Lysandre C. HamiltonMessages : 51 Age : 28 Date d'inscription : 01/03/2016
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Mer 2 Mar - 19:34 | LYSANDRE CANDICE HAMILTON-BOURGEOIS There once was a boy named Harry Prénoms ?Lysandre Candice Âge ? Tout juste dix-sept ans. Nationalité ? Née en sol britannique, à Liverpool. Sa mère est anglaise et son père est canadien-français, originaire du Nouveau-Brunswick, d'où l'espèce de mash-up terrible qu'est l'accent de Lysandre. Origine ? Sang-mêlé. D'un père sorcier et d'une mère sorcière née-moldue. Année d’étude ?6ème année Options ?Arithmancie, soins aux créatures magiques, alchimie et divination ( qu'elle a depuis cette année, juste pour rire de l'absurdité de la matière). Maison ? Les meilleurs, les plus beaux ; Gryffondor
Destined to be a star Baguette Magique ? 33 centimètres, bois de laurier et coeur en écailles de cadborausorus. Sa baguette est canadienne elle s'excuse tout le temps. Elle est vive et rapide. Peu souple. Patronus ? "Le battement d'ailes d'un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? " Papillon ; symbole de métamorphose et de féminité. Odeur de l'Amortentia ? Donc si quelqu'un, un jour, venait à éprouver de l'amour pour Lysandre, il/elle sentirait une odeur de boules de gommes, d'agrumes ( d'orange, particulièrement ) et de formol ( il s'agit d'une odeur à laquelle elle s'est rapidement habituée et qui lui procure un certain confort. La famille moldue de sa mère, qu'elle côtoie beaucoup, est spécialisée dans la thanatologie et, éventuellement, la médecine légale). Forme de l'épouvantard ? Un corps mort qui se redresse sur sa table d'autopsie. Elle n'en a jamais vu, mais elle suppose qu'ils doivent avoir l'air moins sereins que ceux qui sont dans un cercueil. Reflet du miroir du Riséd ? Elle, dans sa future boutique de produits pour le corps, en train de se faire récompenser pour avoir permis à la science magique d'évoluer. Peut voir les Sombrals ? Fascinée par la morts et ses traditions, elle souhaiterait ( évidemment, sans avoir à supporter la mort d'une personne proche ), mais non. Matière préférée ? Potions et alchimie. Friandise favorite ? À vrai dire, elle les aime toutes, même si elle a une majeure préférence pour le chocolat. Sortilège favori ? Tarentallegra Potion favorite ?Amortentia Créature favorite ? Les licornes Plante favorite ?La rose jaune Sorcier célèbre en modèle ?Laverne de Montmorency
La renommée est une amie bien peu fidèle. Juger un livre par sa couverture est une erreur majeure, disons. Malgré son emballage en sucre rose, Lysandre est stupide – dans le sens peu sécuritaire du terme. Si on lui propose d'aller gambader dans la forêt interdite ou explorer les profondeurs du lac noir, elle le ferait sans poser de question. Juste pour le YOLO ( oui ) de la chose. Lysandre a besoin de vivre, ne supporte pas de n'être qu'un porte-bijoux ou une toile à maquillage. La blonde s'embarque régulièrement dans des choses plus ou moins sécuritaires juste pour avoir dans son ventre les petits papillons de peur et d'angoisse. Il n'y a pas la moindre signification derrière ses actes. Un facteur dominant pourrait probablement être le fait qu'elle ne craint pas la mort plus qu'il ne le faut et, donc, que ses notions de sécurité en sont brouillées. Hamilton est dangereuse pour elle-même ; elle essaie de ne pas l'être pour les autres, mais forcément que s'ils trainent avec elle... Lysandre qui, dans le but de trouver de nouvelles choses, fait de nombreux essais de potions lorsqu'elle en a la possibilité ( et le matériel, éventuellement. Elle peut pas encore cracher des potions ), tente pourtant le moins possible de les faire tester sur autrui, se servant de son propre corps comme d'un cobaye. Mais Lysandre Hamilton a un problème relativement majeur: son physique lui tient énormément à cœur. Si une de ses tentatives potionesques affecte son corps d'une façon peu subtile et peu camouflable, elle ne se sentira pas bien du tout ; presque au point de ne pas sortir de la salle commune de sa maison. Elle est très superficielle ; elle ne peut sortir sans maquillage, sans cheveux parfaits et perd beaucoup de temps à s'occuper de ses attributs. Ses relations tournent beaucoup autour du physique aussi ; elle n'est presque jamais sortie avec de