Être sorcier dans le Londres magique, c'est vraiment tranquille... Sauf lorsque trois frères, les Bumblebee, décident de révolutionner le monde magique en proposant trois idées qui s'opposent : révéler les sorciers aux moldus, intégrer les créatures à la société, ou tout laisser en l'état en se méfiant bien des deux autres. Le monde magique anglais est en ébullition à mesure que les trois candidats s'opposent, laissant un peu leurs charges respectives à l'abandon au profit de leur campagne. C'est ainsi qu'à Poudlard, un joyeux bazar règne souvent en l'absence du directeur, et que les créatures de tous poils envahissent peu à peu les villes sorcières pour le meilleur comme pour le pire !
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× Ecris ta haine avec mon sang et tes larmes { Benedict

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Mar 10 Juin - 18:46
♕ ÉCRIS TA HAINE AVEC MON SANG ET TES LARMES ♕
La lune jette ses rayons froids à travers les vitraux du couloir de l'étage numéro sept, jouant avec les poussières nébuleuses de l'air septentrional de l'artère. Un courant d'air glacial enlace sensuellement le corps d'une demoiselle droite, devant une grande porte de bois. Le chemin aérien lacère les jambes nues de la donzelle, passe sous le tissu de soie noire de sa nuisette, se collant, s'imposant contre la poitrine du dragon, où chuchote le coeur dans un battement régulier qui se veut maitriser, contrôler. Mais sous ces pulsations ventriculaires s'exalte une peur viscérale qui tétanise ce corps rigide à la position hautaine, tête haute, regard droit, visage neutre, posture royale. C'est une excitation malsaine également qui prend possession par la force, contre esprit, de cet amas cellulaire à la pensée brumeuse des choses prochaines qui vont se dérouler derrière cette barrière hostile.

C’est terrible.
C’est mauvais.
C’est enivrant.
Cette sensation…
Cette chaleur…
Cette décadente curiosité.

La mâchoire crispée, un courage terne dans les tripes, l'entité s'avance vers cette grande porte qui a des allures menaçantes maintenant, et en apposant sa fine main pâle sur la poignée de fer froid, elle l'a franchi, s'enfermant dans son intérêt cauchemardesque.

Autour d'elle ce n'est qu'un vaste néant qui l'enveloppe de son manteau fait d'un inconnu irrésolu. La pièce aux murs indéfinis n'est que sombre pénombre, que questionnement cruel. Alors que ce corps habillé également de noir, contrastant avec la peau pâle sans aucunes aspérités de la donzelle, un souffle froid joue cruellement contre son cou, faisant couler la sueur de l'anxiété contre sa gorge. Ses yeux sont rivés vers le fond de quelque chose sans limite, son souffle dompté passe entre ses lèvres à peine entre ouverte, et ses doigts s'enfoncent dans la chair de ses paumes.

Alors que les genoux de mademoiselle touchent le sol, une lumière jaune et vacillante l'enveloppe soudainement, dévoilant par la même occasion une étrange baguette métallique au bout aiguisé. Instrument froid utilisé pour la peinture d’ordinaire, mais futurement sujet à la pratique mesquine de la torture.

C'est terrible cet état stoïque sur son visage. Paupière mie-closent, dos droit, où les ombres dansent derrière celui-ci à cause de la lumière sale d'une torche. C'est terrible cette expression indéchiffrable qui se colle sur cette peau presque cadavérique sous le jeu agaçant des jais lumineux. C'est terrible ce qui cogite entre les parois crâniennes de cette créature se détestant, se haïssant, se hurlant intérieurement que tout ceci n'est que le théâtre du démon. Colérique. En colère. C'est ce qu'elle est. Ce qu'est le dragon noir au coeur passant peu à peu du blanc au gris. Les larmes noires des hauts enfants tristes du ciel, coulant dans cette essence, brûlant, détruisant, cette grandeur d'âme, faisant place à quelque chose de plus malsain désormais.

L'entité n'est plus que soumission, descendant de son trône porter par des esclaves. Rébellion, de force elle se retrouve à terre à cause d'un obstacle.

Benedict Nicholas Augustus Westeylen.

Alors que la porte de la salle s'ouvre de nouveau, le corps du dragon se raidit instantanément, une vague de colère écrasant avec rage son coeur.
Il est là.

Et elle n'a qu'une envie mademoiselle....

Pleurer.


