Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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An amazing parseltongue violinist (avec Kitty)

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Serdaigle



Serah Himans
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Mar 19 Aoû - 22:42
Elle avait encore écourté le dîner, parce que...elle avait un appétit égal à celui d'un petit moineau. Enfin. C'était un chouette moment, de se retrouver seule dans le dortoir. Au moins on pouvait travailler sur sa concentration optimale ! Ou tout simplement...travailler sur son don. Oh quelle excitation ! Oui, ça ne faisait pas longtemps qu'elle s'était découverte un petit plus, certes qu'on ne voit pas toujours d'un bon oeil... mais bon, elle n'en avait que faire, c'était l'euphorie là, maintenant. Elle en aurait dansé. chanter, hurler. Mais ce n'était pas une chose à faire, malheureusement. Et puis, quand on regarde, ce n'était pas son genre en fait. Elle explosait, mais qu'à l'intérieur. Seulement, quand elle était seule, ou qu'elle était presque sûre d'être seule, elle laissait passer sa joie, sans trop de bruit.

- C'est vraiment extra !

Et oui ! Elle venait de chuchoter en Fourchelang ! Elle souriait, tout fait contente d'elle. Mais elle trouvait cela dommage de ne pouvoir le partager avec ses amis...Parce que ça ne se disait pas, malheureusement pour elle. Elle se mordit légèrement la lèvre inférieure. Et si... Oh, le Fourchelang, ça ne s'écrit pas? Et si... Et si on trouvait comment l'écrire? Ce serait magnifique ! Enfin, ça ne servirait qu'à ceux qui savent le parler en fait...Mais bon, ce serait amusant. Comme un code secret en fait.

- Super idée en fait... Vite, un bout de parchemin.

Elle avait chuchoté, mais elle se précipita sur sa table de chevet et sortit un bouquin, pour faire un support, un parchemin et une plume. Elle réfléchissait à comment faire. Utiliser l'alphabet ordinaire... pas pratique non. Aller, il fallait réfléchir... Elle se chatouillait le menton avec le bout de la plume... Aller. Commençons les esquisses. Déjà, commençons par écrire Fourchelang non?

- Fourchelang

Elle griffonna un truc, pas très potable.

- Fourchelang...Four...che...lang.

Elle chuchotait, pour ne pas éveiller trop les soupçons s'il y avait des gens à côté... On se savait jamais après tout non?

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Ven 22 Aoû - 1:49
Tu n’avais pas mangé, cette fois-ci. Une fois de plus en vérité, car tu avais un très petit appétit. Tu étais effectivement de ceux qui pouvaient manger avec plaisir mais les dernières contrariétés que tu avais trouvées sur ton chemin t’avaient rendu ce bonheur moins agréable – et t’étant acharnée sur une boîte de chocolats deux heures avant, tu jugeais irresponsable de te défouler encore une fois sur la nourriture.
Cette soirée se ferait calme, tu le sentais ; les vacances avaient fatigué la plupart des élèves de l’école, et la Maison Serdaigle n’était pas la plus remuante de toutes. On racontait en revanche que celles à Gryffondor étaient des soirées qui finissaient beaucoup trop tard, et que la période de bizutage dans la Maison des ambitieux était plutôt intense – les soirées entre Poufsouffles te paraissaient plutôt secrètes en revanche, il faudrait que tu demandes à ton amie.

C’est en ressassant ces pensées particulièrement inintéressantes que tu lustrais l ton violon, profitant de l’absence de personnes aux alentours. Tu n’osais même plus le sortir devant les plus jeunes, beaucoup trop désireux d’approcher ton précieux bien, de le tenir entre leurs sales mains mal intentionnées, sans la moindre délicatesse, le laissant en proie à trop de secousses et d’objets contre lesquels il pourrait cogner – or l’instrument mérite mieux. Tu étais incapable de te souvenir si tu étais à ce point peu délicate quand tu étais plus jeune ; logique alors que ton ancien se soit brisé il y a maintenant sept ans.

Cette pensée te pinça le cœur, te rappelant le douloureux souvenir que la perte du violon fut. Pourtant depuis le nouveau était allé au-delà de toutes espérances, était conçu selon tes exigences, et avait ton prénom gravé dessus. Pourtant tu avais déjà pu un jour effleurer l’objet de toutes tes convoitises, le Stradivarius – tu étais trop jeune pour mesurer ta chance et pourtant ton immense sourire avait ravi tous les Moldus derrière leurs boîtes télévisées.

