Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
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gryffondor
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l'unité
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Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
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“Du sublime au ridicule, il n'y a qu'un pas.” |NAPOLEON

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Serpentard



Napoléon Desrosiers
Napoléon Desrosiers
Messages : 58
Date d'inscription : 25/07/2015



“Du sublime au ridicule, il n'y a qu'un pas.” |NAPOLEON Vide

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Sam 25 Juil - 13:27

NAPOLEON DESROSIERS

There once was a boy named Napoleon

Prénoms ϟ Napoleon Henry.
Âge ϟ 12 ans.
Nationalité ϟ Britannique, d'origine Française.
Origine ϟ Sansg-mêlé.
Année d’étude ϟ Deuxième année.
Options ϟ Aucune, il est bien trop petit.
Maison ϟ Serpentard

Destined to be a leader


Baguette Magique ϟ Une baguette presque trop longue pour son si petit gabarie, en bois d'Orme, et ventricule de dragon.
Patronus ϟ Il est encore incapable de réaliser le sort.
Odeur de l'Amortentia ϟ Une odeur de souffre combinée à celle du vinaigre, avec une pointe de détergent.
Forme de l'épouvantard ϟ Un échiquier où le roi est tombé. Echec et mat.
Reflet du miroir du Riséd ϟ Lui bien sûr, à la place de Bumblebee.
Peut voir les Sombrals ϟ Non.
Matière préférée ϟ Le cours de sortilèges, parce qu'il est plus grand que le prof. o/
Friandise favorite ϟ Les Gnomes au poivre.
Sortilège favori ϟ Cravatus Flapflaptus. Il en abuse.
Potion favorite ϟ La potion Potiron bien sûr !
Créature favorite ϟ Les centaures. Il rêve d'en avoir un comme monture personnelle.
Plante favorite ϟ L'Alihosty. Il adore la servir aux autres en infusion.
Sorcier célèbre en modèle ϟ Heatus Bumblebee.

But he's just a little and mean brat

Du haut de ses douze ans, Napoléon se voit déjà comme un grand.
La première fois qu’il vous a vu, assurément, il s’est redressé, a réajusté sa cravate et tendu sa main en se présentant fièrement comme le digne successeur de Heatus Bumblebee. Car le garçon s’imagine déjà depuis ses deux ans, qu’il deviendra un jour le prochain Directeur de Poudlard. Il ne se doute pas vraiment des obstacles, à douze ans, on n’imagine pas l’impossible. Ce n’est pas un mot de son vocabulaire. Et puis ce que Napoléon veut, on le lui donne. On pourrait y voir de la prétention, de l’audace, la chance de l’insouciance. Il sait d’avance que la vie ne l’a pas oublié et que dans la grande loterie de l’univers, il a tiré le ticket gagnant. Il sera un grand sorcier, il n’est qu’à quelques centimètres de le devenir. Ce n'est pourtant pas juste de la vanité, rien qu'une vérité. Napoléon a le luxe de ne pas se refuser grand chose. Quant à Waterloo, cela lui semble bien loin.

Et quand on l’aperçoit au loin, sa démarche nonchalante, ses grands pas pour de si petites jambes, danser d’un couloir à un autre, débrayé et sans classe, lever les mains au ciel en mimant une explosion, éclater d’un rire méphistophélique à vous glacer le sang, son rictus fouineur déformant son visage, on ne peut pas s’empêcher de penser que ce garçon est louche. Ou au moins en train de préparer un mauvais coup. Il a ce petit grain de folie qui le rend si atypique, si étrange, un goût prononcé pour les farces. Il rit beaucoup, de manière très inquiétante, à chaque fois qu’un semblant d’idée germe dans sa petite tête. Ce garçon n’est pas net, non, toujours à regarder les alentours de travers. Il parait brouillon, complètement chiffonné de la cervelle dans un comportement irrationnel, parfois extrême, dépourvu même de logique.

