« Il y avait eu une de ces sensations désagréables — aussi Elise ne put s’empêcher de se remémorer l’an passé ; sa première transformation en vampire, le bruit se fracassant tout contre ses tympans et l’effusion incessante. Elle avait des fois du mal à se dire qu’elle s’y trouvait enfin — la septième année. Tous ses amis, ceux de son âge ; étaient donc partis. Ne restaient que ceux avec qui elle partageait pour la première fois les dortoirs, ceux avec qui elle avait passé quatre années en classe, ses camarades ; et le reste.
Aussi, quand elle cligna des yeux, elle ne peut qu’observer les changements — une sensation de force et des sens plus aiguisés. Baissant les yeux, elle découvrit deux pattes poilues et allongées. Wohw. Loup-garou, elle n’aurait pas pu imaginer. Elle allait se décaler, rejoindre sa tablée quand un bruit fracassant se fit entendre ; détalant à moitié, la blonde qui ne l’était plus vraiment se retourna ; découvrant un dragon à quelques pattes d’elle. Aussi, face à la deuxième créature du genre apparaissant dans la salle, tout semblait. Comment dire. Étroit ? Mal à l’aise, la préfète en chef s’éloigna, sortant hors de la salle ; profitant du calme progressant au fil de sa fugue. Sans trop s’en rendre compte, devenue plus grande et plus rapide de son changement ; elle se retrouva bien vite haut dans le château, ses pattes s’empourprant tout d’abord dans la marre nauséabonde du couloir marécageux pour par la suite s’enfoncer dans des monticules de bulles savonneuses. Aussi finit-elle par s’arrêter en réalisant la fraicheur de la pièce, que sa fourrure avait du mal à annihiler ; ses coussinets brûlant sous l’impact de la neige que trop fraiche.

Silence.
Soupir.

« Redressée sur ses deux pattes la blonde n’avait pu s’empêcher de rire ; tant bien même n’était sorti de ses à présent babines qu’un râle aux bordures sombres. « Calme-toi. » Avait-elle fini par lancer d’une voix précaire — enfin, elle bénissait déjà Flavia pour n’avoir poussé trop loin sa potion ; laissant les élèves parler au travers de leur déguisement d’un jour. « C’est Halloween. » Finit-elle par murmurer, après quelques instants de silence — et que pouvait-elle bien ajouter ? Il réaliserait le pourquoi du comment après avoir entendu cela, non ?

Enfin, venant prendre appui sur le mur glacé à sa droite, la préfète-en-chef finit par gronder ; le ton se voulant pourtant simple, voire préoccupé : « Tu t’es battu ? » Tu as mal ? Aussi la blonde aurait-elle voulu sortir baguette ; soigner le blessé d’un geste du poignet, mais dans sa situation actuelle elle ne pouvait se risquer à l’utiliser. Aussi attendit-elle ; presque patiemment, ressassant dans sa tête le nom qu’elle pensait être celui du garçon. Hammerstein ? Trace fugace de sourire — un petit gars assez troublant, en somme.

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Le loup garou se redressa sur ses deux pattes. Allait-t-il attaquer ? Puis soudain une voix. "Calme toi". Facile à dire, ce n'était pas souvent que l'on croisait un loup garou dans les couloirs. Une louve-garou ici, puisqu'il s'agissait d'une femelle. Non normalement, on ne croisait jamais une créature à Poudlard. "C'est Halloween.". Ah d'accord. Mais pourquoi ne pas l'avoir dit plus tôt...ça devait être un coup de la potion. L'année dernière aussi les élèves, et même les professeurs s'ils le voulaient pouvaient boire une gorgée d'une potion et ainsi se transformer en une créature. Je n'y avais pas participé, ainsi que cette année. Peut être l'année prochaine qui sait. La louve s'adossa au mur du couloir et reprit en me voyant "Tu t'es battu ? Pourquoi cette question ? Il s'agissait sûrement d'une professeur ou bien d'une préfète en chef. Ou bien aussi n'importe quel élève. Je laissais un silence de quelques secondes pour me souvenir que je connaissais cette voix. Il s'agissait d'Elise, la préfète en chef de la maison de Serdaigle. Celle-ci pouvait dire au préfet de Gryffondor que je m'étais battu. Ou peut être pas, puisque celle-ci ne faisait pas partit de ma maison. "Oui...", faisant sortit de ma bouche de l'air froid. Je frottai mes mains en soufflant dans celles-ci. - Tu n'as pas froid ?

