Histoire de la Magie, cours n°3, 5ème années ~ L'histoire de Poudlard

Date d'inscription : 09/07/2013

La fondation de Poudlard

Un cours de plus, à raconter des choses qu'il avait déjà racontées des centaines -des milliers ?- de fois. A tel point qu'il se perdait un peu entre ce qu'il avait déjà dit à quelle classe, ni d'ailleurs quelle classe se présentait devant lui. Il regarda les élèves rentrer dans la salle, un rien perplexe, avant de hausser les épaules. Même s'il leur avait déjà parlé du sujet du jour, un peu de rappel ne ferait pas de mal, c'était quelque chose d'important.
Tout le monde s'installa, plus ou moins dans le calme. L'Érudit voyait bien que certains se préparaient déjà pour l'heure de la sieste, et il eut un sourire navré avant de commencer. Enfin... Il allait tâcher de rendre le cours attrayant pour ceux qui daignaient l'écouter.

"Bonjour les enfants."

Perché dans son fauteuil, assis en tailleur comme à son habitude, le vieux tableau voyait revenir ses manières de conteur, puisqu'il en était un bien plus qu'il n'était un enseignant. L'histoire du jour était longue et intéressante, cela promettait d'être agréable.

"Je n'ai aucun souvenir de vous en avoir déjà parlé, aussi nous allons aborder l'histoire de Poudlard, aujourd'hui. C'est un récit qui mérite d'être connu, au moins pour votre culture, mais aussi pour connaître les fondements de certaines tensions qui ont existé autrefois dans l'école, et dont j'espère qu'elles ont disparu." L'air de ne pas y toucher, il était un rien moralisateur. Une énième leçon pour l'égalité entre les maisons. "Enfin, nous verrons cela plus tard, chaque chose en son temps."

Il s'éclaircit la gorge avant de se lancer dans ses explications, gardant bien en tête ses lignes de conduite durement acquises. Ne pas (trop) digresser. Être clair, concis, précis. Donner un devoir faisable en moins de trois mètres de parchemin. Inspirons, expirons, c'est parti.

"Poudlard a été fondée il y a un peu plus de mille ans. Nous n'avons pas de dates précises sur le sujet, seulement des indices qui attestent de l'ancienneté des lieux, comme le témoignage de certaines créatures, l'âge des sortilèges repousse-moldu les plus anciens ou la facture des pierres utilisées pour le corps du château. Ce dernier est d'ailleurs remarquable par son architecture tout à faire bien pensée pour l'époque, quoique plusieurs ajoutes aient été faites au bâtiment par après, ce qui a donné un mélange des genres tout à fait éclectique. Comme vous le savez tous, Poudlard est construit avec et autour de la magie, qui est omniprésente en ces lieux, et les salles et certains autres éléments se déplacent dans un joyeux désordre... Tout cela découle de la construction par morceaux. C'est aussi la raison pour laquelle les escaliers sont parfois un peu confus ; il arrive qu'ils aient des trous de mémoire et qu'ils cherchent après un palier qui n'existe plus à cause des transformations successives du plan de l'école. Il paraît aussi que c'est un mélange de sortilèges du genre qui a donné naissance à une salle encore plus vagabonde que les autres et..."

Et nous nous égarons sur l'architecture, alors que nous voudrions de l'histoire. Vilain tableau déconcentré. Il toussotta et changea de sujet.

"Quoiqu'il en soit, le corps du château a été construit sur cette colline écossaise - oui Miss, nous sommes en Écosse, ne le saviez-vous pas ?- suite à un rêve de Rowena Serdaigle dans lequel un cochon lui indiquait le meilleur emplacement. Elle aurait d'ailleurs aimé en faire l'emblême de l'école, pour remercier le porc onirique en question, mais ses collègues fondateurs ont refusé, pour l'anecdote, ne jugeant pas le cochon assez noble. D'autant qu'il était apparemment en mauvaise santé, pauvre bête. L'emblème fut donc les animaux fétiches de chacun des fondateurs, et la devise un conseil avisé : "Draco dormiens nunquam titillandus", ne titillez pas le dragon qui dort."

Il secoua la tête, navré pour le malheureux cochon qui n'était passé à la postérité que dans ses cours et quelques malheureux livres d'histoire. Ce n'était tout de même pas juste.

"Enfin... Tant que nous y sommes à parler des fondateurs, j'imagine que vous savez tous qu'ils étaient quatre : Rowena Serdaigle, déjà mentionnée, Godric Gryffondor, Helga Poufsouffle et Salazar Serpentard. Ces visionnaires avaient constaté le réel manque d'éducation des sorciers, qui avait mené à de la méfiance et à des persécutions de la part des moldus terrifiés. Il faut dire qu'il n'existait pas encore à l'époque de village, ni même de quartiers, entièrement sorciers, malgré qu'ils aient une certaine tendance à se rassembler tout de même ; il y avait toujours bien une famille moldue dans le voisinage, ce qui menait invariablement à des catastrophes, surtout lorsque les enfants de la maison découvraient leur pouvoir. Par la suite, Pré-au-Lard est apparu dans la foulée de la création de Poudlard, pour accueillir notamment les adultes qui souhaitaient parfaire leur éducation dans un milieu sécurisé. En effet, au début de son existence, lorsque le passage n'y était pas encore obligatoire pour les jeunes gens, Poudlard a ouvert ses portes aux élèves de tous âges. Suivant l'initiative anglaise, d'autres écoles de sorcelleries ont ouvert un peu partout en Europe puis dans le monde, et c'est ainsi qu'est né le système éducatif sorcier actuel et que nous..."

Il s'interrompit un instant.

"Qu'est-ce que je disais avant ça...? Ah oui. La fondation. Au point de départ, donc, Poudlard n'était pas divisé en maisons, et les fondateurs étaient les seuls professeurs, chacun ayant sa spécialité mais suffisamment de compétences de base dans diverses branches de la magie pour en assurer un enseignement de départ. Cependant, Serpentard souhaitait faire entrer dans le programme certaines matières que les autres jugeaient dangereuses entre des mains inexpérimentées, et là commencèrent les dissensions entre les fondateurs, pour se finir sur une scission de l'école en quatre maisons distinctes, portant leur nom à chacun."

C'était le moment de parler d'un vieil ami, un objet comme lui, et l'Érudit sourit. C'était quelqu'un de bien, et de fort intéressant, ce vieux chapeau, même s'il semblait parfois qu'il n'était pas tout seul dans sa tête - et pour cause.

"Au début de cette scission, c'étaient les fondateurs eux-mêmes qui décidaient de la répartition des élèves, par un court entretien ; cependant, Dame Poufsouffle, réputée pour son grand sens pratique, en vint à penser à l'avenir, malgré la longévité exceptionnelle des êtres doués de magie. C'est ainsi qu'ils cherchèrent un objet à ensorceler, et que le choix se porta sur le chapeau de Gryffondor. En effet, ce ne devait être qu'un test au point de départ, et Godric devait de toutes façons en racheter un neuf, mais il se révéla tellement convainquant et efficace que les fondateurs finirent par ne jamais le remplacer. Ainsi était né le Choixpeau Magique, qui répartit encore aujourd'hui les nouveaux étudiants. La coupe des quatre maisons est arrivée peu de temps après, les maisons entrant assez logiquement en compétition."

L'Érudit ne manquait jamais de lui rendre justice, surtout lorsqu'il en entendait parler comme d'un vieux chapeau élimé et sénile... Le Choixpeau était beaucoup plus que ça, il le savait bien pour s'être rendu bien souvent auprès de lui pour discuter un peu. Et il pouvait l'affirmer : le Choixpeau a toujours raison.