gentils garçons, car elle porte très peu d'attention au mental. Si son filtre à actions stupides est abimé, son filtre à émotions est complètement brisé. Il s'agit d'une demoiselle très, très, expressive. Si elle se fâche, elle l'extériorise. Si elle est trop heureuse, aussi. Son tact est quasiment absent et elle donne l'impression d'être la réincarnation d'un ressort décédé dans des circonstances nébuleuses. Par contre, peu importe la situation, elle tente de ne pas manquer d'humour, détestant blesser les gens ou les rendre inquiets. Plus est, elle n'endure pas la solitude et ressent un besoin presque constant d'être entourée d'individus qu'elle apprécie. En dehors de son humeur relativement changeante, elle reste plutôt bonne vivante et facile à vivre, même s'il est souvent possible de croire qu'elle agit en belle hypocrite, trainant avec certains individus seulement par pitié, puise malgré tout, il est difficile d'ignorer son habitude à sélectionner ses fréquentations selon une quelconque échelle de beauté et, donc ,très facile de supposer qu'elle ne nous apprécie pas vraiment.
Apprendre est l'essence de Lysandre. Bien qu'elle soit plus du genre à apprendre lentement, puisqu'elle le fait souvent par essais et erreurs, elle ne se démotive que très rarement quand vient le temps d'être tout-à-fait capable d'accomplir quelque chose. Elle n'est pas une élève parfaite, mais disons qu'elle est convenable. Si elle n'est pas en train de répandre des potins, de se casser la gueule ou de se limer les ongles, elle est sûrement en train de lire des ouvrages concernant la physique ou la chimie moldue ou, bien, la fabrication de potions. Si la jeune femme n'a pas de problème à aider qui que ce soit, elle n'arrive pas à se convaincre de se laisser aider. Elle est trop têtue et indépendante, préférant pratiquement perdre son temps que d'admettre ses erreurs. Elle sait que ça lui nuit, mais elle ne tente même pas de se donner la chance de changer, même si ce qu'elle ne comprend pas la frustre beaucoup. Hamilton tient toujours tout en ordre. Rien ne se trouve là où il n'a pas d'affaire et, surtout, son cahier à motifs de zèbres multicolores tient compte de pratiquement tous ses faits et gestes. Bien qu'elle aime agir sur un coup de cœur, sa vie ''normale'' doit être pratiquement couchée sur papier, qu'elle puisse se souvenir de ses moindres faits et gestes. T'sais, tout d'un coup qu'elle finisse sénile d'avance. On peut donc assumer que la rationalité dont fait preuve Lysandre n'est peut-être pas si solide qu'elle prétend l'être.
Lysandre Hamilton ne vit qu'au moment présent, ce qui fait d'elle une personne très peu, voire nullement, angoissée. Si quelque chose doit arriver, elle ne peut rien faire pour l'empêcher et, par conséquent, s'inquiéter serait irrationnel. D'ailleurs, elle comprend très mal les gens qui sont des boules d'angoisse, les incitant alors à penser autrement, manquant ainsi énormément d'empathie. Pour son amour du moment présent, la blonde se promène toujours avec son appareil photo magique. Elle envie, cependant, les gens qui peuvent vivre en tout temps avec les technologies moldues et qui peuvent entreposer ces portraits sur un ordinateur. Il serait temps que le monde magique se mette un peu à jour ! Espèce de grosse brute repoussante Parlez nous des relations : Avec les membres du personnel ? Relations plutôt acceptables. Si elle ramène son museau un peu trop souvent en classe pour exprimer son grain de sel trop poivré, elle reste tout de même polie et très peu provocatrice. Même qu'elle passe souvent faire coucou aux professeurs durant les temps sans cours, histoire de préciser un peu plus sa compréhension des choses. Avec les créatures du château ? Comme beaucoup de fantômes errent et que les fantômes sont morts, normalement, elle les aime bien. Les morts ont beaucoup de choses à dire. Sinon, pour celles qui ne sont pas des fantômes, ça dépend de leur odeur, surtout. Avec les Serdaigles ?Chillos, Pepitos ; ils savent beaucoup de choses, c'est plutôt bien. Elle trouve facile de discuter avec les Serdaigles. Les plus créatifs peuvent être très loufoques, ça lui plaît. Se prend souvent la tête avec certains pour des pacotilles intellectuelles. Avec les Poufsouffles ? Ça roule, Raoul ; ils la laissent un peu