Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

Caesius ▬ fondatrice retirée
Viridus ▬ administratrice
Kalev ▬ modératrice
Sloan ▬ modératrice
Flavian ▬ modératrice



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

Partagez

THE MOST POPULAR GIRL IN TOWN

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Unité
& professeur



Pemphredo Stathos
Pemphredo Stathos
Messages : 87
Localisation : dans ton lac
Date d'inscription : 10/02/2015



THE MOST POPULAR GIRL IN TOWN Vide

MessageTHE MOST POPULAR GIRL IN TOWN Empty
Mar 10 Fév - 11:42





Âge ϟ 37 ans.
Nationalité ϟ Grecque, naturalisée anglaise.
Origine ϟ Sang-mêlé et demi être de l'eau.
Poste occupé ϟ Professeur de dcfm.
Ancienne maison ϟ Serdaigle.





Lieu de vie hors Poudlard ϟ Le royaume Solus, bien évidemment. Et puis il y a des scènes de ménage incontournables.
Opinion politique ϟ En tant que métisse, Pemphredo est particulièrement concernée par tout ce qui se passe en ce moment - ou plutôt devrait l'être. Bien que la verve conservatrice de Ligue des Sorciers lui semble judicieuse, elle trouve l'irresponsabilité des SAUMONS très drôle et demande à voir ce qu'il adviendra du monde s'ils accèdent au pouvoir.
Son avis sur la situation du monde magique ϟ Plus de drame. Pemphredo aime le drame.





Baguette Magique ϟ Bois de myrte, venin de verlieu,
quarante centimètres cinq, crochue.
Patronus ϟ Une murène.
Odeur de l'Amortentia ϟ D'eau chaude, d'air iodé et de musc.
Forme de l'épouvantard ϟ Elle se voit, hideuse et esseulée, au fin fond du Lac Noir.
Reflet du miroir du Riséd ϟ Elle est dans la baignoire d'une immense salle de bains, bien plus belle que la salle de bains des préfets. Une horde de mâles séduisants se pâment à ses pieds.
Peut voir les Sombrals ϟ Non.
Friandise favorite ϟ Les bulles baveuses.
Sortilège favori ϟ Les sorts d'entrave.
Potion favorite ϟ Ses baumes pour la peau.
Créature favorite ϟ Les êtres de l'eau et leur élégance native.
Plante favorite ϟ Les algues.
Un modèle dans la vie ϟ Elle estime en être un pour les autres.
Passe-temps ϟ Prendre des bains parfumés, harceler les élèves et les professeurs, critiquer tout le monde.





Avec les membres du personnel ϟ Pemphredo n'est dans les bonnes grâces d'à peu près personne et le rend à à peu près tout le monde. Elle peut être aussi obsessionnelle avec certains qu'imbuvable avec d'autres.
Avec les autres créatures ϟ Elle s'entend assez bien avec, surtout les fantômes, qui sont toujours au fait des derniers potins et constituent d'excellents camarades de moquerie.
Avec les élèves ϟ Elle adore vilipender sur leur compte et les rabaisser avec ou sans raison.

i'd tell you
to go to hell
but i work here
and i don't want
to see your mug
everyday




Pemphredo n'est jamais à bout de souffle. Elle a des branchies pour votre eau et des poumons pour votre air. Elle se fait des éclats de rires de votre oxygène et des couronnes de bulles de votre océan. Dans les abysses comme près du ciel, Pemphredo inhale, Pemphredo avale, et d’une voix suave qui fait danser les poissons, elle fait danser le monde.

Tout glisse sur sa peau bleue et sur la lame de son regard omnivore. Toutes les choses se dissolvent sur la membrane de ses yeux las, et si Pemphredo a le sourire d'un squale, elle a le maintien d'une dame, celui de toutes ces femmes qui n'ont ni les doigts palmés ni la peau hydrophile. Et du bout de ses longs cils huilés, elle ne peut que les plaindre.