Pourtant, on s'en approcherait volontiers de ce garçon, qui nage un peu dans son uniforme, qui patauge comme un caneton dans la grande cour de Poudlard. Il se pavane, petit fou. Et il y a de quoi, après tout, un jour, il sera préfet, un jour il sera un grand sorcier, un jour il régnera sur Poudlard. C'est déjà son chez-lui. Napoléon attire l’attention sans même s’en rendre compte. Il a cet aura naturelle qui vous invite à venir le découvrir, comme une curiosité chez lui et qui nous fait dire qu’avec une palette de couleurs aussi large et aussi délurée que lui, on ne peut décemment pas s’ennuyer en sa compagnie. On aimerait comprendre ce qui se cache derrière ces gloussements vilains, ces yeux fouineurs posés un peu partout, sur tout. On a bien du mal à savoir ce qu'il pense, ce qui l'anime. Et il bouillonne, vous bouscule et vous chamboule, un coup de pied dans le derrière. Saloperie Desrosiers. Autant d'impertinence, c'en est presque de mauvais goût. Et Napoléon est certainement, de mauvais goût.
Ne croyez pourtant pas qu’il sait manier les mots, ce n’est pas tant son fort, bien au contraire. Ce garçon manque cruellement de discipline, de logique. Souvent, on se dit qu’il ne doit pas toujours savoir ce qu’il dit. Un compliment, une réflexion, un mot qui s’échappe, et une fois dans l’embarras, il ne sait plus aligner deux mots. Il vous dira que vous êtes moche, que vous n’êtes qu’une vieille chouette rabougrie, ou rien qu’une vieille crapule pleine de poux. Le langage Napoléonien est maladroit, tend à s'enfoncer de lui-même, un peu désemparé et livré à l'abandon, alors qu'il consiste à évacuer son angoisse et son stress par une panoplie complète de noms d’oiseaux. C'est bien là le mieux qu'il puisse faire. Etre un goujat et un mal-élevé. Et pourtant il est là, vous autour de lui ou lui autour de vous, dynamique et spontané, plein de folie, excessif sans tomber dans l'agressif, secret.

Mais Napoléon c’est aussi une promesse en rires, en cris, de drôleries. Il détonne. La clope au bec, alors qu’il n’a que douze ans, déphasé, le Louche, son bras autour de vos épaules, pas si rassurant que ça, il vous traîne dans la confidence, vous rend malgré vous complice de ses coups foireux en vous promettant la lune et les ennuis. Car il n’y a rien de plus jouissif que d’ennuyer ses petits camarades. Napoléon est dans la tentation de vous tenter. Souvent, vous ne le lui refusez pas. Il s’en frotte les mains. Napoléon, c’est le petit démon posé sur votre épaule gauche qui rit un peu de vos défauts, beaucoup en fait, susurre à votre oreille, presque inquiétant. Une saloperie de sale garnement polisson à qui on donnerait bien quelques fessées.


But would you like to know him better ?

Parlez nous des relations :
Avec les membres du personnel ϟ Il passe une majeure partie de son temps à les menacer de les foutre à la porte, et à leur rappeler qu'il deviendra Directeur de Poudlard. Et aussi à leur expliquer quelle est la meilleure façon de faire leurs cours. Bien sûr il est agaçant. On lui tirerait volontiers les joues, on lui enlèverait volontiers des points.
Avec les créatures du château ϟ Il rit au nez des tableaux coincés entre leur cadre, s'il croisait Meme, il tenterait sûrement de lui tirer ses petites ailes. Il se moque du pyjama de Superbia, fait la grimace devant la peau visqueuse d'un être de l'eau, tire les oreilles des elfes de maison... Une saloperie.
Avec les Serdaigles ϟ L'un de ses passe-temps favoris est de débouler dans cette très chère Bibliothèque qu'ils investissent un peu trop longuement à son goût, et faire trembler la couverture de leurs grimoires de son grand rire de maniaque. Il se moque de ceux qui vivent leur vie dans les livres. Le sérieux le dérange.
Avec les Poufsouffles ϟ Les dindons de la farce. Il tente de sauver Bobbie de leur médiocrité.
Avec les Gryffondors ϟ Quand il sera Directeur de Poudlard, il fera supprimer cette maison.
Avec les Serpentards ϟ Ils ont beaucoup de chance de l'avoir parmi eux. Bien sûr, il ne supporte pas tous ceux qui le prennent de haut, et tente de rallier les préfets à sa cause en leur rappelant qu'en tant que futur Directeur de Poudlard, ils lui doivent allégeance. Bien sûr, il s'offusque dès qu'on lui retire des points en s'exclamant qu'on ne retire pas des points au futur Directeur de Poudlard. Evidemment, ce qui s'applique pour lui ne s'applique pas aux autres.

