C'est pourquoi cette planète et si plate, la corrosion due à ces débordements parfois violents, similaires à des tsunamis, ravage la planète entière.

La magie sur cette planète ne diffère que peu de la nôtre. Les baguettes sont impossibles à construire là-bas après tout, il n'y a aucune végétation pour le moment. Quant à la faune, ce sont principalement des amphibiens et des volatiles. Pour survivre dans les conditions de cette planète, ceux-ci sont particulièrement gros et persistants. Les ailes des oiseaux sont également munies d'écailles, leur permettant de pouvoir résister aux plus violents assauts de vagues. Ils sont particulièrement gros, les plus petites espèces ayant la taille d'une harpie adulte. Les os de ces oiseaux remplacent donc le bois de la baguette, et le cœur seraient constituée de plumes écaillées ou bien de divers organes des autres animaux vivant sur Asteria.

C'est une planète très appréciée car agréable à l’œil, les nombreuses étoiles qui la composent et les différentes couleurs qui s'en dégagent ont inspirés beaucoup de poètes et de peintres. Certains sorciers travaillent même sur un moyen d'aller vivre là-bas malgré ses contraintes.

PS : Je crois qu'il manque deux ou trois choses professeur. Un cours supplémentaire ne serait pas de trop.
PS²: Est-ce que les harpies défèquent comme les oiseaux ou bien comme les mammifères ?



Carys essuya sa plume et attendit que l'encre sèche avant de rouler son parchemin et le déposer sur le bureau du Professeur Lovecraft. Elle avait du omettre deux ou trois choses, elle ne savait plus quoi, mais elle espérait que son devoir soit suffisamment imprécis pour une leçon privée. Et que sa question n'était pas trop impersonnelle.

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Alix Barthelemy
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Lun 23 Juin - 2:00




Astronomie Les planètes


L'astronomie avait le don de lui flinguer les derniers neuronnes qui lui restaient en fin de journées. Et dans la douleur et le sang. Malgrè cela, Alix (a sa stupéfaction) se débrouillait fort bien dans cette matière. Quand Mordre'... monsieur Lovecraft ne lui soufflait pas directement son intitulé de leçon dans le nez. Là, c'était la mort imminente de toute forme de vie sur sa propre personne. Micro-organisme irradiés et autres machins invisibles.
Mais c'était pas le moment de tourner de l'oeil, elle avait un devoir a faire.


Alix Barthelemy - Poufsouffle
7e année

Deponia est la quatrième planète du système solaire composé de l'étoile prête a s'éteindre, Nialo. Cette planète se trouve dans la Galaxie de Merlin de son nom d'usage caractérisée par son nombre très restreint de planètes qui est de 4 et de son second soleil, Uta, partageant le même disque que Nialo ce qui sous entend une proximité.
La découverte de la planète Deponia eut lieu en 1350 par le célèbre sorcier Merlin lui même dans sa période d'étude dans le domaine de l'astrologie.

Deponia compte 3 satellites, Dep, Depolo, Depro. Cette planète tellurique est trois fois plus grande que la terre, ayant une atmosphère très danse composée de 98% d'eau a état gazeux et une infime partie de CO2. Sa surface est elle composée a 70% d'eau solide, 20% d'eau liquide.
Il s'agit donc d'une planète pouvant être apparentée a un formidable réservoir d'eau mais en réalité cette dernière est hautement toxique pour l’espèce humaine.
Son aspect bleu nuit entouré en permanence par une couche épaisse de brume lui confère une aura mystérieuse que de nombreux astrophysiciens ont voulu percer avant que Benevonio Clemson, un amateur dans ce domaine décide de tenter le premier le transplanage galactique en fixant son esprit a l'aide d'une simple photo prise par les outils sorciers les plus complexes.
Bien entendu, malgré tous les sortilèges dont Benevonio se soit entouré, le sorcier mourut noyé en 1850 et empoisonné, laissant comme seule trace de son passage dans l'histoire d'une photo prise en perçant tout juste la couche brumeuse de la planète.