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« Il y avait eu un blanc, des paroles et puis un rire — simple et dénué de toute insinuation. Aussi Elise avait regardé son cadet d’un œil amusé ; aux bordures tendres. « Avec toute cette fourrure que j’ai sur moi ça m’étonnerait d’avoir trop froid huh. Toi, ça va ? » Avait-elle fini par lâcher, après un court silence.
Aussi avait-il sans doute fini par mettre un nom sur sa voix, ajoutant une image et des gallons ; elle ne s’en souciait vraiment. Elise avait commencé en bas, après tout : élève dans le gris, dans la norme et sans trop d’amis. Sa promotion en préfète l’an dernier et son couronnement de capitaine avaient changé sa vie, ses habitudes et sans doute sa personne également. Si on avait pu passer à ses côtés en ne percevant qu’une forme éthérée ; à présent s’imposait des noms, des sensations et peut-être même aussi divers sentiments. Elle ne s’en souciait vraiment — à ses yeux tous les septièmes années étaient connus et reconnus ; comme des mythes, en quelque sorte. Ceux qu’on osait pas trop toucher, ceux qu’on abordait d’un sourire sauvage, radieux ou encore bondissant ; ceux allant disparaître dans un an. « Et ne te préoccupe pas des conséquences ou commérages que je pourrais bien faire — l’important est que tu ne recommences pas. » Que tu ne souffres pas, ne t’isoles pas.

Une de ses spécialités, les demi-mesures ; celles ne servant qu’à moitié, prononcées d’un tiers, omettant le plus intime et plus sincère. Ah, Elise.

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La jeune préfète en chef du nom d'Elise transformée en louve à cause d'une potion d'Halloween émit un rire et répondit : « Avec toute cette fourrure que j’ai sur moi ça m’étonnerait d’avoir trop froid huh.». En effet avec toute cette fourrure animale, elle ne devait pas avoir froid. Celle-ci laissa un petit silence de quelques secondes et reprit : Toi, ça va ? ». J'avais extrêmement froid, je ne savais pas quelle température il faisait dans le couloir mais je ne voulais pas le montrer. - Sa va.... La jeune Serdaigle laissa un autre silence s'installer dans le couloir désert à par nous et reprit : « Et ne te préoccupe pas des conséquences ou commérages que je pourrais bien faire — l’important est que tu ne recommences pas. ». Elle reprenait la discussion sur le fait que je m'étais battu. Celle-ci ne savait pas que ce n'était pas la première fois que je me battais. Il m'arrivait de me battre jusqu'à 2 fois par semaine, la plupart du temps avec Flavian mais il m'arrivait de changer de personne. Morgane par exemple, lui aussi en Gryffondor. Je lui souris - D'accord.. Je soufflais dans mes mains pour produire un peu de chaleur. Mince il n'y avait pas de sort pour réchauffer ?

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« Ne reviens pas sur ta parole. » Avait répliqué la blonde dans un sourire. Que pouvait-elle bien ajouter, après tout ? Aussi s’était-elle contentée de dévisager son cadet, le regardant du coin de l’œil tenter de se réchauffer en vain. « C’est dommage que tu ne connaisses pas encore les sorts dérivés. Et ce n’est pas sous ma forme que je vais me risquer à utiliser baguette ou que sais-je. » Regard à droite, au gauche — personne. Elise n’avait jamais été trop frileuse, et par dessus tout ; elle s’était habituée au fil des années aux différents couloirs. Sa forme de louve n’était qu’un artefact supplémentaire à son indifférence au froid extérieur. « Tu peux toujours utiliser un sort de duplicata pour te rajouter un pull ou une pair de chaussettes que sais-je. Sinon on peut toujours aller plus loin. » Ou tu ; ou qu’importe. Le on n’était que facultatif — elle ne savait même pas pourquoi elle l’avait laissé sortir. Courtoisie, protection et rôle d’ainée ; sans doute, le tout doublé par son poste de préfète-en-chef.
Soupir — sourire.  

« Le gamin semblait vouloir partir — qu’y pouvait-elle, après tout ? Ils ne se connaissaient pas plus que ça et ne s’adressaient que rarement la parole. Aussi la blonde le regarda-t-elle s’agiter, fixant à la dérobée la baguette soit disant gelée — l’abandon était si facile, baisser les bras si aisé.
Elle ne se serait jamais laissée abattre, se disait-elle — après tout, qu’étaient-ils, sans magie ? Elise n’était pas certaine de valoir grand chose sans son bois et ses sortilèges sources de mille et une merveilles. Ses pensées n’étaient que sorcellerie et ses songes seuls échappaient à ses routines sorcières. Aussi le regarda-t-elle s’éloigner, ne sachant quoi trop dire — il lui semblait si vulnérable, tout à coup. Si fragile et hésitant.
Flop.
« Tu vas bien ? » Et elle était là, la préfète en chef, s’étant rapprochée d’Hammerstein dès qu’il s’était cassé la figure. « Tu n’as pas trop froid ? Tu ne t’es pas blessé ? » Elise l’inquiète, Elise la grande sœur plutôt que la jalonnée ; son badge de préfète depuis longtemps laissé de côté. Et elle aurait bien aimé l’épousseter, l’aider à se redresser complètement ; mais dans sa condition le tout devenait soudainement plus compliqué. « Tu n’as pas besoin de te presser. » Sourire, la mâchoire se tordant de manière à laisser s’afficher une poignée de crocs.

