Prénoms ? Viridus Octavius Dorian
Âge réel ? 35 ans, né un 4 décembre
Âge physique ? 8 ans
Nationalité ? Anglaise
Origine ? Sang pur
Poste occupé ? Professeur de Sortilèges & Directeur de Serpentard
Ancienne maison ? Serpentard

Baguette Magique ? Bois d'ébène, ventricule de dragon, 27 centimères, inflexible.
Patronus ? Une hydre à six têtes. Environ trois mètres de haut. Ce n'est pas énorme en soi, c'est une espèce de taille moyenne et la bête a rajeuni avec son propriétaire, mais elle est quand même capable de rappeler au monde que Viridus Emerald n'est pas vraiment un gamin normal. Ni un gamin, en fait.
Odeur de l'Amortentia ? Il s'y expose le moins souvent possible, car l'amour est une faiblesse. Néanmoins, la dernière fois qu'il a senti de l'amortentia, elle avait une odeur principalement métallique, mélangée à un espèce de parfum floral presque sucré, et à une effluve de thé darjeeling.
Forme de l'épouvantard ? Une sphère entièrement noire autour de lui. Il a peur du vide, de la privation sensorielle, de la non-existence qui donne le vertige.
Reflet du miroir du Riséd ? Il a changé il y a cinq ans. Avant, c'était une silhouette floue. Maintenant, l'image est beaucoup plus nette. Lui-même, adulte. On ne l'aurait jamais deviné. Sans doute que si ça arrivait, le reflet changerait encore. Mais il ne veut pas savoir vers quoi.
Peut voir les Sombrals ? Non.
Friandise favorite ? N'importe quoi de sucré, tant que ça met Lovecraft mal à l'aise. Viridus a en fait réussi à se dégoûter tout seul des bonbons en général en s'efforçant de rendre fou le professeur d'Astronomie, mais il continue juste pour le plaisir d'être pénible. Tout le monde croit qu'il a le palais affreusement sucré mais en fait, quand il est tout seul, il préfère mâcher des bâtons de réglisse ou grignotter des fruits secs.
Sortilège favori ? Wingardium Leviosa. Plutôt pour le côté pratique qu'autre chose, avec Accio et tous les trucs du genre. Sinon, il rêve du jour où on pourra sanctionner les mauvais élèves avec un Endoloris, mais Bumblebee a l'air moyennement d'accord. Dommage.
Potion favorite ? Celle qui rend aux gens leur apparence normale.
Créature favorite ? Il allumerait bien des feux magiques un peu partout pour faire apparaître des serpencendres. Dommage que ça risque de provoquer un incendie. Un jour il le fera. Dans les appartements d'un collègue irritant, probablement.
Plante favorite ? Il a toujours été fasciné par le Saule Cogneur du parc de Poudlard. Il aime bien les plantes qui bougent en général, d'ailleurs. Les orchidées, c'est pas assez intéressant à regarder.
Sorcier célèbre en modèle ? Aucun. A part peut-être ses illustres ancêtres.

Viridus est en colère. Cela dure depuis des années à présent, et cette colère modèle une bonne partie de son comportement, dans une volonté de pourrir la vie à tout le monde autant que la sienne est misérable. Il n'était déjà pas tendre quand il était dans son état normal, arrogant, empli d'une certaine malice, pénible sur beaucoup de points, mais depuis qu'il a été transformé en enfant, c'est encore pire. Son apparence adorable et innocente est un handicap sur beaucoup de points, mais elle lui sert au moins à se faire pardonner les crasses qu'il fait aux gens... Et à en obtenir ce qu'il veut. Il a toujours fonctionné au charme quand il veut quelque chose, de toutes façons, il a simplement appris à en changer la nature, puisqu'il ne peut évidemment plus trop compter sur son attrait purement masculin.