"La structure organisationnelle de Poudlard était ainsi établie plus ou moins comme elle l'est de nos jours, aux alentours des années 1050 d'après certains documents d'archives. Par la suite, au niveau de son organisation spatiale, on a vu apparaître les serres, la tour Ouest, Pré-au-Lard - comme je vous le disais -, la route qui y mène et la gare, et quatre salles dont on connaît l'existence, mais dont nous n'avons découvert qu'une seule."

Le sourire aux lèvres, il laissa planer un instant le suspens, destiné aux aventuriers en herbe qui pourraient avoir envie de découvrir ces endroits particuliers.

"Il faut en effet savoir qu'après les premières disputes entre les quatre fondateurs, Serpentard proposa une idée qui provoqua entre eux une rupture définitive, et plus particulièrement entre lui et Gryffondor : n'admettre à Poudlard que les descendants de sorcier, au sang pur. Il avait même imaginé un sortilège, à présent interdit pour d'évidentes raisons, permettant de déterminer le taux de magie dans le sang. Ce n'était d'ailleurs pas d'une grand fiabilité, si l'on prend le cas rarissime des cracmols. Enfin, quoiqu'il en soit, l'homme décida de quitter l'école lorsque son projet fut rejeté en bloc par les trois autres, mais il se permit de s'y ménager une salle, que nous avons découverte par nos recherches : la Chambre des Secrets. Vous en avez sûrement tous déjà entendu parler, même si elle est condamnée, mais vous ne savez peut-être pas que les autres fondateurs en ont été un rien jaloux, et qu'il existe trois autres endroits du genre, bien cachés dans Poudlard."

Son sourire se fit sibyllin. Lui-même aurait adoré découvrir ces lieux sur lesquels il avait fait tellement de recherches, mais il avait eu beau chercher, il ne semblait pas y avoir de tableaux là-bas, ou leur accès était bloqué. Il espérait vraiment que quelqu'un les trouve un jour, pour venir le lui raconter, ou même lui permettre de constater de visu les splendeurs que ces chambres devaient sans nul doute receler.

"L'exercice d'aujourd'hui portera sur ce point précis : je vous demande de me décrire la manière dont vous imaginez les chambres de Poufsouffle, Gryffondor et Serdaigle. Une seule, à votre choix, bien évidemment... Toutes mes excuses aux élèves de Serpentard, mais ce serait tricher, puisqu'elle a été découverte, mais je suis sûr que vous saurez parfaitement faire travailler votre imagination sur l'un des autres fondateurs. Gryffondor, par exemple, hmm...?"

Subtilité, subtilité. Mais il était pour l'entente entre les maisons, que voulez-vous. Il s'appuya contre le dossier de son fauteuil, l'un des signes que le cours théorique était fini.

"J'attends une trentaine de centimètres de parchemin, faites ça bien. Au travail, les enfants."

Thème ϟ La fondation de Poudlard
Limite ϟ Le lieu devra être posté dans un rp de 800 mots maximum
Date ϟ Du 29/09 au 07/10/2013 seulement !
Récompense ϟ 2 gallions & 5 points par participation, 5 gallions & 15 points pour le meilleur élève.
Énoncé ϟ L'Érudit vient de vous raconter l'histoire de la fondation de la grande école de sorcellerie Poudlard. Comme vous le savez désormais, les quatre fondateurs ont caché dans le château quatre pièces secrètes dont eux seuls avaient l'accès. Nous connaissons, par nos recherches, la Chambre des Secrets mais, quelles sont donc les trois autres salles des fondateurs ? Le professeur Érudit vous propose d'essayer d'imaginer un de ces trois lieu, celui de votre choix, comme si nous pouvions le placer dans le forum. Alors, où vont vous mener les idéaux de Serdaigle, Gryffondor et Poufsouffle ?

Invité **Invité**

Evelynn, elle ne déteste pas le cours sur l’histoire de la magie. Mais elle ne l’adore pas non plus. C’est intéressant et parfois, non. Ce cours-ci était sur l’histoire de Poudlard. De la création, de la construction, un peu de l’architecture… Lynn se déconcentre un peu. Elle trouve que l’oiseau qui vole dehors est plus intéressant : Un petit volatile noir avec des reflets bleus… Pas le plus beau que Lynn ait vu, mais il n’est pas mal. Elle se souvient de celui qu’elle avait vu en cours de Botanique, celui là, elle s’en souviendra. Il était beau. Magnifique même ! Bref, L’Erudit commença à parler de l’histoire des maisons. Oui ! Ca c’est plus captivant. Rowena Serdaigle, celle qui a fondé la maison de Lynn, Godric Gryffondor, … Puis il parle de la chambre des secrets, Lynn a toujours trouvé les histoires sur le sujet fascinantes. Et voilà l’exercice d’aujourd’hui : imaginer une des trois autres salles créées par les autres fondateurs.

Evelynn G. Hayles
Serdaigle – 5e année

HISTOIRE DE LA MAGIE :
La salle crée par Rowena Serdaigle, selon Evelynn G. Hayles
Selon moi, ce serait un endroit bien caché. Un endroit où les Serdaigles passeraient beaucoup de temps, un endroit calme, un endroit où la créativité pourrait s’exprimer, un endroit où le progrès serait constant, un endroit où les livres seraient en abondance et dont personne ne pourrait jamais finir la collection. L’entrée se trouverait dans un endroit où les connaissances affluent, un endroit comme la bibliothèque ou les salles de classes.

Rowena Serdaigle l’aurait créé pour s’enrichir, s’améliorer. Elle aurait pu y créer des sortilèges, des potions, des objets nous servant à la vie de tous les jours et encore…
Elle l’aurait peut-être crée pour sa maison, pour que eux aussi se développent, se perfectionnent, deviennent la meilleure maison de Poudlard malgré leurs personnalités bien différentes.

Si je devais donner une date, cette salle aurait été créée après la Chambre des secrets. Après que Rowena aurait découvert l’existence d’une salle secrète créée par le fondateur des Serpentards. Et si la Chambre des Secrets a été crée, il y a de là 1000 ans, la salle secrète des Serdaigles devrait dater de la même époque.

Et contrairement à la Chambre des Secrets, la salle ne serait pas habitée par un quelconque animal, mais protégée par un sort puissant et dont seul les Serdaigles auraient le sort contraire l’annulant.

Lynn déposa sa plume. Le sujet lui avait plu. Elle avait écrit un peu plus que d’habitude et ça lui convenait. Elle rendit alors sa copie.

Date d'inscription : 07/07/2013

L'HISTOIRE DE POUDLARD

fais comme l'oiseau, ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau, d'un peu de chasse et de pêche, un oiseau.
Pan écouta d'une oreille discrète ce que le professeur dans le tableau racontait, pas parce que ce qu'il disait n'était pas passionnant, loin de là ! L'histoire de Poudlard restait encore bien mystérieuse malgré les années de recherches qui avaient été faites pour démêler le vrai du faux dans les témoignages de l'époque qui leurs étaient parvenu. Il avait lu de nombreux livres à ce sujet à la bibliothèque et il pensait bien avoir balisé ce sujet, c'est pour cela qu'il ne prenait pas vraiment note du cours de l'Erudit, sauf lorsque celui-ci donnait quelques détails qu'il n'avait pu trouver au fil de ses lectures. Cependant, lorsqu'il se mit à parler de la dispute qui opposa Serpentard à ses pairs et la création d'une fameuse chambre secrète, il se révéla tout de suite plus intéressé, se relevant subitement du banc sur lequel il s'était lamentablement écrasé auparavant. Mais, lorsqu'il entendit le devoir d'aujourd'hui, il décida que le bois de sa table était parfaitement adéquat pour une petite sieste. Il aurait tellement voulu parler de la chambre secrète de Serpentard. Il y avait un serpent géant à l'intérieur tout de même ! La salle des autres maisons ne pourraient pas être plus cool que ça. Il soupira en se passant une main dans ses cheveux blancs avant de sortir parchemin, plume et encrier pour se mettre au travail.

