Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
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Party Hard [ft Upsilon Ash & Charlie Foxx]

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Jeu 8 Mai - 21:37
party hard.
Et la semaine avait été longue jusqu’au week-end. Mais ils y étaient. Samedi, 14 heures, bras dessus dessous, les pieds dans la neige. Parce qu’il faisait encore froid; et pourtant pré-au-lard était toujours aussi peuplé, les joies de Février entrainant une bonne humeur ambiante de ce qu’il y a de plus important. Car le débat était grave en ce jour. « […] Quoi ?! Mais ça se bouffe pas comme ça ! » tentait d’expliquer Charlie. « Tu remplis le trou avec ! C’est plus savoureux quand c’est bien trempé… » et oui, c’était délicat et très important. Cette conversation les mènerait loin, il le savait. Il poussa la porte de l’auberge. Mais comment en était-on arrivait à ça ? Ils s’étaient promis un verre, le mercredi précédent, pour ce truc débile avec Barthelemy. Aussi s’étaient-ils retrouvés à faire leurs devoirs la matinée pour être tranquille le reste du week-end. Mais ils avaient préféré aller courir, que voulez vous, les sportifs dans l’âme se rencontre ! Toujours est-il qu’après un bon déjeuné à la grande salle, ils avaient décidé de se diriger vers Pré-au-Lard pour enfin se payer ce verre qu’ils se devaient. « Mes parents utilisent une petite cuillère, sérieux, t’y vas avec la bouche c’est carrément mieux. »

C’était rempli, et la chaleur de l’endroit fit soupirer Charlie de soulagement. Il retira sa chapka fourrée et ses gants et repéra une table de quatre disponible. Et bien, pourquoi pas ! Il sourit à Upsilon avant de s’y diriger et de s’y installer. Diantre, c’était à se demander sur quoi portait réellement cette conversation. « J’veux manger un avocat p’tain. » Ca lui manquait, les produits de l’été, les produits qu’il ne mangeait que chez lui, en France, à table avec ses parents. Ce genre de trucs qu’on ne trouvait pas à Poudlard, parce qu’il faisait trop froid et parce que, certainement, leur prix était exorbitant dans ce pays d’anglais. Il retira sa veste tout aussi fourrée que sa chapka et se frotta les mains, heureux d’être enfin arrivé et regarda son ami s’installer. Il prit un sourire en coin. « J’reviens » et se leva, mais certainement pas à la direction des toilettes : le bar était sa cible première. Il avait prévenu son ami qu’il lui paierait l’affront de Mercredi. Il formula rapidement sa commande au barman avant de retourner s’assoir, heureux comme un gamin de 5 ans. Que c’était bon d’avoir la majorité !

Un rapide coup d’oeil alentour permit à Charlie de repérer plusieurs tables ; la premières, celle derrière Upsilon ; quatre fille semblait parler tranquillement autour d’une bierreaubeurre. Plus loin, un couple semblait occupé à se caresser la main ou on ne sait quoi sous la table ; des personnes plus âgées parlaient entre elles au bar. Tout semblait assez heureux, et si l’endroit manquait de musique, il était assez chaleureux pour que la journée s’annonce merveilleuse. La vengeance de Charlie serait impitoyable; il avait déjà tout prévu. Enfin, il pensait pouvoir s’en tenir à ses plans. Si seulement il avait su…

Et enfin, elle arriva, leur déesse de la journée. Une serveuse pas forcément jolie, un peu rondelette, souriante et un peu trop maquillée ; elle avait des boucles d’oreilles étranges, brillantes et très bling-bling et une jupe beaucoup trop courte pour elle, des boucles châtains qui lui tombaient sur les épaules. Ouais nan, il ne voulait pas de ce genre d’avocat, tout de suite. Mais quelque chose la rendait particulièrement sympathique, c’était indéniable ; non, ce n’était pas ces talons aiguilles - Merlin, les filles avaient un talent pour souffrir, c’était indéniable - mais bel et bien ce mètre rempli de shots qu’elle tenait avec difficulté. Elle le posa sur la table, leur offrant son plus beau décolleté ; Charlie lança un regard amusé à son ami avant de la remercier et de la regarder s’éloigner. « C’est mon cadeau de Noël » déclara Charlie, croisant les bras et s’appuyant sur le dossier du banc en bois sur lequel il s’était installé. Noël était déjà passé depuis au moins deux mois, mais qu'importe. « T’étais prévenu mate » dit-il, sourire aux lèvres, alors qu’il attrapait un petit verre pour lui. Il n’était pas maso, pas encore. « Du Jabbermeister pur et dur. » (ceci est une référence au Jägermeister, plz).  Ou était l’entonnoir dont Upsilon lui avait parlé ? Ils en auraient certainement bien besoin, en cette après-midi froide. Quoi qu’ici il faisait déjà plutôt chaud.
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Lun 12 Mai - 23:21



Party Hard

Charlie ▬ Upsilon




On l'avait attendu depuis longtemps. Ce jour. Ce samedi. Enfin ; nous y voilà. Parés à passer du bon temps entre potes. On avait programmé cette sortie à l'issue d'un parie. Pour pas changer. Je me retrouvais perdant dans le sens où, j'allais devoir faire tinter mes gallions. Cela dit, des deux, j'étais certainement le moins à plaindre. Cette histoire avec Barthelemy lui avait foutu un sacrée coup au moral. Alors je me suis promis de ne pas revenir dessus. Je m'en veux un peu. Mais, je ne l'avouerais pas à haute voix. Aaah... la fierté des Gryffondor. On aura beau dire qu'il suffit de s'asseoir dessus pour paraître moins snob et plus humain, ça reste difficile à faire. Et pour tout le monde. Pas uniquement pour moi.

L'air est froid, nous sommes en février et la St Valentin approche. Brrr... Toutes ces fleurs, ces chocolats, tellement peu pour moi. J'ignore encore comment je vais m'en sortir. Je n'ai aucune envie d'improviser des poèmes ou d'écouter la cascade de tendresse de machin ou de truc. Je devrais peut-être tenter ma chance avec Hollyn. Frapper à la porte de son cachot qui lui sert de chambre, et lui offrir un énorme bouquet de fleurs... Elle me le ferait bouffer. Sans aucun doute. Et puis, sérieusement. Pour que je me trimbale avec un bosquet floral, c'est que je dois pas être super lucide. Voir même carrément shooté ou menacé de mort. Non. Au final, je crois que je vais faire ce que j'ai dit à Charlie la dernière fois. Je vais me cacher, me terrer hors de vue et de portée. Et attendre que ça passe. Voilà tout.

Les cheveux dans le vent, la moitié du visage bouffé par une écharpe, j'avance à pas souple, quasiment collé à Charlie. On se réchauffe comme on peut. Du moins, le temps d'arrivé aux Trois Balais. « Moi j'y vais en douceur. Pour pas en brusquer la chaire. » Eh oui. Faut bien qu'on fasse un brun de causette pendant le trajet. D'ailleurs, je me demande comment on a fait pour en arriver à un sujet pareil. Charlie est visiblement passionné. Ça lui tient à cœur et, le connaissant, j'aurais pas cru. Il à l'air de s'indigner en m'expliquant sa méthode. Chacun fait comme il veut, l'essentiel, c'est d'y prendre du plaisir non ? « Ben écoutes, tu me montreras comment tu fais. » Oh je suis sûr que ça lui plairait. Je veux bien reconnaître qu'il n'a pas tout à fait tord. C'est toujours plus agréable quand on a tout bien préparé. On y ressent une certaine satisfaction. Et quand on partage, c'est encore mieux.