A ce jour nous ne savons toujours pas si une forme de vie occupe cette planète, une revue sorcière aurait publié récemment que des moyens plus sûrs qu'un simple transplanage seront tentés pour percer ce nouveau mystère.

Le taux de magie mesuré sur Deponia serait d'une très grande importance mais ayant pour spécificité d'être liée a son sol terrestre. Ce qui est assez fâcheux quand une telle puissance existe mais qu'elle ne peut être manifestée que sur 10% de sa surface terrestre. Sa maîtrise passerait exclusivement aux moyens de runes et d'incantations avec peut être une plus grande stabilité a l'aide de sacrifices, des formes de magies très fortement liées a la terre elle même. Selon le sorcier Biguel le Borgne, éminent professeur de son époque.


Roulant son parchemin et quittant son télescope qui depuis le temps qu'elle se collait le globe oculaire dessus devait lui avoir fait une superbe marque rouge, Alix alla le déposer du bout des doigts sur le bureau en se retenant de respirer.


Fiche par (c) Miss Amazing
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Lun 23 Juin - 19:20


Dessia Wessex n’était pas très douée en astronomie, c’était même une de ces matières qu’elle était obligée de réviser pendant de longues heures pour espérer une bonne note. Ah, toutes ces révisions la tueraient un jour. Pour l’heure, elle s’attela à son devoir.



Devoir Astronomie a écrit:

Dessia Wessex

Septième année

Serpentard



La planète Sidur est la deuxième planète du système stellaire Virgo et regroupée dans la galaxie de Fusus. Ledit système stellaire Virgo regroupe seulement trois planètes dont deux gazeuses et une tellurique. La planète Luxor, à la composition tellurique,  gravite par ailleurs autour d’une étoile nommée Glubul. Elle possède deux satellites, ceux de Regnor et Kripy.

Sidur est une planète sombre où aucun rayon de lumière ne semble traverser le ciel noir. Une atmosphère lourde et oppressante semble régner sur cette planète où aucune végétation de quelque sorte n’apparaît, pas même une quelconque fleur ou un arbre. Il semblerait que cela soit assurément dû à ce parterre de roche dur, que rien ne semble briser. L’atmosphère semble irrespirable quand à elle, mais j’ai pu apercevoir assez vivement un être qui portait un genre de masque très étrange qui semble lui permettre de respirer. Cela ne semblait pas avoir une réelle forme humaine, mais je n’ai pu le retrouver, si ce n’est en essayant de savoir où il pouvait bien vivre dans cette planète où même l’eau semble manquer. J’ai remarqué alors que des trous étaient visibles sur le sol, mais point faits d’origine. Peut-être peut-on vivre sous terre ? Cette hypothèse reste tout de même à vérifier, mais je n’ai pu guère en savoir plus.

Son rapport à la magie semble être plutôt élevé de par les deux satelittes que la planète possède et que l’on peut voir dans son ciel même. Regnor et Kripy semblent effectivement doter Sidur d’une forte magie, même si cela doit être à relativiser car aucune lumière ni végétation n’y règnent.  

Par ailleurs, si j’ai décidé de nommer la planète observée Sidur, c’est bien à cause de cette terrible impression de dureté qui en ressort.


Elle essaya de relire son explication et un souffle d’exaspération sortit de sa bouche. Elle n’avait jamais été douée pour ce genre de choses.


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Ludovic J. Dave
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Lun 23 Juin - 20:26
Ludovic James Dave a écrit:
Ludovic James Dave — Septième année — Gryffondor.

« La planète Vomitus est la sixième du système solaire Nauseam — notons le soleil bleu. Il appartient, Nauseam, à la galaxie Instectinctus. Nauseam comporte douze planète dont une treizième éclatée — je ne sais donc pas si l’on peut encore la qualifier de planète. Vomitus possède trois satellites naturels ; respectivement nommés Mucus, Morvus et Detritus.