Tu n’avais pas remarqué la présence d’une jeune Serdaigle qui était arrivée pendant ce temps, pour s’installer à une table – la salle en fourmillait. Celle-ci n’était pas dérangeante et tu doutais qu’elle puisse l’être un jour, tant elle était discrète, mais les propos qu’elle tenait t’intriguaient au plus haut point.
Ce fut une langue que tu connaissais, à la sonorité étrange et pourtant familière, pour ne pas dire familiale. Une langue parlée par certains, très peu en vérité – comment aurais-tu pu penser apprendre un jour que tu étais Fourchelang, toi l’enfant adoptée à quelques mois, dont tu ne connaissais rien de ta famille biologique. Or à cet instant, ce n’était pas toi qui parlais cette langue.

Tu te retournais brusquement, tournant ta tête et faisant suivre tes épais cheveux noirs parsemés de plumes bleues et de mèches de la même couleur – tu en avais rajoutée deux supplémentaires cet été, quand l’ennui te taraudait, qui ne manquèrent pas de t’arriver dans la face quand tu tournas la tête. Tes yeux clairs pétillèrent d’un éclat nouveau, se focalisant sur l’élève dont provenaient ces mots. Il s’agissait d’une de ces nouvelles élèves, aux cheveux châtain et aux yeux de la même couleur, que tu avais trouvé sympathique dès le premier instant.

- Oh oui, c’est extra, c’est ça. Lançais-tu avec une légère ironie néanmoins complice.

Tu levas un sourcil ; le mépris n’était pas dans tes cordes et loin de toi était l’idée de pouvoir y penser, mais il fallait avouer que tu ne savais comment tu aurais pu t’y prendre avec une personne possédant le même genre de talent. Longtemps tu avais cherché les autres violonistes, pour t’en faire des amis, mais toujours cette insolente rivalité bassement humaine avait rattrapé tous tes espoirs – et toi tu te pensais encore une fois unique pour ce point.
Tu te repris quelques instants plus tard, remettant en place une mèche de cheveux qui était tombée de son emplacement.

- Plus sérieusement, tu écris? Qu’est-ce que ça donne?

Tu n’y avais jamais pensé, pensant que cette langue était seulement orale – son écriture ne pouvait être qu’un assemblage de sssh et de saaa, mais l’idée valait quand même le détour. Tu avais considéré ce don comme un secret jusqu’à le cacher à tes parents, et l’écrire était une façon de le dévoiler à chaque personne sachant lire – et elles étaient nombreuses dans l’école, bien que tu te permettais des réserves pour certains.

Tu t’approchais du parchemin pour en prendre connaissance, d’un pas presque timide mais néanmoins gracile.
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Serah Himans
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Ven 22 Aoû - 22:45
Elle avait -encore- raturé un essais....Et si on se basait sur la phonétique... Oui...cela pouvait le faire. Aller, on essaie. Et voilà ce que ça donne. Elle tira un sourire, mi-joyeuse, mi-décidée.

Ce que ça donne:

Soudainement, elle entendit qu'on parlait derrière elle. Zut ! Mince mince mince. C'était la panique. Zut zut zut ! Et si on avait entendu ce qu'elle avait dit ! Le drame. Elle cacha par reflex son parchemin, ou du moins, là où c'était écrit. Elle respira silencieusement avant de tourner la tête, son petit coeur battant. En effet, une de ses camarades était là. Oh, c'était la violoniste ! Oui... Il paraissait qu'elle jouait très bien...Mais sa musique n'était jamais parvenue aux oreilles de la petite bleue. Elle lui sourit, doucement, un peu nerveuse, de peur que sa camarade ait entendu... et...L'information monta -enfin- à son cerveau. Il fallait dire qu'il y avait tellement de choses qui voyageaient dans sa tête que parfois, un rien mettait cent ans avant d'arriver au traitement des données. Enfin, la petite alarme retentit. La violoniste avait répondu en Fourchelang.

- Oh...

