Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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S.A.U.M.O.N
& créature & Mister Simple



Monsieur
Monsieur
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Date d'inscription : 19/02/2016



Holiest thing I know Vide

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Ven 19 Fév - 17:12



Monsieur
21 ans à sa mort, 63 ans maintenant / Britannique, anglais / Détective animalier, pour dire cela joliment ; cherche aussi les objets des gens, ou les gens des gens / Ectoplasme à la masse / S.A.U.M.O.N



Date de naissance ϟ Ah, oui, quel jour ? Il semblerait que cela concerne l'été.

Relations professionnelles ϟ Professionnelles est un mot qui fait sourire ; on admet rarement que Monsieur travaille. Ses services sont réclamés avec la voix du désespoir et dans la hâte du dernier recours - la méfiance des premières fois est tout à fait compréhensible, Monsieur semble être bien peu qualifié pour ce genre de tâches. Pourtant, il ne déçoit jamais : Monsieur retrouve toujours tout. On a malgré tout encore un peu du mal à nommer cela travail, car il ne pense jamais à se faire payer, n'ose pas le demander - ne pense pas en avoir l'utilité : n'importe qui peut tromper Monsieur à loisir. Alors, comment considérer cela avec le sérieux d'un mot comme "professionnelles" ?

Détails complémentaires ϟ Les doigts de Monsieur ne savent rien caresser, et ses pieds ne touchent plus la terre ; le monde entier se détourne de lui et lui ne s'en rend pas compte. Monsieur oublie parfois qu'il est mort. Oublie aussi qu'il a été vivant. Oublie que les autres vivent - les sens des choses se perdent pour lui, et il ne fait pas la différence entre elles. Ne comprend pas qu'il gêne, ne sait pas qu'il dérange. Monsieur, simplement, ne comprend pas tout court - mais cette spécificité existait déjà de son vivant.

Son avis sur la situation du Londres magique ϟ Monsieur n'a pas d'avis. Car les avis - demandent réflexion. Monsieur vit Londres, mais ne la pense jamais ; il n'a pas d'opinion et ne sait pas vraiment ce qu'il s'y passe, se contente, en fait, de sillonner les rues et d'y voir des visages. Les couleurs et les dessins S.A.U.M.O.N lui ont plus, il a aimé qu'on lui sourie. Alors l'altruisme le charme, évidemment ; mais de là à affirmer que Monsieur ait une volonté ? Quelle ambition.

Baguette Magique ϟ Aucune ; et s'il en avait une, il l'aurait perdue.
Patronus ϟ Ne peut pas en invoquer.
Odeur de l'Amortentia ϟ Les plantes vertes, les crêpes chaudes, l'orange, et la poussière.
Forme de l'épouvantard ϟ Un chat triste. (En niveaux de gris, avec "My Immortal" en fond.)
Reflet du miroir du Riséd ϟ Se voit entouré d'animaux - et dans ses mains, un chaton adopté par Viviane.
Peut voir les Sombrals ϟ Oui.
Friandise favorite ϟ Les Crèmes Canari.
Sortilège favori ϟ Ne peut en lancer. Aimait assez Orchideus.
Potion favorite ϟ Potion d'animagus temporaire.
Créature favorite ϟ Toutes.
Plante favorite ϟ L'Animalus Verbalus.




Look at the mess you've made —
Babe I'm not what you think, come on listen to me
Monsieur est un sourire de brume dans des souffles d'éther. Un bonheur simple cousu sur un esprit qui n'a pas d'âge, qui n'a pas de temps ; une jeunesse idéale et une vie infinie. Pareil aux fruits qui n'ont pas mûri, il cherche l'amour du Soleil qui ne veut plus de sa peau sans substance, déplie aux lueurs du jour sa pulpe qui n'a pas grandi, saveur immature des jours révolus. Pourtant le zénith n'honore jamais ses désirs hantés, et Monsieur demeure ce qu'il est, monstre du crépuscule - il ondule entre le jour et la nuit, et ses yeux aveugles ont le regard du demi-sommeil : Monsieur est mort, Monsieur est vivant, et ses mots vides sont des hordes fantomatiques.

