Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
poufsouffle
1189 pts
serpentard
918 pts
serdaigle
661 pts
gryffondor
612 pts

l'unité
203 pts
ligue des sorciers
223 pts

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Kalev ▬ modératrice
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Kalev - De la tanière au monde

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Ligue des Sorciers
& sorcier & Jupiter forever



Kalev Hopwar
Kalev Hopwar
Messages : 1432
Date d'inscription : 07/07/2013



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Mar 7 Juil - 16:31

KALEV JUSTE KALEV HOPWAR
C’est un peu difficile d’avoir plusieurs maisons, parce qu’on y éparpille ses sentiments et on ne se sent jamais complet. Mais c’est cool aussi parce que ça fait d’autant plus de lits où faire la sieste.


Âge ϟ 18 ans.
Nationalité ϟ Anglaise.
Origine ϟ Sang-mêlé.
Emploi ϟ Nounou pour jeunes sorciers qui attendent de rentrer à Poudlard.
Ancienne maison & école ϟ Poufsouffle, Poudlard, accessoirement capitaine de l’équipe de Quidditch pendant un an.
Lieu de vie ϟ Bourg la Fantasque, dans l’appartement plus grand et confortable de son frère aîné qui n’y rentre pratiquement jamais, trop occupé à dormir chez ses propres amis.
Date de naissance ϟ 21 août
Groupe ϟ Poufsouffle Ligue des Sorciers.

Son avis sur la situation du Londres magique ϟ Kalev sort à peine de Poudlard, où sa plus grande préoccupation était de se rendre dans la Grande Salle assez vite pour réussir à attraper un des meilleurs desserts, alors la politique, c’est encore un peu difficile pour lui. Ses parents votent S.A.U.M.ON, mais ça ne lui convient pas vraiment, alors suite à une longue réflexion réalisée dans un devoir d’un de ses professeurs préférés, il a choisi, pour le moment, de se ranger du côté de la Ligue des Sorciers, sans pour autant la soutenir activement, puisque certains détails le dérangent. Il espère néanmoins dans l’ensemble que Londres, puis l’ensemble du monde sorcier finira par trouver une certaine cohérence dans laquelle tout le monde pourra s’épanouir.








Caractère
blop


Kalev Hopwar est un garçon de dix-huit ans ; et, comme beaucoup de garçons de dix-huit ans, Kalev Hopwar est un peu mal dans sa peau.
Ce n’est pas grand-chose. Ce sont des petits soucis qu’il juge lui-même stupides. Il y a sa mauvaise vue,  qui le contraint à porter ses lentilles moldues, cette invention bizarre, pour éviter de continuer à casser trois pairs de lunettes par an. Il y a sa petite taille, pour un garçon de son âge, déjà dépassé par des cadets de quatorze ou quinze ans. Il y a ce grain de beauté sur la base de la gorge, qui serait plus mignon chez une fille. Il y a aussi les peurs, les questionnements, la recherche de soi, l’envie d’être grand et d’accomplir de grandes choses, et celle encore plus violente de rester un jeune imbécile pour toujours.
Il se passe beaucoup de choses, dans le corps et la tête d’un adolescent. Kalev n’y échappe pas.

Ce à quoi Kalev pense, Kalev ne le dit pas. Pas lorsque cela est triste, lorsque cela peut inquiéter, lorsque cela peut blesser. Surtout lorsque cela peut blesser. Kalev est un garçon qui préfère intérioriser. Il ne pleure pas souvent. Entre autre, parce qu’il n’est pas triste souvent. Kalev aime sa vie, profondément. Il y a pourtant des hauts et des bas, mais il s’est tant appris à sourire y compris dans les mauvais moments qu’il en a presque oublié le goût des larmes. Cela arrive encore, parfois. Uniquement lorsqu’il est seul, et lorsqu’il est sûr de le rester. Kalev ne pense pas qu’un homme ne doit pas pleurer : il pense seulement qu’il ne doit pas inquiéter.
Sourire, c’est le quotidien de Kalev. Du matin jusqu’au soir, il sourit, toujours, à tout le monde. Il veut répandre la joie et la bonne humeur sur son passage, chasser les idées noires et montrer combien il est bon d’être vivant. On qualifie parfois Kalev d’imbécile heureux : il ne s’inquiète pas assez, il fait n’importe quoi, ne dit que des choses bêtes.
Kalev aime être un idiot. Il le sait, lui, au fond, qu’il ne l’est pas ; mais si être stupide fait rire les autres et l’amuse lui aussi, où est le mal ?