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Benedict N. Westeylen
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Mer 11 Juin - 23:13

le jeu de la folie est un sport de l'extrême

L'attente.
L'attente est femme démoniaque. L'attente est succube indésirable, qui s'émeut du corps qui sous elle se tord, du corps qu'elle viole avec cette hideuse complaisance. Qu’attend-il, Benedict, qu’appréhende-t-il ? Car c’est une grosse appréhension, aussi, qui le plisse, qui le plie, qui le plaque contre l’effervescence sulfureuse de ses pensées. Pourtant c’est lui qui a voulu cet arrangement glauque, ce noir secret fait d’horreur et d’inoubliable, ineffable ! insupportable douleur. C’est lui. C’est lui et pourtant il a peur. C’est sournois, cela titube dans ses veines comme une ivresse mal maîtrisée, cela a du mal à avancer ; ce sont les impacts brutaux de cette crainte viscérale, cette crainte de la douleur qu’il a demandée, qu’il a suppliée même, vautré dans l’ordure de son affliction. Il refait encore les contours de la scène…  Sa démarche destructrice, poussant à chaque pas la terre dans ses tréfonds sombres, la retournant sur elle-même, l’écrasant complètement, lui communiquant son mal-être abyssal. Sa détermination féroce, tatouée contre son cœur expirant, et puis elle. Jing-Heng. Finesse de la silhouette, comme de l’air dans la prestance ; légèreté qu’il s’apprête à entacher, cruel , mortel ! qu’il apostrophe sans plus de civilités. La voix cassante et déjà en lambeaux. Le refus, terriblement peu surprenant, des plus décevants. Et puis la traque couarde, impossible, impassible du serpent Benedict. Il s’agissait d’être ombre perceptible seulement à ses yeux, à son âme en tourment. Des sifflements odieux, des aveux troublants ; la blessure initiale, l’entaille-mère, qui l’acculerait contre sa peau à lui, avide de sang, grouillant de veines encore trop intactes. Alors elle a accepté, l’amie d’Astrid, l’ignorée aux sentiments confus. Parce qu’il lui a jeté au cœur tous ses doutes, les enveloppant d’une brume grotesque, infiltrée de méchanceté brute.  
Et il l’attend.
Il l’attend, dans cette salle imperceptible, brumeuse comme eux, comme leur relation. Peut-on réellement parler de relation ? Leur attache est de sang et de peur, de larmes et d’apaisement malsain. De catharsis étrange et inavouable. De déviances terrorisées ; de prières audacieuses, dangereuses. D’eux. Et tout son être, toute sa délétère excitation stagne dans l’air vicié de l’endroit, qui pour eux s’est vêtu de bien singulières ténèbres, grandies d’une lueur faiblarde et maladive.  Et Benedict a retiré sa chemise, laissant à nu sa chair déjà crevée par d’autres plaies grossières, hurlant toute la violence aride de sa mélancolie. Éternelle lassitude de l’être qui s’exècre. De ces haines brasillantes et intérieures, absolument indétectables, d’une perfidie absolue.
Et puis elle vient.
Triste. Faible. Oppressée. Divisée par la même hache qui décapite véhémentement son prénom sur les lèvres. Un sourire de charognard vient meurtrir celles de Benedict ; ravissement sadique. L’âme de son bourreau a la résistance malingre, aujourd’hui ! elle cédera avec aisance sinon complaisance.