C'est un homme intelligent, avec un raisonnement très fin et une grande curiosité, malheureusement attirée par tout ce à quoi il n'est pas sensé s'intéresser. Cela lui permet au moins d'avoir atteint une expertise poussée dans son domaine de prédilection, à savoir la magie en général. Il a une bonne compréhension des choses en général, une empathie qu'on ne soupçonnerait pas puisqu'il choisit presque toujours de l'ignorer.

Au nombre de ses défauts, on peut compter un certain élitisme. Il a tendance à favoriser sa propre maison, quitte à être complètement injuste avec les autres étudiants. De même, il ne peut cacher ses préférences pour les rares sang-pur restants, qui ont généralement de meilleures notes que les autres. En ne cachant pas non plus son aversion pour les nés-moldus, en fait. Et pire que tout, les sang-mêlé, dont les parents ont osé renier leur glorieuse ascendance. Viridus n'est pas très tolérant, c'est le moins qu'on puisse dire ; il faut bien que quelque chose de son éducation inflexible lui soit resté, au delà de ses manières impeccables quand il s'en donne la peine.

Parlez nous des relations :
Avec les membres du personnel ? Tout dépend de la personne. Mais en général, ça se passe assez mal, soit parce qu'on le charrie, soit parce qu'il est horrible.
Avec les créatures du château ? Plutôt bien, en fait. Il a un certain respect pour la plupart des créatures, respectant leur ancienneté, leur savoir, et surtout leur bizarrerie. Seule exception, les hybrides, qu'il méprise à cause de son attachement à la pureté du sang.
Avec les Serdaigles ? Tout dépend de l'individu. En général, ils ne sont pas à Serpentard, donc ils ne méritent pas son attention.
Avec les Poufsouffles ? Kill it with fire.
Avec les Gryffondors ? Tout dépend de l'individu. En général, ils ne sont pas à Serpentard, donc ils ne méritent pas son attention.
Avec les Serpentards ? Ce n'est pas tellement qu'il les aime, c'est qu'il veut la gloire de la maison. Donc il est exigeant, mais les favorise de chaque manière possible. Quitte à ce que ce soit injuste envers les autres, ou un peu douteux. Qui a mis du poil à gratter dans les équipements des Serdaigles à la finale de Quidditch de l'année passée ? Sûrement pas Viridus.

Il fut un temps où Viridus était vraiment un enfant, avec le raisonnement et l'innocence accordés à son physique. Cet état de fait sembla ne pas durer longtemps. C'était le temps du froid, un froid qui resterait longtemps collé à sa peau.

Au manoir Emerald, dans l'extrême nord de l'Angleterre, il neigeait souvent. On ne savait pas trop si c'était un charme lancé sur le domaine pour y créer les conditions favorables ou si cela venait simplement de la région, mais la bâtisse en pierres claires se perdait la plupart du temps dans un décor immaculé.

L'enfant aimait à se promener sous les flocons, et que ses vêtements soient la seule tache de couleur à des kilomètres à la ronde. Même s'il faisait glacial, il faisait plus beau qu'à l'intérieur ; le manoir ressemblait à ses habitants, avec le peu de lumière qui y entrait. Le jour où cette histoire commence. Viridus avait dix ans, et l'on aurait pu croire que c'était un autre simple moment le nez en l'air dans la tempête, à regarder la blancheur du ciel et à sentir le vent sur son visage, mais pour une fois, quelqu'un s'inquiétait d'où il était. Un elfe de maison, bien sûr. Un membre de la famille ne se déplaçait pas lui-même pour parler à un enfant. Sauf sa mère. Sa mère l'aurait fait, si elle n'avait pas été en train de donner naissance à sa soeur.

La créature avançait dans la poudreuse, en se tortillant un peu, tordant entre ses doigts maigres l'espèce de taie d'oreiller qui lui servait de vêtement. On n'aurait su dire si le problème était le froid ou un certain malaise, et de toutes façons, Viridus ne regardait que le ciel cotonneux. Comme un mauvais pressentiment.

