Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
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every breath you take Δ pan

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Serdaigle
j'explose et je flingue



Pan E. Seweryn
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Jeu 20 Fév - 21:48





EVERY BREATH YOU TAKE




i want to take you far from the cynics in this town and kiss you on the mouth



T'es bloqué. Pétrifié.
Soné. Perturbé. Stupéfié.
Glacé. Submergé. Echoué.


Tout ceci est insensé. Il suffoque. Ses poumons ont besoin d'air. Encore. Il a l'impression d'être un imbécile. Il l'est. Stupide chose. Stupide Pan. Il a l'impression qu'on l'écartèle. Qu'on ouvre son torse. Chipote. Tripote. Son coeur se sert. Trop. Trop d'émotions. Trop de sentiments. Trop. Trop. Il perd pied. Il dégringole. Il tombe. Chute mortelle. On le rattrape in-extremis.
Ces mains l'agrippent. S'accrochent à ses poignets. Elles se resserrent. Serres salvatrices. Il se sent écartelé. Mais cette fois-ci par son sauveur. Il l'oblige à faire face. Face à lui. Face à ses regrets. Face à ses yeux assombris par la douleur. Il n'a jamais osé vraiment le regarder. Plonger dans ses yeux bleutés. Il a préféré éviter. Fuir. Couard. Fuyard.

Confrontation. Plus intense que jamais.
Miroir de l'âme.
Miroir du coeur.
Ce qu'il y voit brise le sien. Pourquoi a-t'il fallu qu'il joue au con ? Il tremble. Il a envie de se recroqueviller. Disparaître à jamais dans sa carapace. Bernard l'Ermite. Mais il ne peut pas. Bloqué par ces mains qui l'ont autrefois enlacé. Caressé. Rassuré. Ces doigts qui ont parcouru son corps des dizaines. Des centaines. Ou peut-être simplement une seule fois.
C'est de la folie furieuse. Il a envie de tout lâcher. Une nouvelle fois. Mais non. Il s'accroche. Ces mots le clouent sur place. Ça fait mal. Putain de mal. Il pourrait en hurler. Mais il vit dans ce bain d'acide depuis des mois déjà. Il comprend. Tellement. Ou pas du tout. Il sait ce que c'est de souffrir. Ou peut-être pas. Tout est différent. Deux entité. Qui se sont aimés.
À la folie.
Passionnément.
Beaucoup.
Un peu.
Pas du tout.

Deux êtres. Qui s'aiment encore.
Chemin inverse. Jusqu'à la folie. Folie furieuse. Folie d'amour.
Ils sont dingues. Dingues l'uns de l'autre.
Auto-destruction.

Détonation.
Puis ça explose.
Les lèvres s'accrochent. S'acharnent. S'écorchent. Elles déchirent. Elles prennent. Sans se soucier du reste. C'est brûlant. C'est puissant. Elles ne se lâchent plus. Epaves des promesses brisées. Espoir nouveau. Rouge passion. Rouge sang. Lèvres humides. Souffles précipités. Elles ne veulent plus se quitter. Enfin réunies.
Simple instant d'éternité.
Besoin d'air, besoin d'espace.
Alors elles se détachent. Boudeuses. Demandeuses. Respirations saccadées. Mains tremblantes. Il remarque que ses doigts se sont accrochés. Libérés. Ils ont laissés des traces rouges dans sa nuque. Marqué. Propriété. Clamé. Leurs souffles se mêlent. Intimes. Il pourrait partir. Fuir. Se lever. Dégager. Mais non. Pas une nouvelle fois.

T'auras pas de deuxième chance, Pan.
Alors joue pas au con, Pan.


Alors il sourit. Difficilement. Rictus tremblant. Couronné de larmes tardives. Mais un sourire tout de même. Car malgré tout. Malgré cette cuisante douleur au creux de sa poitrine. Il est heureux. Amoureux. Encore. Toujours.

« J'suis trop con. » gémit-il. Pleurant. Souriant. Réalisant. « Putain. Comment. Comment. » Flagellation. « J'taime. J'taime bordel. Tellement. Alors. Comment. » finit-il en murmurant.

Comment j'ai pu croire ne plus t'aimer ?
Comment j'ai pu te laisser tomber ?
Comment j'ai pu t'abandonner ?