Pan Eosphoros Seweryn
5ème année, Serdaigle

L'histoire de Poudlard
La salle secrète de Rowena Serdaigle

Dame Rowena Serdaigle était la plus raffinée et intelligente des fondatrices. Belle comme une rose, maline comme un renard. Elle représentait l'excellence. De ce fait, sa salle secrète est à son image, habillement cachée aux yeux de tous sauf aux plus débrouillards. Elle ne se trouve point dans les toilettes comme celle de son ancien amant Salazar -une sombre histoire qu'il ne convient point de raconter dans son devoir-. Sa salle secrète se trouve en hauteur, non loin de la volière qui, malgré que ce soit un endroit peu agréable pour le commun des mortels, regorge d'oiseaux, animal cher au coeur de Dame Rowena. Ainsi la volière tout entière est une énigme à nos yeux, car la fondatrice souhaite que tout à chacun doué d'intelligence et de réflexion puisse accéder à sa salle secrète. Si l'on gratte la surface des excréments d'hiboux, on retrouve une série de runes finement gravés dans la pierre qui fasse le tour de la pièce. Cette suite de runes est en réalité l'énigme qu'un sphinx lui avait autrefois posé lors d'uns de ses voyages en Egypte. Ainsi, quiconque souhaitant entrer dans sa salle se doit de traduire les runes, de répondre à l'énigme qui donne simplement l'emplacement d'une petite statuette de bronze. Une fois celle-ci trouvée, elle permet à un mécanisme complexe de s'enclencher, découvrant une trappe au sol, qui marque l'entrée de sa salle secrète.

Une fois entré dans ce lieu mystérieux, une large pièce ronde se découvre à nos yeux, illuminée par un lustre qui ne s'éteint jamais, malgré les années. C'est une salle qui semble confortable au premier abord, les murs sont recouverts d'immenses étagères dans lesquelles se retrouvent une masse astronomique d'ouvrages que l'on pensait disparu ou oubliés. On y retrouve quelques fauteuil matelassé d'un doux velours bleu roi dans lesquels la lecture d'uns des nombreux livres qu'on retrouve ici est des plus agréable. Mais cette salle secrète n'est pas qu'un immense puits de savoir. Caché parmi tant d'autres se trouve un petit livre, à la tranche sobre et au titre des moins intéressant. Pourtant, une fois qu'on y touche, un mécanisme se met en place pour faire tourner unes de ses immenses étagères, dévoilant une nouvelle pièce tout aussi charmante que la précédente. Elle possède de larges carreaux magiques qui laissent entrer la lumière et qui donnent vue sur une grande partie du parc de Poudlard et de la forêt interdite. Cette nouvelle salle est agrémenté d'une grande cheminée en marbre blanc avec de légères gravures en bronzes. Celle-ci est surmontée d'un immense tableau statique de Dame Serdaigle, mais il est dit qu'un coeur pur et qu'un esprit vif pourrait observer un petit sourire en coin sur ses lèvres rosées. On retrouve deux portes finement ouvragées à côté de la cheminée plus qu'imposante dans laquelle ronfle un feu qui ne semble jamais s'éteindre. L'unes d'elles mènent à une chambre à coucher délicatement meublée dans laquelle de nombreuses teintes de verts et de bleus se mêlent délicatement. De nombreuses suppositions courent sur cette décoration particulière, mais l'hypothèse la plus probante est, qu'elle n'ait jamais pu oublier son amour de jeunesse, Serpentard.

L'autre porte mène vers une pièce bien plus sombre, dans laquelle se trouve une gigantesque cage à oiseau délicatement ouvragée, dont le métal fait penser à un savant mélange entre le bronze et l'argent, donnant un aspect mystique à cet objet. Cette cage à pied est déposée près d'une nouvelle fenêtre magique qui offre une nouvelle fois une vue magnifique sur une partie de la forêt interdite et du lac noir. Cependant, cette pièce contient le gardien des lieux, qui se doit de juger si vous êtes véritablement digne d'être ici. On ne le voit pas au premier abords, préférant découvrir la décoration de la pièce, pourtant il se trouve bien là, endormi jusqu'à ce qu'une présence humaine le réveille. Ce gardien ne se dévoile à nous que si l'on répond correctement à ses trois énigmes, un esprit entraîné de Serdaigle y arrive sans trop de problème au vue des énigmes parfois sournoises que leur offre l'heurtoir qui décore l'entrée de leur salle commune. Ainsi, une fois les trois énigmes passées, le gardien sort de sa cachette, découvrant des plumes aussi sombres que la nuit qui semblent absorber le moindre grain de lumière, de grands yeux ambrés qui vous scrutent au plus profond de notre âme. Ce gardien est majestueux, un Thunderbird, une espèce qui a disparue depuis bien longtemps et dont il est le dernier représentant, comme son tendre ami le Basilic qui gardait la chambre de Serpentard.

Ainsi la salle secrète de Dame Rowena Serdaigle est quelque chose d'intimement personnel, mais dont elle a laissé le libre accès aux esprits qu'elle jugeait digne par cette série d'énigmes et de gymnastique mentale.

Il soupira en se massant doucement le poignet. Ce n'était pas fameux, mais bon. Au moins il n'avait pas dépassé la limite imposé. Il se leva pour aller déposer son devoir sur le bureau de l'érudit -il plaignait son assistante qui devait tout corriger- et retourna s'asseoir à sa place pour dormir les dix minutes de cours restantes.

Invité **Invité**

Cristobald DORIO, 5e, Serpentard a écrit:: La salle secrète d'Helga Poufsouffle

Il apparaît complètement inutile d'évoquer Gryffondor et Serdaigle : ces deux personnages ont beau se prétendre plus bons, doués, etc, ils ne valent pas mieux que Serpentard qui, en plus d'être le meilleur, était de toute façon pas plus pourri qu'eux. Un mec qui valorise le courage et l'autre l'intelligence, c'est discriminer les gens pas très doués comme moi. Et ça, c'est carrément méchant.
Helga Poufsouffle étant la seule à avoir fondé une maison digne de côtoyer celle de Serpentard le Magnifique (dont je suis persuadé d'être un héritier spirituel), elle a sans doute créé une salle secrète plus cool que celle des deux autres idiots. Je pense pouvoir aisément imaginer un grand chalet au coeur de la Forêt Interdite où tous les rebus (Poufsouffle, cracmols, garde-chasse, elfes de maison ...) de la société magique (voire moldue ? sous réserve de sortilège d'oubliette) pourraient se réunir pour échanger, festoyer, apprendre, s'amuser.

