Appellation ϟCharmant
Type de créature ϟFantôme
Rôle dans le château ϟEmbêter les demoiselles et servir honorablement les Gryffondor, à la vie, à la mort et même dans l'au-delà.

SI ANCIENNE EXISTENCE;
Prénom & Nom ϟ Ralph Toussaint O'Conor
Âge véritable ϟ 17 y-o
Ancienne nationalité ϟAnglais
Détails complémentaires ϟIl était Prince d'Écosse, joli garçon, de quoi faire le Brad Pitt de Poudlard, avec ce regard pour lui-même ajouté à celui des autres.

Odeur de l'Amortentia ϟParfum des femmes
Forme de l'épouvantard ϟLes chats (il n'a jamais aimé les chats et encore moins maintenant)
Reflet du miroir du Riséd ϟAvec une demoiselle
Friandise favorite ϟLes chocogrenouilles
Potion favorite ϟFelix felicis
Créature favorite ϟLes femmes Hyppogriffes
Plante favorite ϟFilet du diable
Sorcier célèbre en modèle ϟLe fondateur des Gryffondors

Tu figures la douceur de ce chevelu, velouté et soyeux, qui se glisse entre tes doigts de manière à procurer cette sensation d’émerveillement, face à la délicatesse de ce simple aspect chez lui. Malgré le gris, on imagine aisément cette couleur dorée qu’il le revêtirait, enrichissant la douceur de ses expressions, de son sourire, de son rire et nuançant son éloquence, son atticisme. Il a l’expression d’un prince, le physique d’un prince, la posture d’un prince, mais lorsqu’il ouvre la bouche c’est l’enfer entre les dents sous un sifflement strident. Charmant c’est la réalité en forma pure et riche. Ce n’est pas par cette identité construite socialement que nécessairement, les débris de son âme répondent à ces attentes lancées. Un mordu de dur réalisme qui ne tend pas à se limiter aux expectations des autres. Il préfère livrer cette même brutalité qu’aurait une fin de contes de fée tordue et débalancée. Pour se faire, il embête jusqu’à la dernière goutte. Fini les claques et les coups, maintenant, il est définitivement immunisé contre les répercussions de ses bêtises. Invincible contre tous – ou du moins – il s’arme de mensonges, de tromperies et de ruses pour perforer votre sourire éloquent lorsque vous le croisez pour la première fois.

Pour la gente féminine, il n’est que cet esprit pervers qui n’a rien d’autres mieux à faire que d’embêter tout en chantant à tue-tête des chansons grivoises et qui n’ont pas leur place dans un milieu scolaire. De bouches à oreilles, il finit tôt ou tard par se faire de moins en moins regardé comme autrefois, lorsqu’il était « prince ». Cependant, en se faisant ennemi avec les filles, il se fait ami avec leur opposé, les garçons. Tous apprécient bien Charmant. Ils partagent fou rire et histoire, comme s’il s’agissait d’un autre compagnon. À force de rester transparent, il devait bien trouver de quoi ne pas sentir cette perte d’opacité. Il l’a redoute bien. Autant celle-ci que la solitude et le désintérêt de sa présence. À la fois égocentrique et narcissique sur les bords, il s’est toujours nourrit du regard d’autrui sur sa personne. Ce sentiment de nécessité pour les autres prenait beaucoup sur la grandeur de son égo. L’apparence avant tout, pour être utiliser à son propre avantage.

Et maintenant? À peine Charmant reste-t-il un être. Sa seule trace d’existence à présent n’est que la causalité de ce qu’il fait de mieux. Au final, il reste à croire que Charmant n’est peut-être pas que cet adolescent devenu spectre pour emmerder jusqu’à la mort les filles de Poudlard. Qui aime bien châtie bien. Cette attention recherchée est au fond un appel de détresse par la peur d’être réellement ce que lui ont attribué les malheurs de la vie. Un cœur brisé derrière une personnalité négligée. Ne plus sentir cette odeur, ce parfum.Ne plus sentir ce touchée, cette douceur, cette caresse. Ne plus sentir une fille contre elle, c’est le réel péché de sa réalité.

Parlez nous des relations :
Avec les membres du personnel ϟ Ça se déroule relativement bien, certains le trouvent agaçant, d'autres l'apprécient bien, comme n'importe qui. Pour sa part, il ne souhaite pas trop les déranger, préférant déranger ceux qui lui sont "égaux".
Avec les créatures du château ϟIl s'entend bien, trouvant des personnes qui peuvent comprendre ses conditions et sa forme.
Avec les Serdaigles ϟNon pour les filles oui ça peut aller pour les garçons. Il trouve les Serdaigles légèrement hautain et pas plus intéressant qu'il ne le faut.
Avec les Poufsouffles ϟLes garçons, il les trouve sympathiques et les filles, comme n'importe quelles autres.
Avec les Gryffondors ϟLes filles sont plus respectés du côté des Gryffondors, il les agacent de manière modérée et reste très bon ami avec les garçons de sa propre maison (ancienne maison).
Avec les Serpentards ϟ