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Ven 21 Fév - 22:58


every breath you take
every breath you take, every move you make, every bond you break, every step you take, I'll be watching you Every single day, Every word you say, every game you play, very night you stay, i'll be watching you.




De toute façon, ça aurait été trop con.
Trop de con de partir comme ça, de jamais se retourner et de laisser cette histoire loin derrière en se disant que « non on s'en fout, c'était juste une histoire de gosse ». Parce que les histoires de gosse, c'est merveilleux. Ca fait rêver. Ca donne l'impression d'être un peu plus qu'une machine. Une machine qui sert juste à servir une société de consommation. Oh non arrêtez, c'est pas parce qu'on est des sorciers qu'on rentre pas dedans. Avoir une baguette et un balais, ça change pas grand chose. Ouais, regardez. Regardez on est même capables d'être suffisamment amoureux pour pleurer comme des enfants, comme des fillettes. Et d'aimer ça, d'un côté.
Et on aime ça, assez pour en rire, pour en sourire et pour en trembler. Parce que Pan il sourit, il rit, il tremble. Et il dit qu'il m'aime et pour la première fois depuis le début de notre relation, il l'avait dit. Il l'avait dit sans tromperie, sans avoir l'air candide. Parce que ce n'était plus un gosse, c'était un garçon amoureux, un vrai.
C'était fini, les mensonges, les masques.
Maintenant ça sera beau.
Beau comme une comète.

Mon cœur se serre de joie, parce que, quelque part au fond de moi, j'avais déjà dessiner ce moment. Je l'avais dessiné en le rêvant sans le chercher. Ca s'était dessiné contre mon gré et voilà que ça devenait réel. Assez réel pour que je puisse le toucher. L'entendre. L'aimer.

« Je t'aime. »

Et ça avait été prononcé avec la voix haute, les mots assumés. J'en souriais à mon tour, j'en riais, et j'en perdais l'équilibre, au sens propre du terme. Je sais pas, peut-être une racine, mais on a glissé. On a glissé et l'eau nous avait tiré dans ses bras. Comme la première fois. La sensation glaciale s'éprenait dans nos crânes alors que nos cheveux s'envolaient dans cette substance aqueuse. Mon bras se tendit vers Pan, le rattrapant par le poignet. J'suis là, t'en fais pas, j'te sauverai, j'nous sauverai s'il le faut, parce que j't'aime, j't'aime comme un fou. Ressortant plus rapidement du lac en remontant vers la terre ferme, l'air abattu et à la fois amusé par ma maladresse abusive, je reniflais.

« Désolé je. C'est l'émotion, j'ai glissé, je. Pardon. »

Je me gratte l'arrière du crâne, honteux, regardant nos vêtements pouilleux. Les joues rouges, un peu douloureuses. Pas par le froid.
Parce que je souris.
Je souris à m'en déchirer le faciès, et ça n'a aucune importance.



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Pan E. Seweryn
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Sam 22 Fév - 1:48





EVERY BREATH YOU TAKE




i want to take you far from the cynics in this town and kiss you on the mouth


Son coeur explose.
Son âme implose.
Kaléidoscope coloré.
Sourire informe. Sourire difforme. Ses joues lui font mal. Elles tiraillent. Et pourtant il s'acharne. Il ne peut pas s'en empêcher. Perles salées. Dernier vestige d'une tristesse passée. Elle est toujours là. Mais bien cachée. Assommée par cette masse de félicité. Ses joues sont rouges. Cramoisies. Ecarlates. Abimée par ces traces salées. Exaltées par ce bonheur. Qui l'enivre. Qui le fait dériver. Mais il n'est plus livré à lui-même. Brebis isolée. Et rien au monde ne pourrait les déliés. Naufragés désespérément accrochés. L'un à l'autre.

Ils sont heureux.
Béatement heureux.
Désespérément heureux.
C'est un bonheur qui fait mal. Au fond. Tout au fond. Ils ne peuvent pas s'en empêcher. De se blesser malgré tout. Car la présence de l'autre est toxique. Tellement toxique qu'elle les rend un peu plus vivant.
Bring Drugs Baby qu'ils disaient. Il en a pas besoin. Plus maintenant. Il est déjà accro'. Définitivement. Ce sont des putains de junkie, drogués à l'autre. Son odeur. Sa chaleur. Ses baisers. Ses caresses. Tout ceci l'intoxique. Tout ceci l'enivre. Inexorablement. Sans qu'il ne résiste. Victime volontaire.