▬ Bonsoir.
Inutile précaution, et il le sait ; ce n’est qu’une lourdeur de plus dans les yeux de la jeune femme. Ah ! comme sa gêne est plaisante ! Un sourire, la lame avance, un pas, elle entaille. Une hâte terrible lui met un grand frisson sur la chair ; ses yeux ont des lueurs excitées, auxquelles se mêle une infinie peine, la courbure pénible du souffreteux, du malade qui s’en remet aux cures les plus insanes.
▬ Ne tarde pas. Par où veux-tu commencer ?
L’ordre, qui fait sa voix rigide, austère comme soldat inflexible, et puis l’interrogation, l’apaisement inattendu et artificieux ; tout ceci dans le but avoué de la déstabiliser, que tremble cette colonne de chair, si précieuse à son Astrid ! qu’elle vacille, qu’ils vacillent ensemble ! qu’ils saignent, dans une abominable symphonie écarlate, qu’ils éclatent, qu’il éclate sous ses éclats artistes.
Qu’il se disloque, enfin. Que sa chair soit pénétrée durement, que soit vomi ce sang immonde ! qu’en lui tous ses désirs chimériques se taisent, que la douleur tonne, orage  jaunâtre et despotique, qu’elle le brise, qu’atrocement en lui elle gronde ! Qu’elle se fasse le maître de son cœur, son haïssable douleur, qu’elle fasse abdiquer Astrid.
I wish i could lie ! and never could fail…
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Jeu 19 Juin - 15:32
♕ ÉCRIS TA HAINE AVEC MON SANG ET TES LARMES ♕
C'est terrible enfer qui s'enflamme dans la cage thoracique de mademoiselle. Presque perdu elle est dans cette noirceur qui l'entoure, presque folie pourrait prendre son corps en cet instant, mais mademoiselle ne veut pas. Elle ne veut pas faire partie de ces gens fous, qui dans les rues hurlent et pleurent leur désespoirs, alors mademoiselle se ferme tel une fleur de nuit en plein jour. Jour douloureux pour le jeune garçon qui se trouve tout proche d'elle. Elle se prend pour dame de nuit, porteuse de bon conseil, mais malheureusement, d'entre ses lèvres aucun mot qui se veut réconfort ne sort, c'est juste un souffle. Un souffle calme et déçu, voir peut-être même compatissant de cette pauvre âme malade qui ne sait plus trop quoi faire pour survivre, que de demander son aide égoïste à l'autre de pureté. Ô mademoiselle, elle aimerait, oui vraiment elle aimerait pouvoir aider cette pauvre essence égarer par un autre chemin que le sang, mais dans sa tête c'est un chaos sentimental qui danse, valsant dans un rythme effréné et distordu qui lui tourne les pensées d'un côté cruel. Alors mademoiselle, prise par son pire démon qui est curiosité, démon aussi colérique qu'est jalousie, être féminin qu'elle est comme ces deux entités qui sont noirceurs, elle se retrouve obliger elle aussi à valser avec l'âme malade, pleurant comme ceux d'en haut les larmes noires de la tristesse dans sa propre âme qui se veut blanche.

Vous savez, c’est complexe. C’est dur tout ça. Ne pas être soit, et en même temps l’être, sans vraiment le vouloir. C’est un tiraillement douloureux qui s’affole dans vos chairs et vos mœurs intérieures. Mademoiselle est jouet mortel et soumis en ce moment. Instrument froid, délicat et terrible.

▬ Ne tarde pas. Par où veux-tu commencer ?
▬ Dos, c'est mot pressés et enroués qui dévalent sa langue, le dos..., souffle désolé qui passe ses lèvres.

Mademoiselle est peureuse. Mademoiselle à peur. Pas de lui, ô non, pas de lui, mais plutôt de ce qu'il cache à l'intérieur de ses entrailles. Elle sait, elle sent que c'est sombre, mélancolie douloureuse qui se terre dans ce coeur malade. Le dragon noir se trouve au milieu de tout ça, de force, et elle ne peut rien faire d'autre que d'obéir. Mademoiselle est impuissante face à tout ça. Mademoiselle a le regard terne face à ce spectacle noir qui défile devant elle. Plaqué contre ses prunelles vertes c'est le liquide lacrymal d'Astrid qui dégouline sur ses joues presque tous les soirs. C'est alors le coeur gros qu'Heilong écoute les paroles de cette fille qui se veut forte qui se plaint de son comportement trop rude à l'égard de ce garçon torturé. Alors mademoiselle est triste aussi... Mais elle est en colère également. Contre Astrid. Contre Westeylen. Contre elle-même.

▬ Mets toi dos à moi… s’il te plaît, c’est dur pour elle de parler sans flancher, sans vouloir prendre ses jambes à son cou, je… je ne veux pas te voir.

C'est trop dur pour elle de faire face à cet obstacle, alors mademoiselle préfère se voiler la face. Elle essaye de garder le peu de force qu'elle a pour ne pas sombrer dans cette folie. Elle veut garder la tête haute, au-dessus des hauts noirs. Pour Astrid, elle veut être plus forte qu'elle et ne pas tomber avec elle... Parce que si mademoiselle est là, ce n'est pas que pour ce garçon, pas que pour sa curiosité maladive, c'est aussi pour Astrid, pour trouver des solutions, et l'aider à se relever.

Elle et lui.

Même si jalousie il y a, même si Jing-Heng voit ceci d'un très mauvais oeil, même si elle ferait tout pour dissuader son amie... Une chose est sur, elle refuse de voir son acolyte de toujours dans un état lamentable de faiblesse. Surtout à cause d'un garçon. Surtout parce que ce garçon est stupide. Stupide de ne pas aimer la vie. Ô il pourra bien lui dire le contraire à la chinoise, mais elle ne le croira pas une seule seconde ! Pas avec ce comportement puéril et brutal dont il fait preuve avec elle, celle qui n'a rien demandé. Alors sa poitrine se lève à la donzelle. Elle se lève dans un nouveau souffle pour se donner du courage alors qu'elle ne voit que la chair pâle et sans défaut du malade. La pique métallique tremblante, tu l'apposes dans le creux de son omoplate, sans appuyer...