perplexe. Elle suppose que beaucoup doivent en fumer de la bonne ; il faut bien justifier la localisation de leur salle commune. Ceci étant dit, ils sont souvent assez détendus et bons vivants, donc elle ne chigne pas trop. Cependant, certains traits typiques des blaireaux peuvent l'irriter beaucoup. Avec les Gryffondors ? Ça gère la fougère ; comme ils sont souvent des boules de feu avec des yeux puis des jambes, elle les aime beaucoup. C'est là qu'elle trouve d'ailleurs ses meilleurs compagnons. Pourtant, elle essaie d'éviter ceux qui pourraient lui voler le spotlight. Avec les Serpentards ? Fonce, Alphonse ; Elle admire bien leur détermination et leur capacité à suivre la voie qu'ils se sont tracée. Elle aimerait bien leur reprocher plusieurs trucs, dont l'hypocrisie de beaucoup trop d'entre-eux ou leur certaine "méchanceté", mais ça serait se moquer de l'univers.
Par le caleçon de Merlin ! | En fait, si vous voulez, monsieur le représentant, nous, on ne désirait pas un troisième enfant. Il est né parce qu'on a testé un préservatif percé: vous savez, ceux que l'on vend aux gens qui veulent mourir contaminés sexuellement. (Jean Teulé) ○○○C’était un endroit que n’importe qui aurait trouvé sombre. Un planché trop ciré, une odeur un peu méconnaissable et trop forte pour ceux qui n’étaient pas habitués de marcher sur les tuiles d’un salon mortuaire |
– on ne le souhaitait à personne –, mais qui avait quelque chose d’unique. Dans sa petite robe fleurie, son petit canotier de paille sur sa tête de blé doré, bien trop lumineuse pour l’endroit où elle se trouvait, sorti du cercueil d’exemple qui trônait dans une salle, déambula dans les couloirs, franchisa les portes menant à l’envers du décor. On ne comprenait pas pourquoi sa famille lui permettait d’aller si proche des embaumements. Son enseignante de l’école moldue avait une fois – plusieurs, pour être honnête – rencontré ses parents pour leur faire comprendre qu’une enfant de sept ans avait des choses mieux à faire dans la vie que de parler de corps morts, de pierre tombales et de rites religieux et qu’à force, il serait plus judicieux pour eux – l’école et la sûreté de l’enfant – de contacter les services sociaux, histoire d’enquêter sur ce qu’il se tramait chez les Hamilton-Bourgeois, même si Lysandre était une enfant plutôt appliquée, avec du potentiel et une politesse admirable. Comme ils savaient qu’une enquête dans leur appartement très sorcier pourraient mener à la prise de leurs enfants par l’État – et que, ma foi, aucune n’aurait survécu en foyer d’accueil ou en orphelinat, surtout pas Lysandre –, ils ont convaincu, à coups de cadeaux, Lysandre de se fermer un peu la trappe et de parler de licornes à la place. Ce qu’elle fit. Dès lors, elle commença à avoir des amis à l’école. Chose qu’elle n’avait jamais réellement eu lorsqu’elle n’était qu’une enfant très morbide. Bref. Elle s’arrêta devant une salle où une dame en sarrau blanc se tablait à reconstituer un jeune homme peut-être trop jeune pour être sur ce genre de table en métal. Sa tante était jolie de dos. Lysandre avait toujours trouvé qu’elle ressemblait à un mannequin. Elle ne dit rien. Clignant plutôt des yeux et se demandant s’il n’y aurait pas une quelconque façon de faire sursauter la dame. « Ma tante ? » qu’elle demanda avec sa voix d’enfant-poupée, s’apprêtant à partir pour que sa tante pense qu’il s’agissait d’un fantôme, et partant pour de vrai, en courant, lorsque les lumières de l’aire se mirent à clignoter comme dans un film d’horreur. Elle savait ses parents sorciers, ses grandes sœurs aussi, mais elle ne se savait pas sorcière et, ça, c’était très troublant. ○○○ « Lysandre chérie,
Nous devons partir cet été, au Canada, ton père a des affaires importantes à régler avec sa famille. Ton oncle grand-oncle Michel est très malade et un héritage plutôt bien rembourré est en jeu ; le testament est plutôt flou. Nous reviendrons en septembre, nous ne pourrons donc te voir avant ton retour à Poudlard. On espère que tu passeras de bonnes vacances. Mieux que les nôtres, en tout cas. Nous ne souhaitons que ni tes sœurs ni toi de veniez assister à un débat si lourd. Par conséquent, tu iras rester chez tante Aileen. Nous ne pouvons assumer de te laisser à la charge de Lisbeth et Anna, tu sais très bien pourquoi.