Pourquoi cette forêt serait-elle interdite ? A-t-elle vraiment quelque chose à cacher ? Oui ! Et ce quelque chose, c'est un sanctuaire d'amour et de paix (créé en prévision de la naissance de César) bannissant en son sein tous les gens abjectes (Gryffondor, maman, gagnants du loto) qui martyrisent les moins beaux, grands, forts, et doués. Bien sûr on pouvait entrer dans cette catégorie et y aller parce qu'on faisait partager notre génie à ces pauvres égarés.

Donc, un chalet. Tenus par des centaures, elfes, fées, etc, gardés par des acromentulas, avec beaucoup de nourriture, des livres, des jeux. De grands lits pour dormir tous ensemble. Et des dragons gentils, et une télévision moldue. Que des trucs chouettes. Mais aujourd'hui personne ne peut y aller parce que tout le monde flippe trop devant la forêt. Mais moi j'ai pas peur, moi j'irai dans la forêt et j'irai déposer un dragée surprise sur la tombe d'Helga au nom de tous ses bébés blaireaux qui forment la future génération de professeurs que j'engagerai quand je serai directeur.

Merci Poufsouffle.

Invité **Invité**

Elicia avait traîné pour venir à ce cours. Elle entra avec les derniers élèves en soupirant. Qu'est ce qu'il allait bien pouvoir encore baragouiner en partant sur divers délires et au final se perdre et perdre la petite portion de classe qui l'écouterait. Elicia était tout ce qui avait de plus mauvais avec cette pauvre toile, elle n'avait pas encore rejoint sa place qu'elle sentait que cette heure allait être longue ... Très longue.

Assiss au fond de la classe les bras croisés elle avait entamé sa sieste qui venait d'être interrompu par son voisin. Deux, trois blagues échangées, il lui avait en bref expliqué le sujet du devoir. Elle leva un sourcil et espérait avoir oublié sa plume pour perdre du temps à aller la chercher, ce qu'elle ne put faire. Bref le sujet était intéressant, même si cette tête de pioche d'Elie ne voudrait pas l'admettre et elle commença à écrire en soupirant lourdement tous les quatre mots.

Copie d'Elicia a écrit:: VANDERBILT Elicia Phillipa
Poufsouffle ▬ 5éme année

La salle secrète de Helga Poufsouffle n'a rien d'immense ou de tape à l'œil. C'est une petite pièce très lumineuse même si elle se trouve sous les cuisines, c'est pour ça qu'on y sent toujours l'odeur de bons plats qui vont être servis pour le repas à venir. C'est le genre de pièce qui en général fait office de débarras, à cause du nombre incroyable d'objet laissait par des sorciers qui ont pu y passer du temps. Mais c'est un bazar organisé où les sorciers ont laissé des objets qui leur tenait à coeur, je pense que les jeunes filles ont pu y laisser un journal intime, une vielle poupée et les garçons une vielle batte de Quidditch cassé, rafistolé rapidement, mais impossible à jeter à la poubelle.

On s'y sent bien dans cette pièce où les tableaux et les photos se partagent l'espace, on ne connait pas toutes les personnes présentes dessus, mais c'est comme les murs d'une maison familiale où le portrait du grand-père est à côté d'une photo de son petit fils qui a eu son premier vélo et d'un cousin éloigné dont on ne se rappelle plus le nom. On peut y voir des portraits d'Helga Poufsouffle avec des enfants, surement les siens, ou bien en train d'expliquer une recette à des elfes de maisons. Il y a aussi un nombre incroyable de photos d'équipe de Quidditch de différentes maisons de différentes années, celle de groupe d'amis fêtant leur réussite, des créatures qu'on ne recroisera sans doute plus. Une pièce chargée de souvenirs.

Pour ceux qu'ils la trouveraient, il leur faudrait avoir un cœur pur, pas de mauvaises intentions, ne pas prendre part à cette chasse au cracmol ou au né-moldu qui a pu être une grande "mode" de son temps, au risque de voir interdire l'accès, voir chasser par les deux armures qui garde la porte. Et il serait impossible de prendre un des objets laisser là-bas au risque de voir la porte rapetisser jusqu'à ce qu'elle disparaisse pour ensuite réapparaitre une fois les poches vidées.

Je pense que cette salle est à l’imagine de sa fondatrice : simple, généreuse, gourmande et loyale.

Elle ne prit pas le temps de relire, elle n'avait même pas écrit la moitié de ce qui était demandé et niveau propreté on repassera. Tant pis. Il se contenterait de ça. Sans même regarder le pigmenté elle pose sa feuille sur la pile pour retrouver sa liberté.

Date d'inscription : 07/07/2013

Clarence tordit légèrement ses lèvres en entendant le sujet de l’Érudit. Il avait toujours eu du mal avec ce type de problématiques : trop inventives… Non pas que le Serdaigle n’était pas inventif – loin de là – mais c’était tellement plus difficile d’obtenir de bons résultats, quand ce qu’on écrivait ne s’appuyait pas sur des preuves concrètes, mais sur des idées que le correcteur pouvait ne pas partager. Non, décidément, Hightower n’adorait pas ce projet. Pourtant, il donnerait le meilleur de lui-même pour s’en sortir.

En premier lieu, le studieux élève pensa que ce serait bien plus original et intéressant de faire un sujet concernant l’une des autres maisons. Pourtant, il se rendit très vite compte qu’il n’arrivait pas à imaginer les pièces de ces deux personnes : il voyait celle de Poufsouffle comme une grotte chaleureuse, et celle de Gryffondor comme un endroit plein de flammes et de dangers où les jeunes rebelles pourraient montrer leur courage. Bien trop classiques, ces images. C’était plus évident de penser à la pièce de Rowena Serdaigle. Pourquoi ? Parce qu’elle et Clarence avaient forcément des points en commun. Très vite, Hightower se mit à imaginer la salle dans laquelle il se sentirait bien, celle dont il avait toujours rêvé, et il s’empara de sa plume.

Citation :: Clarence V. Hightower
5ème année

La pièce secrète de Rowena Serdaigle

Rowena Serdaigle était une personne à la fois sage et libre, une poète dont le nom évoquait la liberté et le savoir. Sa salle est, sans aucun doute, le reflet de cette idée : quelque chose de studieux, sans être oppressant. Quelque chose de vaste, où on ne se sent jamais écrasés. Quelque chose de délicieux, sans aucun doute, où la connaissance pousse comme une branche de lierre contre un chêne moldu.

Cette pièce secrète se trouve à un endroit où personne n’irait la chercher : dans la salle sur Demande. Après tout, quoi de plus malin et futé que de cacher une pièce secrète dans un endroit mouvant, inatteignable, qui ne nous donnerait l’accès de ce qu’on veut que si l’on en a vraiment besoin ? Rowena Serdaigle ne désirait pas que tout un chacun puisse avoir accès à cette pièce : seuls ceux qui ont un réel besoin de connaissance, de tranquillité ou de conseils pourraient y accéder. Pour cela, on trouverait, dans la Salle sur Demande une simple porte en bois de chêne – symbole de la sagesse. Dessus, quelques runes anciennes seraient gravées, fines et délicates. La porte n’est pas imposante, écrasante ou même rustique : elle est légère, elle est douce, elle est à la fois forte et jolie. On a envie de l’ouvrir.

Alors, on abaisse la poignée, elle aussi finement sculptée dans ce même matériau, et on pénètre dans la pièce secrète de Rowena Serdaigle. Tout n’est que ciel autour de nous : le sol a la même texture que les nuages, et le bleu nous entoure. Toutefois, on ne trouve pas de soleil. Cet endroit semble à la fois immense et tout petit, on a envie d’y rester, et personne ne voudrait essayer de lui trouver une fin, car ce serait rompre la magie. La lumière est tamisée, mais assez claire pour qu’on puisse voir des livres, enchantés, volant dans le ciel.

