« Une commande ? » Haussement de sourcil surpris — pas que le commerce était rare mais… Un peu quand même ? Aussi James regarda-t-il Wheler s’agiter sans trop savoir que dire, il se sentait content qu’elle n’ait pas eu qu’à faire la vigie et la ménagère mais — m’enfin. Jetant un coup d’œil à la commande qu’elle venait de lui apporter, il esquissa un sourire — il ne s’agissait pas d’un simple et bête transfert. C’était toujours plus intéressant de jouer de sensibilité et d’user de sa cervelle — surtout quand il était question de bois et de propriétaire. « C’est cool, je pourrai te montrer comment sélectionner le bois et — et bref tout ce qui va avec. J’espère que ce sera un tout juste du premier coup, tout se joue sur le feeling j’ai envie de dire ; avec les commandes ! » Ses yeux marins se redressèrent avant d’aller plonger dans ceux noisettes de son assistante ; heureux à leur manière.

« Tu habites Bourg le Fantasque ? C’est comment là-bas ? L’ambiance est sympa qu’il paraît ! Eeet— » Et ta gueule James, la demoiselle pose une question. Aussi le brun calma-t-il ses ardeurs dégoulinantes d’une curiosité sincère pour se concentrer sur le nouveau sujet. Ils pouvaient bien jongler sur deux conversations hein. No problemo. « Eeet et et j’ai passé dix-sept heures à St.Mangouste, donc journée relativement euh. Mouvementée. J’ai commencé à quelle heure du coup ? Dans les environs de minuit ou ? Enfin j’avais dormi tôt donc ça allait j’imagine. Il n’y a rien eu de grave ? Il y a toujours ceux avec leur chambre permanente qui font un peu mal au cœur mais à côté y’a vraiment des cas marrants ! » Pause. « Enfin marrants… Erm. » Main passant dans cheveux ébouriffés, alors que la gêne s’installait une fraction de seconde avant de s’envoler plus loin. « Mon dernier patient était là depuis quelques jours. Un sort qui avait mal tourné, je sais pas comment il se l’est pris mais il était puissant — le genre de sortilège de transformation qui vous colle plus qu’à la peau. Transformation en chouette, ici. Et je sais jamais si t’as étudié l’organisme des chouettes mais elles recrachent des boulettes. Je te dis pas le traumatisme pour le pauvre gars. » Sourire court, un peu fatiguée ; main se passant le long du visage, pour se donner un peu d’énergie. Et il était toujours un peu cynique le James, lorsque la journée lui pesait sur les épaules. L’humour avait toujours été quelque chose d’un peu spécial chez lui, alors lorsqu’on rajoutait une journée de travail ça partait de traviole. « Je peux ? » Demanda-t-il distraitement vers le thé fumant — « Non car ça à vraiment l’air délicieux. » Et puis un peu de théine ne lui ferait pas de mal.

Moue douce alors qu’il se rehaussait, adressant une œillade à sa camarade — et toi, du coup ; tu me racontes quoi ?

« J’ai hâte qu’un client arrive à la recherche d’une seconde baguette aussi. » Sourire un peu distrait alors qu’un s’accoudait au guichet, laissant sa main se loger tout contre sa nuque après un court passage dans ses cheveux hirsute. « Je me sens toujours un peu coupable quand je fais des baguettes, après tout il y a Ollivander juste à côté — c’est plus leur corde et leur spécialité. » Regard le long du magasin, ses yeux marins arpentant les étalas de baguettes : « On vient souvent ici car on a pas trop les moyens — c’est toujours moins cher de trouver une baguette ayant déjà appartenu à quelqu’un qu’en acheter une toute neuve. Ca me serre toujours un peu le cœur, et je sais pas. Les clients qui viennent ici sont toujours assez particuliers, chaleureux et désespérés à leur manière ; ça donne envie de prendre soin d’eux. » Il divaguait, le grand brun — ses mèches quasi d’ébène flottant contre ses tempes : « Enfin je trouve ça beau, de venir trouver une baguette quand l’on a cassé la sienne ici. Car tu as perdu ton partenaire et tu viens chercher quelque chose comme toi — un bois qui a perdu son propriétaire. Ceux qui viennent dans cette mentalité repartent toujours plus heureux et satisfaits, harmonieux. » Enfin bref. Ta gueule Elton, ta gueule. Remerciant Carys d’un sourire, il s’empara de la tasse et laissa glisser la coupe tout contre ses lèvres — les saveurs ne tardèrent pas à l’envahir ainsi qu’une petite touche sucrée lui relâchant les muscles d’un coup d’un seul. Il se sentait comme une vieille éponge, un vieux chiffon tout mou. Son assistante avait vraiment un don pour préparer ce genre de breuvage. Sourire se mêlant à un soupir content.