C’est en appuyant ton regard sur ses mots que tu t’attends à lire un conte de fée. Toi, lecteur, penses que ces prochaines lignes raconteront l’extraordinaire histoire d’un prince, vivant en Écosse, vivant dans les dépends de la classe bourgeoise. Or, il ne l’a pas choisi cette classe, c’est l’hérédité qui a voulu le couvrir de ce titre et de cette prestance. Jeune garçon à la chevelure blonde, au regard bleu de sa mère, il avait tout pour lui en même temps de n’avoir rien. Lorsqu’on souhaite nous figurer des personnes qui vivent dans la misère, on nous projette ces sans-abris, ces jeunes enfants en Afrique ayant peu de nourriture. Pourtant, ce n’est ni les chiffres, ni l’économie, ni les sous, ni la capacité à posséder des biens qui peuvent être indicateur de cette pauvreté dont souffrait Ralph. Il fut un temps où ce sentiment de solitude fut aussi grand que le château, que plus le nombre de pièces augmentait plus cette impression de vide le remplissait. Imaginez-vous tout simplement au cœur d’un océan sur un radeau. Il est grand, il est vaste, il n’est qu’eau et grandeur à votre personne aussi petite soit-elle. Charmant lui, réussissait parfaitement à rendre réel ce sentiment, sans même avoir à vivre cette expérience. Ses parents avaient le regard vers les chiffres, vers le concret, vers la rationalisation de la réalité. Bien loin du désir d’établir un lien familial. Aussi long que le fil d’Ariane, c’était à s’y perdre dans ce labyrinthe qu’étais leur maison. À évoluer dans ce milieu, tu t’y fais. Tu te dis que c’est normal, que de ne parler qu’une fois ou deux dans la journée à tes parents, c’est normal.

À neuf ans, cela le devint moins. Cette année marqua la découverte de pouvoirs, d’événements étranges qui se produisirent à répétition. Charmant tenta de le nier et de penser que cela n’était dû qu’au fait qu’il grandissait, qu’il vieillissait (le pauvre, la puberté explique pas tout malheureusement). Déranger ses parents pour de simples choses étranges, cela ne valait pas la peine. L’horoscope, la religion, les superstitions n’appartenaient pas à leur monde, même si au fond Ralph y croyait – ou en avait peur. Plus les jours passaient, plus ils pensaient qu’il était malade. Ainsi, il en discuta à ses parents. Son père devint blême, mais lui expliqua en faisant mine de rien. Lui, sorcier, avait autrefois été à Poudlard, une école de magie. Il nie cependant ce passé, se consacrant maintenant à son avenir, à l’avenir du pays, de sa famille. Charmant était à la fois frustré et déboussolé par la situation. Ni son père, ni sa mère n’allèrent le voir dans sa chambre pour l’écouter, pour lui en dire davantage sur ce qu’étais un sorcier, ce qu’étais Poudlard. Cela mis de l’huile sur le feu, s’attendant au moins à un simple regard, de simples paroles pour le rassurer. Suite à une séance de défoulement, il repensa à cette fameuse école, à cette fameuse manière de ne plus appartenir à cet endroit – être outre qu’un prince. Sa patience fut à l’épreuve du temps et de ses attentes pour qu’il soit finalement admis à Poudlard. Son père tout comme sa mère étaient dans un total désaccord qui passa bien au-dessus de la tête de Charmant. Lorsqu’il s’agissait du destin, de son futur, ils s’intéressaient soudainement à lui par désir de vouloir le contrôler.

Arrivée, répartition, faites. Maintenant membre de Gryffondor, il appartenait à un tout autre monde. Celui où la solitude ne l’attendait que lorsqu’il était hors de ce château. Il était cet élève modèle, qui à la fois gaffeur et turbulent, savait se tenir et être serviable. Charmant exprimait bien les valeurs des Gryffondors, mais avait toutefois ce côté arrogant face à son physique et la prestance de son « titre ». Une vie sociale active, un savoir exponentielle, il ne lui manquait rien – ou presque.

Charmant n’a jamais cru à l’amour, n’a jamais pensé une seconde à aimer un autre. Tout comme Charmant, vous avez ce/cette meilleur.e ami.e qui vous accompagne tous les jours de votre existence à partir de onze ans. Elle/il vous connait sur le bout des doigts. Jamais vous, vous fatiguez l’un de l’autre, vous passez littéralement des nuits blanches ensemble à discuter de tout et de rien. Lorsque l’un pleur, l’autre partage cette souffrance en le consolant, en l’enlaçant, lorsque l’un est colérique, l’autre lui sert de défouloir vivant, ainsi de suite. Puis, à votre dernière année d’école, vous réalisez de jour en jour que cette personne que vous considériez comme votre compagnon était peut-être celui ou celle avec qui vous désiriez finir votre vie. Vous regardez cette personne au loin le regard plongé vers les moindres détails de celle-ci. Son regard vous parait plus brillant, son sourire plus radieux, ses cheveux plus soyeux, son rire plus beau que jamais. Et d’un seul coup, ton corps s’affaiblie, tu vois cette personne collée à une autre au loin. Tu tentes d’arrêter cela, mais tu n’as plus la force, ni la capacité de le faire. Tu tombes tout simplement dans un profond coma, où le noir reflète tes remords. Toi, tu ne sais pas trop pourquoi cela t’arrives, mais Charmant lui, tout ce qu’il se dit;
Putain de chat.

Pseudo ϟchupacabramathafacka
Et l'âge ϟde  glace
Male, Femelle, où Dumbledore ϟhomo virilos poils blancs
Comment tu as connu WW ϟma lettre à poudlard
Est-ce que tu aimes WW ϟj'aime, j'adore.
Est-ce que tu aimes beaucoup WW ϟje commence à douter
Des réclamations ? ϟla paix dans le monde et le respect
Personnage sur l'avatar ϟsandman principalement