Il suffit de tendre la main pour en attraper un, délicatement. Le livre qu’on attrape est toujours celui dont on a besoin, celui qu’on désire lire, celui qui nous apportera un savoir qu’on ne possède pas encore. L’air ambiant est doux, le bruit des pages battant des ailes est subtil, et le temps n’a pas d’emprise sur celui qui est dans cette salle. Il y fait bon, et la connaissance est omniprésente.

Rowena Serdaigle a été la dernière à construire cette salle, car elle a pris le temps de réfléchir à ce qu’elle voulait laisser à ses descendants. Et elle a réalisé quelque chose d’aussi sensible et subtil qu’elle : quelque chose qui lui ressemblait.

Clarence se rendit compte qu’il souriait doucement. Oui, il aurait rêvé de trouver une salle comme ça, où il aurait enfin été en paix. Il poussa un petit sourire, se releva, et partit poser son travail sur le bureau de l’Érudit, en priant pour que ce dernier comprenne ce qu’il avait voulu exprimer.

Invité **Invité**

Histoire de la magie

Aaaah histoire de la magie. Cette matière a César. Rien que ça. Le premier cours qu'il a eut avec le tableau l'a profondément marqué. Alors qu'il était sagement assis de toute sa raideur a une table en attendant l'arrivée du professeur, il n'avait pas de suite comprit que ce dernier était déjà bien présent, dans le tableau qui se trouvait en face d'eux.
Miséricorde, qu'avait il vu alors que César attendait sagement en reluquant l'homme de ses rêves? Avait il eu le temps de le percer a jour?
Il n'en saura peut être jamais rien... mais César essaye d'oublier. Il aime beaucoup trop l'histoire de la magie pour tenter de se cacher dans les coins les plus sombres de la classe. Donc le voila, a écouter sans qu'un seul de ses cheveux fremissent, se transformant peu a peu avec le temps en statue de sel.

Le sujet est super cool... César en frémirait si il n'avait pas autant peur d'attirer l'attention sur lui. Mais il s’anime tout de même avec lenteur pour saisir sa plume, le regard toujours vissé sur le tableau de peur que son geste ait des conséquences terribles.
Rien? Alors il peut commencer.

César Dorio. - 5e année.

" Je pense qu'il serait intéressant pour moi de me lancer dans la description de la salle imaginée par madame Poufsouffle.
Pourquoi aurait elle crée une salle secrète alors qu'elle avait un caractère très sociable susceptible de lui faire préférer le partage et donc la caractéristique de fonder un lieu ou la réunion serait privilégiée? Au moins pour les élèves de sa maison en tout cas. Si effectivement comme les autres professeurs elle état jalouse de la chambre des secrets que s'était emménagée Serpentard, il serait alors fort probable qu'elle ait construite la sienne dans un lieu que seul un Poufsouffle pourrait trouver dans une réflexion qui serait propre a sa maison ou qui ne pourrait être découverte que par intermédiaire d'un lieu ou seul un jaune et noir peut entrer. Donc leur salle commune.
Mais dans une grosse réflexion, je me demande avec beaucoup de sérieux si la salle secrète ne se situerait pas au 7e étage. La-bas s'y trouve une salle curieuse qui selon les rumeurs s'ouvriraient si l'on cherche avec beaucoup d'ardeur quelque chose de précis. Les Poufsouffles ne sont pas réputés autant que les Serdaigle pour leur génie et logique parfaite pour répondre a une devinette permettant de trouver leur salle cachée mais d'avantage pour leur volonté. Alors pourquoi ne pas localiser l'entrée de leur salle par l’intermédiaire de celle qui permet a l'élève volontaire de la trouver?
Cette salle "sur demande" n'est bien sûr qu'une rumeur... mais la salle des Poufsouffles l'est tout autant. Alors je me permets d'y croire. Passer de l'une a l'autre me semble réaliste.
Mais continuons a nous intéresser au contenu de la salle secrète d'Helga Poufsouffle.
Je pense qu'elle avait beaucoup de gout et qu'elle aimait beaucoup les fleurs. Donc la salle est certainement décorée avec des fleurs ensorcelées pour vivre éternellement.
Elle doit certainement être a l'image des valeurs que l'on retrouve chez les autres fondateurs, c'est a dire qu'elle aurait été conçue pour donner aide et réconfort aux élèves qui en auraient besoin. Il doit certainement il y avoir toutes les plantes rares permettant de soigner tout et n'importe quoi, un sol en terre battue, avec de grand parterres de fleurs et des petits ruisseaux. Et au centre de la pièce il y aurait un énorme Blaireau(qui mangent les serpents.). Parce qu'Helga Poufsouffle devait se douter du but secret de Salazar et de la bête que devait renfermer ce lieu secret puisqu'elle était au courant qu'il pouvait parler au serpent.
Sauf que madame Poufsouffle n'aurait pas pensé a comment faire sortir son blaireau de la pièce ... et qu'il aurait été obligé de parcourir les couloirs. Alors il dort. En attendant qu'on le trouve.

Bon c'est pas mal... ouais. Il dépose avec une grande délicatesse son devoir sur le coin de son bureau et se met a attendre la fin de l'heure pour pouvoir aller le déposer avec toute la discrétion d'un éléphant dans un magasin de porcelaine sur le bureau du professeur.

Fiche par (c) Miss Amazing
Crédit images : crédit ici

Invité **Invité**

Histoire de la Magie, cours n°3, 5ème années ~ L'histoire de Poudlard Tumblr_lo3pglu1cv1qhd14co1_500

Carmilla tenait sa plume en moustache tout en se balançant sur la chaise qu’elle avait traînée en cours (puisque Carmilla avait sa propre chaise personnelle. Elle n’aimait pas celles en classe. Des tas de postérieurs devaient être passés par-là avant elle). La serbe n’était pas particulièrement intéressée (c'était probablement le seul cours qu'elle n'aimait pas totalement) par le cours en général, car elle n’avait jamais été réellement bonne en cours d'histoire (elle préférait apprendre l'Histoire de façon autonome. Il n'y avait pas de note au bout. ). Elle mélangeait les dates et les faits. Heureusement qu’elle n’était pas moldue (même si elle aurait voulu l’être), elle en aurait pleuré. Par contre, elle faisait de son mieux ! Il n’était pas question de couler un cours puisqu’elle était trop bête pour ne pas faire un truc qu’elle n’aimait pas. Par contre, aujourd’hui, elle écoutait avec attention. Elle aimait le sujet. Étrangement, même si elle n’était pas fan de Poudlard (elle aurait de loin préféré Durmstrang), elle avait toujours été fascinée par les quatre fondateurs. Elle aurait voulu les connaître en vrai, leur parler, insulter personnellement Gryffondor… Elle en rêvait éveillée (ainsi pouvait en témoigner le filet de bave sur son menton.)

Elle se redressa pour regarder autour, voir si les autres avaient commencé à écrire. En voyant que tout le monde avait la tête penchée, elle en profita pour essuyer la salive de sur son menton d’un coup de dos de la main (…). La jeune fille prit sa plume et tapota lentement sur son parchemin du bout de celle-ci. Elle ne savait pas trop quoi faire. Devait-elle absolument le faire sur Gryffi ou elle pouvait le faire sur un autre fondateur ? Comme elle n’avait pas trop le temps de réfléchir, elle opta pour la facilité !

