Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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summer time sadness ► ft. Summer Slutherland.

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Mar 28 Avr - 5:21


Qui est-il?

Tu ne le t’aies jamais réellement demandé, puisque tu ne l’as jamais réellement vu. Cet homme qui réclame tendresse et caresse, qui inspire la candeur et expire le désir, qui s’appelle Summer. La première fois, tu ne sais plus trop quand, tu ne sais plus trop pourquoi, mais ça sentait le bébé chiot. Ton odeur favorite celle qui émoustille le moindre de tes sens et qui te rend soudainement sociable afin de savoir d’où provient cet arome. Accompagné d’un ami ou peut-être deux, tu ne sais plus – tu ne t’en rappelle plus – te voilà bien innocent et pourtant souriant à leur poser cette stupide question :

« Qu’est-ce que cela? »

Tous se mettent à rire, sans quoi tu t’en fiche, tu ne comprends même pas ce qu’il y a de drôle dans cela – ce qui a de drôle tout court. L’un après l’autre, ils se regardent avec ses yeux complices, se demandant qui allait bien répondre à ta question si « évidente » de réponse.

« Bien, tu vois Dick, on a ce qu’on appelle un vélane dans notre année et notre maison. Puis, ce type, qui osera lui résister, le regrettera aussitôt.»

Mais tu ne l’avais plus écouté. Aussi rusé peux-tu être, tu es idiot à tes heures également. Tu avais ta réponse et tu as oublié courant après le chat d’un élève quelconque puisque la personne en tant que telle tu t’en fichais, mais le chat, il était doux et mignon.

Peut-être au final regretteras-tu un jour de ne pas avoir écouté ton « ami », car celui-ci t’aurais évité tout cela.
Tout ce qui t’arriveras, là, présentement.

Dans le dortoir des Serpentard, te voilà devant le miroir à te brosser les dents de manière méthodique. Tu brosses à gauche et brosses à droite puis ensuite en haut et puis en bas et tu te rinces et tu craches. Tu restes fixe à ton reflet le visage blême d’émotions et te dirige dans ton lit. Durant ce mini trajet, tu trébuches légèrement sur un truc poilu. Croyant que c’était le livre des Soins des Créatures Magiques de l’un de tes confrères, tu te penches alors automatiquement vers le sol pour le prendre et le déplacer sans plus ou moins regarder ce que tu fais. Tu te fais griffer. Griffer par le livre? Tu ne comprenais pas trop et c’est alors que ton regard croisa le sien. Precious. Son regard de félin si profond, si tendre et si velouté. Tu t’imaginais cette scène de film, sur une énorme colline d’herbe verte sur laquelle tu tiens les deux pattes avant de Precious (que tu appelles tout simplement le chat pour l’instant), en tournant sur toi-même avec lui. Un rêve. Mais, il t’ignora tout simplement et parti rejoindre son maître. Summer. Tu reconnus aussitôt cet odeur de bébé chiot, mais ne fit pas le lien. Sans plus tarder, tu rejoignis ton lit en quête d’idées pour voler le chat et le remettre ainsi dans son lit avant le réveil de son maître. Tu te dis qu’il fallait logiquement attendre que celui-ci soit au lit et endormi avant toute chose.

Et comme de fait, après une quarantaine de minutes, tu te dis que l’élève de Serpentard devait être endormi. D’un bond, tu te lèves doucement, quittant la chaleur de tes draps pour rejoindre le chat blanc. Ayant observé où se situait le lit, tu compris que le félin dormait avec son maître et paraissait plutôt retissant à l’idée de se faire flatter par d’autres personnes que lui. Tu n’abandonnas pas pour autant, au contraire. À quatre pattes, tu marchas jusqu’à son lit, t’assurant de ne pas trébucher sur quoique ce soit. Tu plaças également une main devant toi pour t’assurer de ne foncer dans rien et grâce à celle-ci, tu touchas finalement l’un des bouts de bois du lit du chat. Tu levas ta main à la hauteur du matelas du garçon de Serpentard et commenças à tapoter tout ce qu’il y avait à la portée de ta main. Tu tapotes, tu tapotes, tu tapotes et finalement, tu crois avoir trouvé la patte du chat. Trouvant cela étrange, tu lèves tes yeux et réussis à percevoir à travers le noir ce que tu venais de trouver. Tout ce que tu peux dire, c’est que ce n’était pas la patte du chat, ni rien d’autre de celui-ci.