There is the story of his poor life.

_ Maman ! Là… Des gnomes au poivre !
_ Napoléon, dépêche-toi.

Laura Desrosiers avançait à un rythme soutenu, son père devant elle traînant toutes ses affaires, alors qu’elle croisait les bras sous sa longue robe de sorcière, renfrognée, jetant encore de ci de là des regards agacés, tantôt exaspérés sur le petit garçon qui s’arrêtait devant chaque vitrine. Dix-sept ans, et déjà mère d’un garçon de presque deux ans. Elle soupira longuement. “L’amour est une sottise faite à deux.” Vraiment.

_ Maman, Maman porte moi !
_ Napoléon, je dois prendre le Poudlard Express, alors dépêche toi !
_ Poux.de.laaard ! Je veux aller à Peau de Lard !
_ Tu es un bébé.
_ Non !
_ Si. Tu es tout petit !


Laura Desrosiers eut un sourire satisfait en voyant le petit garçon hâtait maladroitement le pas, de ses deux jambes mal assurées, la moue boudeuse et rabougrie alors qu'il criait, s'offusquait. Napoléon Henry, comme tous les enfants, n'aimait pas qu'on le traite de bébé. De fait, il n'aimait pas non plus voir sa mère disparaître toute une année dans ce Poud. Lard. Vraiment.

_ Donne-moi la main, ou je t'abandonne dans la rue.
_ NON ! Napoléon pas tout seul ! Napoléon avec Maman !

***

_ Napoléon, viens-voir ma collection.

Napoléon avait très vite assimilé le concept de "vacances". C'était à l'époque la meilleure période de l'année, et donc de sa vie de petit garçon de deux ans, où Laura Desrosiers rentrait enfin à la maison, des bonbons plein les bras, des baisers chauds pour ce fils qui, malgré tout, lui manquait plus qu'elle ne pouvait le croire. C'était aussi un moment de justice, où Papi et Mamie Desrosiers grondaient leur fille, parce que, réellement, avoir des Piètres et des Déplorables, ça ne faisait pas l'affaire de la famille. Et ça le faisait rire, Napoléon Henry. Ca lui apprendrait, à rater la fête la plus importante de l’année, son anniversaire, et de partir si longtemps. Comme si envoyer des lettres avec le son de sa voix pouvait réellement combler le vide d’une absence.

_ Viens sur mes genoux. Regarde, toutes mes cartes de sorciers et sorcières célèbres ! Il me manque juste celle du Directeur de Poudlard, et je les aurai toutes ! Enfin !

Et Napoléon Henry, la tête posée contre la poitrine de sa mère, suçant encore son pouce, suivait le doigt de sa mère qui lui pointait d'ici de là une foule de visages inconnus. Mais le garçonnet avait compris, qu'il y en avait une plus importante que les autres, la dernière. Celle qui n'était pas là.

_ Quand Napoléon grand, habitera à Peau de Lard !

Et Napoléon Henry venait ainsi, à l'âge de deux ans, de sceller son destin. “L’avenir d’un enfant est l’œuvre de sa mère.”

***

_ Napoléon ne sait pas se tenir. Ce n'est pas convenable, qu'un petit garçon réponde aux grandes personnes. Il lui faut de l'autorité, de la fermeté. Et je n'aime pas comme il regarde les gens, trop d'impertinence ! A sept ans, on ne fait pas la loi. On ne maudit pas les gens sous prétexte qu'on les trouve trop grands, et on ne rit pas comme un diable lorsque par une étrange coïncidence, ça marche. Napoléon se moque du monde. Il doit cesser d'agir comme si rien ne le concernait. Tu as passé l'occasion de t'en débarrasser, apprends-lui maintenant à ne pas être en marge, à ne pas être louche. Tu n'as jamais été un cadeau et tu n'as pas fait la fierté de ta famille, alors assures-toi que ton fils ne prenne pas le même chemin que toi, si vous ne voulez pas vous retrouver à la rue !