Les limites du, ou des mondes sont des lignes de pluie, troubles à ses yeux sans expérience ; les espaces sont des réalités physiques qu'il ignore, et le temps glisse sur lui. Monsieur est comme l'aveugle qui voit de ses yeux, mais dont les neurones ignorent l'analyse : sa rétine avale les lumières comme un bébé qui a toujours faim, mais la compréhension lui échappe ; il existe des liens entre les choses que Monsieur ignore - qu'il ignore d'ignorer, même, au cœur même de la connaissance Monsieur ne saisit rien. Les sens se taisent en secrets à ses oreilles, et il accepte le fardeau de la bêtise : il laisse l'ignorance se graver dans son sang, comme on peut tolérer un genre d'affligeante maladie.

De la même façon, des sentiments sinistres rampent dans son cœur embrumé, sans dévoiler leurs sens. Il se contente de les ingurgiter et de les porter, des enfants qui ne sont pas de lui mais qui crient pour rester en sa compagnie : Monsieur ne comprend pas l'amour des hommes. Il le vit pourtant, le respire de ses poumons immatériels - qui s'illuminent à la vision d'une Viviane ; les choses suivent le cours très naturel d'un fleuve d'émotions, sans que jamais on ne le laisse les nommer : ne restent que des simples, presque inavouables envies, de s'engorger toujours de sa merveille. Et son cœur chavire, ses sourires se renversent dans des souffrances qui ne sont pas les siennes pour Elliot ; sa peau en boit les colères, et est trop bête pour les comprendre - une peau n'a pas d'intelligence ; mais elle ne préserve pas Monsieur de la douleur, ni ne le prive des illuminations du dévouement. Monsieur veut aider, d'une vraie sincérité, Monsieur s'accroche tout entier à des passions de gentillesse, peu importe que les mécanismes de ce monde se glissent étrangement entre les rouages de son esprit, qui tournent à l'envers. C'est une pulsion, c'est une aisance naturelle ; on ne saurait la nommer désir : Monsieur n'en connaît rien. Les brûlures émotionnelles de Monsieur sont toujours égales, ou ternes : il ne connaît pas l'intense ivresse des sentiments, et les éclairs de sa passion sont balayés par le temps d'un vent tranquille.

Monsieur marche dans la vie avec une virginité sainte des souillures des hommes, et comme si lui seul sait voir parmi le monde. Leur pourriture noire ne sait pas s'accrocher aux coins très lisses d'un esprit trop petit pour eux. Il appelle les animaux - appelle les hommes des animaux, car Monsieur est comme une bête : il fait les choses comme c'est une conscience très primitive qui le lui ordonne. La surdité des désirs qui font les hommes lui fait ignorer les virilités crasseuses, et les appétits purulents ; il se contente de ses plaisirs coupables, et se complaît dans des jours sans nuance. Le monde de Monsieur est taillé aux choses qu'il connaît, des espaces restreints comme des terrains de jeu, qui n'ont pas la place pour y entasser des prudences. Alors le mensonge n'existe pas dans ces entrebâillements de vie : une naïveté très douce se glisse dans les yeux de Monsieur, et l'étourderie dans ses gestes. Car on a tissé Monsieur avec des fils de songes, dans de si jolies couleurs d'irréalités ; il n'a pas connaissance des éthers qu'il est maintenant, tout comme il n'en a pas eu des rougeurs musculaires qu'il était avant : Monsieur a une très douce inconscience, du monde, des dangers, dans laquelle la mort l'a cueilli, et jamais il n'a eu de délicatesse à son propre égard.

On est tenté, dès lors, de vraiment murmurer de la stupidité, de l'idiotie profonde pour se moquer du cœur simple ; on veut vraiment railler le si bête, le si mou Monsieur ; mais quel éhonté mensonge on lance là : on sait bien quelle perception est la sienne.

Car, il y a tout de même cette chose qui s'y illumine, n'est-ce pas ? C'est une verdeur, c'est une force calme mais force quand même, qui élève Monsieur. Elle l'érige sur des jambes mortes pour l'armer ainsi de toute cette indifférence, cette indolence portée comme une armure - c'est la vie qui l'en a vêtu, pour ne pas qu'il se blesse sur elle. Pourtant, son coeur est infiniment lucide ; il a cette connaissance infinie de lui-même : Monsieur, avant de mourir, a eu le temps de ne plus être un enfant. Les réalités s'amorcent mal dans son esprit, mais il en saisit au moins les couleurs, dans ce cerveau qui est vivant ; ses mouvements sont lents, et vides de calcul, mais ont toujours la lourdeur d'une intention. Et surtout, Monsieur voit : entre tout, il trouve, avec cette boussole antique qui est un don, logée entre le muscle et les os. C'est, en réalité, une faiblesse d'esprit qui est alanguie, pas infantile : Monsieur connaît, a connu les fins de l'adolescence - des âges où l'on est aveugle. Il a su se façonner cette cuticule toujours si douce, toujours si éblouissante de naïveté, mais c'est une mue - qui a perdu l'immaturité de l'enfance : peut-être n'a-t-elle pas les contours adaptés aux sociétés, mais c'est en la portant que Monsieur s'est trouvé le plus beau. Alors ses sourires seront vains, ses gentillesses seront perdues, ses paroles seront vides - c'est une litanie un peu triste que la futilité de Monsieur, mais au moins est-elle tendre.