« Shiny est désolé de déranger le jeune Maître Viridus. » L'elfe s'inclina. Il avait un nom stupide. « Maître Emerald » - son père, le détenteur actuel du précieux nom - « envoie Shiny dire... Le jeune Maître Viridus devrait rentrer. »

Finalement, il avait baissé les yeux, un regard d'une telle froideur que l'on aurait cru que des éclats de glace s'y étaient nichés. Il avait dit ses premiers mots de la journée, d'une voix atone, beaucoup trop plate pour un enfant de cet âge.

« Je n'ai pas envie. »

Il fallait profiter encore un peu de la clarté. L'intérieur du manoir ressemblait à ses habitants, avec le peu de lumière qui y entrait. Et, entre toutes, la plus brillante de ces lumières venait de s'éteindre.

•••

Un an plus tard, il avait été temps de rentrer à Poudlard.

En un an, les choses peuvent changer du tout au tout. Viridus avait eu l'impression de sentir les murs se resserrer autour de lui lentement, comme un serpent prêt à l'étouffer. Tout s'assombrissait à l'intérieur, un peu plus chaque jour. Ce n'était pourtant qu'une impression. L'air avait l'air de s'épaissir, mais ce n'était que l'aura de son père qui voulait se coller à lui pour l'en imprégner.

Oh, ce n'était pas nouveau, et surtout, cette sensation se dissipa à mesure qu'il s'habituait. Il était l'héritier d'une famille de sang-pur, il fallait qu'il soit à la hauteur. Mais à présent, on savait qu'il n'y aurait pas d'autre enfant pour prendre la relève, et sa mère n'était plus là pour atténuer la rigueur de son éducation. Par dessus tout, il fallait plaire à son père.

C'était un enfant habitué au froid qui était monté dans le Poudlard Express, mais ce n'était plus la neige qui était en cause, c'était son propre coeur dont la gangue de glace devenait à chaque leçon un peu plus lisse et brillante. Il avait lu dans un coin pendant tout le trajet, sans adresser plus de deux mots à qui que ce soit ; il attendrait d'être certain de sa maison et d'apprendre qui était fréquentable.

Le Choixpeau n'avait pas hésité, il avait suffit de quelques secondes. Serpentard, évidemment. Comme toute sa lignée avant lui. Une fierté à rapporter à la maison, dans l'espoir d'une miette d'attention. Un retour au froid des cachots.

•••

Viridus était discret, pendant ses premières années à Poudlard. Il était le garçon qui travaillait assidûment, car ses notes ne pouvaient être que les meilleures. Il était celui qui rapportait le plus de points à sa maison, et qui traitait chacun avec une indifférence froide, dans les premiers temps. Mais il était aussi curieux. Il était celui qui lisait encore à la lueur de sa baguette quand, dans la nuit, le fantôme de Serpentard venait s'assurer que chacun dormait bien. Un garçon intelligent, qui s'intéressait de plus en plus à des sortes de magie dont il n'aurait jamais dû entendre parler à la base. La magie en elle-même, dans son ensemble complet, le fascinait.

Savoir l'interdit, c'était un moyen de sortir de son anesthésie constante. C'était le frisson de découvrir quelque chose que personne d'autre dans son entourage ne connaissait, c'était la sensation de toucher au but lorsqu'il parvenait à ce qu'un professeur – ou une créature - réponde à ses questions plus ou moins sombres. C'était une manière comme une autre de se débattre contre l'apathie, même s'il y eut un effet secondaire inattendu. L'arrogance, et une ambition dévorante. Viridus Emerald allait comprendre la magie en entier.

Ces traits de caractère qu'il développa, aussi négatifs qu'ils puissent être aux yeux des autres, étaient une flamme suffisante pour se sentir vivant... Du moins pendant quelques temps.