Laura Desrosiers eut un long bâillement, sourde aux reproches. En regardant son fils se pavaner non loin sur la pointe des pieds avec une longue cape dans son dos tel le petit monarque qu'il pensait être, insensible à ce qui venait tout juste de se produire, elle songea que celui-ci devait être né pour lui apporter des ennuis. Et lorsqu'il passa devant elle, qu'elle l'observa, lui et ses deux petits yeux fouineurs, elle aurait juré que la situation le faisait rire. Elle sut alors que son père disait vrai et que ce sale petit gobelin ne se sentait absolument pas concerné par le reste du monde. Mais il restait toujours là, dans un coin, sans jamais vraiment la lâcher des yeux. Elle le savait, le convoqua d'une main distraite pour mieux le regarder, capricieuse. Son nabot de fils. Elle lui tira la joue.

_ Ton grand-père est fâché contre toi. Je sais que tu as entendu. Tu ne peux pas toujours faire ce que tu veux sans te soucier des autres, tu n'es pas tout seul, Napoléon. Une dernière chose. Tu portes le nom d'un grand conquérant, alors essaye de t'en montrer digne.

Et Napoléon Henry s'en retourna avec son innocence détachée, orgueilleuse, et sa fierté enfantine, s’imprégnant de cette douce découverte, redécouvrant les sonorités grandioses de son nom. Napoléon. Il rejeta derrière lui la longue cape de velours, d'une main audacieuse, sur la pointe de ses pieds. “Ce que je cherche avant tout, c’est la grandeur : ce qui est grand est toujours beau.”

***

_ Quand les McAllen m’ont dit qu’ils voulaient discuter, je me doutais bien que tu avais dû faire quelque chose. Mais je ne pensais pas que leur Portoloin les déposerait directement au milieu du salon, et je ne pensais pas non plus qu’ils viendraient avec la petite Rebecca… Couverte de Mucus de Veracrasse ! Je n’ai jamais eu aussi honte, tu sais ce que les McAllen ont dit ? Que tu étais un petit gnome mal éduqué qu’une mère indigne était incapable de tenir !
_ Mais maman, ce n’est pas grave puisque moi je t’aime.


Laura Desrosiers, recroquevillée dans son fauteuil, balayant d’une main agacée la déclaration d’amour, les yeux rivés dans le vide se repassait inlassablement les évènements de la journée, les lèvres pincées d’énervement et de ressenti pour le sale petit gobelin qui lui servait de fils. Il n’avait que neuf ans, elle n’était pas une mère exemplaire, c’était vrai aussi qu’elle ne s’en occupait pas toujours très bien et que, souvent, elle se sentait complètement dépassée par les évènements.

_ Je veux que tu lui envois un courrier où tu t’excuses. Tu lui donneras aussi toutes tes Bavboules, de toute façon ce jeu est complètement dépassé.
_ Non, pas les bavboules !
_ Tu me fatigues. Je ne veux plus t’entendre, ni te voir. Je suis déçue, très déçue. Vas-t-en, Napoléon, tu es méchant et je ne t’aime plus.


Et quand le visage fut inondé de larmes, et que se déferlèrent les cris de détresse du petit Napoléon Henry, Laura Desrosiers se contenta de lui lancer un Silencio agacé, avant de simplement détourner le regard et de faire comme si son fils n'existait pas.

***

_ On dirait que tu le fais exprès… Je t’ai dis de laisser la petite McAllen tranquille ! J’en ai assez de voir sa mère m’insulter à longueur de temps juste parce que tu n’es pas capable de te contenir. Tu crois que c’est facile ? Que je peux tout résoudre comme toi, avec des bonbons qui rendent malades ? Cette vieille chouette… Juste parce qu’elle a déjà eu trois enfants… Juste parce que je suis plus jeune qu’elle… Tu m’enquiquines à la fin ! Qu’est-ce qu’elle t’a fait, la petite McAllen d’abord ? Surveille ton langage, Napoléon Henry, parce que je ne sais pas encore si je vais te transformer en petit Boursouflet ou te faire manger ces ignobles friandises…
_ Rebecca McAllen dit que tu étais dans la même classe que son frère, mais que lui travaille au ministère alors que toi, tu étais tellement nulle que tu étais juste bonne à te faire engrosser par une saleté de moldu.