Panique levée, fausse alerte, reprenons notre sang froid. Elle se sentit soulagée car après tout, si elle avait répondu en Fourchelang, c'est qu'elle tenait le secret aussi. Donc, pas d'inquiétude. Mais n'empêche, elle avait eu peur, elle ne s'attendait pas à avoir quelqu'un d'autre dans les dortoirs à cette heure ! Enfin, elle baissa le regard et sortit donc de sa cachette, en entier, le parchemin.

- Je ne vous avais pas entendu, pardon... Après tout, à cet heure, je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait quelqu'un d'autre ici...

Elle sourit, légèrement et posa le regard sur son parchemin. Ce n'était pas tellement emballant mais bon. Qu'est-ce que ça donnait? Oh vraiment...on ne sait pas.

- Rien grand chose... ce n'est pas facile en fait. Je ne sais pas s'il faut le faire phonétiquement ou refaire des règles...

Elle leva le nez vers sa camarade et en fait, elle trouvait ça bizarre, mais bon. Ce qu'elle allait demander était tout aussi bizarre.

- Vous voulez vous joindre à moi? Essayer d'écrire cette merveilleuse langue... orale... Oh pardon, j'ai tendance à en faire beaucoup quand il s'agit de langue...

Une langovore, non ça n'existe pas. Mais on pourrait la qualifier de ça. Un jour, elle pourra parler toutes les langues qui existent ! Si si, c'était son objectif...De toute façon, avec le métier qu'elle prévoyait de faire. Elle travaillerait en tant qu'interprète au département de la coopération magique internationale.
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Dim 24 Aoû - 2:50
Voilà que la Première Année sursaute, et tu t’en veux terriblement. Comment as-tu pu lui faire peur, toi qui es si sensible à ce sentiment ! D’ailleurs il semblerait que tu sois trop sensible à tous, tant tu te fais balayer facilement au bout d’un échange de quelques mots – or il se trouve que la jeune élève ne veut pas s’en tenir à des échanges blessants ; le Fourchelang à tes yeux s’y prête très peu, bien que cette langue soit réputée pour être agressive, tu lui trouves une beauté sans pareille. De toute façon tu dois avoir un goût pour voir ce qui est moins beau en beau.
Puis tu sens le rassurement dans ses yeux quand elle se tourne vers toi et elle peut le lire dans les tiens. Après tout, tu as parlé en sa langue, et elle ne peut que te connaître, toi qui es violoniste et préfète de sa Maison. Profitant de cet élan de confiance, tu t’approches jusqu’à te pencher légèrement sur la table de l’enfant à la langue de serpent. Les signes que tu vois sont étranges, et ont un air phonétique – moldu. Tu as une idée, pour lui donner une identité ; il serait dommage que cette langue soit lisible de tous et qu’elle emprunte aux autres, elle qui a sa propre identité depuis plus d’un millier d’années.

- Je pense que tu peux essayer de créer ta propre écriture. Il faudrait lui donner un aspect plus reptilien, et sans être agressif montrer la force de caractère de cette langue. Les formes pourraient se faire moins arrondies, car même si on empreinte cette forme aux serpents mêmes elle donne un aspect pataud – et cette langue est mythique, presque légendaire. Oh, et tu peux me tutoyer, je ne suis pas plus qu’une élève!

Tu es une personne trop perfectionniste, Kitty Churchill. Voilà seulement une minute que tu as découvert le don et les espoirs d’une personne que tu veux déjà revoir ses plans et lui donner de nouvelles directives – comment peux-tu te montrer de cette façon, toi qui tremble à l’idée d’un parcours tout tracé.

- Je suis désolée, je ne voulais pas m’emporter comme ça…

Tu baisses la tête, ignorant que la Serdaigle a quatre ans de moins, et observe tes chaussures quelques longues secondes. Puis, écoutant les propos de la Serdaigle, ton visage s’illumine à nouveau, et tu secoues ta tête pour remettre tes cheveux en ordre.

- Je suis d’accord, j’aime aussi beaucoup les langues, mais encore plus leurs écritures. J’ai – J’ai su lire des participations plutôt tôt, et je la considère comme une langue écrite à part entière, qui s’oralise pour laisser parler les objets que l’on pense inanimés. Je comprends tout à fait ton élan pour celles-ci, et je t’aiderai volontiers dans ta tache.