De manière générale, Pemphredo est une peste. Pemphredo cancane au fond de sa baignoire sur les derniers potins qui ébranlent les maisons. Elle ondule des orteils aux phalanges contre l'émail ajouré de sa cuve et ses longs cheveux brûlants sont des couleuvres dans l'eau savonneuse. Le verre d'hydromel au varech tangue dans sa longue main bleue, et elle se détache de son ombre puis serpente dans l'écume avec la médisance au bout des papilles. Sa voix est une brume visqueuse qui se distille à l'air chaud et corse l'atmosphère ; sur sa langue glissent des cancans agités par le grain de son accent. Ses gestes de prima donna se coulent dans la fumée d'encens puis fondent sur le rebord en biscuit de porcelaine.

Les traits de Pemphredo se plissent d'extase quand l'écho d'un commérage s'ébruite et ses sourcils se lèvent pour les derniers instants d'une rumeur qui s'éteint. Par delà les pierres de tous les murs, on entend le bruit cristallin de son rire qui perce la salle de bains des préfets privatisée, et le son profond de sa voix qui secoue les mosaïques aux fenêtres. Pemphredo a cessé d'être charmante depuis longtemps, car si pour être une femme il lui faut être douce, alors Pemphredo ne veut pas être une femme.

Pemphredo vit dans le vertige de ses propres excès, et ne connaît pas plus l'indulgence que la modestie. Lorsqu'elle pinaille sur l'absence inexcusable de miroirs géants dans sa salle et de boutiques de cosmétiques aux algues à Pré-au-Lard, personne n'ose l'interrompre, parce que personne ne veut subir une soudaine ablation de points ou une terrifiante admonestation. Après tout, combattre la vieillesse, c'est combattre les forces du mal.

Il y a en effet comme une fureur rouge qui galope dans les yeux de Pemphredo lorsqu'une chose lui déplaît - dans ce rai de lumière au pourpre très profond, alangui jusque sur le velours de sa robe aux diaprures interminables, son visage se zèbre de colère. Cette colère est une foudre qui claque le long de l’air, et contre sa peau de gabardine elle fendille ses deux lèvres qui s’ouvrent sur un orage.
Inutile de dire que chaque élève est son paratonnerre.


lay me down tonight
in my diamonds and pearls
tell me songs at night
about your favorite girl





« - Tu as un regard de murène, Céto !

Peut-être, mais elle nageait mieux que tous les requins tigres.

Céto jaillit de l’eau comme une raie manta. Ses paumes visqueuses se brûlèrent un peu là où la roche avait été frappée de soleil ; à cette heure-ci, c’était dangereux d’être ailleurs qu’à l’ombre. Mais elle ne craignait pas que les lueurs ne l’étouffent.
Derrière elle, des gloussements suaves glissaient sur les vagues.

- On va attraper des Strangulots !
- Je vous rejoins.


Elle frictionna ses cheveux rouges de ses longs doigts palmés. Ils ressemblaient à des couleuvres longues, caramélisées par une course sous les algues blondes. Ils allaient bien avec son visage émacié et ses immenses yeux couleur d'ambre.

Quand elle s'approchait des humains, Céto se hissait toujours de l'autre côté des rochers, là où les baigneurs ne pouvaient pas la voir. Elle s'assurait de garder la bicoque près du rivage en vue. Il y avait beaucoup de touristes, mais il y avait ses amis aussi ; elle aimait à rester des heures cachée pour les épier en jasant avec sa bande de sirènes turbulentes.

Céto avait toujours été beaucoup trop curieuse. Et puis surtout, curieuse des hommes.





Céto ne faisait jamais de bruit en fuyant parce qu’elle avait appris à ne jamais dire au revoir.

Elle avait été suffisamment adroite pour charmer le jeune homme qu'elle voyait souvent errer près de cette masure sur la plage. Maintenant le laconique amour qu'elle lui avait porté traçait encore des blessures sur ses lèvres, des stries de mensonges qui résonnaient doucement dans sa tête et se coinçaient dans ses branchies.

Les humains n'étaient tout compte fait pas si fascinants - c'était la conclusion qu'elle avait tiré au terme d'une nuit, probablement déconfite par ses propres montagnes d'attentes.