Charlie pousse la porte alors que je tendais la main pour le faire. Quelle rapidité. Il est comme ce matin, quand il m'a tiré de mon cocon-post-révisions pour aller faire du sport. Ah. Du sport. La bonne blague. Je suis loin. Très loin d'être un sportif. Mais, depuis que je fais parti de l'équipe de Quidditch – encore un parie – il faut bien que j'entretienne ce corps d'athlète. Enfin. Futur athlète dirons-nous. Histoire de pas faire tâche parmi les autres joueurs. Et le sport avec Charlie, c'est franchement éprouvant. Je sens déjà les courbatures qui m'attendent demain matin... Heureusement que ça reste plus ou moins occasionnel. Mais, j'aime sa compagnie. Sauf quand il se fout de ma gueule en me dépassant parce qu'il en est à son 4ème tour de terrain et que moi, je peine à terminer le premier. Patience, je finirai par atteindre son niveau.

L'ambiance est chaleureuse. Et quelque chose me dit qu'on va passer un super bon moment. Il ne peut en être autrement. Je jette un regard circulaire, jauge le nombre de clients et pivote vers Charlie  quand je l'entend reprendre. Ses parents utilisent une petite cuillère ? Et ? Moi ça me semble tout à fait correct... Quoi ? Il y va avec la bouche ?! Mais quel porc ! Je cligne des yeux, surpris par cette révélation. Et dire que je lui ai demandé de me montrer comment il s'y prenait... je regrette un peu. J'ai pas spécialement envie de voir ça en fait. « Eh ben. Quel appétit ! » Non parce, que pour y aller avec la bouche, sans prendre son temps c'est qu'on doit vraiment être affamé. « Je fais comme tes parents tu sais. C'est toi qu'es bizarre. » Je lui donne un tape amical dans le dos avant de l'imiter en retirant mon manteau. Il me sourit et je comprends assez facilement qu'il vient de nous trouver une place. Je le suis, tire ma chaise et y accroche mon vêtement avant de m'asseoir. Là, j'entreprends de dérouler l'énorme écharpe qui me mange tout jusqu'à la bouche et qui me porte chaud – trop chaud – à l'intérieur.

« Tu sais, vu comment tu en parlais, j'avais crus comprendre. » C'est rare de le voir aussi passionné... Je lui rends son sourire alors qu'il se débarrasse de ses fringues. Tiens. Pour son anniversaire, je lui offrirai un blouson en cuire. Rose. Il ira à merveille avec son teint. T'as une belle peau Charlie, mets là en valeur ! Non, sérieusement, c'est juste pour l'emmerder. Si je veux vraiment lui faire plaisir, je n'ai qu'à commander une grosse caisse d'avocats. Quelque chose me dit que là, je deviendrai son Dieu. Je me tourne pour suspendre mon écharpe au dossier de ma chaise quand je vois la table peuplée de filles derrière. C'est mécanique, je leur décroche un sourire de mon cru avant de me retourner pile au moment où Charlie se lève, me prévenant qu'il revient. Et effectivement, moins d'une minute après, il revient, l'air heureux. Sans doute a-t-il commandé nos boissons. Je le suis du regard quand il s'assoie, le visage fendu moi aussi d'un sourire. Je pourrais le soupçonner de me préparer un sale truc mais, non. Je l'englobe dans un espèce d'halo de pureté. J'appuie mes coudes sur la table et joins mes mains, entrelaçant mes doigts. Que nous a-t-il commandé ? Même si ça me fait mal au cœur, je tiendrai ma promesse et m'imposerai pour payer la note. Quoiqu'il ait décidé de nous prendre. Même si c'est cher.

Elle arrive toute pimpante pour déposer nos choppes sur la table. Elle s'attarde un peu d'ailleurs, savourant sa position à moitié penchée. Et je suis pas sûr que c'est pour soulager ses articulations, voyez-vous. Elle a un joli sourire et malheureusement pour elle, c'est la seule chose qui... m'intéresse. Dommage pour le décolleté qu'elle a dû préparer avec soin. En revanche.. Dès qu'elle s'éloigne après avoir reçu nos remerciements, je me m'incline pour m'intéresser à la partie inférieur de son corps. Constat indéniable ; malgré ses talons hauts, j'ai vu mieux comme paire de jambes. Beaucoup mieux. Et cette jupe... quel manque de goût vestimentaire. Ma bouche se déforme en moue quand je vois le regard de Charlie braqué sur moi. M'aurait-il surpris en plein reluquage ?  

« C'est mon cadeau de Noël. »

Quoi ? Attends... Comment dire... C'est... sympas mais...
Est-il au courant que je ne m'intéresse pas aux nanas maquillées comme un troll ? Que leur parchoc avant m'intrigue autant que la couleur du ciel ? C'est pas ma came. Pas du tout. Comment lui dire que son cadeau est... légèrement à côté ? Et puis, depuis quand il m'offre une serveuse pour Noël ? Comment il a fait ? L'aurait-il payé ? Mes yeux s'ouvrent comme des souaffles avant de cligner. « T'étais prévenu mate. » Je suis désolé. J'ai beau mater... ça ne me fait pas saliver. Pas vraiment. J'ai tourné la tête d'instinct vers la serveuse, histoire de voir si j'avais pas loupé un détail intéressant. Mais, non. Je glisse les yeux vers lui, intrigué, sourcils froncés. Et je le vois attraper un verre. Et tout s'éclaire. Il ne parlait pas de la fille. Il parlait de ça. De sa liqueur dont il paraît fier. Pur et dur... ah.

« Tu fais pas dans la demi mesure. » Mon expression hébétée a laissé place à l'amusement. J'attrape un shot et le fait glisser du bout de l'index vers mon ami. « Même pas peur ! » Je ricane, préparé à subir. Je peux pas faire grand chose de toute façon. Sauf peut-être... « Ok. Mais, on boit ensemble. Cul sec. Pour voir qui à la meilleure descente. » C'est vil. Je vais l'embarquer dans l'ivresse, la luxure et la débauche. Ce triste sort m'était destiné mais, on le subira ensemble. Je hausse un sourcils, narquois, presque sur point de lui balancer un ''Chiche ?'' Pas besoin cependant pour qu'il remplisse nos verres. J'attrape le mien, un sourire en coin et le lève vers lui. « A... Aux avocats ! » Clin d’œil pour la complicité et je m'enfile la shot... avec difficulté. Je grimace. Le goût est épouvantable. J'étais pas préparé. Pas du tout. Il repose son verre avant moi ; visiblement, il est plus habitué que moi. Je proteste. « Ça compte pas ! J'étais pas prêt et... Allez encore une ! »




Je repose mon verre avec fracas. Bah. De toute façon, un bruit de plus un bruit de moins... c'est pas ça qui fera la différence. J'ai l'impression que mon ouïe s'est développée. Ça gronde de partout. Et j'ai chaud, ça monte à la tête et je... oh mince. J'émets un son très particulier, entre le gloussement et le feulement en constatant que j'ai cassé mon verre. « Pluuuus foort qu'Albatooor. TAS VU CA ? » J'ai mis trop de passion en reposant ce machin. Je sais pas combien je m'en suis enfilé. Mais, à chaque fois, il gagne et j'en redemande. Parce que je suis sûr d'arriver à le battre. Au moins une fois. « Tu triches ! Rrrrhh ! » Il un trou à la place de la bouche. C'est pour ça qu'il arrive toujours à finir avant moi. Un constat effroyable s'offre à moi. J'ai pété mon verre. Je peux plus boire. Sauf si je lui choppe la bouteille des mains. Je soulève difficilement mon arrière train, la langue entre les dents, la bouche ouverte en une moue concentrée et je tend le bras. A moiii... A moiiiii...