Avec son enthousiasme naturel et son petit rire pseudo-psychopathe qu’elle faisait même quand elle était toute seule avec elle-même, elle se mit à écrire rapidement. Elle ne prenait même pas la peine de corriger ce qu’elle ne faisait pas correctement.

Citation :: ANASTASIJEVIĆ, Želimirka Carmilla
Cinquième année
Gryffondor

Gryffondor. Probablement la chambre la mieux protégée de toutes. Oui, car pour être à Gryffondor, il faut avoir un cœur fort et brave. Un meilleur cœur que la plupart des gens. Ensuite parce que tout le monde est l’égal de tout le monde (notez que Godric ne discriminait pas les moldus), personne n’est plus haut placé, car nous pissons tous la même chose et nous finissons tous par mourir. Il est donc évident que la protection de cette salle joue avec ces deux choses-là. Donc, pour passer au vif du sujet, cette pièce est protégée par des sorts qui frappent mentalement quiconque souhaite y pénétrer. Ces sorts mettent l’étranger en confrontation avec lui-même, ils lui lancent des questionnements intenses, des choses qui lui feront changer sa vision du monde et de sa petite personne. Très peu de personnes réussissent alors à franchir les vingt premiers pas. Seuls les braves, les plus courageux et les plus honnêtes envers eux-mêmes peuvent réussir à entrer. Dans les faits, jamais un être autre qu’un élève de Gryfondor (ou de Poufsouffle) ne pourrait y entrer. Adieu les Serpentpatates et les Serdonions. Si tu peux t’affronter toi-même, tu peux affronter tout ce que tu veux dans la vie.

Godric n’était pas un homme comme les autres : il était la bravoure incarnée. Ceci veut dire qu’il n’avait pas peur de prendre des risques, même inutiles. Du coup, il n’a pas caché sa salle comme tous les autres. Godric était un original. Alors, sa chambre est à la vue de tous. Tout le monde passe devant tous les jours, mais personne ne s’en est jamais préoccupé. Tout le monde la cherche, mais personne ne réalise qu’elle est devant son nez. Il n’était pas sot, cet homme. Il savait que s’il la cachait, il y avait plus de risques qu’on la trouve qu’en la laissant à la vue de tous. Il est aussi une preuve de bravoure que de s’aventurer dans une pièce où tout le monde peut nous voir entrer : comme ça, Gryffondor savait que très peu de lâches verraient ses secrets.

Pour parler de la salle de façon un peu plus générale, je peux dire qu’elle est très belle. La pièce est un banal rectangle, mais les murs sont faits de grosses pierres et quelques colonnes sculptées de façon médiévale leur tiennent compagnie. Aucune fenêtre n’a sa place dans cet immense repère, aucune lumière extérieure n’y perce, la seule source lumineuse est issue de quelques torches sur les murs. Ceci donne une ambiance mystérieuse et détendue à la salle de ce grand homme. En regardant tout autour, on peut remarquer un très grand étendard rouge et or assorti au tapis qui décore le mur du fond. En s’approchant, les gens de sa maison et ceux qui aurait pu (dû) être y placés sentent les larmes leur monter aux yeux : il porte une forte émotion dont personne ne connaît la source. Probablement la fierté d’être reconnu par cet être important. Plus au centre, une vitrine aux coins agilement décorés prend place. Elle enferme quelque chose que seulement peu de gens peuvent voir. D’ailleurs, ce présentoir est protégé par un puissant sortilège qui empêche tout intrus de tenter de voler ce qui y est exposé. Dans le reste de la pièce, de nombreux biens précieux et livres sont entreposés de façon à être bien vu. Plus on reste dans cette chambre, plus sa beauté nous donne l’envie d’y vivre.

Malheureusement, roses ont toujours des épines. Lorsqu’on passe plus de dix minutes dans la salle de Gryffondor, on se sent éprit d’un fort courage, d’une grande bravoure, au point de faire tout ce qu’on n’a jamais osé faire… Tout être humain normal devrait avoir l’intelligence d’y sortir avant que ceci arrive.

Carmilla éclata d’un franc rire qui laissait entendre qu’elle avait enfin terminé son travail et qu’elle en était fière. Elle ne s’excusa même pas d’avoir dérangé les autres élèves, elle lança sa plume sans pitié et elle se leva en poussant bien fort sa chaise d’un geste vif, celle-ci se heurta au bureau de son voisin de derrière. D’un pas rapide, elle alla porter sa copie sur le bureau du tableau et retourna par la suite s’asseoir en gambadant.

Date d'inscription : 25/08/2013

Ginkgo était trop content.
Trop content, ce n'était même pas la formule adéquate pour exprimer l'euphorie qui agitait furieusement sa queue et fouettait les élèves derrière lui comme des mouches.
Il fallait se rendre compte : il allait assister à un cours !

Bon, ce n'était pas la première fois. Mais c'était que les autres fois ne s'étaient pas forcément bien passées - surtout avec ce mentor qu'il avait pris pour un ensorcellement bizarre.
Il lui faisait toujours un peu bizarre.
Il était plat - plat, comme un sanglier après qu'un troupeau de centaure en furie lui soit passé dessus ! Un tapis - que disaient les sorciers.
Le mentor était un tapis - ça alors !

C'était dé-li-rant.
Il s'était installé au fond de la classe et avait poussé la chaise pour s'assoir derrière son pupitre. Il le trouvait franchement bas, mais ce n'était pas grave. Rien ne pourrait entamer sa sempiternelle bonne humeur.
Le cours commença, et il renversa de sa queue l'encrier de l'élève derrière lui - oups.

*

« Psst. Hé pssst. T'aurais pas du parchemin ? »
« Psst. PSSSST. Dis, t'aurais pas une plume aussi ? »
« Hé, hé ! Tu me prêtes un peu d'encre steuplé ? »
« Dis, c'est quoi qu'il faut faire déjà ? »

Insupportable.
Tout bonnement insupportable. Mais lui non, il était toujours super content, faisant deux têtes de plus que les élèves assis, la face fendue de son sourire, et une plume dans ses mains maladroite.
Il s'avait pas trop bien utiliser tout ça - mais il voulait rendre ce devoir, pour ce cours qu'il avait presque compris !
Presque. Mais il avait oublié un léger détail. Il ne savait pas écrire.
Ni lire, non plus. Mince alors - il se gratta le menton avec la plume, se mit de l'encre sur tout le visage - qu'allait-il faire ?

Il rendit son devoir en même temps que les autres, bousculant la file de son derrière aussi immense que sa fierté.
En fait, c'était une salle avec des lions trop mignons (c'était à peu près que qu'il avait retenu), qui faisaient des câlins à Ginkgo dans la forêt parce qu'ils aimaient Gingko - maturité zéro.
Un salle trop bien, quoi - il espérait que le professeur admirerait son travail, son art, et la magnifique empreinte collector de son sabot gauche.

Invité **Invité**

[jstify]Drew se trouvait près d'une des hautes fenêtres de la salles d'Histoire de la Magie. Il avait été passionné par le récit de l’Érudit. Ce château et son histoire l'avait toujours intrigué. Il avait déjà lu de nombreux ouvrages sur son histoire et les légendes planant sur sa création et ses fondateurs. Mains fois, alors qu'il était plus jeune, il avait rêvé de découvrir une des salles secrètes, notamment celle de Godric Gryffondor. Désormais, cette idée l'avait un peu quitté. Il se disait que si elles étaient cachées se n'était pas pour rien. De plus, les fondateurs étaient suffisamment malins pour qu'on ne puisse les trouver en cherchant directement. Se serait trop facile. Il pensait qu'on tomberait dessus, plus ou moins par hasard.