Tu lui adresses un petit sourire, franc et sympathique, après avoir dirigé à plusieurs reprises ton regard vers le violon qui se tenait sur le canapé de Serdaigle où tu avais appris à parler une nouvelle langue, que tu tentais de faire comprendre à un élève qui avait tout à apprendre.


:3 :
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Mar 26 Aoû - 18:12
Oh, elle avait sursauté et ça avait donné une drôle d'impression à sa camarade de langue. En fait, c'est parce qu'elle était persuadé d'être seule de chez seule dans le dortoir, qu'elle faisait quelque chose qui ne devait pas être montré et qu'elle ne pensait jamais voir quelqu'un qui parlait le Fourchelang dans la même maison. Du coup, ce n'était pas de la peur proprement dite, juste de la surprise. Enfin bon, c'était passé, le calme était revenu et d'ailleurs c'était mieux comme ça. N'empêche, c'était une des préfète de la Maison. Incroyable qu'elle parle la même langue que la petite Serdaigle ! Enfin, la même langue, le Fourchelang hein, parce qu'il était évident qu'on parlait à peu près la même langue quand on venait d'un même territoire. Elle écoutait attentivement l'avis de son aînée. Elle hochait la tête, signe de son approbation avec les propos de sa préfète.
- Oui, oui. En effet, ça serait peut-être mieux de faire comme ça. Les formes un peu moins rondelettes... un peu comme le juste milieu entre les hiragana et le katakana japonais... Avec une petite touche qui la rendrait mythique et qui donnerait une idée sur la durée de vie de cette langue. Je ne connais pas vraiment, ou du moins, je ne suis pas sûre, qu'une langue moldue perdure ou a perduré aussi longtemps que le Fourchelang.

Serah, Serah, Serah. Son éducation était très bien faite ! C'était son genre de vouvoyer les gens, surtout plus vieux qu'elle. Et là, ce n'était pas rien ! C'était une des préfètes !
- Oh, ce n'est pas parce que...Tu... es plus qu'une élève non... C'est juste que j'ai l'habitude de vouvoyer tout le monde jusqu'à ce qu'on me permette de tutoyer.

Elle sourit doucement, se voulant rassurante.

- Ce n'est pas grave tu sais, j'ai fait pareil je crois...

La musique... Les partitions....Mon dieu, elle ne savait rien de trop dans ce domaine, juste que cela donnait un merveilleux résultat, quand la personne savait les lire. Elle n'avait jamais entendu comment jouait sa préfète, tellement elle ne restait jamais en salle commune où on pourrait trouver l'artiste.
- Moi, je n'ai pas vraiment de préférence. Tant que je comprenne et que je puisse répondre, ça me va. En fait, c'est ça que j'aime par dessus tout, le fait de pouvoir communiquer avec tout le monde et quelque part... ça permet de clouer le bec à certaines personnes qui se croient supérieure parce qu'elles parlent une langue, ou leur langue maternelle, qu'elle sont sûre de ne comprendre qu'entre elles. Un jour, je parlerai, lirai, écrirai et comprendrai toutes les langues qui puissent exister. Ou presque. Il faudra que je voie pour la musique... Oh, d'ailleurs, je ne t'ai jamais entendue réellement jouer et pourtant, il paraît que c'est extra !

On sentait cette petite envie d'entendre le violon de sa préfète s'exprimer. Enfin, ce ne serait pas bien vu de le demander. Non. Donc elle ne le demanderait pas. Du tout. Laissons venir les choses d'elles-même. Elle rendit ce petit sourire franc et sympathique. Elle savait que sa camarade était sensible à beaucoup de chose. De toutes façons, il fallait être aveugle pour ne pas le savoir. Elle avait l'air douce et fragile. Entreprenante aussi, prête à tout pour ce qu'il lui tient à coeur. Mais vraiment, la petite Bleue se demandait pourquoi. Pourquoi cet élan d'entreprise spontané ? En fait, elle ne comprenait pas comment on pouvait, comme ça, venir, avec cette confiance qu'elle ne donnerait pas comme ça. Bon ok, le Fourchelang, ça rapproche. Mais même ! Ou alors, c'était la jeune Serdaigle qui était trop bizarre de ce côté. Enfin bon. C'était la petite réflexion du jour, ou du soir.
- Au fait, merci de bien vouloir m'aider !