Sauf que je confond la bouteille avec sa cravate.
Qu'il m'empêche de tirer...





DU "JE" RIEN QUE POUR TOI. ♥
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Dim 25 Mai - 18:38
party hard.
« Ah bon ? » lui, bizarre ? Il trouvait ça bizarre, mais haussa les épaules. Après tout, à chacun sa façon de s’occuper des avocats. Il ne faisait effectivement pas dans la demi-mesure, pas ici. Une fois les deux installés et leurs verres en face, il était temps de commencer le jeu. Et bien entendu, il était hors de question de ne prendre qu’un demi-mètre, c’aurait été si peu par rapport à ce qu’Upsilon lui avait fait subir. Il sourit à sa remarque, et rigola presque ; il avait la meilleure descente ? Okay, pari tenu, il était hors de question qu’il se laisse battre sur un truc aussi facile. Décidément, Upsilon savait comment s’y prendre avec Charlie. « On parie ? » ironisa Charlie en attrapant l’un des nombreux shots en face de lui. C’était parti, bien entendu, il le laminerait. « Aux avocats ! » tonna-t-il en levant son verre. Une gorgée laissée dans sa bouche, un liquide chaud dans sa gorge et une poigne ferme qui repose le shot sur la table ; et de 1 pour lui !

[…]

Il repose son verre en même temps qu’Upsilon. De toute évidence, il s’est amélioré dans la vitesse d’ingurgiter ces… euh, c’était quoi ? C’était bon en tout cas ! Jagger ! Charlie lui fit un grand sourire, très fier. Oui, oui il était fier mais très triste. Il fronça ses sourcils en constatant avec détresse. « Quoiiii ?! » Il n’avait même pas contrôlé sa voix qui était trop montée dans les aigus. Il fallait dire que l’heure était grave. « Mais tout est viiiiiiiide ! Y en a plus. ENCORE !! » Les choses ne tournaient plus tout à fait rond. En fait elles tournaient, ça c’était sûr, mais de quelle façon. Plus fort que qui, Alba.. ALBATOR ?! Il ouvrit la bouche, prêt à chanter. « Le corsaiiiiire de l’es…. Mec tu saignes... » fit remarquer Charlie. Cancer, tétanos tout ça ne lui vinrent même pas à l'esprit. Il ne comprit pas tout à fait, mais une bouteille était arrivée sur la table. Ah oui la serveuse s’éloignait ! « Merci ! » cria Charlie un peu trop fort, en se faisant remarquer. De toute façon, la moitié de la salle devait déjà les avoir capté ; ils avaient commencé à parler un peu plus fort parce que le bruit autour avait l’air d’avoir augmenté… Ou alors c’était juste eux, il ne savait plus trop. Toujours est-il que très satisfait, le préfet attrapa la bouteille avec un grand sourire aux lèvres et l’ouvrit. Il posa le bouchon sur la table, prêt à servir de nouveaux les shots vides. Sans vie. Les pauvres, il fallait corriger ça. « Mais noooon je triche pas, tu comprends juste pas le véritable talent de boire de l’… ».

Sauf que voilà. Il sentit une pression sur sa cravate et se sentit tiré vers Upsilon. Et le temps qu’il relève sa tête, leurs lèvres s’entrechoquaient en même temps que leur front. Choqué parce que surpris, Charlie bondit en arrière et se renversa de l’alcool dessus ; en tout cas, il n’avait pas lâché la bouteille. C’était important ! Mais voilà, il était tout poisseux. « Oh naaaaan j’ai une tâche  d’alcool mou sur ma cravate moche ! » articula Charlie, tête baissée pour constater les dégâts. C’était pas beau. Hmf, il grogna et posa précautionneusement la bouteille sur la table, vérifiant trois fois qu’elle tenait bien en équilibre. Ca avait l’air bon. Serrant ses dents sur sa langue à moitié sortit, il tenta de desserrer son noeud de cravate. « Avec tes conneries c'est devenu trop serré » expliqua-t-il à Upsilon. « Taiiiiiin » commença-t-il à s’énerver en tirant sur le noeud qui ne se défaisait pas. « Pourquoi j’ai une cravate de serpentaaaaard » geigna-t-il. C’était vrai ça, il fronça les sourcils. Il ne se souvenait pas avoir volé de cravates. Ah, peut-être ce matin, dans les vestiaires après son entrainement. C’était bizarre. C’est vrai que c’était moche le vert, ça ne mettait pas le teint en valeur. Il se frotta les cheveux et abandonna l’idée d’y arriver. Il se leva et alla s’assoir à côté d’Upsi. « Dude sérieux c’est impossible ! Essaye ! » dit-il en levant le menton. Il avait confiance, il n’avait même pas pensé à l’éventualité de se faire étrangler. Mais c’était Upsilon alors il ne pouvait qu’avoir confiance. Bien entendu, il avait oublié que son ami saignait de la main. C'était un détail, un détail. Mais ça le serait moins sur sa chemise blanche. Le problème n'en était pas encore là.

Attendez, erreur 404. Ils s’étaient embrassés sans faire exprès ? Ah oui ! Mais sa cravate le serrait trop, et il avait chaud. Alors Upsilon s’il te plait, fais quelque chose.
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Lun 26 Mai - 13:42



Party Hard

Charlie ▬ Upsilon




Tu aurais dû le savoir. Depuis le temps. Que parier avec Charlie est un jeu dangereux. Chacun ayant sa propre fierté, sa propre volonté de montrer à l'autre de quoi il est capable, repoussant les limites déjà peu raisonnables. Tout accepter pour montrer l'étendu de... son inconscience car, au final c'était ça. De l'inconscience. Et une bonne dose de connerie. Le tout, mêlée à la folie de la jeunesse. Il avait finit Prefet-en-chef et toi, batteur dans l'équipe de Quidditch. Tu avais massacré un devoir d'astronomie, il était allé se faire battre auprès de Barthelemy. Les conséquences de vos paris n'étaient pas toujours des plus agréables. Mais, qu'importe, dans ta tête tu préférais faire le con sans te soucier du reste. Profiter de Charlie, profiter de votre complicité, de votre dernière année ensemble. Alors ouai, qu'importe ; tu irais embrasser Lovecraft – et avec la langue – s'il t'en lançait le défi.

Roulez jeunesse comme on dit.

Sauf que là, c'était plutôt buvez jeunesse.

