Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez

Being for the benefit of mr Cat! & Juliet

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Poufsouffle



Peggy Renner
Peggy Renner
Messages : 148
Date d'inscription : 11/01/2015



Being for the benefit of mr Cat! & Juliet Vide

MessageBeing for the benefit of mr Cat! & Juliet Empty
Sam 25 Avr - 6:04
Il était un peu tard pour une matinée de week-end à Poudlard. Peggy aimait bien se lever un peu trop tôt, ou un peu trop tard c’était pareil : ça lui permettait d’éviter d’avoir à parler aux autres filles de son dortoir, et Peggy, elle aimait bien ça, parce que ça la stressait un peu, les gens.

Et puis elle était à Poufsouffle, alors elle était sûre que quoiqu’elle fasse, elle pouvait avoir un énorme petit déjeuner si elle en avait envie. Elle connaissait le mot de passe secret pour entrer aux Cuisines. C’était un secret facile à apprendre à Poufsouffle, et puis Peggy aimait bien apprendre de nouveaux secrets. Et les elfes là-bas, ils étaient tous gentils.

Peggy s’habillait. Elle était encore dans son pyjama, une sorte d’immense t-shirt trop grand avec un nounours souriant dessus. Elle était en train d’enfiler ses chaussettes quand elle se fit déranger par un discret miaou.

Oh.

Un chat! Enfin, une sorte de chat, un fléreur plutôt. Qui la regardait avec ses grands yeux curieux.

Peggy lui fit un immense sourire et s’en approcha doucement. Puis elle s’accroupit gentiment et se mit à lui caresser la tête. Le fléreur se mit à ronronner de plaisir, et Peggy se mit à sourire encore plus grand.

Elle aimait beaucoup les animaux. Elle aurait bien aimé en avoir un elle-même, mais c’était compliqué, à cause des étés qu’elle devait passer à l’orphelinat, alors elle passait parfois du temps à cajoler les animaux de passage, ceux qui voulaient bien. Poudlard était peuplé de toute une faune animale que la plupart des gens ne remarquaient qu’à peine. Plein de gens avaient des animaux de compagnie, pourtant. Et puis il y avait plein de hiboux à Poudlard aussi, qui voletaient joyeusement dans les volières et dans le château. Et même les autres - les petits insectes et les araignées dont elle pouvait s’approcher - elle les aimait bien. Tout le monde les trouvait moches et dégoûtants, et pourtant ils étaient là, et ils étaient fascinants, avec leurs pattes et leur carapace solide, et leurs inventions incroyables comme les toiles d’araignées qui devaient demander un travail incroyable et qu’on virait d’un coup de balai. Peggy ne tuait jamais les araignées. Elle en avait un peu peur parfois, mais elle se reprenait vite et elle les laissait grimper sur ses mains avant de les amener à la fenêtre, ou dans des recoins du château où on les laissait tranquille.

Et là, il y avait un fléreur qui avait envie de jouer avec elle, c’était clair. De ronronnements, il s’était mis à la câliner, glissant entre ses jambes et se collant à elle, cherchant les caresses et les attention, que Peggy lui donnait avec plaisir, riant un peu parfois, parce qu’il la chatouillait sans la vouloir, et aussi parce qu’il était adorable et terriblement mignon. Et puis le félin grimpa sur ses jambes et s’installa confortablement, se frottant la tête et s’étirant pour chercher les caresses, pendant que Peggy toute heureuse le cajolait autant qu’elle pouvait.

Et puis soudain une ombre vint bloquer la lumière du couloir. Peggy leva les yeux. C’était une apparition, un peu soudaine, qu’elle n’avait pas vue venir, une autre élève mais Peggy l’aurait presque prise pour une sorte d’esprit fantôme du Château, avec sa crinière rousse complètement décoiffée, et énorme, qui entourait son visage comme une aura flamboyante, scintillant à cause de la lumière du couloir derrière, et son visage tout blanc, tacheté lui aussi, et portant un sourire étincelant, immense, irradiant tout le dortoir de Peggy d’une joie toute pure et simple et vraiment, vraiment très intense.

Peggy se braqua, et le fléreur fit un miaou enjoué. La petite Poufsouffle sentait que dans quelques instants à peine, des cris d’excitations surexcités allaient lui tomber dessus. La nouvelle venue avait l’air très, très heureuse, et c’était un miracle qu’elle soit déjà restée silencieuse aussi longtemps. Elle avait l’air d’être du genre à péter la forme en permanence, et d’être aussi bruyante qu’elle était énergique. Tout le contraire de Peggy. Oh là là. Pourquoi est-ce qu’elle s’intéressait à elle? Dans quoi est-ce que Peggy s’était encore fourrée?
Revenir en haut Aller en bas

Invité



Anonymous
Invité


Being for the benefit of mr Cat! & Juliet Vide

MessageBeing for the benefit of mr Cat! & Juliet Empty
Sam 25 Avr - 9:01
C’était une belle journée aujourd’hui. Le soleil brillait par la fenêtre du dortoir et c’est sa douce lumière qui avait fini par réveillé Juliet à 10h du matin, elle qui n’avait pas fermé les rideaux de son lit. Elle était encore à moitié endormie, la bave aux lèvres, sa crinière rousse en désordre monstrueux. C’était un samedi, pas de cours aujourd’hui, juste une journée entière à jouer avec ses animaux de compagnie et à manger des bonbons avec Wendy. Enfin, quand Wendy aurait fini son entraînement de Quidditch. Elle allait aller la chercher au terrain un peu plus tard. Elle lui manquait beaucoup, sa Wendy, elle avait l’impression qu’elles ne passaient presque plus de temps ensemble.