Vomitus est une planète… Particulière. Tellurique, elle possède une consistance de surface pourtant des plus incongrues. Voyez-vous ; sa couleur verte n’est seulement consistante — la planète est recouverte d’un coulis kaki suintant de toutes parts. De part et d’autre ; des « pets » jaillissent hors de cette couche particulière ; fondante et mouvante. Ils laissent échapper des gaz étranges qui semblent contribuer à l’atmosphère de Vomitus. Cette dernière est donc relativement trouble ; et semble rien qu’au regard plutôt nauséabonde.

Mais ce n’est pas tout ! Lors de ces « déjections » ou plutôt « éjections » sortent au tantôt quelques créatures étranges ; violettes et globuleuses. Elles semblent surfer sur cette lave verte aux aspects répugnants et chimiques. L’on voit également certains pics rocheux — survivant aux assauts de ce liquide relativement noueux ; ces roches sont blanches, serait-ce l’effet du gaz ? Quant à l’emprise magique — les créatures, la manière dont elles voguent sur la planète (ne savant pas trop si elles vivent sous terre ou à l’extérieur ? un mélange des deux ?) l’atmosphère et tout le reste — rien n’est plus à prouver. De plus, petite anecdote sympathique, il a été observé par Dorduc Cavobleu –celui ayant découvert Vomitus et tout son sytème plus sa galaxie– (il y aura passé sa vie) que nos petits êtres infâmes mais fort intéressants ne se retrouvaient en pleine disposition de leur ‘magie’ que quand ils éternuaient / rotaient, etc. Dès cela fait ; leur corps mute, changeant de forme et de couleur — ils semblent alors plus liquide ; et au bout de 6 explosions gazeuses / pet / rot / etc. ils finissent par fondre dans le liquide entourant ; englobant et recouvrant la planète.

Ludovic, endormi; se dit que tout cela n'était guère glorieux. Se ramassant sur lui même, il se redressa; manquant de trébucher sur un de ses camarades. Finalement, dans un bâillement; il se traîna jusqu'au professeur et lui offrit sa copie.
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Mar 24 Juin - 17:04
Calvin se pencha sur son télescope pour observer ce qu'il avait en face de son objectif avant de commencer à noter ce qu'il voyait.

Calvin Sheridan - Serpentard a écrit:
La galaxie que j'observe est assez proche de la notre, à l'échelle de l'astronomie. Son système est composé de quatre planètes seulement, mais chacune est entourée d'au moins huit satellites. Son nom est "QG347" et la planète que j'observe en ce moment même est très particulière.

La planète que j'observe est une planète gazeuse, plus grosse que la Terre et qui a pour nom "Alocire" en hommage à l'homme qui l'a découvert. La particularité dont je parle est très intéressante et il ne me semble pas avoir vu de semblable cas ailleurs que dans cette galaxie. En effet, Alocire est "couplée" avec une autre planète, tellurique, de même diamètre qu'elle, et ces deux planètes semblent tourner autour d'un centre de gravité situé entre elles en même temps qu'elles effectuent leur révolution autour du soleil, une étoile naine. Alocire est également la seule planète du système à ne pas avoir de satellite contrairement à sa voisine qui en a douze, tous plus petit que la lune.

Sur Alocire, on ne peut pas voir d'être humanoïdes, mais une forme de vie très semblable à nos propres mammifères marins semblent pouvoir survivre et évoluer dans le gaz qui constitue la planète. Grâce à une échelle de taille prenant en compte la distance à laquelle se trouve notre planète de la leur, la circonférence des deux et la hauteur où ils se trouvent par rapport à la couche de gaz principal de leur planète, je dirais qu'ils sont bien plus gros que nos baleines. Je ne peux pas être sûr de leur régime car je n'arrive pas à voir l'intérieur de leur gueule, mais je peux supposer que d'aussi gros êtres (je ne me permets pas de les classer dans le règne animal) ont adopté une technique semblable à celle de nos baleine plutôt que de développer des techniques de chasse. Il doit y avoir dans leur atmosphère toxique pour l'homme quelques éléments comestibles pour eux, vivant ou non, qui leur permet de s'alimenter.