Maman & Papa. »Lysandre plia le parchemin et le rangea sous son assiette d’œufs au bacon qu’elle continua d’engouffrer comme si sa vie en dépendait. Elle gardait un air stoïque sur son visage. Beaucoup de choses l’affectaient, mais pas ça. Elle savait que ses parents ne pensaient pas en mal. Ses sœurs n’étaient pas bien vieilles non plus. Elle en avait treize, elles en avaient seize. C’aurait été stupide de laisser à leur charge une conne comme elle qui ne réfléchissait jamais avant d’agir. Elle avait besoin d’une constante surveillance d’adultes lorsqu’elle n’était pas à Poudlard. Non, elle n’était pas plus calme à l’école, mais plutôt, il y avait des limites à ce qu’elle pouvait faire. Elle ne pouvait pas se sauver à Londres si elle le désirait, par exemple. Par contre, à Liverpool, rien ne l’empêchait de ramasser ses clics et ses clacs et de décamper. Si elle n’était pas tenable à cet âge-là, ses parents se demandaient bien comment elle serait lorsqu’elle aurait seize ans. Au moins, elle réussissait à l’école, ça les calmait un peu. Ils savaient qu’elle avait une chance, au moins, de terminer sa vie de manière potable. La jeune fille soupira, s’appuyant le coude sur la table et sa joue sur la paume de sa main. Elle regardait un peu partout, jetant un œil à sa grande-sœur, aussi gryffondor, qui zyeutait une espèce de bouquin en forme de triangle – étrange, qu’elle pensa – accompagnée de l’autre grande-sœur, elle à Serdaigle. La blonde grommela de façon presque inaudible. Elle s’entendait bien avec ses soeurs. Elles avaient toujours été là pour la sortir de la merde, lui inventer des excuses improbables. Elle enviait cependant le lien qui unissait Lisbeth et Anna. Elles étaient jumelles, que Lysandre tentait de se faire comprendre. Ce n’était pas pareil. Lysandre était toute seule, elle. Elle ne pouvait s’empêcher, parfois, de penser que ses sœurs ne voulaient simplement pas se faire associer au stéréotype de garce superficielle de films pour ado qu’était en train de devenir Lysandre ; elle n’admettrait pas. Au moins, elle avait des cousines et des cousins moldus qui étaient aussi des tout-seuls et avec qui elle s’entendait très bien, voire même un peu mieux qu’avec sa sororité. Elle tira une petite moue, tout en dégageant la lettre de sous son assiette désormais vide. Elle la balaya à nouveau du regard. Un pincement serra son cœur. Elle voulait aller au Canada, elle aussi. Elle aimait l’Acadie de son père, même si le français qu’elle bredouillait était un peu brisé. Elle y allait tous les étés, lorsqu’elle était gamine, ça lui manquait… ○○○ Lysandre poignardait sa purée de pommes de terre. Elle n’aimait pas trop ce plat ; trop fade, sans goût. Ses parents n’avaient jamais spécialement bien cuisiné. Sa mère se contentait de couper des légumes et de leur attribuer une fonction quelconque dans un plat encore plus quelconque ; son père, encore, ne savait faire que des sandwiches. Jamais les banquets de Poudlard ne lui manquaient autant que lorsqu’elle se retrouvait à table, noyée par les ombres de ses géniteurs et l’aura que dégageaient les chaises laissées vides par ses grandes sœurs, toutes parties vivre de leurs propres ailes. Elle les comprenait. Lysandre ne savait, au fond de sa tête et de son cœur, supporter l’ombre et la lourdeur qui régnaient dans le foyer Hamilton-Bourgeois – Addams’ family, les momortrazis, appelez-les comme vous voulez –, encore les endurait-elle seulement durant les vacances d’été – elle n’était