•••

L'adolescence était arrivée, peut-être un peu plus tard que chez les autres, comme si la nature avait voulu retarder une catastrophe. Emerald était beau, il l'avait toujours été, mais à présent, cette beauté devenait dangereuse, puisqu'il apprenait à s'en servir. Il avait fini par comprendre que le charme pouvait lui obtenir ce qu'il souhaitait, et qu'il y avait d'autres manières de se sentir en vie que la soif dévorante de connaissance.

Il sortit de Poudlard avec d'excellentes notes, laissant à regret son titre de préfet-en-chef derrière lui. Ce qu'il ne regrettait pas de fuir, par contre, c'était le tas de plus en plus imposant de rancœurs féminines.

•••

Après ses études, la fortune familiale lui permit de se consacrer à ce qu'il avait envie, tant qu'il répondait présent au moindre appel de son père. Cependant, Viridus n'avait jamais aimé les conditions, ni les punitions, ni l'endormissement duquel il lui avait fallu si longtemps pour se tirer. Il avait vingt ans, et il s'éveillait enfin.

Un jour qu'il était occupé dans la bibliothèque de Poudlard, où il retournait souvent, il eut une sensation de déjà vu plutôt intense, même si le décor n'était pas le même que la dernière fois. L'endroit lui était familier, si pas chaleureux, et empli d'un savoir dont il n'avait pas encore fait complètement le tour, avec ce stupide accès restreint sur la réserve. Mais ce n'était pas le sujet de son impression ; un elfe de maison dans une impeccable taie d'oreiller brodée aux armoiries Emerald venait de passer le seuil. Et cet elfe était vraiment chargé d'annoncer les mauvaises nouvelles. Ou les bonnes...

« Shiny demande pardon à Maître Viridus... Maître Viridus doit rentrer à la maison. »

Cette fois-ci, ce n'était pas le chef de famille qui le rappelait à lui, car le chef de famille n'appellerait plus personne. Cette fois-ci, Viridus avait regardé Shiny dans les yeux, en souriant. Dix ans après, une même réponse. Mais pas le même sentiment.

« Je n'ai pas envie. »

•••

Il faisait toujours aussi froid au domaine Emerald, mais il y soufflait le vent de la liberté. Un vent qui soufflait d'ailleurs dans le vide ; Viridus n'était jamais là. Il voyageait, à la découverte du monde et de chaque mystère qui attirait son attention. Il finit cependant par se lasser, comme d'un peu tout. Il avait le mal de la maison, mais pas de celle où il avait tous les droits d'aller.

Les professeurs de Poudlard finirent par en avoir assez de le voir traîner dans les couloirs ou la bibliothèque tout le temps. Ils n'avaient heureusement pas remarqué les clins d'oeil qu'il adressait à certaines élèves de septième année, ce qui fit que, sans doute par pitié au départ, on lui proposa le poste de professeur de Sortilèges et dans la foulée la direction de Serpentard lorsqu'il eut vingt-cinq ans. Il accepta. Dans l'heure, ses quartiers étaient aménagés complètement.

Viridus était un bon professeur, tout le monde pouvait s'accorder sur ce point. Compétent dans son domaine. Par contre, en tant qu'être humain ou collègue, il y avait des progrès à faire. Viridus était un poison, un homme arrogant, qui se frottait pour la première fois depuis ses études à un contact humain plus suivi qu'une aventure d'un soir. Et il adorait être pénible. Sauf avec les dames, évidemment. Il se pavanait en donnant à chacun l'impression que Poudlard lui appartenait, et commençait à réfléchir aux différents moyens d'en éliminer la pourriture. Enfin, les nés-moldus, appelez ça comme vous voulez. Dommage, vraiment dommage, qu'il soit impossible de trouver le directeur pour lui en parler, et que Bradbury, ce Gryffondor, ne soit pas vraiment coopératif.