J'tai dans la peau,
j'tai dans la tête.


Tout est brouillé. Délicieusement déformé. Ils vivent un rêve réveillé. Irréalité doucement esquissé. Faites que jamais ça ne s'arrête. Ils glissent. Tombent. Parce qu'ils sont totalement déconnecté de cette réalité. Depuis longtemps oublié. Un simple aspérité. Une racine qui le plonge dans cette douce obscurité.
Eau.
Eau purifiante.
Eau terrifiante.
Pourtant il ne tremble pas. Il se rend à peine compte du changement de milieu. Déconnecté. Subjugué. Par cette personne qu'il aurait pu perdre à jamais. Cet homme qui représente tant. À jamais. Pour toujours. Pour quelques secondes encore. Simple éternité. Il a envie de l'embrasser là. Tout doucement. Aussi simplement. Une simple pression. Rien d'élaboré. Il n'a pas vraiment le temps d'y pensé. Le voilà de nouveau sur ses pieds. Ce instant. Simple pépite. Simple étincelle. Eclat d'immortalité.

Son sourire ne faiblit pas.
Imbécile heureux.
Il tombe sous le charme. Une nouvelle fois. Comme s'il n'était pas déjà amoureux. Il a l'impression de tomber un peu plus à chaque seconde. Chaque minute qu'il passe en sa présence. Douce sensation. Il s'approche. Il se rapproche. Quelques centimètres. Ses pouces se glissent contre ces joues humides. Rougies. Carmines. Il n'a d'yeux que pour lui. Fasciné. Subjugué. Ses doigts s'emmêlent dans ces boucles humides. Ils sont un peu plus longs qu'avant.
Il s'élève. Lentement. Il n'a plus vraiment besoin de forcer. Sur la pointe des pieds. Il a grandit. Un peu. Un centimètre. Ou deux peut-être. Pour tout dire, il s'en fiche.

« T'es beau. » souffle-t'il. Doucement. Si doucement. Un secret. Murmuré. Chuchoté. Avalé.

Lèvres posées. Avides. Pression demandée. Elles s'entre-ouvrent. Désireuses. Parce que c'est l'instant. Parce que c'est le moment. Car il n'arrive plus à se maîtriser. Perte de contrôle. Délicieuse. Elles mordillent. Doucement. Elles demandent. Respectueuses. Envieuses. Ne les fait pas trop attendre.
Après quelques instants il se détache. Souriant. Yeux pétillant. Avides. Avides de bonheur. Avide de cette splendeur. Cachée au fond de ces prunelles céruléennes. Il pose son front contre celui de son vis-à-vis. Simple touché. Sourire comblé.
Il se sent bien là.
Il se sent enfin complet.
Entier.  





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Mer 26 Fév - 22:31


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T'es beau

Et un sourire encore. Parce qu'on peut plus faire que ça.
J'ai beau m'être imaginé mille fois cet instant qui me semblait illusoire que je n'savais plus quoi faire. Parce que c'était tellement plus beau et tellement plus fort que tous les dessins que j'avais pu dessiner à l'intérieur de mon esprit. Parce qu'il y avait enfin la sensation d'être à deux, unis avec des pour toujours candides et des étoiles plein les yeux. Je le regardais comme si je découvrais une nouvelle merveille, de la même façon que je pouvais le regarder il y a de cela plusieurs mois alors qu'on était encore le couple le plus gay de Poudlard. Cette idée me faisait rire, parce qu'elle était sans aucun doute vraie.
J'avais envie de pleurer.
Non en fait j'étais en train de pleurer de joie. Comme une fillette. Ca dégringole et ça fait du bien, et j'ai pas honte. Parce que j'te regarde, les yeux dans les yeux. Ca m'fait plus peur de pleurer, c'est normal. C'qui est moins normal c'est que j'arrive encore à aimer alors que j'pensais que j'avais enterrer cette étrange sensation six pieds sous terre.

Puis on s'embrassait, comme si on s'était jamais arrêté. Mes lippes s'ouvraient un peu, resserrant mon étreinte humide. Putain comment on a pu se laisser tomber ? Comment ?
Je m'arrêtais soudainement.

