Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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Random Jazzie’s fictions ૪ LIBRE

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Anonymous
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Jeu 17 Avr - 16:55
Random Jazzie’s fictions


Tu a décidé, aujourd'hui, tu vas enfin dévoilé l'histoire d'amour des gryffondors. Charlie x Ludo, tout les deux, joueurs de Quidditch, vivant une romance passionné secrète. Juste avant que tout le monde aille dans la Grande Salle pour manger, tu es prête à distribuer ton écrit. Agitant le bras, une feuille au bout, " Venez vous procurer une magnifique copie de la romance rouge et or!" Certaines personnes passent, d'autres le prennent avant de se diriger vers la Grande Salle, d'autres...



Maybe I don't hate you

Ludovic l'énerve mais à un point. Il l'embrasse et puis fait comme si de rien n'était. Charlie, il ne peut pas. C’est intolérable. Ça l'énerve, franchement et pourtant Ludo sait qu’il a fait quelque chose de trop, de travers, de malsain peut-être, mais c'est l’alcool. Ce n’est pas sa faute. Faut juste oublier.

Mais ce n’est pas facile d'oublier. Pas du tout. Ça le hante. C’est presque un cauchemar. Non. Ce n’est pas ca. Ce n’est pas de la haine non plus. Une sensation qui l'accompagne. Une émotion qui trépasse et repasse. Ce n’est pas désagréable. C’est agréable même. Mais il est toujours fâché, Charlie. Il attend. Il l'attend lui. Il s'attend lui.

Puis c’est arrivé. Ludo, il s'est exprimé. Il a gueulé et personne ne l’a entendu. Si, Charlie l’a entendu et il est le seul, rouge, embarrassé. Ludo vient de se confesser, de crier son amour. Ça résonne encore dans les oreilles du beau brun. Son baiser n’était qu’alcool. Il y avait autre chose. C’était surement ça. En plus d’une avalanche d’incompréhension et d’ignorance.

Charlie ne peut pas y croire. NON. « Qu'est ce que tu racontes?! » Ses sourcils se froncent, son poing se serre, devant ce torrent de paroles amoureuses. « Je – ». Il ne veut pas entendre donc il gueule pour ne pas le laisser parler « T’es un putain de crétin !! » Et puis il s'enfuit. Il court, Il part loin, se cachant les joues cramoisies avec ses bras, qu'il ne peut pas encore expliquer, ressentant en lui des émotions autres que la colère, la haine, le dégoût qu'il aurait voulu éprouver.

***

Ludo était le vent du soir. Ludo hantait les pensées de Charlie. Nuit et jour. Ludo et sa confession.

***

Impossible d’y échapper, entrainement de Quidditch, Charlie peut inventer une excuse, il peut faire appel à son poste de préfet et dire qu’il doit s’occuper de problèmes causés par les premières années. Mais il ne le fera pas, il ne peut pas vraiment, il s'est engagé à être le batteur, et ne veut pas affronter le reste de l'équipe pour s'expliquer, parce qu'ils ne sont pas con. Ils parviendraient à découvrir ce qui se cache sous ses paroles pleines de mensonges sans y repenser deux fois.

Sous un soleil de plomb, sur le terrain, Charlie s’entraine à frapper le cognard, à le repérer et à trouver le bon timing pour la toucher et Ludo, lui, il récupère le souaffle et tente différentes manières de se rapprocher des anneaux en évitant ces fameux cognards. Ils travaillent ensemble mais s’évitent et avant de s’en rendre compte, l’entraînement prend fin.

Ils se dirigent tous vers les vestiaires après avoir rangé l'équipement mais Ludo attrape Charlie par le poignet. Il réussit à caser quelques mots timides. « Il faut que je te parle. » Un peu soufflé dans son col. Sans attendre l’avis de Charlie, « On arrive ! Partez devant ! » Un peu plus fort pour le reste de l’équipe. Le batteur résiste, pas longtemps, certes, mais il essaye. Ludo le traine jusqu'à la réserve et le lâche dans un coin, le poussant légèrement trop fort, il y a l’air d’y avoir un matelas à cet endroit. « Donc… Euh... ». Ludo bafouille, malgré sa confidence pour amener Charlie jusqu'ici et ce dernier, là, il est vexé et il rétorque. « Tu m’amènes ici et c’est pour me « donc euh… » ?! Explique-toi, bordel! Ton amour ça doit juste être des idées folles et un putain de malentendu! » Il aborde le sujet par lui même, directement, parce que ça le tourmente, ça le perturbe, et y a que ça dont ce crétin a la crinière foin veut et peut lui parler. Il essaie de se relever du matelas, de regagner son calme, mais ce même crétin l’en empêche. Il le plaque sur le mur. Il bloque le visage de Charlie entre ses deux bras. L’enfermant, l'emprisonnant. Coinçant presque la chevelure d'ébène de son amoureux. Il lui fusille un regard tranchant. Pour lui aussi, ce n’est pas la joie. Pour lui aussi, ca a été difficile. Puis c’est à son tour de cracher des flammes. Il aurait du directement parler, pas de donc euh « Tu crois que je ne sais pas ce que c'est! C'est pas un putain malentendu! C’est pas des idées folles ! Tu peux choisir de me détester mais n'essaie pas raisonner mes sentiments! Je t'aime et je peux pas changer ça! ». Il n'en peut plus et cette fois-ci, ce n'est pas à cause de l'alcool. Ludo l'embrasse. Prends les poignets de Charlie qui tente de se débattre et les bloquent au dessus de leurs têtes. Et le baiser s'allonge dans le temps et prend une éternité. Lorsque leurs lèvres se séparent, Ludo souffle ses mots « ... Je t'aime ». Il le relâche mais Charlie n'est pas du même avis. Quelque chose au fond de lui le pousse à recoller les lèvres de Ludo contre les siennes. Il avait compris, pourquoi le blondinet le hantait, c'était pour ça. « Et je m'en étais pas rendu compte... ». Dans un murmure presque inaudible. « Ludovic, y'a moyen que ce soit réciproque. » Parce qu'il n'est pas entièrement sure, Charlie, mais il pense que c'est ça. *1 Replongeant dans un baiser avec son ancien meilleur ami, et nouveau petit ami.


