Romeo RogersMessages : 17 Date d'inscription : 06/02/2016
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Sam 13 Fév - 21:45 | prénoms — Romeo Joachim âge — 17 ans nationalité — anglaise origine — sang-mêlé année d'étude — 7ème année options — soins aux créatures magiques, étude des runes maison — GRYFFONDOR
baguette magique — chêne blanc, crin de licorne, 29,2 patronus — héron odeur de l'amortensia — citronelle, muguet, chandelle qui brûle forme de l'épouvantard — un mort qu'il a aimé reflet du miroir du riséd — une femme rêveuse peut voir les sombrals — non matière préférée — défense contre les forces du mal friandise favorite — crème caramel sortilège favori — orchideus potion favorite — élixirs éternels créature favorite — hippogriffe plante favorite — tournesol sorcier célèbre en modèle — Wolverine (oui) c'est un grain de lumière qui marbre son sourire, un archipel de constellations qui semblait pouvoir passer en travers des nuages pour vous mener jusqu'aux nébuleuses — là où le voile ensoleillé des vies humaines éclot même après la mort. c'est un tapis de douceur qui façonne le lit de ses artères : une grâce malhabile éparse sur ses mains.
un flocon coincé dans sa gorge, aux alentours de sa trachée ; un rire d'enfant, sans doute. réel, irréel, il s'éclipse entre ses lèvres avec une candeur presque insolente, chasse en quelques envolées l'ombre des craintes profilées au creux de la poitrine. entre ses paumes romeo apaise des tourments qui naissent déjà avortés. depuis toujours il est lampée d'accalmie, homme qui soigne, homme qui soulage. celui qui s'offre au cou des cygnes comme un regard ou un baiser.
romeo se résumerait à un éclat s'il ne respirait pas ainsi l'empathie, s'il n'appréhendait pas avec une telle exactitude les émotions qui scellent les lèvres de l'humain — car sans se contenter de vivre, il se transcende en un milliard de petites consciences, il se fait élan, port de nuque altier, étendard face à la nuit spectre. en travers de ses gestes amples romeo embrasse l'une des essences les plus claires conçue par le monde, une essence effilée dans la bonté. et incessamment il exhibe ses sourires à pan de ciel comme s'égrèneraient des nuages !
romeo porte en son sein la dimension inhérente des êtres aux mains de martyr, ceux qui débordent de grandeur caricaturale abreuvant les existences les plus justicières. il est le chromatisme d'une gamme de beauté sous ses cils de prince : car romeo s'invente. il étire de ses propres paumes la silhouette arrogante de son futur, orchestre au battement de ses doigts la trame de quelques expectances héroïques épanchées sur la majesté. il est la racine-même des songes et des rêves infantiles, il est le frisson infime de celui qui veut protéger, sauver, supporter encore, il est de ceux qui ne pourraient subsister sans les perspectives glorieuses qui s'étendent aux pieds des plus grands hommes. romeo voudrait se faire légende ; empreindre toute sa personne de cette amertume héroïque propre aux immenses récits aventureux. romeo ne saurait vivre sans un titanesque essaim de rêves au coin des lèvres et une galaxie qui disperse l'honneur étendue sur sa cage thoracique.
romeo s'est épanoui sur un substratum de naïveté, tant et si bien qu'il s'est fait indolent, incapable de distinguer le devoir du besoin et la fiction des miasmes du réel. parfois même il sent sa voix trembler ; il ne saurait contenir ni son émerveillement, ni sa passion, ni les dimensions stellaires de ses mouvements ou de ses mots, vibrant d'adolescence et d'utopie farouche ! ainsi déclinerait-il avec ardeur, sur des milliers de pages entachées par la sueur des héros, tous ses bienfaits qui ont sublimé la terre...
mais romeo le sait, sa main épargne les vies, l'autre sème la justice ! et lorsqu'il repense un instant à son devoir — sauver le monde, astreindre ses gestes à la valse d'une jeune femme pour qu'elle puisse sourire encore ! — il se fait plus prompt, plus acharné même à offrir sa clémence, à ouvrir ses bras pour accueillir un mourant.
pour autant qu'un jour il tombera au combat, vaincu par son destin. et romeo l'accepte sans peine ! car ses prunelles-mêmes portent un milliard d'aventures. Avec les Serdaigles ϟ save us Avec les Poufsouffles ϟ save us Avec les Gryffondors ϟ save us Avec les Serpentards ϟ save us Avec les membres du personnel ϟ save us (oui²) Avec les créatures du château ϟ save us (il y a juste les fantômes qui le rendent un peu triste, il trouve ça toujours bizarre que de ne pouvoir les toucher.)