Elle avait malgré tout gardé dans le creux des entrailles quelques morceaux de sa déception.





- Maman.

Dans l'encadrement de la porte se tenait une petite fille à lunettes rondes, le teint verdâtre, deux couettes à l'irréprochable symétrie de chaque côté de la tête. Elle se tenait droite comme un i. Sa tenue criante d'ignorance quant aux dernières modes préconisées par Sorcière Hebdo jurait candidement avec la pâleur spongieuse de sa peau.

Elle entra dans la salle de bains, l'air très irrité.

- Maman, t'as encore trempé mes livres.

Un clapotis se fit entendre et une main aux doigts palmés écarta mollement le rideau de douche à fleurs.

- Ah... pardon. Je voulais savoir ce qu'ils te racontaient à Pouillard.

La gamine leva ses grands yeux globuleux au ciel.

- C'est Poudlard. Enfin, pourquoi je me fatigue.

L'être de l'eau désabusé qui ondulait dans la baignoire lui adressa un sourire ingénu et visiblement dépassé par la situation.

Lorsqu'elle venait lui rendre visite, Céto passait ses journées à stagner dans son bouillon. Elle ne restait qu'un où deux jours immergée à se tourner les nageoires, et sous les néons un peu grésillants de la salle d'eau, elle comptait les gouttes condensées au plafond derrière sa fine membrane de polyester. Le minuscule studio de sa fille était particulièrement mal aménagé ; heureusement c'était entre ces quatre murs moites qu'il y avait le plus d'espace. Elle avait bataillé ferme pour s'intégrer à Londres et sa scolarité lui tenait très à cœur, mais bon, c'était un peu bête de louer ce taudis tout l'été. Enfin - c'était elle qui avait insisté pour ne pas rester dans la mer Égée pendant les vacances. Son côté demi-humain capricieux.

- Tu nettoies avant de partir.
- Ah. Oui.


La porte se referma sèchement et Pemphredo disparut.

Céto savait bien qu'elle était très loin d'une mère exemplaire. Trop jeune, trop volage, trop irresponsable pour prendre soin d'un enfant, un enfant qui avait des pieds pour la terre et des branchies pour l'océan, elle s'était très tôt détachée de tous ses devoirs. Ça ne l'avait jamais empêché d'aimer avec tendresse Pemphredo, d'essayer de la prendre dans ses bras. Mais sa peau trop lisse lui glissait le long les doigts. Parfois elle se disait que son métissage y était pour beaucoup dans son mauvais caractère - et puis elle se résignait au fait qu'elle avait toujours été cette piètre maman à intermittences. Quel âge allait-elle avoir, déjà ? En quelle classe elle était, à Pouillard ?

Les soupirs de Céto faisaient des châteaux de bulles qui partaient créneler le bout des vagues, et sa petite fille déjà si mature partait vers des horizons qu'elle ne connaissait pas.





Les volutes de la musique se mêlaient aux relents des boissons. Elle arrêta un serveur en élevant le bras, sa voix rêche s’éleva puis retomba, et il lui fallut moins de la moitié d’une seconde pour secouer la lumière tamisée. Un autre verre, encore. Depuis qu'elle avait eu tous ses ASPICs avec des notes optimales, elle se dévergondait beaucoup. Elle disait à qui voulait l'entendre qu'elle tenait parfaitement l'alcool.

- Un whisky pur feu.

Elle ébranlait le sol en croisant les jambes, passant une main dans ses cheveux dénoués. Autour d'elle les cris assourdissants de chalands qui avaient oublié la bienséance retentissaient jusqu'au bout des plafonds rehaussés.

Pemphredo observait les visages qui se découpaient autour d'elle ; ils étaient, conformément à ce qu'elle avait entendu dire, tous plus atypiques les uns que les autres. Ça ne l'empêchait pas détester l'endroit un peu plus à chaque instant. L'ambiance indigeste et l'indélicatesse notoire des hybrides au comptoir la navraient - heureusement le propriétaire était plutôt beau garçon.
Pemphredo se saisit du verre qu'on venait de poser à côté d'elle et se brûla les lèvres en les y trempant.