Cela appartenait à Summer…
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Summer M. Sutherland
Summer M. Sutherland
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Ven 1 Mai - 23:03
Summer avait passé ses doigts d’ivoire sur le rebord en bois de son lit de dortoir.
C’était une habitude moldue – chaque mauvaise prémonition, chaque crainte exprimée était balayée par ce simple geste furtif qu’on croyait porteur de chance. Un sourire se dessinait sur ses lèvres en repensant aux lettres de Dahlia, à celles de Rose. À l’été qui s’approche et aux longues, longues après-midi alourdies de baisers lumineux, sans personne pour te juger (aussi envieux puissent-ils être), sans Fayot dans les pattes (aussi assidu dans son travail soit-il), sans rien d’autre que son frère, sa mère, ses chats et ses amis.

Le soleil s’était couché depuis longtemps et toutes les rêveries de Summer se réveillaient avec le noir. Il imaginait un monde fait juste pour lui, un monde sans préjugés, sans mépris, où il ferait infiniment jour puis infiniment nuit – mais de ces nuits d’été porteuses d’étoiles. Un Poudlard ces cours barbants mais qu’on dit importants, sans ces couleurs distinctes mais ancestrales, sans ce Fayot épuisant mais apparemment intelligent, sans professeurs mais rien que de la belle magie et de l’amour à profusion.

Il s’était glissé dans ses draps en pensant à toutes ces choses, en rêvant de ce lieu-là. Ensuite il s’était redressé en se rappelant qu’il n’avait pas vu sa précieuse de la soirée, et en remarquant qu’elle n’était pas là à son chevet comme à son habitude. Il l’appela une fois mais elle ne répondit pas. Il eut peur qu’elle ne soit encore dans les couloirs de l’école et qu’elle tombe sur un professeur ou un préfet s’assurant encore que tous les élèves aient bien gagné leurs dortoirs. Si elle tombait sur le Fayot et que par malheur elle s’en prenait à lui, elle serait punie et Summer aussi – même s’il aurait raison de les punir. Il lâcha un profond soupir en pensant que oui, ce château serait définitivement un meilleur endroit sans lui, même si on le dit juste et digne, Summer préférait de loin une école libre et sans restrictions ; une utopie, en somme.

Mais Summer s’était à peine glissé hors du lit qu’il aperçut Precious au loin, se pavanant comme la reine qu’elle était dans sa direction. Il soupira de soulagement, il n’aurait pas à la chercher en secret dans le couloir en enfreignant le couvre-feu et en risquant de tomber sur le préfet cauchemardesque. Le chat sauta sur son lit alors qu’il s’y recouchait et Summer se mit à lui caresser la tête en lui chuchotant. « Tu sais que c’est dangereux de se promener dans le couloir après le couvre-feu ? Tu peux tomber sur le vilain Fayot. Enfin, vilain… Il est gentil la plupart du temps, et puis il ferait pas de mal à une mouche… enfin un chat ! Je veux pas que tu ailles le griffer d’accord ? » à quoi l’animal répondit par un doux grognement que Summer ne pouvait pas interpréter. « Et puis, s’il te surprend dans les couloirs en train de faire ton aventurière, il viendra me sermonner. Il ne fait que son travail, parce qu’il est correct, mais tu ne voudrais pas que je me fasse gronder, pas vrai ? » Le chat l’ignora royalement en se retournant de l’autre côté et en se fourrant dans les draps – bien qu’ils ne pouvaient absolument pas la cacher – et Summer se dit qu’elle avait compris le message.

Il se blottit alors dans son lit et ferma les yeux. Et bientôt il se retrouva dans le monde des songes où Precious était directeur de Poudlard, et le Fayot d’habitude si fier contraint d’obéir à ses moindres ordres.
Un toucher brusque l’arracha à ses songes. Il ouvrit lentement les yeux, et son regard croisa directement celui d’un garçon, accroupi à son lit, la main posée sur la sienne.