« J'ai vraiment cru qu'on... qu'on pourrait plus jamais vivre ça. »

Murmurais-je, la voix un peu tremblante.
Je baissais la tête, appuyant mon front contre son épaule à peine plus haute que la mienne, mes doigts se mêlant au tissu de son uniforme en mauvais état.

« Est-ce que ça veut dire qu'on est de nouveau ensemble ? »

Plus de mensonge, cette fois, Pan. Laisse-moi y croire. Laisse-nous y croire. J't'en supplie.



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Mar 11 Mar - 0:11





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Ses pouces caressent ces joues rougies. Ils glissent sous ces yeux humides. Arrachant les dernières perles salées, encore à ses longs cils recourbés. Il semble si fragile, entre ses doigts délicats. Il sait qu'il n'a pas plus fière allure. Ils ont l'air stupide.
Stupidement hésitants.
Stupidement confiants. En un avenir obscur. Une équation à double inconnue. Lui. Eux. Ils vont peut-être se casser la gueule. Encore une fois. Trébucher. S'écorcher les genoux. Pleurer. Parce qu'on a mal. Parce qu'on ne peut pas s'en empêcher. La gorge serrée. Les yeux asséchés et pourtant déjà humides. Mais non. Ils ont envie d'y croire, de toute leur âme.
Parce qu'ils sont jeunes.
Parce qu'ils sont cons.
Mais pour l'instant, ils n'en n'ont rien à foutre. Ils sont bien. Simplement. Collés l'un à l'autre. Les mains entremêlées aux cheveux humides. Odeur d'algue. Un tendre sourire éclôt sur ses lèvres. Doux souvenir. Il se laisse bercer. Emporter. Ce flot d'image semble a des années lumières d'ici. La scène se déroule comme dans un rêve, pourtant tout semble si clair dans sa tête. Quelques secondes. Des centaines de fragments. Pétales de cerisiers qui s'envolent sous la brise des souvenirs.
Sa bulle éclate lorsqu'il sent un front se poser sur son épaule. Des doigts se crispent dans son dos. Il ne peut pas empêcher ses menottes de glisser à l'arrière de sa tête. Caressant ses cheveux. Doucement. Tout doucement. Il a l'impression de passer ses doigts dans la fourrure d'un chaton trempé. Apeuré. Qu'il se doit de rassurer. Cette sensation est étrange. Pas déplaisante.
Il reste un instant sans bouger. Profitant simplement de la présence de l'autre, avant de rigoler. Un rire pur. Cristallin. Il relève la tête du serpentard.
Ses yeux pétillent. Petit diamants.  

« J'vais t'embrasser puis finalement me raviser, parce que tu sens définitivement l'algue pourrie. » dit-il, un sourire au coin des lèvres. « J'tai déjà perdu une fois, j'veux pas recommencer. Alors. Reste avec moi. » finit-il, légèrement suppliant. « T'façon, je te lâcherai pas. »

Ses bras se décrochent pour se faufiler contre ce torse finement musclé. Pour se coller encore plus à lui. Respirer son odeur. Oublier toutes ses peurs. Ses lèvres se pincent. Filet de voix. Chant à peine esquissé. Murmure dans le vent.
Un. Deux. Trois.
Un. Deux. Trois.

Sa gorge vibre. Un son sourd bourdonne. Air ternaire. Il ferme ses yeux. Se laisse bercer. Bien vite le rythme prend le dessus. La musique quitte ses lèvres. Elle enfle. Elle s'élève dans l'air. Elle s'infiltre. Enivre leurs sens. Rempli leur coeurs. Pan ne peut pas s'empêcher, son corps bouge tout seul, il entraîne le plus grand avec lui. Un simplement basculement. Et les voilà à tourner doucement au rythme d'une musique à peine esquissée.
Droite. Gauche.
Il ouvre un oeil.