- Stathos ?

Un dos voûté dans la pénombre se retourna en même temps qu'une petite tête rachitique. Formidable. Il fallait que son voisin de comptoir dans un pub comble du Londres magique soit ce sac d'os de McAvoy, le seul demi-vampire asthmatique de sa promotion. Il lui adressa un sourire rayonnant, découvrant ses dents écarlates.

- Tiens donc ! J'aurais pensé que c'était pas ton style, ici.
- Quel style. Ça n'a aucun style.
- Qu'est-ce que tu bois ?
- Je vais devoir te retourner la question ?


Elle n'avait aucune envie de connaître la nature de la mixture qui reposait dans sa chope en bois. Son propriétaire éclata d'un petit rire nasal.

- La fin des examens t'a rendue caustique, je vois.

McAvoy était l'une de ces baies vitrées absolument lisses sur lesquelles le sarcasme glissait comme un poisson.

- Tu n'as pas attendu la fin des examens pour être insupportable.
- Allez, Pempem, décoince-toi. Il n'y a pas si longtemps t'étais pas mal non plus !


Très content de lui, il s'agita un peu sur son siège et commença à mimer deux couettes et une paire de lunettes.
Un sourire convulsé se cristallisa sur le visage de Pemphredo. On put voir ses branchies se raidir sur ses tempes alors que ses ongles s'enfonçaient dans le bois du comptoir.

Hier encore, elle aurait étouffé un bafouillis enrobé d'amertume.
Aujourd'hui, elle jeta son verre au visage de McAvoy.

Celui-ci se mit à hurler en se frottant frénétiquement les yeux, et Pemphredo, pour la première fois, découvrit avec extase que rien ne se mariait mieux au sarcasme que l'impertinence.

De ses dents carnassières qui claquèrent dans l'air, elle rompit son silence comme on tordrait un cou.

- Surtout ne perds pas une nouvelle occasion de te taire.

Et elle se retira comme la reine qu'elle était.
Pemphredo était particulièrement sensible sur la manière dont elle avait vécu sa puberté et les bouleversements physiologiques qu'elle avait du subir pour en arriver à son état présent. Passer de petite intello teigne et binoclarde à teigne tout court avait été un cap difficile à franchir.

Elle ne le regrettait pas.





Elle n'était pas revenue à Londres depuis plus d'un an. Les derniers mois de sa vie avaient été consacrés à une exploration avide des abysses magiques dans l'espoir de renouer avec les différents lignages de son arbre généalogique sous-marin. Elle en avait profité pour approfondir sa maîtrise de la magie et rencontrer du beau monde, et avait appelé ce voyage une expédition initiatique. Sa mère l'avait appelé une inquisition matrimoniale. Mais ses tentatives d'humour, d'après Pemphredo, n'auraient pas faire rire un hippocampe en décomposition.

Les chaises sur lesquelles les invités au ministère devaient poser leurs malheureux derrières étaient les plus inconfortables qu'elle aie connu, et pourtant, elle avait bourlingué dans pas mal d'instituts déplorables. Peut-être étaient-ils spécialement réservés aux créatures et autres paria à poils et à écailles.

Seulement, le derrière de Pemphredo était très spécial, puisque c'était son derrière.

- Si vous tenez à poursuivre cette entrevue, j'exige un siège qui respecte mon postérieur.

Pemphredo contempla les finitions de sa manucure.
Le chef de la brigade de surveillance des créatures et des hybrides était un homme terriblement monotone qu'aucun bon mot n'aurait pu dérider. Il avait ce regard d'animal mortifié que Pemphredo trouvait terriblement inconvenant, et il était lui-même si agacé par cette conversation qu'il accepta sur un soupir d'échanger leurs places.

- Bien. Après avoir épluché votre dossier, je crois pouvoir établir que votre famille maternelle ne présente aucun antécédent qui puisse vous compromettre.

Le menton de la demi être de l'eau était appesanti sur sa main palmée, elle-même posée avec désinvolture sur l'imposant bureau.