Maladresse.

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Mince …J’étais tombé devant la préfète en chef de la maison des bleus. Je savais qu’elle allait se moquer de moi…J’entendis des pas se rapprocher doucement dans la neige. Puis la voix d’Elise. « Tu vas bien ? ». Je me relevais difficilement et épousseta la neige qui étais sur moi. Je répondis, dos à la jeune fille. - Oui…j’ai un peu froid…. La préfète en chef reprit en me demandant si je n’avais pas trop froid et si je m’étais blessé. Pourquoi souhaitait-elle savoir tout cela ? Je ne faisais pas partit de sa maison…Etait-t-elle comme ça avec tous les élèves plus jeunes qu’elle ? - Un peu mais ça va…Non je ne suis pas blessé…. Elle termina ensuite en me disant que je n’avais pas besoin de me presser. Elle avait raison…J’avais le temps pour sortir du couloir. Surtout que je ne savais pas si on était au milieu du couloir ou prêt de la sortie. - Heu…tu sais combien de temps dure la transformation ?...

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« Il était comme un cerf blessé, tachant de reculer et de s’éloigner d’un danger invisible ; tendu à l’extrême, presque tétanisé. Et ça lui faisait un peu mal à Elise, de voir ces douleurs et ces incertitudes dégouliner d’un petit bout de rien du tout. Elle ne pouvait que souhaiter l’épanouissement chez les autres, ne pouvait s’en occuper à leur place. C’était un peu comme les examens, on pouvait toujours aider ; mais une fois l’élève retrouvé seul devant sa copie, aucune aide extérieure n’était donnée. « Je ne vais pas te manger, tu sais. » Rire, la blonde ne savait pas trop pourquoi le tout était sorti de cette manière — « Et hm. Jusqu’à ce que j’aille me coucher si je me souviens bien. Mais l’autre solution est d’aller reboire de la potion — je pense que c’est ce que je vais faire, il doit encore y avoir du monde ; c’est le genre d’événements qui maintient tout le monde debout et tout le monde en forme huh. » Enfin. Que vouliez-vous qu’elle fasse, l’Elise ? Poussant gentiment le brun, elle se mit en mouvement avec lui : « Viens, qu’on sorte de là avant que tu attrapes une cochonnerie qui te clouera au lit pendant huit jours. »

Rire. « Justement, le principe c’est de se transformer à nouveau. Tout en priant pour que ce soit moins pire ou plus marrant. » Moue un peu attendrie — ne ressemblant guère à rien sous sa masse de poils et ses rangées de crocs. « Mais ne t’inquiète pas, la potion est faite pas Mantis ; si on se change en euh. Dragon, par exemple ; on n’en garde que les propriétés. On est pas méchant, un peu comme moi en louve-garoute huh. » L’an dernier avait été marrant aussi, la blonde se souvenait s’être transformée en vampire puis en centaure. Il y avait sans doute eu quelque chose d’autre mais cela lui échappait. Enfin. « C’est un événement officiel au château, des profs prennent aussi de la potion ; c’est assez marrant. Tu verras quand on descendra un peu on tombera sous toute une ribambelle de gosses égarés et d’étudiants hilares sous leur forme étrangère. » Et elle ne savait pas trop quoi dire de plus, l’Elise ; continuant de mener son cadet vers la sortie au possible. « J’aime bien ce couloir, étrangement. Une fois que tu maitrises bien certains sortilèges c’est un vrai plaisir ! » Assez romantique, aussi. Enfin, elle se garda le commentaire ; à ressortir pour une fille, pas un garçon. Herm.
Aussi la dernière question de Marwin laissa la préfète un peu pantoise ; un peu triste — il semblait si fragile, à balancer ce genre de questions maladroites. « Hm… » Et elle ne savait pas trop quoi répondre, ne pouvait pas vraiment se prétendre maman — elle n’en avait pas les traits ni attributs. « Ce n’est pas car je représente la maisonnée serdaigle et ait plus d’autorité sur les autres que je dois me montrer égoïste ? On est tous des étudiants, peu importe notre maison. Puis c’est toujours la galère chez les rouges entre Ben, Gray et les autres fous ; je parle pas des énergiques à la Toulouse qui tiennent pas plus de deux secondes sur leur chaise. Alors on va dire qu’au lieu d’étendre mes ailes sur un nid ; j’essaie de tous les englober au possible. » Sourire.
Un peu maladroit, lui aussi — un peu comme lui.