C'est un concert fracassant que tu mènes en compagnie de ton meilleur ami. Abattant d'un même geste le récipient en verre, tel deux alcooliques ivre de joie. La chanson paillarde n'est pas encore parvenu à trouver importance à vos yeux. Ça ne serait tarder, qui sait. Ton verre n'encaisse pas le choque et éclate sous tes doigts. Tu rigoles, sans sentir une once de douleur. Clamant ta force en la comparant à Albator. Oyea! Charlie, lui semble atterré en découvrant que la bouteille... et tout le reste est vide. Vide. Plus une seule goutte de cette liqueur dont le nom t'échappe complètement. Vide ? Vide ! Vide. « T'as tout buuuu ! » Tu pignes en grimaçant. Inacceptable. « Tout. Tout. Touuut. Radiiiin !! Beuuh...» Traaaitre!C'est malheureux. Tu ne le savais pas si rapiat. Tu frappes des mains sur la table, montrant au combien tu es mécontent... et puis... il y a cette douce mélodie qui atteint tes oreilles... Une mélodie un peu criarde cela dit. Mais, ton visage s'illumine d'un grand sourire pendant que tu glousses « Ton cœur est bon ton cœur graaaand pour tout les enf... Oooh. » Tu fronces les sourcils. De quoi tu saignes ? « Qu'est ce tu diiis ? » Et c'est la que, comme un grand, tu regardes enfin ta main en louchant... Elle est pas un peu flou ? « Je disparais... » Tu chuchotes, papillonnant des yeux devant cette évidence qui te semble cruelle. Toi en fantôme ? Tu paniques. « MEC !! JE DISPAR-OOOOH UNE BOUTEILLE ! » Tes yeux se mettent à briller. Tu ignores comment elle a atterrit là à moins que... « Héhé... D'où tu la sors cette-là ? » Ta voix est grave, murmuré sous le ton de la concussion entre deux mafieux planifiant leur plan. Charlie, fournisseur officiel d'alcool à Pré-au-lard. « Tu fais de la magiiiie. Oooh !! » Non, tu n'as pas vu la serveuse, alors tu penses vraiment qu'il te remercie de l'avoir complimenté. Attends. Quel compliment déjà ? Baaah qu'importe, tout ce qui t'intéresse, c'est cette bouteille divinement pleine. Tu tends le bras, une mine concentrée marquant ton visage, comme si t'étais sur le point de remonter un pote tombé dans un gouffre et que la seule manière de le sauver, c'était de chopper la main. Voilà. Comme Sam et Frodon... Frodon Sakéééé ! Lui, il a nom qui pète. Qui envoie. Qui vend du rêve. Qui... Oh oui, la bouteille !

Aaaah. Mais c'est que ça tourne. Et tu ne vises plus très bien. Tes doigts attrapent sa cravate. Tu tires dessus persuadé d'avoir choppé la bouteille et bang ! Ton front frappe contre le sien. Tes lèvres s’écrasent contre les siennes. Aiieuuuh Tu gémis, fronçant les yeux. Charlie bondit, s'écarte, tu vacilles reculant et trébuchant sur ta chaise. Tu retrouves ton équilibre en agitant les bras, comme si tu voulais t’envoler. Et enfin, tu te frottes le front en pinaillant. « Buuuh. Tu m'as fait mal à mon frooont. » Tu veux un bisous. Un bisous magique. Pour enlever la douleur. Tout de suite. « Fait un bisous. Là. Làààà ! Oh ! Ta cravate est moooche ! » Qu'il est facile de détourner ton attention. Tes yeux sont braqués sur sa cravate et ta bouche forme un ''oh'' intéressé. Il grogne et tu clignes des yeux comme un gamin venant de voir un papillon s'envoler pour la première fois. Parce qu'elle est vraiment moche, sa cravate. Et puis le voilà qu'il te sermonne ! Tu relèves les yeux, ta bouche remontant vers le haut en une moue contrite. « Tu dis des gros mots. C'est pas gentil. » Tu te redresses en croisant les bras. Tu tangues mais te rattrape de justesse. « T'es pas beau. » Nah. Non. Il est vraiment pas beau avec ce truc vert autour du coup. Pourquoi vert d'ailleurs ? Tu l'ignores et ne te pose pas vraiment la question.

Il trottine jusqu'à toi et s'installe. Tu poses alors toi aussi tes fesses sans comprendre ce qu'il te demande vraiment. Ce n'est que lorsqu'il lève le menton que tu comprends. Tu pouffes. « T'es nul. Bouges pas. Je vaaais.... oups ! » Et sans savoir comment ni pourquoi, tu lui mets les doigts dans le nez. « J'ai mal visé. » Tu vois flou surtout, heen et tu sais pas trop ce que tu fais. Tu ricanes, prenant une moue concentrée lorsque tu fais descendre maladroitement tes mains. Tu lui érafles la joue sans le voir et commences à agiter tes doigts sur la cravate, l’imprégnant de ton sang pas encore coagulé. Tes gestes sont imprécis. Et au bout d'un court moment, ça t'énerve. « Arrête de faire bouger ta cravate ! » Tu tires brusquement dessus, l’attirant en l'étranglant presque. « Mais bouges paaas j'te dis ! » Ben oui ! Qu'il arrête de tanguer comme ça, ça devient encore plus dur de retirer ce machin. Tu perds patience au bout de... trois secondes. Tu te rapproches de lui, langue tirée entre tes dents. Tu faufiles tes doigts entre le tissu et sa peau et tire. Tire. Tiiire pour élargir l'espace. Tes efforts sont récompensés. A présent, tu peux la lui retirer en la passant par-dessus sa tête. Ce que tu fais. Mais tu t'arrête à mi-chemin. « Ça te fait un serre-tête ! » Gloussant, tu continues de le complimenter. « T'es tout mignooon comme ça ! » Ton sourire est éblouissant. Jusqu'à ce que tu remarques autre chose. « Dude... ta chemise. Elle saigne. »... Wait ? C'est possible ça ? Tu fronce les sourcils, t'analysant toi même. « Oh ben non en fait. » La vérité te frappe ; c'est ta main qui continue de saigner. Tu la regardes avec attention puis tu la brandit devant son visage, à deux doigt de la lui coller à plat sur la tronche. « Tu veux être frère de sang ?! » Dis ouiiii. Dis ouiii. On fera des trucs de frères comme çaaa. Mais, oh ! T'avais pas oublié un truc ? Oh si ! La bouteille, tu t'étires pour l'attraper et boire au goulot. Puis, tu jettes un coup d’œil dans sa direction. « Je crache dedans si tu dis non ! » Parce que Charlie, il pourra pas boire si y a des miettes dedans. Des miettes de quoi déjà ? Aucune idée. Mais, ça le dérangera pas de picoler après toi, un baiser indirect c'était pas grand chose comparé... à l'autre.





t'inquiète ♥ moi j'ai bien rigolé 8'D (et pardon, écrire en "tu" c'pas évident X'D la qualité est pas top ;;)
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Lun 26 Mai - 15:41
party hard.
On disait souvent de Charlie qu’il était responsable. Oui, oui tout à fait. On pouvait d’ailleurs totalement constaté ce fait en cette journée. Quelle heure était-il ? Cela faisait-il ne serait-ce qu’une heure qu’ils avaient entamé ces shots d’alcool qui maintenant gisaient dans leur sang et leur tapaient sur la tête ? Upsilon commençait à chanter et Charlie à se dandiner sur l’air sur sa chaise. Ahhh ça manquait de musique aussi ! Mais il ne finit pas parce que, et bien parce que il saignait. Et quand on saigne c’est pas beau et ça en met partout. Surtout quand on saigne beaucoup, ce qui semblait être le cas, ou peut-être pas il ne savait plus trop. Mais ça n’allait pas, parce qu’il saignait. De toute façon, il avait attrapé sa cravate et l’inévitable c’était produit : ils s’étaient donnés un coup de boule en même temps qu’un bisou, et c’était pas très cool pour son front. Ni pour celui d’Upsilon non plus, parce qu’il avait l’air d’avoir mal alors que Charlie frottait le sien pour faire passer la douleur. « Bisou magique pour les faibles » grogna Charlie en fronçant les sourcils, décidant que c’était la seule solution pour éviter d’embrasser le front de son ami. il venait d’ailleurs d’embrasser ses lèvres, non ? Oui ? Ah mais c’est qu’il avait raison, sa cravate était très moche. Alors il devait l’enlever ! Mais il n’y arrivait pas, parce que ce n’était pas facile. Charlie dire des gros mots ? Ah bon ? Ah oui ! « Toi aussi t’es moche » fit remarquer Charlie. Répartie de gamin check. Il grogna cependant et trottina jusqu’à son ami pour qu’il l’aide.