« Danse avec moi. »







J'peux sortir l'excuse du "Désolé j'ai trop picolé" ? Non ? Pas moyen ?
Bref, désolé pour la qualité plus que médiocre ;;
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Sam 19 Avr - 0:55


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Reste avec moi. Tu te rends pas compte, Pan ? C'est ce que j'ai toujours voulu, au fond de moi, que tu sois toujours à mes côtés. Que je sois toujours à tes côtés. C'est horrible parce que je m'étais fait à ton absence, c'était habituel et y avait ce creux dans mon cœur qui était là pour me rappeler qu'il me manquait des pièces et des boulons pour pouvoir fonctionner correctement. J'étais une mécanique sans réelle ambition et aujourd'hui je réalise que la vie est une belle poésie noire et dorée.
Ou plutôt bleue et argentée. Je sens mon sourire s'étirer toujours encore un peu, dans une expression qui semble débordée de joie, une joie interminable. J'étais l'imbécile le plus heureux d'un monde où l'espoir semble mort. Et pourtant...
Et pourtant.

Je vais te dire un grand secret J'ai peur de toi
Peur de ce qui t'accompagne le soir vers les fenêtres
Des gestes que tu fais des mots qu'on ne dit pas
J'ai peur du temps rapide et lent j'ai peur de toi


Je me laisse bercer par ces ondulations un peu hasardeuse : je ne suis pas bon danseur. Mais j'accepterai n'importe quoi si seulement je peux le serrer contre moi. Je me sens dans une bulle infranchissable, et cette sensation m'avait quitté pendant de trop longs mois. Et je t'aime. Et je t'aime encore, toujours, vraiment plus. Je t'aime de ce genre d'amour qu'on ne peut même pas dire avec les mots et qu'il faudrait pouvoir revivre à l'infini pour avoir le temps de le prouver.

« ... Je vais te marcher sur les pieds tu sais. Dis-je dans un rire un peu nerveux. Mais qui s'en soucie ? Je le rapproche de moi et pose ma joue contre son crâne. J'ai cru que tu ne reviendrais jamais. »

J'entremêle ses mèches autour de mes doigts. Chevelure innocente à l'instar de la souffrance qui nous suivait comme la peste, cachée dans nos ombres.

« ... Putain je. Rire. Je suis trop conteeent ! »

Et j'ai huit ans et demi, à sautiller sur place, à rire jusqu'à en perdre haleine, à le serrer contre moi de plus en plus fort.

Je vais te dire un grand secret Ferme les portes
Il est plus facile de mourir que d'aimer
C'est pourquoi je me donne le mal de vivre
Mon amour




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Pan E. Seweryn
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Dim 4 Mai - 22:25




EVERY BREATH YOU TAKE


Pan E. Seweryn & Nausicaa T. Hepburn
C'est un beau roman, c'est une belle histoire.
C'est une romance d'aujourd'hui.



Ils avaient l'air de deux parfaits imbéciles. Deux pingouins qui se déplaçaient maladroitement au rythme d'une mélodie imaginaire. Deux enfants de cinq ans qui se mariaient autour d'une alliance de marguerites. Cette scène était ridicule — quiconque passant par là aurait passé son chemin, rictus aux lèvres. Mais pour eux deux, il y avait tellement plus. Des non-dits. Des longues phrases. Des sentiments éclatants. Des émotions voilées.
Il avait l'impression d'être en feu. Ses sens s'enflammaient tandis que sa poitrine brûlait d'une ardeur oubliée. Il s'accrochait à cette présence. Ce corps contre lui qui lui disait. Putain, oui. Tu rêves pas, Pan. Il mourait d'envie de s'imprégner de cet être qui lui avait tant manqué. Son odeur emplissait ses poumons. Son goût persistait au coin de ses lèvres. Sa chaleur s'étendait, glissant sur sa peau, gorgeant ses veines d'un nouveau feu sacré. Il pourrait se fondre en lui — s'accrocher et ne plus jamais le lâcher. Ses doigts glissent le long de ses omoplates, ils parcourent la colonne vertébrale, se plaçant au creux de ses reins. Chemin inverse. Ils remontent doucement. Vas-et-viens constant.
Il se sent en sécurité.
Cocon protecteur — pour rien au monde il ne s'en serait délogé. Pas même pour ce rire vibrant qui se répercute dans sa crâne. Il résonne à ses oreilles comme des centaines de clochettes. Le sourire, qui n'a jamais quitté ses lèvres, s'élargit.
Euphorie incontrôlée.
Incontrôlable.