En attendant, Juliet papillonna des yeux un peu, s’étira dans son lit, paressa joyeusement, le sourire aux lèvres. Elle aimait bien le matin, Juliet. Encore au radar, elle commença à se lever, alla se laver rapidement le visage dans l’évier de la salle de bain, se brossa les dents et vaguement les cheveux - mais pour ça, elle laissa tomber bien vite, ça ne servait pas à grand-chose.

Elle commença ensuite à servir à manger à son fléreur, toute contente parce qu’elle savait très bien que l’odeur allait l’attirer et qu’elle pourrait lui faire des câlins pendant qu’il mangeait. Samson était très connu chez les Poufsouffles pour être capable de manger et de ronronner en même temps, ce qui amusait beaucoup Juliet. Mais elle attendit quelques secondes et Samson ne venait pas. Elle l’appela un peu à travers la chambre, regarda sous les lits, mais rien, pas de Samson. Peut-être qu’il était sorti ? Encore en pyjama (qui était vert avec des hippogriffes qui gambadaient joyeusement dessus), pieds nus, elle sortit de son dortoir pour appeler Samson dans le couloir. En passant à côté du dortoir des troisième années, elle entendit un petit miaulement et, ni une ni deux, sans même penser à frapper à la porte qui était déjà ouverte, elle y rentra.

Samson était là, avec une petite troisième année qui le caressait, et le fléreur, ravis, ronronnait contre ses jambes. La petite avait les cheveux bleus, et Juliet se demandait bien pourquoi elle ne connaissait pas son prénom, alors que visiblement elle était à Poufsouffle et qu’elle croyait connaître tous les Poufsouffles, ou presque. Mais en tous cas, Samson l’avait visiblement adoptée. Et tous les amis de Samson étaient des amis de Juliet. Alors, cette fillette était l’amie de Juliet. CFQ… quelque chose, elle se souvenait plus.

« Bonjour ! » Tonna-t-elle d’une voix claire en rigolant un peu. « Samson t’aime bien on dirait ! C’est un très gentil fléreur, il est amical, mais seulement avec les personnes qui le méritent - parce que c’est un fléreur, il est encore plus intelligent qu’un chat tu te rends compte ? Moi je m’appelle Juliet. Et toi ? »
Revenir en haut Aller en bas

Poufsouffle



Peggy Renner
Peggy Renner
Messages : 148
Date d'inscription : 11/01/2015



Being for the benefit of mr Cat! & Juliet Vide

MessageBeing for the benefit of mr Cat! & Juliet Empty
Mar 12 Mai - 1:44
Peggy se mit à trembler, couinant presque de terreur sous les injonctions joyeuses de la rouquine de Poufsouffle.

Une partie de son esprit était en train de disserter sur le fait que, franchement, ce fléreur aimait tout le monde sans discrimination, un peu comme sa maîtresse, qui pensait qu'il n'était ami qu'avec les personnes qui méritaient de l'être, sauf que tout le monde méritait d'être son ami, et que c'était stupide d'installer une division élitiste de cette façon quand tout le monde était en fait concerné.

Une autre partie de son esprit était en train de tenter de la rappeler que ce n'était pas du tout le moment de se préoccuper de ça, parce qu'on était en train de lui parler, et que la politesse exigeait de Peggy une réponse, un sourire, un bonjour, un votre fléreur est mignon, un comment va votre copine, n'importe quoi, tout était mieux que de rester silencieuse et pétrifiée comme ça.

Une dernière partie de son esprit, la plus envahissante de toutes, était en état d'alerte, parce qu'elle avait réalisé que quelqu'un était en train de lui parler. Là. Maintenant. Tout de suite. A elle.

Peggy était gentiment en train de sombrer dans la panique la plus totale.

Samson le fléreur commençait à sentir la crispation de la petite fille et tenta de se dégager de son étreinte, qui quelques instants plus tôt était encore un gentil câlin, et qui maintenant était une sorte de prison transmettant au félin la nervosité de la petite. Et le serrant trop fort. Samson miaulait toute sa protestation. Et Peggy tentait vainement de faire du bruit avec sa voix.

« Uh- uh- uh- uh »

Parce que des paroles, c'était vraiment trop lui demander, là.

Samson finit par la griffer, et s'enfuit en courant vers Juliet, avant de regarder Peggy de nouveau, avec curiosité, ou incompréhension, bien à l'abri entre les jambes de sa maîtresse.

Et Peggy se mit à pleurer toutes les larmes de son corps.

Là, comme ça, dès le matin, alors qu'elle était en pyjama, ça faisait beaucoup trop d'un coup. Peggy n'était pas vraiment capable de gérer la gentillesse extravertie de Juliet.
Revenir en haut Aller en bas




Contenu sponsorisé


Being for the benefit of mr Cat! & Juliet Vide

MessageBeing for the benefit of mr Cat! & Juliet Empty
Revenir en haut Aller en bas

Being for the benefit of mr Cat! & Juliet

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WIGGENWELD ! :: 
 :: Sous-sols et cachots :: Salle Commune des Poufsouffles :: Dortoirs filles
-
Vote pour WW parce que tu l'aimes ♥