Kalev est gentil. Il est d’une incroyable gentillesse qu’il partage avec autrui sans distinction. Il la partage sous la forme d’un sourire, d’une salutation, d’une plaisanterie, d’une discussion au détour d’un couloir, d’un câlin, d’une oreille attentive pour celui qui a besoin d’évacuer un peu ce qu’il a sur le coeur. Il aime aider, et il aime encore plus sentir qu’il a permis à quelqu’un de retrouver un peu de joie.
Sa gentillesse l’empêche également de faire du mal  à autrui. Il lui ai déjà arrivé de vouloir élever le voix, de porter une main sur quelqu’un, mais il s’est la plupart du temps ravisé. Il a déjà voulu dire ce qu’il avait sur le coeur, mais il s’est la plupart du temps retenu. Parfois, Kalev se laisse un peu trop marcher sur les pieds. Parfois, mais pas toujours.
Pas toujours, parce que si Kalev est patient et nonchalant, parce que s’il exècre le conflit, parce que si les ennemis de Kalev sont incroyablement rares, ils existent. Ils existent et ils le savent. Kalev ne veut pas faire les choses en douce. Si quelqu’un lui a fortement déplu, il le lui a dit. Si le dialogue n’a pas réglé la question, les actes le feront : selon la colère qui l’habite, de l’ignorance au coup de poing. Le coup de poing étant réservé à ceux qui blessent profondément ses amis. Et ceux-là sont tellement rares que ça n’a dû arriver qu’une fois ou deux.

L’amitié est quelque chose qui lui tient à coeur. Si Kalev est particulièrement sociable et parle à tous sans distinction de maison, d’origine, de caractère ou de réputation, il sélectionne ses amis avec le plus grand soin.
Ses amis, Kalev les chérit comme sa seconde famille. Il chérit l’ensemble de ses proches et rien ne le rend plus heureux que de passer du temps avec eux et les savoir sains et saufs. La plus grande peur de Kalev, c’est de connaître la mort. Pas la sienne. La sienne, il s’en fiche plus ou moins. Le vrai noeud du problème, ce serait de voir mourir quelqu’un qu’il aime. Pour cela, il ne faut pas cumuler les amitiés profondes, mais prendre grand soin de chacun de ses précieux amis.
Certaines amitiés sont nées d’un long moment passé ensemble, d’autres de ce qu’il estime être un coup de foudre, mais pas amoureux.

L’amour, c’est aussi quelque chose. Kalev aime l’amour. Voir des couples, des gens s’aimer, se chercher, se trouver, c’est quelque chose de merveilleux. Lui aussi, il veut tomber amoureux. Il veut trouver le grand amour, sans distinction de sexe ou de caractère. Kalev ne sait pas de quel genre de personne il tombera amoureux. Il sait juste qu’un jour, il sentira le sentiment naître au plus profond de lui.
Le problème, en attendant, c’est que si Kalev aime tenter l’aventure amoureuse, elle ne dure jamais longtemps. Il croit aimer, puis il ne lui faut que quelques semaines pour se rendre compte que ce n’est pas le sentiment qu’il cherche. Le plus dur, c’est de l’avouer. Lui, il s’en fiche, il ne désespère pas de trouver. Ce qui l’embête, c’est de rompre et de blesser.
L’autre problème de Kalev, c’est que son amour, il ne le manifeste pas vraiment comme les autres. Câliner, poser un bisou sur une joue, ça va. Il le fait avec tout le monde. Imaginer autre chose, imaginer rien qu’un baiser, pour lui, ça sonne bizarre. Chez les autres, c’est mignon, c’est beau, c’est l’amour. Chez lui… chez lui, ça ne va pas, et Kalev ne le comprend pas.
Kalev aime l’amour, mais ceci dit, c’est moins embêtant quand ce sont les autres qui le vivent.