Ses mains s'arrête contre sa nuque. Il déloge sa tête doucement — délicatement. Visage contre visage. Le souffle de l'autre contre ses lèvres. Ces sourires qui se répondent. Il se penche légèrement, une simple pression. Un contact esquissé qui se prolonge au fil des secondes. Rose pourpre dans un jardin de ronces. Mais bien vite la physique reprend ses droits. Leurs mouvement sont maladroits.
Entre leur danse bancale.
La joie qui les fait bondir.
Ce baiser impulsif.
Les voilà emmêler. Une seconde de flottement avant que le château de carte ne s'effondre. Ses pieds glissent dans le gravier, son dos percute le sol. Il entraîne l'autre dans sa chute — fermement accroché.

« Aoutch. » Le cri sort tout seul. Le choc est brutal, le retour à la réalité précipité. Ses lèvres frémissent avant qu'il ne ricane. Cette situation est absurde. Digne d'un sitcom à l'eau de rose. Alors pourquoi se sent-il si bien, plaqué ainsi ? Entre deux éclats de rire, il parvient à articuler« Désolé, j'ai du m'embrouiller. Rester concentrer sur ma tête mes bras et mes pieds c'est devenu trop compliqué. » Il relève légèrement son visage, ses lèvres caressant l'angle de sa mâchoire « Surtout quand tu es à mes côtés »

C'est sorti tout seul — sans même qu'il ne prenne la peine d'y penser.
Réflexe stupide.
Son coeur a parlé.






hrp:
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Jeu 8 Mai - 17:21


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musique
Et c'est la chute. Bam. Vous glissez, tu t'assures de mettre ta main derrière son crâne pour l'empêcher de se faire mal, ton autre paume s'écorchant sur le sol. Ca pique, un peu, mais ça t'arrache un sourire. Puis un rire. Un rire jumelé avec celui de ton petit-ami. Des éclats enfantins, des yeux qui pétillent. Mais vous restez ainsi, dans ce cocon fait d'herbe et de plante, de saleté et d'humidité. Ton cœur bat la chamade, parce qu'en dépit de tout, jamais tu n'as oublié la sensation de ses baisers contre ta peau, ni combien tu en es fou. Tu es fou de lui, fou tout court. Tu te laisses perdre dans des pensées impures pendant quelques secondes tandis que tu redresses un peu ton visage pour le regarder. Tes joues sont un peu rouges. Depuis quand es-tu perverti au simple fait de reposer tout ton poids contre lui ? Tu souris nerveusement, finalement, soufflant, allant l'embrasser doucement. Surtout quand tu es à mes côtés avait-il dit.

« Mmh... commences-tu en rompant ce chaste baiser, paradoxal face à tes idées mal placées, c'est ma faute en plus ? Assume juste que tu es un peu gringalet et qu'on a juste à te souffler dessus pour que tu te ramasses. »

Tu ris doucement avant d'entortiller une de ses mèches grisâtres autour de ton index. « A moins que... ta voix s'abaisse un peu. Je te fasse vraiment perdre la tête ? Haha. »
Tu te sens partagé entre l'envie irrépressible de le taquiner et celle de le prendre dans tes bras. Tu étais tellement, tellement perdu. Tu n'étais plus toi, tu essayais d'être joyeux et quelque part ton ventre grondait de rage, impossible à être rassasié ; et tu le savais. Pour preuve : tu n'as jamais attendu quelqu'un d'autre que Pan. « Tu comptes rester par terre avec moi ou on rentre au château ? »

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Jeu 8 Mai - 19:04




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Pan E. Seweryn & Nausicaa T. Hepburn
C'est un beau roman, c'est une belle histoire.
C'est une romance d'aujourd'hui.