« C’est le genre de quartier dans lequel j’aimerais bien me promener — les odeurs de peinture et les échos musicaux… Il n’y a pas trop de soucis le soir ? » Regard attentif — avec sa formation d’auror, James ne craignait pas vraiment de se promener ou bon lui semblait ; mais il savait plus que tout à quel point les malfrats s’étaient multipliés ces derniers temps, profitant de l’effervescence nouvelle du Londres magique pour se glisser et s’insérer dans la communauté. Des fois son job lui manquait un peu. Toute cette adrénaline, le réseau immense et les divers champs d’activité. Etre en bureau ne l’avait pas trop dérangé, cavaler dans les rues comme un fou lui avait donné envie de vomir ses poumons ; mais vu qu’à l’époque il était encore en formation et donc en binôme, il se marrait toujours énormément. La fois ou il avait reçu son permis d’exercion… De bons souvenirs, oui ; avec ceux tirant la tronche et les quelques blonds donnant l’impression d’avoir des papillons dans la cervelle et des arc-en-ciels dans les veines. Airheaded. Une moue nostalgique s’arracha à ses lèvres alors que quelques secondes plus tard, sa brune comparse le ramenait les pieds sur terre. « Hein ? »

Pause. Ah.
« Dormir ? Maiiis. Mais ça va. Je peux rester ici t’inquiète pas, je vais pas te laisser toute seule alors que tu l’as déjà été une partie de la journée ! » Certes, il ne savait pas ce qu’elle avait rajouté dans son thé mais par Merlin il se sentait devenir mollusque amorphe près à dormir maiis. « Discuter me maintient éveillé et vu que je ne fais pas d’effort je me repose aussi ? » Bonjour, James ; vingt-trois ans. Essaie de se justifier face à son assistante de dix-huit ans. Normal.
Elle lui faisait un peu penser à une maman — ou a sa petite sœur Lucie, aussi. Tout en restant affreusement elle-même.
James n’aimait pas comparer les gens, il trouvait ça insultant.

« Quand on était gamin on avait des vacances, huh. » Regard en biais, dérivant vers quelques formes amorphes : « Maintenant c’est notre sommeil ou des soirées. Il faut savoir équilibrer le tout. » Et puis au final il y avait toujours le temps — combien de fois s’était-il surpris à errer en ville, à aller dans un café ; à déguster quelques délices alors qu’il écoutait les gens vivre ? Croiser des inconnus, s’asseoir à leur table ; converser, s’apprendre et rigoler — vivre, tout simplement. Et il aimait ça, James : la beauté du monde et le hasard — il aimait ça, oui, la vie.