Lorsque le tableau faisant office, très bon office, de professeur avait énoncé le sujet, Drew se trouva un peu déboussolé. Certes, il avait de bonnes connaissances en la matière, cependant, l'imagination n'était pas sa tasse de thé. Il passa une bonne partie du temps à regarder dehors, rêveur, les sourcils froncés, cogitant fortement à la recherche d'une idée. Soudainement, un léger sourire illumina son visage. Il avait trouvé.

Le jeune sorcier pris sa plume rousse, la remplie d'encre et posa son idée sur le papier.[/justify]

«DREW SLATER ; 5EME ANNEE

Histoire de la Magie

L'histoire de Poublard

Le Sanctuaire de Godric Gryffondor

Godric Gryffondor était un homme qui défendait la valeur de chacun. Il jugeait par le cœur, non le sang. Ce grand homme ne faisait de discrimination et pensait que chaque être doté d'un cœur pur et vaillant avait droit à la connaissance et la gloire. C'est pourquoi je pense qu'il n'a pas pu créer qu'une entrée. Il y a des lieux où l'on ne peux accéder sans pouvoirs ou avec un handicape quelconque. Ce serait injuste de priver certaines personnes de valeur d'accéder à la chambre des gagnants, le sanctuaire des braves, la pièce de tous les méritants. Elle est le sanctuaire de l’aventurier, du guerrier et du modèle qu'à été Godric Gryffondor. Son héritage repose tant dans les légendes oubliées appelant à l'aventure et les trésors reposant dans la salle que les épreuves en permettant l'accès, glorifiantes, grandissantes.

Je verrai bien une entrée dans la forêt interdite. Cette forêt renferme bien des secrets et des dangers. Un lieu où seuls les braves ou les téméraires s’aventureraient. Un immense chêne centenaire en serait la porte. Son tronc brun gravé de l’emblème de Gryffondor laisserait passer le courageux guerrier. Une créature féroce garde le lieu. Elle laissera approcher n'importe qui, mais jamais toucher l'arbre magique. L'animal fétiche de Gryffondor : un lion. Un animal gigantesque dont le regard brille d'intelligence magique. Sa présence n'impose que deux choix : la fuite ou le face-à-face. Choisir la seconde solution serait un pas vers le Sanctuaire de Gryffondor. Le Lion combattra le téméraire aussi longtemps qu'il le faudra pour qu'il le juge digne d'accès. Alors, dans son combat, il sera mener à basculer dans le chêne. Il chutera longuement avant de sentir doucement le sol sous son dos.

La seconde entrée se trouverai au fond du Lac Noir. Seul un curieux et téméraire aventurier plongerai dans ces eaux noirs et insondables. Les sirènes s'y cachent dans l'ombre, prêtent à l’envoûter et le dévorer, tandis qu'une créature semblable à au monstre du Loch Ness garde une ruine au fond de l'eau. Il faudra se montrer discret pour ne pas se faire repérer et suffisamment courageux pour tenter l'aventure plus loin. La ruine est un véritable labyrinthe où rodent des créatures aquatiques envoûtées, prêtent à tout pour vous emmener loin des ruines. Si l'aventurier arrive à pousser son exploration assez loin, il arrivera dans une immense salle immergée, grise et vide. Au centre, un piédestal présente une statuette de lion d'or. Le curieux tentera de la toucher. Il se verra porter-au-loin.

La troisième entrée se trouverait dans la salle sur demande. A l'intérieur, rien de physiquement dangereux n'attend celui qui y entre. Il n'y aura que lui. Et une sensation. Il se sentira observé, mais ne saura pas d'où viennent les regards. Il se sentira oppressé, en danger. Puis il se sentira entouré par un être maléfique, le danger lui-même. Il aura peur. C'est alors qu'il voudra partir. Mais la porte aura disparu. Le commun des mortels paniquera et ne trouvera pas l'issue. Elle s'ouvrira. Il se précipitera dehors, sans se rappeler ce qu'il lui est arrivé. Une personne méritante, quant-à elle, aura les nerfs et le bravoure qu'il faut pour affronter la peur commune à tout individus : celle de la menace inconnue, absolue. Cette personne trouvera une porte qui s'ouvrira alors sur le Sanctuaire.

Le Sanctuaire de Gryffondor. Une grande salle sans fenêtres, très semblable à la Salle Commune des Gryffondors. Les murs tapissés de rouge et d'or, les chandeliers muraux sculptés de dragons, une énorme cheminé de bois gravée d'hippogriffes, de griffons, de licornes et autres créatures magiques, dans laquelle flambe un feu éternellement ardent. Les confortables meubles donnent envie de se poser, de souffler. De nombreux ouvrages relatant récits épiques et aventures extraordinaires de tous pays et toutes époques, des trophées et de nombreux objets plus ou moins rangés ou présentés. Le plus marquant de tous reste la légendaire épée de Gryffondor. L'épée est dressée vers le ciel, entre les mains d'une grandiose statue de Godric Gryffondor trônant au centre de la pièce. Appelant à la gloire, la persévérance et le courage, elle irradie la valeur et la bravoure, ragaillardie les cœurs et grandi l'âme.

Elle n'a pas de localisation précise. Ce sont des sorts ou des porte-au-loin qui y mènent les dignes. Elle se trouve peut-être à Godric's Hollow, cachée dans les sous-sols de la ville. Une quatrième entrée s'y trouverait sûrement, guidant les braves sans pouvoirs. Gryffondor a toujours considéré les moldus comme ses égaux. Il aura forcément laissé la possibilité aux plus méritants d'entre eux d'accéder à ses trésors, ainsi qu'à la connaissance de la magie. Ils auront passé ses épreuves, ils ne sauraient être que des bienfaiteurs pour le monde magique. »

Alors qu'il posa le dernier point sur son parchemin, l'Erudit invita les élèves à rendre leur travail. Drew se leva et se dirigea vers le bureau où ses camarades déposaient leur œuvre. Pas que des élèves d'ailleurs. Ginkgo, l'excentrique et imbécile centaure avait donc assisté au cours. Chose incroyable, Drew ne l'avait pas remarqué.

Le grand sorcier posa son parchemin sur les autres avant de retourner à son bureau ranger ses affaires. Il sortit alors, se dirigeant déjà vers son prochain cours.

Date d'inscription : 29/09/2013

Le fond de classe, la place des cancres en tout genre. Et de Wesley étonnamment. Les places des premiers rangs pour les élèves permettaient de participer en cours sans avoir à lever la main, on pouvait bredouiller une réponse que le professeur entendrait forcément. Le professeur aussi pictural soit il avait l’ouïe sacrément fine ! Au deuxième et troisième rang on pouvait se concerter avec ses voisins avant de poser une question. Mais le dernier rang…. C’était pourtant là sa place, parce qu’il ne pouvait pas se mettre devant, trop grand, il cachait le tableau à tous le monde !

Wes adorait l’Histoire de la magie, en plus les tableaux animés l’avait toujours fasciné alors le cours n’avait jamais été une corvée pour lui. Contrairement à sa camarade qui commençait à piquer du nez. Cependant le jeune homme avait du mal à se concentrer, parce qu’il y avait tout simplement n centaure dans la classe. Il en avait jamais vu un de si près, en plus.
Mais c’était bien beau de rêvasser, il fallait se mettre à travailler maintenant. Le problème avec ce genre de devoir était le manque de précision des attentes du professeur. Une question, c’était juste ou faux alors qu’un sujet d’invention… Vite du brouillon, sa plume fétiche pas mâchouillée et c’était parti pour cinquante minutes de transpiration!