Parce qu’il avait vraiment besoin d’aide.
Mais de toute évidence, Upsilon n’était pas mieux.

Mais tu te trompes de trouuuu » fit remarquer Charlie en attrapant le poignet de son ami pour l’éloigner de lui. Son nez lui grattait beaucoup : il lui avait mis un doigt dedans ?! Beeeeeerk ! Il attendait toujours que sa cravate soit dénouée, mais Upsilon semblait avoir beaucoup de mal aussi. Bouarf, il se sentit secoué dans tous les sens, lui donnant encore un peu plus le tournis. Il y avait quelque chose de lourd dans sa tête ! « D’accord » dit-il simplement quand il lui demanda d’arrêter de bouger sa cravate. Mais est-ce qu’il bougeait sa cravate ? « Mais j’bouge paaaaas » se plaignit-il. C’était long et laborieux. En attendant, il tentait d’enlever une mèche rebelle des cheveux d’Upsilon qui s’était collé sur son front. Mais il avait beau la remettre sur sa tête, elle revenait tout le temps. Sans faire exprès, il cogna son front. « Pardon ». Ah. Ah ? Un serre quoi ? Charlie fronça les sourcils, sentant la cravate lui tomber sur le nez. Ooooh ! « Mate je suis une tortue ninja ! » dit-il en tournant un peu la cravate pour avoir le pan sur le côté. Merci Charlie. Oh mais il voulait avoir des tribales sur les joues ! Pour faire vrai guerrier ! Ouaiiiis ! Il se leva sans prévenir garde et chercha autour de lui : pourquoi il n’y avait pas de marqueur dans le monde des sorciers ? Ou il y en avait et il n’en avait jamais vu ? Mais non c’était les plumes chez les sorciers. Pas de soucis, il avait un plan B !

Il s’éloigna gaiement pour rejoindre une table de filles. Ah oui il les avait déjà vues ! Il leur sourit comme un idiot en se demandant ce qu’il faisait là. Elles étaient plus jolies que quand ils étaient arrivés, c’était bizarre ! Il les salua et sans tenter de faire la conversation, y alla de bout en train. « Les filles, vous avez du rouge à lèvres ? » sourire - presque - charmeur et le tour était joué. Il les remercia en les invitant à les rejoindre si elle voulait et retourna s’assoir à côté d’Upsilon. « Regaaaarde ce que j’ai trouvé ! Attends. » Il mit environ 30 secondes pour ouvrir l’objet en question : c’était compliqué les trucs de filles. Comme les filles. Elles étaient toutes compliquées. Au moins elles s’entendaient bien avec leurs objets. Mais finalement, il réussit et marqua sur sa joue un trait. Le problème, c’est qu’il dérapa et que le trait, qui partait de sa pomette, montait jusque sur ses tempes en finissant par un gros point. C’était pas grave. Il fit un truc un peu plus potable sur son autre joue et sourit à Upsilon : de toute façon il ne voyait pas sa figure. Il cligna des yeux plusieurs fois et approcha dangereusement le rouge à lèvre des lèvres de son ami qui finit par s’écraser dessus alors qu’il faisait une remarque étrange. Concentré à peindre les lèvres d’upsilon qui avait décidé de parler en même temps, il ne réagit pas tout de suite. Il saignait de la chemise ? « Oh » dit Charlie en baissant son regard et en oubliant le rouge à lèvre sur Upsilon, rouge à lèvre qui finit sur les dents de son ami. « Ooooh nan elle est sale ! Upsi fais gaaaafeuh. Ma chemise est sale ! ». Il voulait pleurer, sincèrement. Charlie il aimait pas être habillé salement. Il comprenait soudain l’air inquiet sur le visage des jeunes filles. Pfffffff. Il soupira et posa le rouge à lèvre sur la table avant de déboutonner de façon laborieuse sa chemise. « C’est tout sale bordel » oui, on avait compris. Il releva sa tête vers Upsilon, la bouche en O. Frère de quoi ? Sang ? Surpris par la main trop près de son visage, il fit un bon en arrière. C’était vraiment pas beau le sang.

« Naaaan je suis fils unique ! » Oui, c’était vrai ça. Et fier de l’être ! Mais la menace de son ami le fit frémir. Cracher dans la bouteille ? Beeeeeeeeerk ! « Mec c’est dégueu. ». Et ça l’était, pour sûr. Surtout que son air soudain sérieux aurait pu inquiéter. Enfin sérieux, tout était relatif, avec sa cravate en serre tête, sa chemise ouverte et ses signes « tribaux » sur les joues. « Mais imagine t’as le SIDA et tout tema c’est dangereux dude naaaaaaaan il faut pas, il faut pas ! ». Même dans cet état, il restait un peu peureux des maladies. Enfin, il sourit quand même à Upsilon et tenta de récupérer la bouteille : pourquoi elle s’éloignait quand il se rapprochait ? Il fronça les sourcils. « Mais donne ! » ralla-t-il. Ca ne marchait pas. Il prit une grande inspiration, il aurait presque eu l’air énervé, et il se voulait menaçant. Mais on y croit. Soudain, ce fut comme une révélation. « C’trop coooool, on est frère de chemises sales regarde ! ». Upsilon avait sali lui aussi sa chemine, mais surement plus d’alcool que de sang, ou alors c’était peut-être les deux. Pourquoi, quand ? Le préfet releva son visage vers la bouteille : elle se renversait sur son ami ! Aaaaaaaaah naaaaaan. D’un coup sec, il attrapa la main d’Upsilon pour la redresser; elle était déjà moins pleine qu’au début. « CUL SEEEEEC ». Ah mais ils n’étaient toujours pas frères de sang, si ? Upsilon il voudrait bien ? Non ?

« Ciseaux. » c’était une évidence, pour être frères de sang, il fallait que lui aussi il soit blessé, sinon ça marchait pas. « Me faut des ciseaux. » C’était clair comme l’eau de roche ! Il se retourna et tapa l’épaule du gars de la table d’à côté. « Z’avez pas des ciseaux ? » nan ? Il prit une mine triste et se retourna vers Upsilon. « On peut pas être frère de sang, j’ai pas de ciseaux ». Parce qu’il devait se blesser; et évidemment il n'y avait pas d'autres moyens de se blesser que d'utiliser des ciseaux. Il haussa les épaules. « On boit quand même ? » dit-il en pointant la bouteille du doigt. Il avait soif.
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Mer 28 Mai - 16:22



Party Hard

Charlie ▬ Upsilon




Franchement, vu ton état, tu aurais pleuré si ton cerveau avait pu tout capter. Charlie te disait que t'étais moche. Oh. Pardon, que toi aussi t'étais moche. Sous-entendu que lui l'était également. Eh ouai. Les inséparables tête de cons. Et pas beau en plus de ça. C'était méchant. Irrespec... Irrespectu-truc... Heen ? Quoi ? Tu parvenais pas trop à réagir alors que sans doute, tu lui aurais crocheté la mâchoire pour une telle offense. Sauf que là, t'étais davantage en train de bouder, à deux doigts de lui crié dessus comme quoi, il était vraiment mais, alors vraiment pas gentil. Attends, c'est pas toi qui l'avais cherché en premier ? Ah. Oui. Non ? Peut-être. Dans un haussement d'épaule prouvant combien tu t'en foutais au final – parce que ton attention était difficilement retenue – t'acceptes de l'aider à défaire son nœud. Sauf que t'y arrives pas. Et que tu grognes, grondes. L'engueules même, en le secouant pour l’immobiliser. Et le truc, eh ben c'est que ça marchait pas vraiment. Et tu te demandais si c'était normal. Il disait qu'il bougeait pas. Mais il mentait ! Tu le voyais sous ton nez en train de gigoter. Il était même en train de retirer une mèche collant à ton front. « Mais, tu fais quoiii ? Pfff j'essaye de me concentré lààà ! » Ben oui. Que faisait-il ? T'étais plus très sûr qu'il était en train de la retirer mais, plutôt en train de jouer avec ta mèche. « Mais arrêêêteuuh ! »

Et bing !