No more getting it wrong,
I'll be frozen here on
If forever we'll see,
but no more guessing for me
Il souffre d'une mémoire obscure, qui n'est jamais appelée. C'est un polygone imparfait ; une constellation de souvenirs-étoiles dont les lignes sont fictives, fragiles, curieuses. Elles relient entre elles des œuvres incomplètes qui n'ont pas de rapport, et sont écorchées par des yeux qui ne sont jamais sûrs. Et de toute façon : il n'y pense jamais.




Pour lui, tout autour de la maison était un désert et une nature sauvage, obscure, éteinte. Le genre d'espace qui enferme des êtres secrets aux regards. Leur famille était comme cela aussi : sauvage, obscure, et éteinte. Ils avaient aussi un chat obèse.
C'était une tribu qui ne croisait pas suffisamment les regards des autres hommes. Ils étaient cinq, dans un temps reculé et des terres reculées aussi. Lui était le premier expulsé des affections antiques de ses parents ; c'était un hasardeux brouillon de cheveux blonds et de rires en retard, une question, une curiosité : il avait une maladresse spirituelle qui le rendait difficile d'accès. Sa magie se trahit très tôt ; ce fut la seule chose sur laquelle il fut jamais en avance. Deux autres enfants, des petites filles de mystère, avaient été ensuite lâchées dans cette nature folle.

La maison était bruyante et son air avait quelque chose d'étouffant, de la chaleur lourde des amours bruts ; et il avait pour passion d'y échapper. Tout y avait un souffle mystique dont il s'était gorgé. C'était un enfant comme un rêve stérile, au silence mièvre et aux sens obscurs ; parfois il était secoué de folies vivantes, et finissait toujours par se blesser. Ses parents l'appelaient inlassablement, d'un nom qui lui échappe ; ils étaient bénis d'une patience infinie, et n'avaient jamais rien pensé des errances de leur fils. C'étaient des gens très braves, mais pas téméraires : ils ont remercié le ciel que leurs filles n'aient pas ce genre d'excentricité. Pourtant, elles se perdaient souvent - le cœur de leurs parents allait éclater d'être épuisés par ces enfants du vent - et lui avait déjà ce talent, de les entendre par-delà les cimes et de les flairer dans les jungles, pour les ramener, comme un animal habile et très bien dressé.
Le chat - il s'appelait Biscotte -, traînait péniblement son ventre vicieux comme un malheur du monde. C'était une boule informe de graisse et de paresse, qui grognait sous ses affections qui tombaient en pluie : il apparaissait parfois qu'il aimait plus cette chose que quoique ce soit sur cette Terre.

Le temps, il ne le voyait pas. Tout était des cycles : il grandissait peut-être un peu. Mais tous les jours se ressemblaient, et il n'a pas de mémoire pour ces choses-là.




L'adolescence était comme une ardeur, et un caprice des songes. Il était une distance veule, juvénile et des exaltations brûlantes, mais toujours vides. L'enfance poussée hors de lui, il se désagrégeait, pour mieux se refaire peut-être ; mais ces choses étaient des tortures à son précieux petit confort, et son monde lui était toujours volé pour métamorphose. Poudlard sublimait cette tendance : il s'était cassé à peu près tout ce qu'un humain a d'os ; trouvait une paix rassasiante dans des amitiés confuses, et des études où il était médiocre.