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En parlant de dames, il y en avait une qui attirait son attention. Une femme intelligente est un challenge, et Flavia Mantis était loin d'être stupide. Il commença à s'intéresser à elle alors qu'il approchait de la trentaine, et qu'il cherchait quelque chose pour s'occuper. Il ne voyait en elle qu'un jeu, un défi qu'il se lançait à lui même. Il avait juré de l'avoir, de passer outre la méfiance qu'elle montrait par rapport à son comportement. A force de patience, il parvint à ses fins, et peu à peu, cette réussite perdit de sa saveur.

Il ne s'en était pas rendu compte au départ, mais il aurait préféré qu'elle résiste, il aurait aimé continuer le jeu du chat et de la souris à l'infini ; l'interdit avait toujours été une passion, et il avait cru qu'elle pourrait le consumer, mais elle avait cédé, et il avait eu l'impression puérile qu'on lui enlevait son jouet.

Dés les vacances, il était de retour à ses vieilles habitudes de séducteur, laissant tomber la vague idée de fidélité à laquelle son obsession l'avait amené. Il fallait bien remplir son temps, puisque son hobby professoral s'arrêtait pendant deux longs mois.

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Le problème majeur des vacances d'été, c'est qu'elles sont longues. Pendant tout ce temps, il avait bien fallu que Flavia se demande ce qu'il devenait, évidemment. Et il avait fallu que la seule cheminée allumée du manoir se soit trouvée dans les appartements de Viridus, puisque tout le reste était inoccupé depuis bien longtemps, laissé au seul entretien des elfes de maison. Tout cela n'aurait pas été un drame s'il avait été en moins charmante compagnie.

Un peu. Comment dire ? Occupé, il avait entendu la porte s'ouvrit, se refermer, et la cheminée s'enflammer à nouveau. Il ne lui avait pas fallu longtemps pour deviner qui était passé par là. Et il se savait très mal entrepris.

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Il avait attendu la rentrée avec appréhension, et une anticipation mal placée. Viridus s'attendait à une vengeance, et c'était curieusement intrigant de savoir ce qu'elle allait trouver. Prudent, il passa six mois à tester tous les produits qu'il consommait ou utilisait pour détecter toutes les potions imaginables.

Viridus était un Serpentard, après tout, il ne se ferait pas avoir par une Poufsouffle. Croyait-il.

Mantis avait choisi de consommer sa vengeance glacée. Un matin de février, il y a maintenant cinq ans de cela, alors qu'il avait arrêté de se méfier, avec une certaine déception quant à sa faiblesse de caractère, il ne détecta pas l'odeur étrange de son jus de citrouille. Il se plia en deux et perdit connaissance.

Tout le monde à Poudlard connaît la suite de cette histoire, ou presque. La maîtresse des potions avait choisi une punition particulièrement appropriée pour son amant volage, en lui donnant le physique d'un enfant. Il a été horrifié de constater sa condition, et plus encore de constater l'émerveillement qu'il ne pouvait pas s'empêcher de ressentir. Cette monstrueuse impression d'avoir trouvé quelqu'un à sa hauteur. Il avait joué avec elle, il l'avait trompée, il s'était désintéressé complètement... Et à présent il était partagé entre une haine flamboyante et une envie destructrice de la posséder à nouveau.

Il avait attendu, mais les effets ne se dissipaient pas. Pire encore, il ne grandissait même pas, le temps n'avait aucune chance de lui rendre un jour son aspect normal. Cinq ans ont passé, et Viridus cherche encore. Il a sous-estimé Flavia Mantis. Il est de nouveau un enfant, mais le temps du froid est terminé depuis bien longtemps ; il brûle de colère. Un jour, il trouvera la solution, ou lui extorquera d'une manière ou d'une autre. Et ce jour-là, il faudra qu'il décide s'il veut la tuer ou la forcer à l'aimer.

Personnage sur l'avatar ?Le Petit Prince, du roman éponyme.