Spoiler:

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& sorcier



Alix Barthelemy
Alix Barthelemy
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Jeu 17 Avr - 17:26
Alix jus de citrouille a la main, nez plongé dans son parchemin fait lentement le chemin inverse pour quitter la grande salle. Les révisions extrêmes pour ne pas se payer un Troll en sortilège est désormais un quotidien. Encore une journée pourave en somme qui se prépare. C'est ce qu'elle pensait sincèrement. Quelques trucs a manger dans le sac pour réviser pendant le temps du midi et tous ses plans furent balayés par une Serdaigle s'égosillant pour distribuer un papier.
Relevant le nez de ses révisions, Alix attrapa distraitement le parchemin qu'on lui tendait et balaya le contenu en diagonale. Son jus de citrouille fut recraché par un orifice non destiné a cet effet.

Faisant brusquement demi tour alors qu'elle avait commencé a grimper un escalier, elle se précipita dans la grande salle pour apporter le Graal qu'elle tenait entre ses mains. Écartant sans ménagement deux jeunes poufsouffles a la table, elle s'installa pour enfin avoir une lecture claire de ce qu'elle avait sous les yeux.
Pauvre Charlie. Alix pleurait. Aucun rire ne sortait de sa gorge mais cela était du a une grande concentration pour ne pas avoir a se calmer pour arriver a la fin du récit. Alors Alix pleurait mais pleurait d'un rire refoulé. Attrapant une serviette pour s'essuyer les yeux, elle jeta un sort de duplication a sa trouvaille. Pliant les papiers en forme d'avions un peu chelou, elle l'envoya droit sur son attrapeur et sur d'autres amis de sa table alors que des spasmes secouaient ses épaules. Elle allait probablement mourir asphyxiée par ses propres sanglots et rires avalés qui ne voulaient pas sortir. Tant pis se serait une belle mort.

Se rasseyant, elle essaya de se calmer en lorgnant la porte d'entrée pour voir si Charlie arrivait. Décidément le spectacle promis valait bien plus qu'une heure en moins de révisions acharnées.
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Serdaigle



Sloan T. Holmes
Sloan T. Holmes
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Jeu 17 Avr - 19:55
A peine sortie d'un bouquin, Sloan saute de son siège - arf c'était pas le bon - Elle aurait une sortie nulle. Un P. Au pire. P pour Pire. No freakin' way. Un peu frustrée, elle quitte la table des bleus, et les bleus sont... n'a pas pris le temps de les regarder. Entre manger et... et puis réviser. Elle se rue vers la sortie, mais ça c'est pour tomber sur Jones. Jones était. Jazzie Jones était une supportrice en or. Mais ses flyers, n'étaient sans doute pas du genre à encourager les bleus, ou autres rouges ou qui que ce soit. Non. (Ou bien ç'aurait servi à les encourager à jouer en slip, mais mauvais Remake de l'épisode Holly perdant les trois quarts de sa fierté. C'était définitivement pas cool.) La serdaigle secoua la tête et arracha - bon, c'était un peu réticent en fait - la jolie feuille des mains de son amie beuglante.

▬ Jazzie. C'est quoi.

Elle aurait juré que ça sentait quelque chose de sucré. De rose. D'agréablement mielleux. Dans la catégorie : petit roman d'amour naissant tout droit sorti de la malle de Peska la Guillerette. Ouais. Non, elle le sentait pas. La batteuse se planta près de Jazzie et commença la lecture, focus focus, ignorant les gens qui passaient et repartaient et repassaient et...

...Une sensation qui l'accompagne...

Relève les yeux. Passe au dessus de. Tout le truc autour de Charlie et Ludovic. Ou peut être pas en fait. Elle hésite entre se tordre de rire ou congratuler la Jones.
C'est qu'en plus c'est bien écrit tout ce. Truc.
- rien n'est plus chaste dans cette école -
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Dim 25 Mai - 15:57

Come on baby
Kiss me here, touch me there, hanky panky. You can touch, you can play, if you say: "I´m always yours". I´m a Barbie girl, in a Barbie world, life in plastic, it´s fantastic. You can brush my hair, undress me everywhere. Imagination, life is your creation.