Son front percute le tien. Tu grimaces en reculant, tirant sur la cravate pendant qu'il s'excuse. Ça fait deux fois là non ? Ou trois ? Oh tu sais plus. Et puis, t'es bien trop content de voir que t'as enfin  trouvé un moyen d'aider ton ami. Tu contemples avec ravissement le magnifique accessoire capillaire que lui offre sa cravate et tape des mains, tout enthousiaste. Attends. Il disait quoi là ? Tortu qui ? « T'as torturé quiii ? » Oh et puis zut, c'était peut-être pas très important. D'ailleurs, même pas il te répond et part à la conquête du bar. Tu le suis les yeux grands ouverts, la bouche ouverte en te laissant hypnotisé par le balancement de sa cravate pendant à sa tempe. Eh. Pourquoi elle était verte sa cravate ? Oh, qu'est qu'elle est moooche ! Zut. T'as comme une impression de déjà vu là, non ? Tu le vois rejoindre la table de fille et aussitôt tu te sens triste. Tout seul. Et abandonné. « Pourquoi tu me quiiittes ? Jsuis trop moche pour toi, c'est ça ? » Ouai mais, elles, étaient pas mieux. Tu baisses les yeux pour les relever quand tu le vois revenir, braquant un truc sous ton nez. Tu louches dessus en essayant d'analyser la forme. Puis tu comprends pas trop. « Pourquoi tu leur as pris un tempax ? » Il en avait besoin ? Il était pas usagé au moins ? Heen ? Oh non attends, ça s'ouvre. « Cha', tripotes pas ça sous mon nez. » Non parce que c'était franchement dégueu. Et le voilà qui s'en barbouille le visage. Tu grimaces avant de comprendre oh miracle, que c'était pas un tempax mais, un rouge à lèvres. Wow. T'aurais pas la vue un peu brouillée là ? Juste un peu ? Non ? Ah bon.

D'ailleurs, heureusement que t'avais compris ce que c'était, parce le voilà en train de te dessiner des traits sur les joues. Tu avances ton visage, fermes les yeux pour te laisser faire. Puis quand tu ouvres les yeux, tu fais face à sa tête joliment barbouillée. Tu ricanes en le pointant du doigts. « Tu ressemble à....  à.... » vite un truc. Oh. Tu trouves pas. Alors tu complète avec le premier truc qui te passe par la tête. « à ta mère. » Ça, c'était du lourd. Du très lourd. « Elle est jolie ta mère ? » Parce que tu l'avais jamais vu. Quoique, tu sais plus très bien. C'était pas Holly Morgan sa mère ? Non ? « Toi, t'es joli. » Ah ben oui. Il était plus moche avec ça. Elle a dû lui donner ses gènes de beauté. Surtout celui qui le rendait plus beau avec du rouge à lèvres sur les tempes. Attends, elle met du rouge à lèvre Morgan ? Tout en te posant sérieusement la question, tu remarques que sa chemise prend légèrement la couleur rouge. Inquiet pour elle – mais c'est pour toi qu'on devrait s’inquiéter là – tu informe Charlie de son état pile quand celui-ci écrase le bâtonnet gras contre tes lèvres. Tu les avances en cul de poule pour aider Charlie à te les colorier, pendant que celui-ci médite sur ta découverte. En passant, le rouge à lèvres dérape sur tes dents et mécaniquement tu refermes la bouche dessus. Par miracle, tu ne croques pas dedans, trop concentré à regarder ton ami qui semble vraiment bouleversé. Tes yeux s'ouvrent, tes sourcils se lèvent et tu le fixes avec toute la compassion du monde. Il se lève, parvient à retirer l'objet de ta bouche et commence à déboutonner sa chemise.

L'admirant avec une pointe de perplexité, tu te redresses toi aussi pour quasiment lui coller ta main sur son visage. Ouai. Tu voulais être son frère de sang. Tu voulais être le frère de sang de ce type qui déboutonne sa chemise avec un serre-tête qui pend sur le côté et des traits rouges qui ressemblent à rien tatoués sur son visage. Ouai. Tu voulais être son frère de sang. Même s'il bondit en tirant la tronche. Tu choppes tout sourire ta bouteille, t'enfiles une lampée avant de passer par le chantage. Et là. Quand il ouvre la bouche pour te dire que nan, il veut pas, tu sens ton petit cœur se briser. Piété. Il veut pas. Il refuse d'être ton frère de sang. Et ça te chamboule. Et en plus, il te dit que c'est dégueu. Et il a l'air sérieux. Tellement. Toi, t'es peiné devant un tel refus que tu te laisses choir sur ta chaise. Tête basse, le nez victime d'un picotement hyper désagréable. Tu vas pleurer. T'es sur le point de pleurer au moment où il tente de se justifier. Il t'explique par A + B que être frère de sang, ça crains et que c'est dangereux. Tu redresses la tête et le fixe de tes grands yeux humides. « Il faut pas ? » Répètes-tu pour aider l'information gravir jusqu'à tes neurones. Il te sourit. Tu clignes des yeux et le vois se rapprocher doucement de la bouteille. Nan. Nan. Naan. Hors de question qu'il te pique ta seule amie. Tu l'éloignes de lui. « Nan ! Tu lui ferais tu mal ! » Tu agites ton bras, te soulèves en même temps de ta chaise et  tout ça, pour garder ta bouteille à bonne distance de lui. Sauf que tu remarques pas que le quart de son contenu se déverse sur toi. Il te fixe d'un air menaçant et tu soutiens son regard en inclinant la tête vers le bas pour plus de darkness. Et il te sort un truc que tu comprends pas trop mais, tant pis, tu regardes quand même vers ton vêtement. « Kestudiiis ? Ma chemise est pas sa-... OH ! J'ai tâché ma chemise sale ! » Ta bouche forme un « o » étonné alors que Charlie te bondit dessus et choppe ton poignet pour le redresser. « Aieee. Tu sers trop fort. J'aime pas quand tu me fais mal, Chaaa'. » Charlie était violent aujourd'hui.

Tu chouines, moulinant ton poignet pendant que tu l'entends parler de ciseaux. Il a l'air vraiment pressé d'en trouver. On dirait une question de vie ou de mort. Il part demander à tout le monde ! Mais oh ! Que voulait-il en faire ? Tu ne sais pas. Mais, tu lui fais confiance, alors toi aussi tu demandes aux gens s'ils ont pas des ciseaux. Tu précises quand même que c'est pas pour toi mais, rien. Personne n'en a. Tu reviens vers lui quand il revient vers toi avec le même constat. Et oooh ! Ton visage s'illumine quand tu comprends qu'en fait, il voulait des ciseaux pour être frère de sang. Donc il n'avait pas rejeter l'idée. C'était pas grand chose mais, étrangement, ça comptait énormément pour toi. Et lui qui hausse les épaules ! Tu dois à tout prix lui montrer combien ça te touche. Il désigne la bouteille en demandant si boire est encore possible mais, tu fonds vers lui pour le serrer très, très fort dans tes bras en reniflant presque. « T'es chouette. T'es très chouette. » La vie est triste et cruelle, ainsi vous ne pouvez pas être frère de sang mais, tant pis. Vous serez autre chose. Tu le relâche attrape la bouteille et la lui tend avant un grand sourire. Tu sais plus trop, tout à l'heure tu voulais pas qu'il la touche et là, ça te fait trop rien. Tu te détourne, choppes le rouges à lèvres et l'ouvre. Tu voulais lui écrire dessus, alors tu lui barbouille le front en commençant par tracer  « I love... » sur son front. Tu t'arrêtes, cherche de quoi compléter et puis pouf, tu y rajoute le mot «whip. » Tu sais pas trop pourquoi, mais voilà, t'es content. Et puis soudain, t'as chaud. Tu te sens tout collant et c'est hyper désagréable. Tu baisses les yeux tes vêtements.