Ses lenteurs s'étaient défaites de leurs charmes, elles prenaient doucement les couleurs d'un échec magnifique. Ce sont des choses qui ont commencé à être moquées : fort heureusement, il ne le comprenait jamais à temps. Ses parents l'en vengeaient parfois, car ils étaient ce genre d'êtres dont l'amour ferait trembler tous les hommes de Grande-Bretagne. Les choses, d'une façon générale, le touchaient secrètement, ou ne le touchaient pas du tout : seul le chat lui importait.
Il était dans une colère irréelle lorsqu'il mourut.
Le souvenir de cela est toujours très vivant, il avait claqué la porte et était parti pour la nuit. Cette perte-là était presque miraculeuse, car bien plus tardive que n'importe quelle attente : mais lui ne connaissait pas la réalité de la mort ; ne connaissait rien, à part les étouffantes bouffées de vie dont on l'avait toujours nourri. En outre, il tenait plus à cet animal qu'à sa propre existence : pour la première fois, il était inconsolable. Car les cœurs simples des bêtes étaient peut-être trop semblables au sien, et qu'il y lisait plus aisément que dans ceux des hommes. Ce chat boursouflé de cholestérol buvait ses secrets mieux que personne. La peine était forte, sincère comme celles qu'il pouvait avoir parfois, vides de sens - puis elle fut ravalée par la nuit d'où elle était venue. Comme tout le reste. Tout le reste, avec lui, était ramené là où il en oubliait l'existence.




Ensuite, la noirceur s'était retirée du béton, et la maison perdit de ses ombres tropicales. Que dire ? Le monde s'était asséché de toutes les moiteurs de l'enfance : c'était maintenant une jungle urbaine. Où la lumière tombait différemment, sur sa vie polarisée ; il errait dans la maison et autour pour rituel. Il saluait et souriait aux gens, et s'en fichait bien qu'ils lui sourient aussi. C'était une ombre vivante connue des regards alentours, à présent, d'où déborde un amour végétal - grande et creuse ; un stupide arbre déjà presque mort, c'est ce que l'on peut dire aussi. Ses sœurs étaient des jeunes femmes gonflées de secrets maintenant, et qui aimaient leur frère. Tout le monde l'aimait toujours. La maison n'était peut-être plus encore cette antre chaude, qu'il fantasmait petit, mais elle restait un dôme de soleil, où ils brillaient tous. Sa mère portait encore un amour comme une arme au bout de ses phalanges glacées, sur son front, tous les matins. Elle ne savait pas ce qu'elle allait faire de lui : alors elle allait l'aimer.
Ses baisers fendus en rire sur sa nuque, entre ses cheveux teints par une lubie ; de cela, il se souvient encore. Ils étaient tous des gens très tactiles.
Et parce que son contact était si facile, le monde se découvrait toujours plus à lui. Les animaux, surtout, en aimaient cette passion indolente, ou c'était lui qui aimait la leur montrer ; ils venaient se faufiler dans ses jambes ou délier ses mains lorsqu'ils s'étaient égarés. La crainte, des bêtes ou des hommes, se diluait sur ses sourires.

Ses deux unique talents, et son cœur submergé devenaient des missions sincères - une obstination ferme, étrangère à cette tendresse apathique, le poussait à chercher et ramener les animaux qui quittaient leurs maîtres : on se mit à le payer pour cela. Pas grand chose, de la menue monnaie, pour lui c'était presque des caprices, mais c'était là, c'était un salaire : il s'agissait d'un temps où un monde noyé sous des révoltes avait toujours faim d'argent, et ses parents pouvaient enfin dompter une de leurs inquiétudes folles - une parmi la mer qu'ils avaient -, de savoir que leur fils trouvait un angle confortable de cet univers qui soit pour lui.

Tout cela, c'était des âges nouveaux. La vie était un chant au rythme malhabile, mais son esprit avait toujours la légèreté de ses énigmes. Les jours se rallongeaient sans cesse ; toute sa vie était une première moitié d'été. Et puis, ils ont fini par durer pour toujours.
C'était un très bel animal.
Qui ne savait pas ce qu'il faisait : mais ils ne pouvaient pas lui en vouloir. Quand bien même cela faisait un peu mal - il ne pouvait pas.  





C'était la fin de l'été.
Le ciel avait la couleur du sang comme ces jours-là.
Il y avait la chaleur, le vent, les goûts d'herbe sèche qui restent sur la langue.
C'était étrange de ne pas le sentir, pourtant.
« Monsieur ? »
Et c'est lui.
La petite avait des yeux comme un gouffre.
« Regarde, j'ai retrouvé ton chat. Il voulait juste aller jouer, et il n'a pas fait attention : il est allé trop loin, alors il s'est perdu. »
Jusqu'à ce qu'ils débordent de vie - et qu'en essayant de se jeter dans ses bras elle ait si froid, sous ce soleil si rouge. Elle n'embrassait que l'air.
C'était étrange.