La gravité de cette planète est très spéciale, mais la taille de ces animaux me permet à coup sûr d'affirmer que le poids qui leur correspond est bien trop élevé pour qu'ils puissent rester ainsi aussi longtemps dans les airs avant de disparaître à nouveaux dans des couches de gaz plus sombres. La magie doit faire partie intégrante de leur existence à un niveau très élevé, si ce n'est complètement saturé.

Je n'oublie pas non plus que la distance entre nos deux planètes ne me permet que d'observer quelque chose qui se trouve très loin dans le passé, sans doute il y a des millions d'années et qu'entre temps ces êtres ont tout à fait pu disparaître ou évoluer en quelque chose de bien différent que ce que j'ai pu observer, et donc leur rapport à la magie doit également avoir changé.

Après avoir mit un point final à son devoir, il alla le rendre à son professeur et sortit de la salle.
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Richard Morgan
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Mar 24 Juin - 22:12
Richard n'était pas vraiment passionné d'astronomie. Il se fichait pas mal de ce qu'il pouvait bien voir dans son télescope, il ne pensait qu'au Quidditch. Avec un air fort peu motivé, il regarda dans sa lunette.

Richard Morgan, Serpentard a écrit:
Mon appareil me permet d'observer la planète Amphitryon de la galaxie UDP75. Elle n'a pas de satellite mais une ceinture d'astéroïdes qui, particularité de cette planète, semblent être habités par des êtres au corps visiblement spongieux et élastique. La planète en elle même est tellurique et il me semble que la vie n'y est pas présente. En revanche, elle a un fort potentiel magique d'après ce que je peux noter de sa position et de son inclinaison.

C'était tout pour lui. Il n'était franchement pas inspiré, il avait inventé la moitié des explications, il n'aimait pas le professeur qu'il trouvait moche, il rendit donc sa copie comme ça.
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Mar 24 Juin - 23:58

Tu soupires. Heureusement que t'es insomniaque. Et que le cours est intéressant. Sinon tu serais déjà en train de dormir. Tu étouffes un bâillement malgré tout, avant de commencer à sortir de quoi écrire, tout en écoutant les indications. Et te voilà lancé.

Bartholomew Clifford De Hayos, Poufsouffle, 7ème année a écrit:
Griyffys est la troisième planète du système Fulgur en terme de période de révolution, et la deuxième en terme de diamètre, son positionnement dans le système en fait une planète relativement adaptée à la magie, sans toutefois receler un grand pouvoir. Elle est dotée de trois satellites : Lendelot, Maestris et Paegasum, classés dans leur ordre de grandeur.

Il s'agit d'une planète Tellurique, montrant de très nombreuses traces de vies animales, ou du moins ce qui semble être des animaux. Son atmosphère est composée d'oxygène, d'hydrogène et d'azote, mais à des taux bien différents de la Terre, rendant la vie « humaine » impossible là-bas, seul le règne animal semble s'y être installé. Mais pas n'importe quelle faune, puisque celle-ci est magique. On y trouve de nombreuses créatures magiques, et c'est ici que furent découvertes de nombreuses espèces de ce qui ressemble fortement à des griffons.

D'aspect chaotique, ses reliefs sont très présents et accidentés. Elle présente également des mers, remarquables à leur couleur orangeâtre, due à la déflexion de la lumière à travers l'atmosphère de la planète, ainsi qu'une végétation ardue, drue et relativement présente sur les zones « continentales », mais on remarque rapidement la disposition des zones montagneuses, visibles du fait de leur couleur argentée. Vue ainsi, elle pourrait presque faire penser à une décoration de sapin de Noël. Ou encore à une orange dans laquelle on aurait planté des clous de girofle peints en argenté.

Tu relis rapidement ta feuille. Ca devrait faire l'affaire. T'essaies de faire bien, l'astronomie est une des seules matière pas forcément en lien avec la magie, t'as pas vraiment de raisons de la dénigrer.
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