Wes Jefferson, 5ème année, Poufsouffle a écrit:: " Wes Jefferson,
5ème année, Poufsouffle

Histoire de la Magie
L'Histoire de Pouddlard

La pièce secrète d'Helga Poufsouffle

"I’ll teach the lot and treat them just the same."

L’accès menant à la pièce d’Helga Poufsouffle se trouverait, selon moi, dans l’enceinte du château lui-même. Et plus précisément au rez-de-chaussée et non pas à une pièce connue uniquement de ses élèves ou un endroit particulièrement effrayant ou dangereux. Les valeurs de la fondatrice indiqueraient une partie accessible à tous, afin que tout un chacun puisse avoir une chance égale de découvrir ce passage. L’entrée se présenterait peut être comme une simple porte en bois délabré, rien de reluisant ou tape à l’œil à première vue sinon une légère gravure d’un blaireau dans le fer de la porte.

En ouvrant cette porte, vous entreriez dans une pièce exigüe et poussiéreuse qui semblerait apparentée à un grand placard à balais tout à fait ordinaire. Cependant, il ne faudrait pas se contenter de voir cet endroit comme une commodité mais comme une ruse d’Helga pour discerner ceux et celles qui seront capables de juger au-delà d’une apparence ordinaire. Au fond de la pièce, vous trouveriez une autre gravure de blaireau avec une encoche assez grande pour y accrocher une baguette. Il faudrait y déposer sa baguette et un sort se lancerait de lui-même, de façon à mettre tous les élèves sur un pied d’égalité peu importe leur âge ou leur aptitudes.

Ce sort ferait apparaitre une pelle qui creuserait le sol, faisant descendre la pièce tel un ascenseur. Cependant ce sort serait fatiguant pour le sorcier et mettrait alors à l’épreuve sa persévérance et sa détermination, valeurs chères au cœur d’Helga. Après une longue descente, celle-ci prendrait fin et laisserait place à une suite de galeries pavées de pierres sous le château. Des torches s’allumeraient au passage de l’élève, le guidant dans le noir et le baignant de couleurs chaleureuses.

Cette galerie déboucherait sur une caverne aménagée. Ce n’était certainement pas l’antre d’une créature sauvage et agressive ! L’odeur vous sembleriez familière, chaleureuse, et non l’odeur d’un souterrain. Un sortilège, ou la présence d’Helga Poufsouffle encore imprégnée dans ce lieu si personnel ? A la lumière des torches vous découvririez un foyer allumé à votre attention, des tapisseries aux couleurs de Poufsouffle, une méridienne pour vous y reposez si le besoin est, quelques herbes colorées poussant entre les pierres. Mais surtout vous remarqueriez que la pierre a été creusée afin de servir de bibliothèque à de nombreux ouvrages. Ces livres seraient des chroniques, des journaux intimes, des livres d’histoires. Ils ne raconteraient pas les faits glorieux mais les histoires des autres peuples comme les créatures magiques mais cette fois, non pas du point de vue des sorciers mais des créatures-elles même. C’est pourquoi certains de ces livres seraient illisibles car écrits dans des langues inconnues. Ils seraient les témoins d’une histoire « humaine » souvent négligée. Un véritable panorama d’histoire appelant à se souvenir des idéaux d’Helga et son héritage : la tolérance envers tous.

Sur la méridienne attendrait le journal personnel d’Helga Poufsouffle. Racontant sa vie, qui elle a été, son rôle dans l’histoire mais également des éléments plus personnels comme des croquis, des sortilèges de recettes ou encore des illustrations, tout cela permettant de mieux la connaitre au delà de la figure historique, de mieux la comprendre d’un point de vue humain.

Car Helga Poufsouffle n’était pas simplement juste et loyale mais aussi courageuse et intelligente. Elle apprenait tout ce qu’elle savait à ses élèves, peu importe leurs origines ou talents. Si ses élèves n’étaient pas courageux, elle leur prouvait qu’ils pouvaient l’être, ceux qui se pensaient stupides se découvraient des potentiels inattendus sous son regard attentif, et à ceux qui manquaient d’ambition, elle apprenait la détermination. Helga Poufsouffle voulait que ses élèves ne soit pas définis par un seul trait mais qu’ils en développent bien d’autres. "

Zut, il s’était encore emporté dans des images exaltées de paix dans le monde et tout le monde il est beau tout le monde il est gentil. Au final ça ne ressemblait plus du tout à son brouillon auquel il avait consacré tant de temps. La phrase angoissante résonnant dans sa tête « Plus que cinq minutes » Tant pis ! Pas le temps de tout effacer, juste de relire. Il était une fois de plus dans les derniers, toujours à rester jusqu’à la fin de l’heure à se torturer les méninges jusqu’à la dernière seconde au risque de se faire arracher sa feuille et y laisser une magnifique trace de plume qui dérape. Bon avec L’Erudit ça ne risquait pas d’arriver mais quand même.
Wes déposa sa copie avec un sourire mi-satisfait mi-désolé. Le debriefing avec les copains le rassurerait surement !

Date d'inscription : 09/07/2013

L'histoire de Poudlard ▬ notes

MEILLEURE COPIE ϟ
Clarence V. Hightower • O (Optimal)
Que de poésie ! Si vous trouvez un jour cette salle, n'oubliez surtout pas d'y accrocher un tableau !

OPTIMAL ϟ
Pan E. Seweryn • O (Optimal)
Une grande imagination pour un résultat vraisemblable, je suis conquis.

EFFORT EXCEPTIONNEL ϟ
Cristobald Dorio• E (Effort Exceptionnel)
Une salle au milieu de la forêt interdite, je n'y avais pas songé ; excellente idée !
César Dorio • E (Effort Exceptionnel)
L'image de ce blaireau géant dormant au milieu des fleurs est tout à fait charmante, je vous félicite !
Ž. Carmilla Anastasijevic • E (Effort Exceptionnel)
L'effet de votre salle me rappelle celui du Felix Felicis, tout à fait approprié aux Gryffondors. Excellente copie.
Anonyme • E (Effort Exceptionnel)
Très imagé, j'aime énormément l'originalité et la réalisation artistique à laquelle personne d'autre n'a pensé, mais si j'avais eu une légende j'aurais sans doute pu évaluer ce chef d'oeuvre à sa juste valeur.
Wesley E. Jefferson• E (Effort Exceptionnel)
J'aime beaucoup l'idée du journal, que je donnerais-je pas pour pouvoir le lire de mes yeux !

ACCEPTABLE ϟ
Evelynn G. Hayles • A (Acceptable)
Très bon texte, mais j'ai regretté que l'originalité légendaire des Serdaigles ne soit pas mise plus en avant.
Elicia P. Vanderbilt • A (Acceptable)
Quoique l'emplacement soit judicieux, je trouve un rien dommage de voir la Chambre de la grande Dame Poufsouffle comme un débarras.
Drew I. Slater • A (Acceptable)
Je comprends votre admiration débordante pour ce grand homme qu'était Gryffondor, mais ne croyez-vous pas pousser la chose un peu loin...?

+ 10 points pour Serpentard
+ 10 points pour Gryffondor
+ 10 points pour Poufsouffle
+ 25 points pour Serdaigle

payé

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