jamais rentrée pour Noël. Si elle-même avait une fascination intellectuelle et scientifique, voire sociologique, pour la mort, elle n’était pas tombée aussi profondément dans le brouillard que ses parents, que ses oncles et ses tantes moldus. Lysandre Hamilton était un peu Alan dans Le magasin des suicides de Jean Teulé. Encore, personne ne serait étonné que sa famille entretienne une telle boutique. Elle soupira, leva la tête et entreprit de jeter un ou deux mots. « Je… » Qu’elle marmonna sans avoir pourtant la chance de continuer. « Je t’ai déjà dit, Lysandre, qu’on ne parle pas à table. » Souleva sa mère d’une voix trop douce. L’adolescente roula des yeux de merlan frit ; on ne pouvait jamais parler à la maison. Du moins, oui, mais pas de choses dont on parlerait à table. Le boulot, par exemple. Sa mère était langue-de-plomb assignée à la salle de la mort, il allait de soi qu’elle ne pouvait jacasser de tout et de n’importe quoi. Si elle était propriétaire d’un des salons mortuaires Hamilton’s, elle n’y travaillait pas, donc n’avait pas grand-chose à raconter. Son père, lui, était médicomage, assignés aux cas lourds – qui probablement ne verront pas l’Halloween prochain – de l’hôpital Ste-Mangouste, ce qui ne faisait pas les sujets de conversation les plus joyeux. Enfin, il lui en parlait uniquement quand les gens qu’il croisait avaient son âge à elle – que ce soit des cas stupides dont il ait eu vent ou autres, par exemple – pour lui faire comprendre que sa connerie pourrait un jour l’amener là. « Hmn… » Pourtant, ça, elle l’avait compris d’elle-même, le jour où elle s’y était réveillée après avoir été repêchée, comme un gros saumon, au fond d’un lac artificiel où elle était tombée durant les dernières vacances d’été, quand elle avait rendu visite à une cousine, à Londres. On lui avait fait la morale, lui disant que ça avait été un miracle que ce soit un vieux sorcier qui l’avait remarquée tomber et ne jamais remonter, vu qu’elle avait gardé sa baguette sur elle – ce qui est stupide, considérant qu’elle ne pouvait légalement pas pratiquer la magie en dehors de l’école – ainsi que quelques manuels de cours qu’elle comptait réviser, dans un sac laissé sur la rive, et que c’aurait pu causer quelques malentendus dans un hôpital moldu… Ceci étant dit, elle en voulait toujours encore à ces gens qui avaient tenté de la convaincre qu’il s’agissait d’une tentative de suicide et non d’un vulgaire accident ( incluant son père, qui était débarqué d’urgence entre deux mal-en-point ), ce qu’elle trouvait insultant pour les gens qui étaient réellement dans une situation aussi fatale. Mais elle n’avait pas répliqué, hochant pathétiquement la tête. Si elle contredisait presque tout le monde, elle n’avait jamais osé ouvrir la bouche pour dire le contraire de ce que ses parents pensaient. Malgré leur quasi-totale absence due à leur boulot, elle les admirait. Autant soit-il, ils n’étaient pas de mauvais parents. Juste un peu perdus ? « J’ai terminé. » Qu’elle marmonna, en poussant son assiette encore pleine vers le centre de la table. Mais, je suis l'élu. Pseudo ? Mymmi / Nao Et l'âge ?Vingt ans, supposément. Male, Femelle, où Dumbledore ? Dumbledore Comment tu as connu WW ? Je suis tombée dans un trou. Est-ce que tu aimes WW ?Peut-être. Est-ce que tu aimes beaucoup WW ? Je pense que oui. :B Des réclamations ? ? Des canards. Beaucoup de canards. Personnage sur l'avatar ? Blonde OCs. |
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