« Ne t’inquiète pas, je dormirai sans doute chez moi ce soir ; puis il faut bien que je mange ce qu’il reste dans l’appart avant que ce ne soit plus bon qu’à jeter à la poubelle ! » Enfin, poubelle… Un petit coup d’evanesco ou de qu’il ne savait trop quoi et tout était réglé, aussi. Mais tout de même, le brun n’avait jamais été un amateur du gaspillage. Aussi se frappa-t-il les joues, secouant quelque peu la tête ; luttant contre la voix de susurre de son assistante : « Allez, hop ! Au travail. Un peu de rangement et de coups de baguette ne nous feront pas de mal ! » Ne me feront, surtout. Et puis il aimait ça, la magie — c’était sa passion première, la chose l’ayant animé dès tout jeune, dès tout bébé. Il se souvenait encore de la sonnette s’agitant toute seule, alors qu’un de ses parents le lui avait ordonné de ; d’un mouvement discret de poignet. « Dis-moi, tu avais de bon résultat à Poudlard ? Quelle était ta matière favorite ? Tu aimais les cours de sortilèges ? » Et il était debout, le grand Elton, une cape de sorcier ne tardant pas à venir se poser sur ses épaules alors que son pull se transformait en t-shirt simple ; blanc et bleu. Il savait qu’elle avait été chez gryffondor et qu’elle était passionnée des dragons — mais encore ? Avait-elle vécu Emerald ? L’Erudit ? Flavia ; aussi, sans doute. Il avait entendu récemment que les professeurs de métamorphose s’enchainaient récemment — enfin, tout ce monde l’intriguait, ce monde un peu passé, révolu à sa manière. A moitié oublié.

Il sorti son bois.
Éveillé, enfin — de nouveau.

Et il l’écoutait James — à moitié immobile, un sourire calme et avenant flottant sur ses lèvres. Il avait toujours été de ceux capables d’écouter avec tout leur cœur ; sans jamais chercher à assouvir une curiosité mal placée — il était un serein, un reposé de nature. Un de ces émerveillés aux ourlets sauvages, blasés et que trop francs. L’âge l’avait rendu égoïste. « Un hybride harpie ? Je crois que ça me dit quelque chose, j’ai du en entendre parler. Enfin c’est sur que ca suscite la curiosité huh. » Esquisse diffuse alors qu’il se mettait en mouvement, marchant et dérivant lentement ; restant à proximité de son assistante. « C’est assez remarquable d’avoir pu avoir une lettre de recommandation ! Les soins aux créatures ne m’ont jamais passionné étrangement — j’imagine qu’on ne peut pas être intéressé partout ; nous nous sommes bien trouvé. » Rire simple, de ceux ne durant qu’une fraction de seconde — et il n’y avait rien de réellement amusant, juste une pointe d’humour un peu bizarre. Un peu comme lui.