Charlie s’était pourtant levé de bonne humeur ce jour là. En avance par rapport aux autres, pour aller courir et faire quelques exercices en extérieur, dans le froid de la journée, avant de commencer sa journée de cours qu’il avait jugé plutôt ennuyante, comme d’habitude, mais cours qu’il ne loupait jamais. Qu’importe, Upsilon lui avait changé les idées, il avait croisé Alix au loin qui semblait essayer de l’éviter, ce qui était assez ludique et amusant également, tout allait bien dans le meilleur des mondes. il entendait même les oiseaux chanter, joie. Joie ou pas. Parce que l’heure d’aller manger avait sonné. Et que l’agitation dans la grande salle était sans précédents. Rires et voix s’élevaient dans la pièce, entrainant un effet de bien-être imminent. Il en entendait déjà les échos jusque dans cette petite salle. Mais qu’importe, il pénétra dans la pièce sans tarder et alla s’installer à sa table habituelle.

Cependant, quelque chose ici occupait l’esprit de Charlie : les gens chuchotaient et riaient, l’observaient à son passage. Un peu gêné sur son trajet, il avait simplement passé une main dans ses cheveux, se demandant s’il avait quelque chose sur le visage. Ca le rendait mal à l’aise, et c’est avec soulagement qu’il s’assit à côté de ses partenaires de maisons. Ludovic le regardait d’un air désolé, et le préfet-en-chef fronça les sourcils : que diable se passait-il ? Upsilon était mort de rire, et lui tendit un papier rose. Qu’est-ce que c’était que ce bordel. Alors Charlie commença à lire. Et il comprit rapidement, très rapidement, ce qu’il se passait ici. A mesures que ses yeux dévalaient les lignes de mots, son visage rougissait ; on ne savait pas trop si c’était de honte ou de colère, en fait, ses yeux cachés derrière le papier. Il voulait. Mourir.

Il voulait se terrer plus bas que terre. Il voulait disparaitre, tout de suite, pour que personne ne puisse jamais le voir. Un sentiment qu’il avait souvent connu, plus jeune, quand on se moquait de lui. Ses doigts se resserrèrent sur le flyer. Se contrôler, ne pas exploser. Mais plus sa lecture continuait plus une boule de rage indescriptible s’installait dans son ventre, dans son torax. Et dans ses bras, dans tous ses muscles. En fait, il pensait même que c’était dans son sang, que ça explosait. C’en fut trop. Il n’avait même pas fini de lire.

« JOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO OOOOOOOOONES PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !!!!!!!!!!!!! » s’écria-t-il en se levant d’un coup, plaquant ses mains contre la table pour essayer de se débarrasser de la colère qui le contrôlait. Hélas, ça ne semblait pas avoir marché. Il envoya le papier froissé dans la gueule de Ludovic pour une raison inexplicable et se retourna, à la recherche de la demoiselle. Il allait la tuer, vraiment. La tuer, clairement. L’étrangler en la faisant souffrir, alors qu’Upsilon semblait s’étouffer dans ses rires.

Il se souvint soudain qu’il n’était pas seul dans la grande salle, mais en fait, il s’en fichait. Tout le monde savait bien qu’il était colérique, et là n’était pas le problème. Et une pulsion. Ou il ne savait quoi. Soudaine. Surement un besoin de prouver qu’il était un mâââââââle hétéro, ou que ce que Jazzie avait écrit n’était que sornettes.

Mais ça c’était produit, ça c’était fait comme ça, d’un coup. Carys arrivait doucement à la Grande Salle, et alors qu’il avait déjà enjambé le banc prêt à bondir sur Jazzie qu’il cherchait, il se retrouva en face de la Gryffonne. Pourquoi, on ne sait pas, mais il glissa fermement son bras sur sa taille pour l’approcher d’un coup sec vers lui, la coller contre son corps et l’embrasser. De façon théâtrale, oui, comme ça. La surprise de la jeune fille avait surement facilité un baiser rapproché, et étrangement sauvage. Sauvage, parce qu'inattendu, affamé ; mais pourtant doux, tendre. Un baiser passionné, viril et tout ce que vous voulez, qui dura un certain temps - diable il s’en voudrait toute sa vie pour ça. C'était pas désagréable, mais sur le moment il ne pensait plus à rien - il n'y avait aucun désir, rien de plus que du rien. Pourtant, il se sentit s'apaiser, se calmer, finir par même apprécier. Ouais, il avait eu une bonne idée, finalement.

Il lâcha finalement sa victime, finalisant son baiser par un petit mordillement de sa lèvre, puis lui fit un clin d’oeil ; Charlie était un idiot, mais un idiot hétéro, et mâle. Cette fille avait un don pour l'apaiser, peu importe le moyen. Il soupira et finalement, s’éloigna de la grande salle. Il se sentait soudain vidé de toute colère ; mais tout de même, il conseillait à Jazzie de courir vite. Parce que s’il la trouvait dans les couloirs, il ne donnait pas cher de sa tête.

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