- Je ne vois pas d'objection à ce que vous enseigniez la défense contre les forces du mal, mais...
- Oh mon dieu épargnez-moi ça, crachez le morceau, pitié.
- Ce n'est rien, enfin je ne sais pas. Selon certains standards, ne le prenez pas mal, mais c'est à dire, je ne suis pas absolument certain que vous ayez le profil.
- C'est inutile. N'essayez pas de me convaincre.


Elle esquissa un rictus tranchant comme un couteau de mer devant l'homme incrédule.

- Je sais ce que vous pensez, j'y ai songé aussi. Le mannequinat serait certes une voie plus profitable. Mais j'ai décidé de sacrifier ma beauté intemporelle pour mettre mon immense savoir au service des générations futures. C'est comme ça, c'est dans ma nature.

Probablement que la verve lui courait dans les artères comme la couleur des algues sauvages ou les derniers instants d'une lumière marine qui à Londres, même dans le luxe des quartiers ministériels, n'existait pas. Dans les roulis de ses mots érodés par l'oxygène, si Pemphredo plaisantait à ses heures, le son caverneux de sa voix savait être assourdissant. Et quelles que soient ses obscures motivations pour revenir au sein de son école d'antan, il était indéniable qu'avec son parcours, on ne pouvait décemment pas lui refuser un poste.

Le chef de brigade comprit qu'il était inutile de poursuivre. Il cacheta d'un air maussade les parchemins officiels.





Pemphredo détestait énormément de choses, mais les moyens de transport volants remportaient de loin la mention spéciale. Demander à l'administration de Poudlard de lui avancer une calèche privée avait sans doute fait grimacer les contribuables, mais c'était une disposition absolument nécessaire. Elle n'allait quand même pas monter dans une locomotive miteuse pour faire son grand retour à Poudlard.

- Excusez-moi. Excusez-moi. Excusez-moi. Excusez-moi.
- Oui. Qu'est ce qu'il y a encore.
- Ce serait possible que votre tacot aille genre dix fois plus vite ? Il faut impérativement que je sois là-bas en avance en fait.
- Nous sommes à la vitesse maximale.
- Mais vous pouvez pas changer les canassons ? Regardez les, ils sont tous secs, ils sont sur le point de mourir.
- Mes abraxans se portent à merveille, merci.
- Eh bien débrouillez-vous je ne sais pas, on est pas dans un pays du tiers-monde.
- Nous serons au château d'ici une demi-heure.
- C'est acceptable. Tenez, rendez-vous utile, changez l'eau de mon bain.


Élèves de tous âges, personnel et créatures - préparez-vous.


my dance style
ranges from white dad
at a barbecue
to stripper whose rent
is due tomorrow





Pseudo ϟ Ben.
Et l'âge ϟ Botoxé à jamais.
Male, Femelle, où Dumbledore ϟ Ted Lupin toujours.
Comment tu as connu WW ϟ C'est un tc.
Est-ce que tu aimes WW ϟ Non
Est-ce que tu aimes beaucoup WW ϟ Putain
Personnage sur l'avatar ϟ Midna, Legend of Zelda.


Revenir en haut Aller en bas

PNJ



Le Choixpeau Magique
Le Choixpeau Magique
Messages : 1367
Date d'inscription : 05/05/2013



THE MOST POPULAR GIRL IN TOWN Vide

MessageTHE MOST POPULAR GIRL IN TOWN Empty
Mar 10 Fév - 12:31


Cher Pemphredo, tu es désormais validée ! Tu peux aller gambader toute nue (ou non) dans les couloirs de Poudlard. Pense à passer dans la Gestion du Sorcier et d'ouvrir ton Passeport Wiggenweld. Tu peux également rejoindre un Club de ton choix ou en créer un. Au moindre besoin, le staff est à ton service - n'hésite pas à faire appel à nous ♥.

BIENVENUE A POUDLARD !



Hohohoho.
Revenir en haut Aller en bas

THE MOST POPULAR GIRL IN TOWN

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WIGGENWELD ! :: 
 :: La Cérémonie de Répartition :: Bienvenue à Londres !
-
Vote pour WW parce que tu l'aimes ♥