« Moi ? » Regard en coin, moue un peu spéciale. Combien d’années qu’il avait quitté Poudlard ? Quel âge avait-il, d’ailleurs ? Vingt-trois ans ? Six ans ? Il lui semblait que cela en faisait neuf. « A mon époque les cracmols n’étaient pas acceptés, les hybrides commençaient à peine à s’insérer… » Pensée pour Lucie, qui n’avait pu bénéficier des merveilles du château — il avait du les lui narrer, les lui imager et la bercer de douceur ; sans doute avait-il eu peur qu’elle grandisse différemment, en marge de la société. Qu’elle parte vivre en Norvège ou il ne savait trop quoi. Un de ces pays froids qui lui étaient natals par ses ascendances. « J’étais Serdaigle, un véritable émerveillé. » Quelques pas de côté, il traça de son bois une raie de lumière qui ne tarda pas en se diviser en quelques flocons étoilés ; sa main gauche était enfoncée dans sa poche. « Mes parents sont tous les deux sorciers, alors j’avais vécu dès mon plus jeune âge dans les bordures de la magie — mais tu connais bien Poudlard. C’est tellement énorme. Entre les escaliers, les armures ; les tableaux, les fantômes et les lustres — sans parler des plafonds magiques ! » Pause, sourire étrange, quelque peu tordu — aux traces enfantines : « Alors j’avais des yeux ronds comme des soucoupes. J’étais un gamin paumé comme les autres lors de ma première année. Je me perdais encore dans les couloirs lors de ma seconde. Enfin bon. Je me souviens plus très bien. J’ai juste grandi comme tous les autres, avec des cheveux en pétard au lever et au coucher. Je m’énerve comme les autres, je ris comme les autres — j’étais juste un peu plus passionné, sans doute. » Des résultats optimaux, en vrai. Sa chambre à Londres n’avait été et était sans doute encore un ramassis de parchemins noyés d’encre et de livres usés jusqu’aux reliures. « J’ai gardé quelques liens, oui. Mais je pense que le plus amusant est de rentrer dans une personne par hasard ; au milieu de la rue et que sais-je et réaliser que le visage vous est familier : vous l’avez connu. C’est sans doute ce que je préfère, ces relations quelconques qui se sont tamisées puis oubliées et qui vous reviennent au visage, changées et plus — enfin. » Rire, cela ne dérangeait jamais trop James — de parler de lui, et du reste. Mais il s’égarait toujours un peu trop, n’arrivait pas à rester concis lorsqu’il plongeait dans une narration. Tout prenait alors l’allure d’une histoire et ses phrases ne tardaient pas à devenir nœuds et vrac. « La magie était ma passion, à Poudlard. J’aimais tout, les cours de sortilèges en particulier — j’étais de ces gamins à vous pondre des dérivations de sort en plein couloir car ils trouvent ça beau. Des orchideus cousus d’un sortilège de lévitation et j’en passe. Le stéréotype du serdaigle ; quoique ma chemise dépassait souvent de mon pull, et que je bousculais mes potes dans les couloirs comme tout garçon qui se repecte. » Et c’était à peu près tout ? Le brun ne savait quoi trop dire. La question était trop vaste, sans doute aurait-il du se montrer plus succin. Lui et sa voix un peu trainante ; bouffie de tons aléatoires et de couleurs — il se laissait aller au calme, pourtant ; permettant à chaque mot d’avoir son espace avant de basculer le suivant.

Il était heure de travailler, peut-être — de s’amuser.
Quelques coups de baguette, son bois passant d’une main à l’autre ; plus gaucher que droitier en vérité. Aussi les boites contenant chacune précieusement une baguette ne tardèrent pas à s’envoler ; s’organiser de nouveau, certaines se posant sur le bureau au fond de la boutique, d’autre sur le comptoir. « Tu sais, Apostrophe est un peu mon antre secrète. Mon repère aux merveilles. » Et il ne pouvait s’empêcher de balancer ça, alors que des formes étranges entre patronus et lumos se formaient ; créant quelques bestioles poussant les affaires et réorganisant les différents bois et organismes propres aux créations de baguette.
Il n’y avait personne pour l’empêcher de rêver, ici — dans son intimité.
Ni professeur, ni moralisateur ; ni personne à l’imagination si réduite qu’ils crachaient sur le moindre de vos propos, les qualifiants de mensonges éhontés. Oui, ici il pouvait créer — vivre.

Se retrouver.
« Tu as déjà dérivé des sorts ? » — Il était déjà passé à autre chose, laissant sa magie achever le travail déjà bien entamé.

Rire un peu gamin alors que les deux comparses poursuivaient leur tâche : « Ah les duels, que de souvenir. Tu en inventais ? Ils faisaient quoi ? » Il n’était pas facile de mettre au point des sortilèges, quoique les petites broutilles passaient assez aisément quand on avait la technique — et puis, avec un professeur tel qu’Emerald, il n’était pas bien compliqué de vite devenir assidu. L’homme était incroyable, tout autant dans son charisme que dans ses leçons — on sentait qu’il appréciait ce qu’il faisait, et qu’il était excellent dans le domaine. Et tant bien même James n’avait été serpentard et donc en ses faveurs particulières, il avait toujours eu ce respect bouffi d’empathie envers le personnage. « Je me souviens qu’on avait créé en groupe avec des gryffondors un sort qui rendaient les vêtements de l’assailli animés — ils le mordaient et le pinçaient. Un vrai chef-d’œuvre ! » Il se souvenait encore de la tête du maître des duels et de la désapprobation flagrante dans son regard — c’était encore la vieille époque, et à ses yeux ils n’étaient passés que pour un bande de fripons mal léchés. Rire.