C'était sincère, même si elle avait toujours une retenue. C'était comme ça chez elle. Pas question d'y aller entièrement à se dire tout ira bien de toute façon il ne t'arrivera jamais rien. Le doute était toujours là. Cette petite peur de se tromper sur quelqu'un.
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Ven 17 Oct - 16:20
La jeune élève, bien qu’elle semble plus grande que toi une fois debout, avait l’air désireuse d’en savoir plus et d’en apprendre ; une Serdaigle dans toute sa splendeur, alors que toi tu n’avais dans les traits des Serdaigle que le tempérament atypique, rêveur. Or vous partagiez bel et bien un point commun, de toute évidence.

Toujours était-il que cette Serah t’écoutait avec attention, et que tu ne comptais pas la décevoir si elle te faisait confiance ; tu étais tellement heureuse que l’on te demande des informations, des conseils!

- Pardon, mais je ne connais rien à l’écriture japonaise. Pour l’avoir déjà vue écrite, je ne peux que dire qu’elle est très belle, mais je ne saurais pas te décrire toutes ses subtilités. Ça tu peux me l’apprendre. Mais je suis au moins d’accord avec toi sur un point, c’est que le Fourchelang aurait besoin d’une écriture mythique. Elle n’a jamais évolué, on peut en être sûrs ; les races de serpents les plus anciennes peuvent communiquer avec nous. Bien que pour moi, tu ne sois que la deuxième personne. Avant, c’était un petit serpent.

Tu souriais à la Première Année, rassurante. Celle-ci avait l’air d’avoir des valeurs très ancrées malgré son jeune âge. Selon toi, il devait s’agir de la famille ; effectivement, si le Fourchelang en était la langue, il y avait des chances que l’éducation de Serah eut été bien faite. Toi, tu n’avais pas eu les mêmes ; une bonne éducation, certes, prodiguée par des parents aimants, mais dont les valeurs royales ou bourgeoises ne faisaient pas partie de la famille Churchill.

- Et bien, bien sûr que tu peux me tutoyer ! Tu affichas un petit clin d’œil à la nouvelle bleue et bronze. Vouvoyer, ça vieillit les gens. Ici, n’aie pas peur de ne pas afficher de telles distances avec tes futurs amis, tu peux tutoyer les élèves que tu souhaites. N’accorde pas trop facilement ta confiance non plus, mais vois les comme des amis avec qui tu n’as aucune frontière au départ, parce que sinon ces sept années vont être longues.

L’air se rafraîchissant, tu pris une couverture sur ton lit afin de t’enrouler dedans, quitte à ne plus paraître aussi sérieuse ; les Septembre étaient de pire en pire depuis cinq ans, à tel point que tu étais sûre que pour tes ASPIC, il neigerait.

- Moi je crois que je préfère certaines langues ; certaines ont l’air agressives, d’autres sont clairement- n’attirent pas, il faut le dire. Je pense que les langues ne sont pas un moyen de communiquer, mais une entrave à celle-ci. Les langues ne peuvent pas traduire tout ce que le corps exprime. Donc peu importe la langue, rentrer en contact est possible ; on comprendra les messages envoyés.

Ton regard se tournait vers le nouveau centre de l’attention, ton violon, resté sur le canapé, presque debout, dont le marron vernis contrastait avec le bleu et le bronze de la couverture et de l’ornement du canapé Serdaigle.

- Je ne joue pas les premiers jours, je préfère savoir à quoi m’en tenir avec les autres élèves ; certains petits ont déjà tenté de l’essayer, et je n’ai pas vraiment été en confiance. Mais si tu veux je pourrais jouer un truc que je connais pour toi.

Il était gênant de se proposer de la sorte pour exposer un quelconque talent, et c’était aussi pour cette raison, bien que tu ne saches pas comment l’expliquer. Le violon était ton protégé, et tu ne le sortais que rarement pour jouer devant les autres, une fois que tu étais en confiance avec les élèves.

Serah, elle, ne semblait pas faire spécialement confiance, et tu ne pensais pas que cela puisse arriver pour toi – il devait être très compliqué de devenir son amie proche, tant elle semblait garder de la réserve ; ce que tu aurais bien souhaité avoir et qui t’aurais causé moins d’ennuis.
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