▬ Tu... tu es sûr de vouloir faire ça ? Tu sais il a d'autres solutions je suis sur, des solutions pourquoi d'ailleurs ? Raah... par les dix enfers des Shiwang ! je ne veux pas faire ça..., soupirante tu lèves les yeux au ciel, ne voyant que du noir et tu reprends, les mots dans un souffle, ... Penses à Astrid...


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Sam 21 Juin - 19:26

its dark in my imagination

Il voit forcir un sang coupant sur Jing, sur sa chair, coupant la ramification qui fait sa non-mort. Ou  voulant s’avachir, la ramification, son annihilation ourdir ? Trahison du corps qui a grandi au plus haut point ; au paro puis à l’xysm puis  à ça, corps scriptural, noir, qui a disparu, on sait plus pourquoi. Ah ça fait ouragan jamais vu dans vos poumons ça pas vrai ! pas faux tu dis plutôt, corps sans virils attributs. Oh non, toi tu dis pas, toi tu dis un trou noir, infini. Il avait omis, lui garçon sanglant, lui, qui a pour nom un grand B, plus addict, dans l’approximation, sûr. Tu dis plus, Jing. Nom pas fini, toujours pas construit, ah. La construction.  Alors grand B, construit ? Si oui, pourquoi lourds fruits dans l’air brutal ? Pourquoi vos iris, à toi, à Jing, font abdication sans improvisation ? Pourquoi vos combats sont-ils si plats, or noirci, limon sans pouvoir ? Pourquoi vous.
▬ Dos. D’accord.
Il voit. Il voit tout sur son minois gris ; toujours rubicond flot circulant, la paix aux airs d’illusion. Jing craint son sang, craint sa voix, aux tons bas, puants. Jing craint tout ça ; lui la voit, voit son corps qui s’affaiblit. Allons. Tu crains, ça dit tout fort, tu crains grand B. Jing craint grand B. Tu crains toujours grand B. Grand B, son sang. Purpurin, doux tu sais, sur ton cou. Sur l’os fou, sur nos complots. Alors pourquoi tu crains B Jing. Grand. Grand B. Brun, grand, B. Sans oubli pour l’hic, l’inconnu qui va pas droit dans grand B. Dans l’os on dit, on croit. Mais voyons Jing, faut pas, crains pas grand B, il a gros sur l’os, l’adamantin tant apparu, tant disparu. Lui aussi il craint un truc, grand B. Il craint l’Astrid. Toi Jing tu crains grand B ; grand B craint l’Astrid alors il y a un machin pas construit qui poursuit son tango tout droit. Soumis. Toi aussi Jing. Soumis, puis là un masculin ou pas masculin fait addition. Oui car soumis ça court pas dans nos bouquins français quand on fait son discours sur l’individu sans pic caudal. Ouais, ça, là, on n’a pas droit, faut pas avoir ça dans son ciboulot. Pas la loi du tout, ça, on l’a trop dit. Alors soumis va pour Jing, point. L’agitation sous nos sourcils, sous nos cils aussi, qui git parfois : lacrymaux butins ! l’agitation, donc, du grand B ou du Nicholas ou d’Augustus… ah pourquoi l’opinion n’a pas fait un plan ainsi plus tôt ! Augustus ou Nicholas vaut grand B. Mais nous oublions l’agitation d’Augustus grand B Nicholas. L’agitation sous sourcils, sous cils, Augustus fait du scrapbooking. Bouquin aurait dit : Augustus posa l’amas confus, l’amas noir, l’amas brouillard sur l’amas chinois. Augustus poursuivit, Augustus colla. Mais ici n’a point bouquin, ici a non-mort ; nada. Nous vivons Jing mais nous saignons. Tout, ici, là.
▬ Oh Astrid alors. Astrid. Ah tu crois qu’Astrid- tu crois qu’Astrid a pas fait son nid dans mon corps ; partout ? T’as pas compris alors. Astrid doit sortir. Alors j’la sortirai – par toi ou pas.
Stop. Laissons agir. Instant. Puis :
▬ Mais. J’vais comm-
Pic aigu sur dos. Pas loin. Pas loin du tout. Augustus a un appui sur la paroi ; toujours, oui, son dos sous coton rond, ou champ qui fait sa vision, à Jing. Un pas, sud. Sud. Trop sud. Sang sur pic, pic sur dos. Augustus sur pic, saignant. Sanglots. Chair martyr.
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