Spoiler:

Pseudo ϟ Perseus.
Et l'âge ϟ Mon corps craque
Male, Femelle, ou Bumblebee ϟ Le grand mystère de la vie.
Comment tu as connu Wiggenweld ϟ Je suis sorti d'un sac de gallions.
Des suggestions pour Wiggenweld ? Plus de points pour Serpentard.
C'est quoi, Wiggenweld ? ϟ Du clafoutis
Personnage sur l'avatar ϟ N, Pokémon

J'espère pas faire n'imp du prédef. Kiss kiss love
(le code est de moi aussi)



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Gryffondor



Alexus St John
Alexus St John
Messages : 167
Age : 27
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Holiest thing I know Vide

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Sam 20 Fév - 11:43
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Re-bienvenue ???
Cette fiche est parfaite. Sauf la suggestion pour le forum à la fin elle pue. Mais sinon je t'envoie des paillettes.
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Ligue des Sorciers
& sorcier & Jupiter forever



Kalev Hopwar
Kalev Hopwar
Messages : 1432
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Sam 20 Fév - 12:41
Bonjour.
Je voudrais faire un câlin à Monsieur.
Puis-je ?
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S.A.U.M.O.N
& créature & Mister Simple



Monsieur
Monsieur
Messages : 110
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Holiest thing I know Vide

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Sam 20 Fév - 13:40
Bonjour.
Monsieur étant un fantôme, il est dans l'incapacité de faire des câlins.
Mais ça le rend triste, alors il désigne Perseus pour se sacrifier à sa place.

(je vous aime, merci) (Alexus tu ne pourras pas résister face à l'empire Serpentard)
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Gryffondor



Romeo Rogers
Romeo Rogers
Messages : 17
Date d'inscription : 06/02/2016



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Sam 20 Fév - 15:40
Je me permet quand même de venir poster ici parce que cette fiche est si douce et si belle que je ne sais plus quoi dire ♥
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S.A.U.M.O.N
& créature & Mister Simple



Monsieur
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Messages : 110
Date d'inscription : 19/02/2016



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Sam 20 Fév - 17:03
Et moi qui était en train de me laisser mourir en lisant ta magnifique fiche rofl, je ne suis que flatterie et petits rougissements ; merci ♥
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Papa Fayot
Papa Fayot
Messages : 164
Date d'inscription : 15/03/2015



Holiest thing I know Vide

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Mer 24 Fév - 22:19
Rebienvenue sur WW Monsieur ♥♥

Cette fiche me laisse avec le sourire et l'impression de flotter sur un nuage en marshmallow. Je ne peux que t'inviter à nous noyer encore plus dans la douceur de Monsieur, je veux très fort lire son histoire. Et lui faire un câlin, ce pauvre chou ;;

(le chat triste m'a achevé) (vraiment, quelle idée)
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S.A.U.M.O.N
& créature & Mister Simple



Monsieur
Monsieur
Messages : 110
Date d'inscription : 19/02/2016



Holiest thing I know Vide

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Ven 4 Mar - 20:14
Je pense que le fait que l'histoire fasse la longueur du caractère montre à quel point j'ai maîtrisé cette fiche
Mais c'est fini ; dans le sang et la douleur, mais toujours avec le sourire.
(Sourire notamment causé par toi, merci gngngn ♥♥)
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PNJ



Papa Fayot
Papa Fayot
Messages : 164
Date d'inscription : 15/03/2015



Holiest thing I know Vide

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Sam 5 Mar - 23:33

Bienvenue à Londres !


Je crois que c'est la première fois qu'une fiche m'arrache une larme. Félicitations.


Félicitations ! Tu es désormais validé, ta fiche est certainement trop cool, et tu vas désormais pouvoir jouer avec tous les autres sorciers, créatures et hybrides du forum ! Quelle veine hein ♥.

Sache que, si tu veux faire les choses dans l'ordre, je t'invite à te rendre dans la catégorie des listes et des recensements. Là-bas, tu vas pouvoir recenser ton métier, ton avatar, ton quartier, et pleins d'autres choses. On compte sur toi !

Après, il faudra penser à bien t'occuper de ton sorcier. Tu trouveras un endroit pour établir des relations, et même un autre pour gérer tes rps.

Bon, on a fini avec les infos de base, on va te laisser tranquille. Surtout, amuse-toi bien sur Wiggenweld ♥ !







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