« Mille quenouilles ! »
Tu t'exclames, contrarié en reposant le tube sur la table. « C'est tout sale ! » Tu réalises pour de bon que ta chemise est absolument cradingue. Alors t'essaies de l'enlever. Agitant les bras pour retirer les manches et sans le faire exprès, tu donnes un coup dans la bouteille que Charlie porte toujours à ses lèvres. « Quelle merdasse ! » Ah zut, fallait pas enlever les boutons avant ? Si ? Bon d'accord, tu te calmes et défaits le premier bouton. Mais ça va prendre du teeemps ! Et tu peux pas rester dans cette tenue ! Ça t'énerve. Mais vraiment. Alors tu tires dessus et déchires finalement le tissu. Te voilà rayonnant de satisfaction. Il te reste plus qu'à l'enlever. Et puis voilà un détail qui vient tout gâcher ; Charlie qui monopolise la bouteille. Alors tu grondes. « Oh hé fripouille ! Passe moi la gourdasse, j’ai grand soif ! » Mais d'où sortait ce langage suspect ? T'en savais rien mais, c'était drôle et ça faisait peur. Ouai. Ça faisait peur. La bouteille revint dans tes mains un temps record... et tu comprends pourquoi... Elle est vide. « T'as encore tout buuu ! » Non mais, là, c'était grave. Charlie était vraiment égoïste.

Il fallait le punir. Lui couper la tête. Le pendre. Lui faire avaler un tonneau avec un entonnoir !T'es pas content. Mais, alors. Vraiment pas. Alors tu montes sur la chaise. Puis tu monte sur la table en frappant volontairement tes talons dessus. Tu surplombes la salle, vacillant dangereusement avant de te tenir aussi droit que possible. Tu brandis la bouteille vide et... et tu sais plus ce que tu voulais dire. Mince alors. Euuh. Bon. Ah ! Si, tu devais terminer de retirer ta chemise. Parce qu'elle te collait encore dessus et que c'était pas agréable. En plus, elle sentait l'alcool et le sang. Tu te baisses pour reposer la bouteille, faisant tanguer la table mais, tu trouvais drôle de faire comme sur les vagues à la mer alors tu recommences. Et oh oui, ta chemise. Tu la retires en te basculant sur la surface en bois. Avant de te souvenir de la présence de Charlie. Ouai. Juste de Charlie. Tu sais plus trop pourquoi tu lui en veux alors tant pis. Tu lui tends la main en souriant. « Tu montes ? Ou t'as peeeeur ? » T'attends qu'il saisisse ta main pour le hisser à côté de toi. Oh et puis tu vois la serveuse passer. Ah oui. Importante celle-là. « Ohlééé la gueuse ! Apportes-nous une autre vinasse ! » Pas sûr que tu te fasse obéir mais, de toute façon, ton attention se reporte sur ton équilibre. T'es obligé d'onduler du bassin pour rester stable. Surtout que maintenant, Charlie rendait la chose plus complexe.





... 8DDD MA FRIPOUILLE ♥
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Ven 25 Juil - 0:38
party hard.
Un tempax. Un truc rouge, un tempax. Le temps que Charlie comprenne, le sujet avait débordé ailleurs. Mais seulement voilà, l’image visuelle était restée dans son esprit, et il semblait comme transporté dans le monde le plus ignoble qu’il soit – parce que parler de tempax à Charlie c’était tabou. Quoi qu’il avait quand même réussi à faire un truc sur la tête d’Upsilon mais il ne se souvenait même pas de ce qu’il devait faire, alors il fit simplement ce qui lui vint à l’esprit et ça rendait plutôt bien. « Le rouge va bien à ton teint ! » ça, c’était une remarque super virile, mais Charlie semblait réellement surpris. En réalité, c’était peut-être pour ça qu’Upsi était allé à gryffondor, parce que le rouge lui allait bien. Et est-ce que ça allait bien à Charlie le rouge sur les joues hein hein ? Sans vergogne, il écrasa l’objet féminin sur son visage, ayant déjà oublié que c’était un tempax. Ou pas d’ailleurs en fait, il savait pas. Et puis il lui parla de sa mère, et là ce fut l’incompréhension totale. Un vide intersidéral dans ses yeux. Sa mère, elle était canon à Charlie, du moins dans les yeux de Charlie. Ouais, même qu’il avait jamais vu une femme aussi belle. Il la trouvait carrément classe. Il l’aimait trop sa maman ! D’ailleurs là il voulait la voir tout de suite. Il tapa dans ses mains, des étoiles dans les yeux — il renversa un peu de la bouteille mais il le sentit à peine. « Elle est trop belle ma mère !!! 'La plus belle femme du mooooonde » Il voulait la voir. C’était malin. Lui raconter un peu tout et puis ça faisait longtemps qu’il l’avait pas vue aussi, elle lui manquait. En fait, Charlie il était très famille, et c’était le seul inconvénient de Poudlard ; ses parents moldus étaient pas trop doués avec les chouettes. Pourtant Charlie il avait fait plein d’efforts, il avait élevé trois chouettes exprès pour qu’une d’entre elles leur plaisent plus que les autres ! Mais rien à faire, sa mère n’avait aucun don avec les animaux… On ne peut pas dire que Charlie appréciait les visites à la volière trop sale non plus… « Ah merci » pour le joli. C’était sympa de la part d’Upsi – il ne retourna étrangement pas le compliment.

[…]

Revenant de sa chasse aux ciseaux, notre pauvre Charlie était très déçu. Il n’y avait de ciseaux nul part ! Autant le dire c’était un grand malheur. Il ne pourrait pas être frère de sang avec son ami, et c’était triste ! Il n’avait jamais eu de frère ou de soeur Charlie, lui, il trouvait ça triste, il aurait bien voulu partager sa vie avec quelqu’un tout ça, vous savez, que sa mère le lâche un peu plus enfin le topos habituel de tous les enfants uniques. Mais là, Upsilon vint le serrer dans ses bras en lui disant à quel point il était chouette, et ça, ça toucha Charlie qui lui fit une tape dans le dos avant de le pousser vers lui. « Toi aussi t’es chouette mec » ça venait du vrai fond du coeur ! Mais ça ne sembla pas toucher Upsilon qui attrapa la bouteille pour la lui tendre. Ouais, autant boire c’était cool ! Alors Charlie l’attrapa pendant que son ami lui écrivait un truc sur le front. « Ahah je devine qui je suis ? ARTHUR ! JACQUES DUTRONC ! JUSTE LEBLANC ! MERLIN ! » mais ça ne devait pas être ça, parce qu’Upsilon avait l’air perplexe. Charlie fronça les sourcils et bu, pour la peine. Il ne savait pas qui il était et il trouvait ça triste. Il constata avec effroi à quel point Upsilon lui n’était pas doué. Mais c’était drôle, alors il continuait de boire. Combien de temps avait-il mit pour enlever sa chemise, Ash ? Au moins 5 minutes, et sans aucune exagération. Du coup, la bouteille avait trouvé son fond, et ça ne sembla pas rendre Upsilon heureux. Quel était ce langage ? « Hein ? » demanda Charlie perplexe, parlant lui, toujours un anglais courant. Il attrapa finalement la main de son ami. Pourquoi ? Il savait pas, mais ça avait l’air cool de voir le monde d’encore plus haut !