Pan étira un sourire ravi.
Les joues rouges, les prunelles brillantes, il ne pouvait se détacher du corps au dessus de lui. Tel une moule accrochée à son rocher. Tel un calamar déterminé à ne pas relâcher sa proie. Ses mains entourant lâchement son cou. Il se souciait guère des pierres qui rentraient dans son dos, des futures tâches d'herbes, de la boue maculant son uniforme. Il aurait pu être au milieu d'une bataille rangée. Plongé au centre de l'apocalypse. Son attention se serait invariablement tournée vers Nausicaa.
Cet imbécile de vert et argent qui lui a bien trop manqué durant ces longs mois d'hiver. Il s'était senti vide — si vide. Il chasse ces pensées sombres. Il n'a plus à s'en soucier, pas quand il sent sa chaleur contre sa peau, couplée aux rayons d'un soleil timide. Il se laisse bercer par ces douces sensations — le vent sur son visage, le clapotis de l'eau contre la berge, l'odeur de l'herbe fraichement mariée à ce parfum particulier qui le fait frissonner.
Les idées embrouillées, sa voix le fait revenir à la réalité.
Il grogne un peu. Fronce les sourcils. Une tape joueuse s'échoue à l'arrière du crâne du plus âgé. On ne rigole pas avec son physique svelte et merveilleusement proportionné. Même si l'on s'appelle Nausicaa Hepburn. Surtout qu'il a l'air de l'apprécier son côté gringalet. Son rictus joueur revient planer sur ses lèvres tandis qu'il sent un doigt s'amuser avec sa chevelure immaculée.

Il ricane doucement, sa poigne se faisant plus forte. Ses jambes entourent la taille du serpentard alors qu'il se hisse tout contre lui — ne jamais sous estimer les entraînements secrets serdaigles. Il ressemble à un bébé koala ainsi. Pourtant la lueur machiavélique au fond de ses orbes grises n'a rien de douce. Sans trop savoir comment, il profite d'une faiblesse quelconque — un mouvement brusque et le voilà installé sur le ventre de son petit ami, le dos de celui-ci rencontrant le mélange d'herbe et de gravier recouvrant les pourtours du lac.  

« Nah je suis bien ici » dit-il doucement, reposant sa tête dans le creux de l'épaule de l'autre. « C'est plutôt confortable. » continue-t'il, son sourire s'élargissant au fil des secondes. « Quoique, ça manque peut-être d'un peu de .. matière. C'est à se demander qui est le gringalet de nous deux. »

Ne jamais sous-estimer un serdaigle.
Le retour de flammes pouvait être terrible.





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Mer 18 Juin - 18:46
every breath you take
Nausipan ★ Proses en #85B1C0 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
MUSIQUEC'est à se demander qui est le gringalet de nous deux.
Ok.
Ok.
OK. C'est la guerre. Tu hausses les sourcils, l'air particulièrement outré par sa remarque. Aux dernières nouvelles, tu étais très fier de ton manque de graisse et de ton absence totale de muscle, donc de virilité potentiel – il paraît que ça entre de plus en plus dans les critères de beauté ces derniers temps chez les jeunes moldus, surtout chez les filles. Bon d'accord, tu es gay comme un phoque alors plaire à la gente féminine ne fait pas parti de tes préoccupations principales, loin de là. Et c'était pas comme si tu cherchais dans les magasines gays quelconques informations qui feraient la une de ces derniers du genre comment être une pédale virile et super mignonne ! Non. Juste, non.
Dans tes joues se creusent un nouveau sourire amusé, prenant paradoxalement cet air vraiment consterné par sa remarque – tu es sûr que tu serais capable de le casser en deux. Tu te retournes d'un coup, écrasant ton petit ami sur toute sa longueur contre les graviers pour, déjà, qu'il sente à quel point la sensation de se faire transpercer est agréable, et de deux, que t'es pas non plus un spaghetti.

- Bon, il n'y a plus qu'une seule solution dans ce cas, commences-tu avec une expression particulièrement malsaine et effrayant avant de te ruer contre sa gorge, il va falloir te sacrifier pour me faire prendre un peu de graisse.

Accompagnant ces quelques palabres dans un rire éclatant, tu pars pincer non pas sans délicatesse le creux de son cou entre tes dents, tes doigts s'aventurant sur ses côtes pour les frotter dans des chatouillis presque vicieux.
La guerre était déclarée après tout.
Essoufflé à force de rire et de bouger dans tous les sens comme un gamin qui mérite des claques, tu te redresses sur tes genoux à l'image d'un divin suricate, soufflant fort, grand sourire plaqué sur les lippes.

- Leeet's rock, everybody, let's rooock ! Everybody in the whole cell block was dancin' to the Jailhouse Rooock ! Chantes-tu de vive voix avant de te laisser tomber en arrière, bras écartelés dans l'herbe grasse. Tu devenais fou, ce que tu foutais là n'avait aucun sens. Merde. T'étais juste fou, fou amoureux, fou heureux. C'est trop épuisant de t'embêter en fait, je renonce haha.