il était donné qu'aamon rogers n'avait jamais véritablement embrassé des ambitions de très haute volée, bien qu'il jouissait d'une non-négligeable renommée vers ses premiers pas d'adulte : il était l'une des rares personnes à avoir retriplé sa septième année pour son plaisir personnel. à la grande surprise de tous, il avait épanché ses vingts ans dans les courbes d'une jeune femme — et certains encore semblent surpris en les voyant s'embrasser ; siobhan townsend-rogers était une femme au charme profondément intrinsèque et à la prestance pleine de frissons, peut-être cruelle. elle portait l'arc de ses cils avec le panache des souveraines, cisaillait ses paupières blanches d'un effleurement de ses iris incessamment plus claires, comme un petit bourgeon au printemps. aujourd'hui encore, aamon jurerait ressentir encore sa nuque osciller sous l'impulsion d'un bouquet de nerfs, lorsqu'avec ardeur il mêlait ses paumes dans le voile incertain de ses cheveux. sans doute aurait-il pu transcrire toute la noblesse de son corps sur l'entière étendue de ses souffles... il n'aurait même su dire combien elle fut plus raffinée encore lorsque ses mains la dénudaient !
il avait tant neigé ce jour-là que le givre semblait demeurer tel quelques traînées de lumière alors que le soir tombait. siobhan tomba enceinte un peu (beaucoup) trop vite pour que la tendre mère de la jeune femme n'émette la proposition de faire passer le futur petit par la fenêtre ; oui, ç'aurait été moins douloureux mentalement, physiquement, FINANCIÈREMENT. aamon annonça la nouvelle à sa famille avec sa subtilité habituelle — il se souvenait avoir ouvert la porte de la résidence familiale d'un coup de pied, avoir gueulé un tonitruant « JE SUIS RENTRÉ !! » suivi de la voix d'hôtesse de l'air de sa maman : « TA GUEULE ! » — la finesse était un principe inhérent de la famille rogers, dans le cas où vous en douteriez. il fallu par principe assumer le prochain bébé, comme le disait si justement siobhan : c'est pas bien les infanticides. romeo fut donc le premier (et le seul !) à mordre son sein plein de lait, à apparaître entre ses cuisses de princesse.
il garde peu de souvenirs de sa toute petite enfance, sinon l'effleurement sur ses joues d'une chevelure très sombre, si épaisse qu'elle semblait pouvoir emporter tout un flot de sourires sur ses rameaux mordorés comme un souffle unique accordé au monde... sa maman avait toujours eut ces mains incroyablement douces dans leur mouvement, des mains de meurtrière ; capables de frôler son hâle sans toucher la peau, de laisser une ivresse de baiser là où le corps ne saurait être qu'amertume. peu à peu romeo saisirait ce qui subjugue son père en cette femme : l'évanescence royale de son cou, le galbe vigoureux de sa poitrine, le heurt diamanté de son épaule peut-être ? ou alors ses lèvres incessamment éblouies par quelque chose du rouge de l'été, et d'où s'échappe une saveur presque tragique ?
aamon ne possédait pas tant ce tourment fastueux à l'ombre de ses cils, enroulé tel une aurore boréale ; mais on lui prêtait la chaleur des hommes qui voudraient s'endormir sous l'immense nuée stellaire, comme les astronomes. et qui, en discernant à travers les teintures du noir l'éclosion des fronts lunaires, des bougies derrière les fenêtres, oh ! ils rêveraient d'infinité.
il fut de ces enfants aux mains vives et fébriles, et qui conserveraient longtemps sous leur peau les petits boutons de rose d'une jeunesse informelle et insouciante. romeo avait toujours rêvé en démesuré, jusqu'à rendre son existence universelle ; tracée à tire d'aile sur l'envergure d'une entité centrifuge, bien plus impétueuse que les éléments eux-mêmes. on avait toujours discerné aux alentours de ses yeux francs quelques vastes éclats d'une réalité multidimensionnelle : un monde onirique soustrait à la cornée humaine. romeo avait si tôt délaissé les mouvements assassins des hommes rigides pour la sûreté de ses fictions ! siobhan ne comptait finalement plus, par lassitude, le nombre de mots attestant que son « effroyable rejeton avait été un nombre inacceptable de fois refusé en cours pour tenue non-adéquate ». il n'avait jamais compris pourquoi son déguisement de captain america fut si mal accueilli au cœur d'un établissement prônant respect et tolérance. son devoir d'épargner cette école sanctifiée des griffes du mal s'était pourtant enraciné en lui avec la fureur d'une évidence...
il finit ainsi par entrer à poudlard, et aujourd'hui sans doute dirait-il encore ressentir les fragrances les plus anciennes de cette âme fantomatique qui hante parfois les objets ou les lieux marqués par le temps. il noircirait des pages pour décrire l'impulsion de cette force ancestrale baignant ses parquets glaciaux ou ses pierres grisées par une érosion centenaire.