Un peu trop haut, d’ailleurs. Charlie cogna sa tête à la poutre du plafond parce que. Oh, il était grand Charlie par rapport à Upsilon ! Il lui sourit en se massant le crâne. « Ca fait mal 'tain ». Et puis en fait si, il savait. Peur, lui ?! Jamais. On ne lançait pas de défi à un Charlie bourré. Parce que Charlie bourré relevait n’importe quel défit. Alors voilà, maintenant il était là tel un homme ! Et Upsilon qui commençait à crier quelque chose à la serveuse. Oh putain.

Ca le faisait pas. Même bourré Charlie avait une certaine éducation – certes réduite – mais une femme était une femme. Et elle méritait du respect aussi nulle soit-elle. Ouais, les femmes c’était des sacs à embrouilles, les filles c’était chiant et en plus ça savait pas faire grand chose, mais fallait bien avouer que quand même c’était pas tout à fait des elfes de maison, parce qu’elles avaient le droit de râler. « Qui c’est qu’à donner le droit aux femmes de parler ? A cause de ça faut mieux leur parler, sinon ça le fait paaas. » demanda Charlie à Upsilon, soudain intrigué. C’était une question importante, il allait devoir en parler au ministre ! En plus elles parlaient toujours trop. Mais les sourcils froncés de la serveuse lui rappelèrent qu’il fallait qu’il s’excuse. Ah oui, Upsilon il lui avait parlé comme à un elfe de maison du moyen-âge. « Pardon ! Mon ami s’excuse et je m'excuse pour lui ! » clama Charlie. Il s’appuya sur le bras d’Upsilon pour aller au niveau du décolté de la serveuse et une fois accroupi, il lui sourit. Il ne savait même pas ce qu’il voulait faire mais de toute évidence elle s’approchait de lui, semblant avoir flairé une requête. Qui ne venait pas. « Est-ce qu’on peut avoir une carafe d’eau s’il vous plait ? » Waw, comme ça il avait presque pas l’air bourré. Je dis bien presque. Parce qu’Upsilon venait de s’appuyer sur lui pour retrouver de l’équilibre et que lui même avait perdu le sien et s’était retrouvé à poser une main sur l’épaule de la serveuse. Bouarf. « Pardon. Et avec du pur-feu ? » dit-il avec un clin d’oeil. Il tapa une petite fois l’épaule de la fille avant de se relever sur la table. Si elle n’était pas la gérante, elle était la seule responsable au bar présente, et l’avoir dans la poche voulait dire faire ce qu’ils voulaiiiiient !
Ah, Charlie, presque Serpentard. D’ailleurs, il en retira l’écharpe qui lui serrait la tête. Oh, c’était une cravate ! Qu’importe, il la jeta par terre, elle l’énervait.

Mais en fait il s’était relevé un peu trop vite, et avait failli perdre l’équilibre. Grace à ses talents de batteur de Quidditch, il retrouva vite l’équilibre, mais quand même ! Pourquoi ils étaient debouts sur la table ? Il ne pensa même pas à surplomber la salle non, alors que beaucoup de regards devaient être braqués sur eux. Bien au contraire, Charlie se focalisa sur Upsilon, c’était d’ailleurs le seul qui l’intéressait ici. Alors qu’habituellement, c’était Alix. Ca changeait un peu d’alix, c’était pas le même style. Mais bon, oh ! Il ne savait pas pour Alix. Fallait qu’il lui dise qu’il l’aimait comme un fouuu comme un soldat ! C’était trèèèèès important. Maintenant ils étaient frères, il devait savoir ! « Upsilon » prononça lentement Charlie, cherchant à faire sérieux. Mais c’était difficile avec sa dégaine. « Il faut qu’on parle, c’important mec ». Charlie enroula un bras autour des épaules d’Upsilon et fit une tape virile au niveau de son coeur avec l’autre. Il prit une inspiration. Il ne savait même plus ce qu’il voulait lui dire, mais c’était d’une importance capitale, il le savait ! Il fronça les sourcils. Voilà qu’il était frustré. Pourquoi il ne se souvenait plus de ce qu’il voulait dire ! Il avait le hoquet. « J’ai le hoquet bordel ». Pas de chance l’ivrogne. « AH OUAIS ! Une fille me plait, mais c’pas la bonne ! ». Bonne ? Mais non pas cette bonne là. Enfin pas ce sens de bonne. Enfin si Alix était bonne mais pas bonne dans le sens femme de ménage et donc c’était pas la bonne dans le sens qu’il n’était pas cens l’apprécier ! Bref, il comprenait plus. « Fallait pas que ça soit elle mec, c’est la meeeeerde ».

Manque de chance ou chance de Dieux, la serveuse revint à ce moment précis et ses yeux clignèrent d’une façon qui ne plu pas à Charlie. Ou qui lui plu. Enfin oui la façon dont elle cligna ses yeux lui plu mais non ce que dégageait ce geste ne lui plaisait pas. Enfin c’était la merde. Et son décolleté avait grandit, il le voyait ! Mais c’était pas d’elle qu’il était amoureux ! Il la remercia d’un sourire et se baissa une nouvelle fois pour ramasser les verres et en tendre un à Upsilon. Pourquoi il avait pas commandé une bouteille ? « Pourquoi j’ai pas demandé une bouteille ? » C’était triste. Oh et au fait ! « Pourquoi t’es torse nuuu ? ». Rien à voir. Et beaucoup de pourquoi. Il reposa son verre. Et il enleva avec une facilité remarquable sa chemise. Hors de question de laisser Upsilon se montrer sous son meilleur jour et pas lui ! Il se trouvait très doué quand il était saoul. Bien plus que quand il ne l’était pas. Ou alors c’était peut-être parce que la minute entière qui venait de s’écouler pour qu’il enlève sa chemise ne lui avait paru qu’une dizaine de seconde. Il ne savait pas, mais il l’envoya ailleurs dans la salle. Oh, son verre sur la table ! il se baissa une nouvelle fois – ça lui faisait faire de l’exercice – pour l’attraper, en boire une gorgée et le reposer à leurs pieds, à côté de la carafe d’eau déposée il ne savait trop quand.

« PUTAIN UPSI JAI UNE TROP BONNE IDEE » Une trop trop bonne idée qui le fit se relever super vite ! C’était venu comme ça, comme c’était venu à Heinsheitng erdqs il savait plus trop qui mais le génie moldu ! « Fais moi un tatouage làààà ! Je t’en fais un après ! » dit-il en pointant son bras droit. L’avantage du monde magique, c’est qu’un tatouage, on pouvait le faire avec une baguette, et surement le modifier. Enfin peut-être, il était pas trop sûr. Mais c’est pas grave, Upsilon c’était son pote, et même s’il loupait le tatouage et ben, il le garderait, pour l’honneur de leur amitié et surtout, parce que maintenant ils étaient frèèèèères !

Ca mis à part ? Il avait toujours le hoquet.
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