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j'explose et je flingue



Pan E. Seweryn
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Mar 8 Juil - 18:37




EVERY BREATH YOU TAKE


Pan E. Seweryn & Nausicaa T. Hepburn
C'est un beau roman, c'est une belle histoire.
C'est une romance d'aujourd'hui.



Pan fut pris par surprise.
Alors qu'il savourait avec délectation sa pseudo victoire sur son ennemi d'un jour, voilà que celui-ci le retourna comme une crêpe, le bloquant efficacement de tout son poids d'homme fort et viril. Il se tortilla un instant, ver de terre capturé entre les serres d'un moineau. L'image ne pouvant être plus véridique. Malgré leur bataille sans pitié pour affirmer sa supériorité, l'un comme l'autre ne possédait pas le torse d'un héros de bara yaoi et encore moins la pilosité plus que développée de ce dernier.  
En définitive nous pourrions les nommer gringalet 1 et gringalet 2, nous ne serrions pas loin de la vérité. Cependant, il était vrai que les quelques centimètres en moins du serdaigle étaient un désavantage non négligeable dans ce combat sans pitié pour le titre de mec le plus viril (et le plus swag) saison 2014.  

Tout était la faute de sa taille. Il était persécuté, alors que même sa mère le dépassait d'une bonne tête. Il avait dû mettre en colère un dieu quelconque lorsqu'il était petit et voilà le résultat. Il se retrouvait à la merci du reptile sans pitié — ne le nommons pas fauve, cela pourrait le froisser. Un gloussement incontrôlable sort de sa gorge alors qu'il entend les paroles du prétendu prédateur, cependant, il ne peut s'empêcher de pousser un petit cri aïgu en sentant les canines s'enfoncer dans la chair de son cou.
Puis vint le hurlement.
Si fort. Si puissant.
Digne des plus grands viki- Il ressemblait plutôt à un mélange de cri de jeune pucelle, couplé à un bruit étranglé assez étrange. Il faut dire que dans l'opération Pan avait faillit se mordre la langue tout en ricanant comme une hyène sous les attouchements de Nausicaa — le keukin. Encore heureux qu'il était sur le dos, sinon ses derniers neurones seraient décédés, c'est qu'il était encore plus chatouilleux le long de sa colonne vertébrale.

Après quelques minutes la torture se termina, les laissant essoufflés, mais comblés. Les yeux pétillants, un large sourire creusant leurs joues, ils ne pouvaient pas être plus heureux. Leurs poitrines s'affaissaient à un rythme désordonné et pourtant si régulier. Lorsque Nausicaa se rendit, Pan ne put s'empêcher de pousser un petit cri de satisfaction — à peine articulé, simple impulsion du moment.

« AHAH. Tu admets ta défaite ! » cria-t'il, victorieux.

Il se redressa en position assise, sautillant sur place pour se rapprocher de la tête de son compagnon — de façon classe et élégante, comme toujours. Il toussa une ou deux fois, sa respiration toujours hachée, avant de frapper un peu sur son torse pour remettre tout en place, il n'avait pas envie d'utiliser anapneo. Pas maintenant. Pas cette fois. Un large sourire éclairant ses traits, il laissa ses doigts trainer sur la chemise de l'autre, la déboutonnant rapidement, la force de l'expérience que voulez vous. Il en écarta les pans avant de glisser ses mains sur la peau dévoilée, retraçant l'encrage noir se dévoilant sous ses yeux.

« Hmm. Ça m'avait manqué » souffla-t'il presque pensivement, ses doigts courant sur les tatouages de son petit ami. « Tu t'en es fait des nouveaux ? » demanda-t'il tout en penchant la tête.

Passant une main distraite à l'arrière de sa propre nuque, Pan caressa par hasard la marque que Nausicaa venait de faire, s'arrêtant un instant, stupéfait. Sous ses doigts il sentit les légères aspérités laissées par les dents de son sauvage de petit ami, les yeux écarquillés sous le choc, il se pencha vers l'avant, agrippant les pans de la chemise ouverte précédemment.

« Espèce de bouse de mammouth ! On va croire que je me suis fait attaquer par un moustique géant ! » lui dit-il, un air paniqué peint sur son visage.

Quoiqu'il arrive.
Pan restera toujours Pan.





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