romeo n'était pas né gryffondor. son père était poufsouffle, et, d'autant qu'il puisse en juger, il prêtait volontiers à siobhan la composante douloureuse mais profondément harmonieuse que portaient en leur sein certains élèves de serpentard. mais on trouvait sans peine une certitude absolue, étouffée au creux de son cou, sous ses cordes vocales, enlacée à ses muscles — lorsqu'il avait ardemment humé l'air nimbé de souvenirs, près de la cheminée, là où les volutes de fumée embrassent les pierres pour y faire s'attarder une chaleur bienheureuse. à cet instant, romeo s'était senti incapable de retenir les sourires éclos à l'écume de ses lèvres. il savait que les espaces d'autres maisons accueillaient le poids des courbures passées, endormi à l'ombre des meubles ; mais était-il emprunt de ces bercements embaumés par les aspirations de milliers de personnes, comme autant de prières frémissantes ?
il avait aussi rencontré sandy, et à présent il connaissait si bien ses mains fines et nerveuses, les arcs de ses gestes qui jamais ne cessent d'être énergiques, les pulsations sous les traînées de veines à la surface de sa peau ! lorsqu'il sent les frissons qui abreuvent sa taille alerte et fringante, romeo se surprend à davantage encore aimer sa jeunesse, la torpeur adolescente qui parfois emporte sa raison. les idées folles qu'on appliquerait sans aucun recul, et avec seulement dans l'âme l'attrait des découvertes ou des rires au bout du monde.
romeo avec ses vastes mouvements et son ardeur radieuse ne sera jamais un cimetière à souvenirs, un morne salon tout plein de mémoires poétiques, un amas incolore de tendances surannées. pseudo hol murc ( = ici hol après un compte fail) et l'âge j'suis un bébé ;; mâle, femelle, ou dumbledore ... not found comment tu as connu ww il est apparu au détour d'un forum tel un chenipan sauvage =/ est-ce que tu aimes ww oui il sent si bon, puis il est sexy quoi. est-ce que tu aimes beaucoup ww tseuh des réclamations ???? personnage sur l'avatar spain d'hetalia vous envoie des bisous
hol murc |
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Alexus St JohnMessages : 167 Age : 27 Date d'inscription : 08/01/2016
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Sam 13 Fév - 21:50 | re-bienvenue du coup eeeeet merci de rendre mesdilemnes un peu moins dilemniquesSandy va être aux anges. (et moi aussi d'ailleurs, kiléchou ) Du coup bonne chance pour l'histoire Ce Roméo va être parfait je le sens (je le sais.) (il l'est déjà) (ouioui) |
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S.A.U.M.ON & professeur & perfect dad
Sven WalthamMessages : 203 Date d'inscription : 07/12/2014
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Sam 13 Fév - 21:53 | Rebienvenue à toi du coup et cette musique est fort sympathique |
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Serpentard Survivant du royarcèlement
Perseus KashirinMessages : 304 Date d'inscription : 13/08/2015
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Dim 14 Fév - 0:11 | Rebienvenuuuue. Ta plume est toujours aussi belle ;; ♥ Il me tarde de lire la suite en tous les cas ; bon courage ! |
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Le Choixpeau MagiqueMessages : 1367 Date d'inscription : 05/05/2013
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Dim 14 Fév - 22:39 | Bienvenue à toi beau Romeo, qui je crois a déjà ravi le coeur de notre Sandy au fond là-bas. /pointe du doigt.Ta très jolie plume devrait faire honneur à ce chaton, aussi tu peux continuer ta fiche, mais prend garde à ne pas oublier le positivisme du personnage, qui peut-être ne transparaît pas toujours assez. Bon courage pour la suite. |
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Sandy H. LindonMessages : 121 Date d'inscription : 23/01/2016
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Lun 15 Fév - 12:28 | Oh Romeo, Romeo ! J'ai honte, je ne t'avais pas vu jusqu'à ce qu'on m'annonce ton arrivée (heureusement que les membres de ce forum sont de fiers stalkers ♥). En tout cas BIENVENUE ! Ça me fait tout chaud au coeur de voir ton beau Romeo sur le forum. Et je suis impatiente de le découvrir avec Sandy ♥. (Bref fini vite ta fiche D8 ) |
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Romeo RogersMessages : 17 Date d'inscription : 06/02/2016
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Sam 20 Fév - 15:52 | Je vous aime tous autant que vous êtes merci infiniment (je pleure)(et j'ai fini) Choixpeau ; je suis pas sûre d'avoir pu faire mieux pour l'histoire, je suis pas très douée avec les fiches, mais je ferai attention en rp ! encore merci ♥ |
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Le Choixpeau MagiqueMessages : 1367 Date d'inscription : 05/05/2013
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Mer 24 Fév - 13:18 | Cher Romeo, tu es désormais validé ! Tu peux aller gambader tout nu (ou non) dans les couloirs de Poudlard. Pense à passer dans la Gestion du Sorcier et d'ouvrir ton Passeport Wiggenweld. Tu peux également rejoindre un Club de ton choix ou en créer un. Au moindre besoin, le staff est à ton service - n'hésite pas à faire appel à nous . BIENVENUE A POUDLARD ! Toutes mes excuses pour le retard ! J'aime décidément beaucoup la manière dont tu écris, c'était un plaisir à lire Ton Romeo est très chouchou, je lui souhaite de palpitantes aventures avec son Sandy |
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