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La jeune louve préfète se mit à rire. Elle me dit que c'était le principe de la potion de se retransformer à nouveau. - Tu penses que je pourrais essayer moi aussi ? Si je peux, j'espère ne pas tomber sur un troll ou un gobelin.. Je n'imagine même pas ma tête si je me transforme en gobelin. Je ferais fuir toutes les filles. Un méchant gobelin en plus...La préfète m'expliquait qu'il s'agissait d'une potion inventée par une professeure (?) et que seulement le physique changeait et non le caractère de la personne. Heureusement...J'imaginais un élève transformé en vampire assoiffé de sang. La panique générale... « Et...il y a eu des problèmes l'année dernières, genre des accidents et tout ou non ? » Oh, même des professeurs pouvaient boire la potion ? C'était vraiment cool.  « Et...la transformation part au bout de combien de temps ? Quelques heures ou il faut attendre le lendemain ? Je demandais, au cas où je tombais sur une transformation de gobelin. Elise aimait bien ce couloir plein de neige. Il était assez joli à voir mais je venais ici pour la première fois. Tout en marchant, la préfète m'expliquai pourquoi elle réagissait comme ça avec moi, gentiment, alors que je ne faisait pas partit de sa maison.  « Oui, on est tous des étudiants...Hey ! Je ne suis pas comme eux ! Je connais Ben un peu...c'est vrai qu'il est...spécial et assez violent. Je le suis aussi mais beaucoup moins que lui...ça va, pas trop compliqué d'être préfète ? » On arrivait à la sortie du couloir. Ça faisait du bien de ne pas sentir ce froid mordant.  « Tu veux aller dans la grande salle ou tu as quelque chose de prévu ? »

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« Bien sur que tu peux — tout le monde peut, tant que tu ne le fais pas trop tard ! » Sourire en coin alors qu’Elise poursuivait : « Après, tu peux en reprendre deux fois ; au cas ou si tu n’aimes pas ta forme — mais je me souviens avoir été changée en centaure l’an dernier et en vampire. Assez particulier, je préfère être ainsi ; enfin. » Regard pensif puis petit rire : « Avant de partir de la salle, un gryffondor s’est transformé en dragon — tu imagines ? » De quoi écraser les pauvres gobelins encore déstabilisés par leur nouveau statut, hinhin.
La question quelque peu hésitante de son cadet surpris la blonde préfète — elle ne s’attendait que rarement à ce genre de prudence : « Les accidents ne sont pas rares à Poudlard, comme dans le monde magique — mais ne t’inquiète pas, les créatures en lesquelles tu te transformes perdent leur agressivité, nous sommes elles mais — en plus dociles, gentils ? Sans les inconvénients caractériels, en gros, vu que nous restons nous-mêmes. Donc hormis les problèmes de locomotion des sirènes, et les petits êtres manquant d’être écrasés par les gros balourds ; tout va bien — et tout est toujours bien pris en charge. » Et elle se sentait un peu comme une présentatrice, la blonde Elise — comme ces personnes expliquant en long en large comment utiliser quel manuel ou expliquant à quoi correspondait cet évènement à venir dans le Londres Magique. Enfin, dans les mesures du possible — il y avait toujours une zone d’ombre, d’incertain et d’imprévisible ; chez les sorciers. « Je crois que la potion perd ses effets à minuit, du moins si je me souviens bien. Demain tu seras de nouveau toi-même ; donc pas de soucis à ce niveau là si tu te transformes en détraqueur ! Tes copains pourront dormir sans peur. » Rire simple sous la blague un peu vaste, un peu tout un peu rien — une plaisanterie commune faisant sourire sans trop tuer de rire.
Aussi les deux étudiants continuaient leur marche, la neige absorbant le bruit de leurs pas — seuls persistaient leur voix. « J’espère bien que tu n’es pas comme les plus grosses brutes de ta maison ! On en a déjà deux voire trois, pas besoin d’un de plus hehe. Eeet — la première année est radicale, je trouve que ça change beaucoup la personne ? Enfin ça m’a pas mal changée en sixième année, maintenant c’est plus une routine qu’autre chose — ça me manquera un peu l’an prochain, je pense ; quand je serai sur Londres, tu sais. » Esquisse un peu étrange, dissimulée sous le long museau et la fourrure abondante. « Je descends aussi, j’ai promis de retrouver un ami — je compte changer de forme par la même occasion, du coup. Tu vas essayer, du coup ? » Regard en biais, amusé.

Il était temps de vivre, Marwin — ta jeunesse.