Aussi était-il là, s’écoutant converser paisiblement avec Carys, sa baguette posée sur l’établi — ses larges mains occupées à lisser un cuir, celui allant sans doute servir à enrouler les baguettes récemment arrivées — et c’était toujours un peu triste, de recevoir de nouvelles fournées de bois sans propriétaire. Le plus difficile était souvent quand il s’agissait de personnes âgées décidant de donner « pour la bonne cause » leur bois. Ces dernières ressentaient souvent l’acte comme un abandon, et après toutes ces années passées auprès de la même personne, comment changer de propriétaire ? Un petit enfant passait ; mais un inconnu… Soupir, paume s’enfonçant dans crins foncés. Et c’est qu’il avait soudainement envie de voir Claude ; l’Elton. De discuter un peu avec lui — d’avoir de ses nouvelles. Comme quoi, la plus simple et bénigne des pensées pouvaient vous mener à bien des choses. « Ton calvaire est bientôt terminé Carys, mon petit doigt me dit que c’est bientôt l’heure de la fermeture. » Sourire bouffi de sympathie alors qu’il se retournait de moitié pour partager sa malice.
Il espérait qu’elle rentrerait sans encombre — « Tu rentres comment en ce moment ? » Transplaner ne devait pas vraiment être une option.

« A notre époque c’était encore assez droit Poudlard — la rigidité s’est peu à peu envolée pour donner place à quelque chose de plus. Je sais pas. Différent ? Mais je trouve ça bien, aussi. Les nouvelles générations de parent font comme ils peuvent, et Poudlard restera toujours comme une seconde maison dans les esprits de tous huh. » Sourire doux en biais — elle aussi, d’ailleurs ; allait bientôt l’être. Parent. Finissant d’enrouler les nouvelles baguettes le marchand se laissa aller aux songes brouillons. « Ca ne te dérange pas de transplaner ? » Petit coup d’œil furtif alors qu’il achevait sa tâche ; choisissant d’user de son corps plutôt que de sa magie, pour une fois. « Beaucoup de femmes dans ton cas ne tardent pas à arrêter le transplanage. Enfin tes nausées ne sont pas toujours arrivées donc c’est compréhensible… » Sourire diffus alors qu’il se mettait sur la pointe des pieds pour réussir à glisser ses nouveaux bois tout en haut d’une étagère. Foutu un mètre quatre-vingt-trois. Il s’était toujours senti un petit peu petit ; le James — sans doute à tort, mais il ne pouvait s’en empêcher. Etrangement nombreux étaient les grandes perches à Londres, surtout la nouvelle génération ; celle fraiche et motivée. « Le transplanage donne des nausées. Imagine l’effet combiné. Puis certaines ont peur de faire mal à leur bébé en transplanant. Surtout les femmes issues de famille avec un parent moldu ou bref ; du genre. » Petit rire attendri — il restait un médecin, mais aussi un émerveillé de la vie : « Les croyances, tu sais. Car il s’agit quand même un peu de disparaître dans un tourbillon de… de rien vers un autre endroit. » Lui-même était toujours un peu perplexe quand des futures mamans déjà garnies d’un ventre bien rond se risquaient à transplaner. Mais c’était souvent le cas lorsqu’elles perdaient les eaux. Comme si tous leurs préjugés s’envolaient dans l’urgence de l’instant. « Enfin. C’est bien si tu passes outre. Mais quand ce sera difficile, n’hésite pas à demander à quelqu’un de te raccompagner. Où je pourrai si tu veux. Où tu pourras utiliser la poudre de cheminette. Faudrait que je nettoie, je suis sur que j’en ai vu une quelque part dans cte bâtisse… » Il était déjà parti dans un autre monde.
Celui des attentions tièdes — celles propres aux guérisseurs et personne au cœur doux.
Disait-on.