Kalev aime encore beaucoup de chose. Il aime sa maison, de tout son coeur, aussi bien l’odeur de la salle commune que les réunions histoires d’horreur du samedi soir. Il avait eut peur, pourtant, le jour de sa répartition. Il était le fils de deux Serpentard, le frère d’un Gryffondor, et avait entendu le nom de Poufsouffle si peu souvent qu’il pensait que cela n’existait pas.
Il aime son furet, Jupiter, qui le quitte rarement longtemps lorsqu’il se promène dans le château. Il aime la poésie, les tableaux et les chansons sorcières populaires, même si, paraît-il, ses goûts sont atroces ; mais Kalev a mauvais goût en tout, c’est connu. Il aime les rumeurs qui circulent dans les couloirs, manger après un dur entraînement, et n’importe quand, en fait, et puis dormir. Kalev peut dormir n’importe où, n’importe quand.
Néanmoins, une des choses que Kalev aime le plus, c’est le Quidditch. Son frère, devenu joueur professionnel depuis, lui a appris lorsqu’il était petit. Il est dans l’équipe de Poufsouffle depuis un moment, maintenant. Il a commencé comme poursuiveur, puis est devenu batteur ; ce qui n’est pas pour l’arranger. Et puis, l’an dernier, il était capitaine. C’est une sacré responsabilité. Kalev n’aime pas beaucoup les responsabilités, mais ce fut une belle expérience. Pourtant, maintenant, sa vie londonnienne lui demande de laisser ce sport de côté.

Kalev se considère lui-même comme un trouillard. Il n’en a pas vraiment honte, c’est un fait. Il a peur de beaucoup de choses ; comme, par exemple, de devoir gérer les choses. Il a peur du noir, des gros chiens, des serpents, des gros insectes, quand on le surprend par derrière, et puis des cognards, aussi, parce que ça fait mal, et de tant de choses qu’il ne peut pas les lister. Ce sont des petites peurs, plein de petites peurs stupides qu’il peut souvent surpasser, mais parfois pas. Sa peur de la solitude, par exemple. Enfin, Merlin soit loué, il n’a pas le vertige. Un bon point.

Ne pas avoir le vertige ne fait pas de lui un bon joueur de Quidditch. Kalev n’a aucun talent, nul part. C’est aussi un fait qu’il considère comme établi. Il n’est pas un sorcier de génie, ni un grand tacticien sur balai, encore moins un érudit, il ne sait pas même dessiner, jouer de la musique ou écrire des histoires, contrairement à certaines élèves.
Tout ce que Kalev fait, il l’entreprend en sachant que cela lui coûtera de l’énergie et de nombreux efforts. Néanmoins, il sait aussi que tous ces efforts mettent en avant sa persévérance.
Sa persévérance, c’est une qualité qui lui est chère. Avec de l’acharnement, on peut pratiquement tout faire. Tant que l’amour de ce qu’on fait et que l’espoir de la réussite est là, il n’est pas nécessaire d’abandonner.

Définitivement, Kalev est un garçon de dix-huit ans un peu mal dans sa peau. Il a des petits problèmes, des petites angoisses, des petites questions et des petits défauts. Mais, heureusement, parce qu’il est humain, il a aussi de grandes qualités, de grandes fiertés, une grande joie de vivre, et un amour de la vie à toute épreuve.
Kalev est un garçon de dix-huit ans qui ne veut vraiment pas grandir.





Histoire
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Kalev est le second enfant d’une famille de sorciers de sang-mêlé modèle. Le père comme la mère étaient des gens bien éduqués, ayant suivi leur scolarité à Serpentard du fait de leurs grandes ambitions, et médicomages qualifiés dévoués à leur travail. Ils aspiraient à faire de leurs deux fils des hommes capables à leur tour de sauver la vie des sorciers en détresse, mais la vie ne tourne pas toujours comme on le souhaite, mais ça, ce n’est qu’un détail.
De par leur métier, la maison, située dans une petite ville au sud de Londres, était toujours remplie de fioles, d’instruments étranges, de discussions complexes sur les sorts de guérison, de livres de potions et de plantes médicinales sorcières, mais cela conférait à leur habitation une atmosphère qui  lui était propre, avec des odeurs uniques, et Kalev avait une grande affection pour cet endroit ; même si son frère aîné, Orion, tentait de lui faire peur en lui disant que des lutins viendraient vider des hectolitres de potions de ratatinage dans son ventre pour le rendre encore plus petit qu’il ne l’était déjà.
Toutefois, ce que préférait Kalev dans cette belle maison, c’était sa chambre. Elle débordait de livres illustrés, de plumes d’oiseaux colorées récoltées sur les spécimens élevés par ses parents, de jolis cailloux ramassés derrière la maison et d’autant de babioles qu’un petit garçon pouvait ramasser et collectionner. Il avait aménagé une toile de tentes avec des couvertures, le tout maintenu en place par les sortilèges efficaces de son père, et faisait de longues siestes cachés à l’intérieur, avec pour seule compagnie un oiseau égaré, son frère épuisé d’avoir trop couru ou une peluche de hibou ayant subit des dizaines de sortilèges de réparation. Un peu comme ses lunettes, qu’il avait très tôt pris l’habitude de casser.