Ce jour-là fut un jour particulier. Napoléon Henry ne fut pas puni pour sa bêtise, et pourtant il pleura aussi, étonné et dubitatif, en contemplant ces quelques gouttes d’eau échappées, ruisseler et rougir les deux joues de sa mère. Il comprit alors instantanément, comme frappé d’une vérité cachée, que cette femme, longue et mince, belle de froideur, tantôt distante et parfois capricieuse de tendresse, difficile, avec son visage parfaitement émacié, encadré de grandes boucles blondes, la peau diaphane, ne lui avait légué rien d’autre qu’un infime fragment d’elle-même. Le bleu éteint, triste et tranquille de ses yeux. Enfin, il se rendit soudain compte, avec une gravité terrible, que son reflet dans le miroir ne ressemblait à personne.

***

Il n’avait que onze ans, et c’était la première fois qu’il prenait le Poudlard Express. Cependant, il ne semblait pas du tout impressionné. Il attendait cela depuis longtemps. La lettre n'avait été que le commencement, enfin, de ce pourquoi il était né. Il embrassait à présent sa destinée. Sa longue frange noire sur ses yeux, sa démarche de canard, la cage de son fauve dans une main, ses gloussements lents à peine audibles se mêlant au râle agressif du chat, il suscitait l’interrogation alors qu’il ne paraissait prêter attention à personne. Bientôt, ils sauraient. Ils sauraient tous, quand on appellerait son nom pour la répartition. Ils sauraient qui il était vraiment. Il le leur crierait en un discours enflammé.
Il fit claquer la porte d’un compartiment presque vide, resta de longues secondes dans l’entrebâillement, son large sourire, maniaque, jubilant. Il sentait Mephisto lourd dans sa cage, impatient, trépignant. Oui, ils n’étaient plus qu’à un voyage de Poudlard.

_ Toi ! Là. La moche, avec les cheveux jaune pisseux. Soulève ta frange et regarde-moi bien, parce que je suis Napoléon ! Et moi, Napoléon, je suis le futur Directeur de Poudlard !


“L’imagination gouverne le monde.”



Back.

Pseudo ϟ Deborah Bolton Bis. Pour vous servir.
Et l'âge ϟ J'ai pris un an, entre-temps.
Male, Femelle, où Dumbledore ϟ Tout est dans le mouvement de la poitrine.
Comment tu as connu WW ϟ DC.
Est-ce que tu aimes WW ϟ Non, c'est pour ça que je fais un deuxième compte o/
Est-ce que tu aimes beaucoup WW ϟ Berk berk berk vous ne m'y prendrez pas trois fois !
Des réclamations ? ϟ Napoléon veut un entretien avec Bumblebee ! Et il voudrait devenir son assistant ! Son stagiaire ! Et comme Iznogoud il sera calife à la place du calife !
Ps : toutes les citations en italique sont de Napoléon Bonaparte.
Personnage sur l'avatar ϟ DANI, original.

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Le Choixpeau Magique
Le Choixpeau Magique
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Dim 26 Juil - 23:31


Tant d'ambition, mon garçon ! SERPENTARD !





Rebienvenue Napoléon ♥️
Un caractère intéressant et un prénom de conquérant, que demande le peuple ?
Tu peux continuer ta fiche sans problème, fais-moi signe quand tu auras terminé “Du sublime au ridicule, il n'y a qu'un pas.” |NAPOLEON 2269147809
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Serpentard



Napoléon Desrosiers
Napoléon Desrosiers
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Lun 27 Juil - 16:30
C'est toujours un plaisir mon cher Choixpeau ♥ Fiche terminée !
Une pluie d'amour pour toi.
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Le Choixpeau Magique
Le Choixpeau Magique
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Lun 27 Juil - 21:41


Cher Napoléon, tu es désormais validé ! Tu peux aller gambader tout nu (ou non) dans les couloirs de Poudlard. Pense à passer dans la Gestion du Sorcier et d'ouvrir ton Passeport Wiggenweld. Tu peux également rejoindre un Club de ton choix ou en créer un. Au moindre besoin, le staff est à ton service - n'hésite pas à faire appel à nous ♥.

BIENVENUE A POUDLARD !



Cette histoire est étrangement attendrissante malgré le caractère d'enfer qui en découle. Un très joli personnage !
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