… Qu’est-ce qu’il était en train de faire ?
S’il voulait lui toucher la main il n’avait qu’à le demander ! Summer n’aurait pas dit non, il n’y avait aucune raison pour qu’il le fasse en cachette. « Hey, salut. Um. » Summer n’avait pas retiré sa main, pourtant. « Qu’est-ce que tu fais ? Tu es dans ce dortoir ? » Il n’avait pas le souvenir de l’avoir déjà vu avant, mais Summer n’avait pas une bonne mémoire de toute façon. « Si tu ne l’es pas tu vas te faire attraper par un autre élève, et puis le Préfet Fayot te punira, parce qu’il est sérieux. Et il n’aime pas qu’on fasse des attouchements sur d’autres élèves alors qu’ils dorment. » Il lui sourit pourtant, en bougeant légèrement les doigts dans sa main. « Tu aurais pu demander, je n’aurais pas dit non. » Il se redressa finalement, et se pencha dans sa direction sans s’arrêter de sourire. « Tu sais comment je m’appelle ? C’est quoi ton prénom ? »
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Sam 6 Juin - 6:09
Tu ne savais pas trop à quoi t'attendre. Malgré le noir qui se brouillait dans la salle, tu sentais l'aura que dégageait le Serpentard. Doux sous ta main, tu pouvais sentir ses doigts bouger légèrement. Le visage platonique, au fin fond de toi, tout était en ébullition. Tu ne pouvais le voir, mais tu ressentais toutefois sa beauté vélaneuse.

Tu avalas le surplus de salive dans ta gorge et lui parlas finalement.

« Je.»

Le seul mot qu'il a pu s'évader d'entre ses lèvres. Il était si beau. Trop de questions de sa part, trop d'embrouillement dans sa tête. Maintenant, tu ne voulais plus que lui. Son nom, son lit et le reste de lui, de Summer. Tu ne lui en voulais pas de ne pas savoir ton nom puisqu'après tout, tu te fais plutôt petit à travers les Serpentards. Pour lui, tu aimerais te faire grand - similaire à n'importe quelle autre personne. Peut-être tes sentiments variaient à son égard, qui sait. Tu ouvras de nouveau tes lèvres pour glisser d'autres paroles. Il s'attendait surement à une réponse plus homogène. Mais non.

« Oui. Ok. Oui, ok. Non. Di..."

Tu ravalas ta salive. Trop de lettres, trop de mots, s'en était de trop. Tu avais un temps limite pour pouvoir t'adresser au Serpentard. Tu restas sans mot pour finalement ouvrir le dialogue entre vous deux.

« Tu sais. J'aime bien ton animal. Il est beau. »

Tu rougis. L'ensemble de ton être s'enflamma tant disque ta petite patate tambourinait si fort sous ta poitrine. Tu pouvais sentir son regard de vélane flatter sans gêne le tient. Dans ta tête, il fut le désastre fulminant. Tu n'étais un homme de parole et tu ne le sauras probablement jamais de toute ta vie. Pourtant, le bonhomme tu ne voulais pas lui dire au revoir sans même n'avoir eu plus que le simple instant passé, main sur la main. De manière entièrement non-verbale, tu sus qu'il donnait raison à tes pensées. Tu souris intérieurement et le rejoignis lui et son animal domestique. Tu voulais en être plus près, mais tu voyais un aura te poussant à l'inverse. Tu te glissas vers la droite, où tu tombas dos à nez sur ton hôte. La tension augmenta dans tout ton être.  

« Je. Bien. J'aime bien notre...position.»

Doutant de ses mots, il s'arrêta net et repensa à ses dires.

« J'aime vraiment.»

Ni Fayot, ni personne ne pouvait rompre le moment d'extase que tu vivais dans le lit de Summer. Sans même n'avoir rien fait. Tout simplement sa personne physique et sa manière d'agir te mettait « à l'aise».

« Et maintenant? »

Tu ne savais vraiment pas pourquoi tu te retrouvais dans ta situation présente, tu ne savais pas de quelle manière tu as bien pu atterrir dans son lit. Tout était flou. Tu savais seulement et uniquement qu'il ne s'agissait que du début.
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