Sa première manifestation de magie eut lieu assez jeune, somme toute. C’était le jour de son anniversaire ; une des journées préférées de Kalev. Son énorme gâteau en forme de méduse, et aujourd’hui il ne se souvient vraiment pas de pourquoi il avait réclamé une méduse, était porté par sa mère jusqu’à la table, lorsque le pire survint : la médicomage trébucha et le gâteau vola. Ni une ni deux, l’enfant avait crié et le gâteau s’était immobilisé dans les airs, sauvé de justesse par l’appétit vorace d’un petit garçon qui refusait de voir son quatre heures mourir sous ses yeux.

L’enfant, très timide, passait pas mal de temps à regarder les autres enfants du quartier, majoritairement des moldus, sans vraiment oser jouer avec eux. Il savait qu’ils ne vivaient pas de la même manière, il avait peur de gaffer, et engager la conversation, ça avait un côté effrayant ; Kalev était, de toute façon, un grand trouillard. Parfois, les autres venaient vers lui, et il arrivait à passer un moment très agréable, mais la plupart du temps, il préférait rester en compagnie de son frère, lorsque celui-ci ne gambadait pas à travers toute la ville avec ses innombrables amis.
Orion avait très tôt initié son petit frère au Quidditch, d’ailleurs. C’était leur occupation favorite, même si l’aîné était beaucoup plus doué que son disciple. Ils devaient faire attention à ne pas être vu par les voisins, mais ça ne gâchait rien au plaisir de se défier l’un l’autre sur leurs balais pour enfant.

Lorsque son frère entra à Poudlard, Kalev se sentit un peu seul ; mais c’était largement compensé par le fait qu’il avait finalement réussi à entretenir des contacts réguliers avec les enfants des voisins, et les retours de son idiot de grand frère à chaque vacances, heureux de raconter des tonnes d’histoires stupides et effrayantes au sujet de l’école de magie à son trouillard de cadet. Réparti à Gryffondor, il passait son temps à se vanter de ses formidables amis, de ses talents de joueur de Quidditch et de sa classe intégrale, mais Kalev retenait surtout de lui qu’il s’amusait bien dans cette école, et malgré l’appréhension, il avait hâte d’y être.
L’air de rien, d’ailleurs, onze ans, ça arrive beaucoup plus vite qu’on ne le croit. Kalev avait à peine eut le temps de dire “Quidditch” qu’il s’était retrouvé dans le Poudlard Expres, sa grosse malle de fourniture près de lui, son tout jeune furet dans les bras, un grand sourire sur les lèvres, déchiré entre son excitation débordante et sa peur panique d’être renvoyé chez lui par le Choixpeau incapable de le répartir.


Et, finalement, Kalev s’était inquiété pour bien peu de choses. Le Choixpeau l’avait à peine effleuré avant d’hurler le nom de Poufsouffle, et ce bout de tissu fut bien inspiré de l’envoyer vivre des années formidables auprès de gens tout aussi formidables.

Bien qu’on ne guérisse pas d’une timidité du jour au lendemain, ses camarades de Poufsouffle lui inspiraient assez vite confiance pour qu’il se fasse rapidement des amis, bien qu’il reste discret vis-à-vis des autres élèves, des adultes et des créatures du château. Effrayé à l’idée d’avoir une mauvaise note ou d’être interrogé par un professeur, il s’investissait beaucoup dans ses devoirs, répétait ses sortilèges et essayait de passer du temps dans la bibliothèque, même si les livres sans images ne lui inspiraient pas grand chose.
Puis, avec le temps, il s’est de plus en plus ouvert, a de plus en plus décroché de ses parchemins, a compris qu’il ne serait jamais bon en potions, a commencé à apprendre des tours à son furet et à rédiger des poèmes ringards, ses notes ont chuté, et son sourire s’est élargé ; parce que vraiment, étudier, c’était un peu surfait lorsque l’on pouvait s’amuser avec ses amis et jouer au Quidditch.

Kalev devait être en quatrième année lorsqu’il s’est décidé à définitivement chasser sa timidité pour profiter au maximum de son adolescence. On ne peut pas changer quelqu’un du tout au tout, alors il demeurait un grand trouillard pas très doué, mais un grand trouillard pas très doué avec le coeur sur la main et de la joie de vivre à revendre. Dans le fond, Kalev avait toujours été un garçon très joyeux ; il avait simplement du mal à le montrer. Et puis, se débarrasser de ses lunettes pour des lentilles moldues, aussi bizarres que ce soit, ça changeait rudement la vie.
Sa cinquième année fut une de celles qu’il retint comme parmi les plus mouvementées : alors que les BUSEs approchaient, il avait eu la bonne idée de se dégotter une petite amie, de devoir la quitter en prétextant avoir une maladie grave (ce qui ne tenait absolument pas la route), avait cru son furet mort alors qu’il était simplement en train de dormir, et avait brûlé par accident toutes ses notes de sortilèges la veille de l’examen. Déjà condamné intérieurement à travailler comme nettoyeur des toilettes du ministère de la magie, il n’en cru pas ses yeux de découvrir qu’il avait réussi à décrocher la plupart des BUSEs nécessaires à son passage en sixième année.

Ses deux dernières années furent certainement les meilleurs. Il renforça plus que jamais ses liens avec ses camarades et trouva même son meilleur ami en la personne de Camille, un jeune français transféré qui ne comprenait pas un mot de ce qu’il racontait mais dont la bonne humeur faisait plaisir à voir. Victime d’un clafoutis empoisonné, il avait pensé avoir trouvé l’amour de sa vie, et avait rompu de façon lamentable en prétextant être amoureux de son meilleur ami ; preuve encore une fois que ses excuses étaient lamentables, d’autant plus qu’il ne savait pas mentir. Il avait repeint les vitres de la salle commune de Serpentard, et redécoré celle-ci. Il était même devenu capitaine de l’équipe de Quidditch de Poufsouffle ! Il n’y aurait jamais cru, à celle-là.

Et puis aujourd’hui, tout est fini. Il a dix-huit ans, il est diplômé, et il s’étale dans l’appartement délaissé de son frère aîné. Il garde les enfants sorciers du voisinage, prend du temps pour apprendre à cuisiner et tente de voir ses amis aussi souvent qu’il le peut. Il songe à trouver un colocataire, pour occuper cette maison trop vide, il continue d’écrire des poèmes avec peut-être un peu plus de sérieux qu’autrefois, mais toujours autant de mauvais goût ; puis il essaye de dessiner plus sérieusement, aussi, pour un jour pouvoir créer un tableau assez beau pour pouvoir tenir compagnie à l’Erudit, ce professeur qui a toujours cru en lui malgré ses défauts et son laxisme. Kalev ne sait pas vraiment de quoi sera fait demain, mais il savoure aujourd’hui, en tentant de ne pas trop regretter hier, et il sourit avec sincérité, parce que la vie est belle.
Vraiment, la vie est belle, même lorsqu’on a dix-huit ans, des complexes, des questions et des moments d’égarements.





Derrière l'écran
Et là tu mets une petite phrase pour faire très sympathique.


Pseudo ϟ Kalev, Louis, Sven, Solus, Peony, au choix.
Et l'âge ϟ Celui des écailles de Solus.
Male, Femelle, ou Bumblebee ϟ Prince Solus.
Comment tu as connu Wiggenweld ϟ La lumière au bout du tunnel.
Des suggestions pour Wiggenweld ? PLUS DE JAUNE DANS MON RANG ET MON PSEUDO. Même si Viridus est déjà un vrai magicien (comme si on en doutait).
C'est quoi, Wiggenweld ? ϟ C'est l'enfant que je n'ai pas enfanté mais presque. Je l'aime plus que mes propres futurs (peut-être)(allez savoir) enfants.
Personnage sur l'avatar ϟ Denji de Pokémon.





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Papa Fayot
Papa Fayot
Messages : 164
Date d'inscription : 15/03/2015



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Ven 10 Juil - 15:36

Bienvenue à Londres !


C'est avec grand plaisir que je t'accueille dans la cour des grands, jeune blaireau. Je me réjouis de suivre tes nouvelles aventures en RP ♥♥


Félicitations ! Tu es désormais validé, ta fiche est certainement trop cool, et tu vas désormais pouvoir jouer avec tous les autres sorciers, créatures et hybrides du forum ! Quelle veine hein ♥.

Sache que, si tu veux faire les choses dans l'ordre, je t'invite à te rendre dans la catégorie des listes et des recensements. Là-bas, tu vas pouvoir recenser ton métier, ton avatar, ton quartier, et pleins d'autres choses. On compte sur toi !

Après, il faudra penser à bien t'occuper de ton sorcier. Tu trouveras un endroit pour établir des relations, et même un autre pour gérer tes rps.

Bon, on a fini avec les infos de base, on va te laisser tranquille. Surtout, amuse-toi bien sur Wiggenweld ♥ !







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